Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
Posté : 01 sept. 2011, 12:45
kie kie kie kie kie kie...Voilà le panier à crabes de la soi-disante "opposition" congolaise animée par des "mangecrates" comme Kengo, Kamerhe...Mnt que Ya Tshitshi poursuit son bonhomme de chemin, évitant de se discréditer en compagnie d'un tel aéropage de "politichiens", voilà que Kengo et Kamerhe font ce qu'ils ont tjrs su faire : s'entrebouffer pour savoir qui va aller "parlementer" avec Ya Tshitshi...Ya Tshitshi akomi UNITE DE MESURE ! kie kie kie kie kie...Minables !
1 jj 01-09-2011 13:24
Je pense que ceux qui m'ont lu me donne raison. La stratégie de ce groupe est de surplomber tous les autres partis et négocier le gros lots sur base des présomptions. Certaines n'étant toujours pas vrai. Ce qu'ils veulent est que se présentant devant Tshisekedi comme ayant accepté sa candidature, ce groupe voudra alors aller négocier leur fameuse primature. Mais la geugeure entre Kengo et Vital riquent de jetter un discredit serieux sur leur démarche. Toutefois, l'opposition a plus de chance de présenter la seule candidature de Tshisekedi.
Opposition : Nouveau tiraillement autour de Kengo et Kamerhe !
Jeudi, 01 Septembre 2011 12:43
La désignation d'Etienne Tshisekedi comme candidat commun n'a pas encore fini de provoquer des vagues qu'une nouvelle secousse frappe l'Opposition. Elle ne vise pas la mise en place d'une candidature parallèle. Elle s'exprime plutôt en termes de trouver un interlocuteur valable et capable de conduire le camp de Sultani hôtel en négociations directes avec le Sphinx de Limete.
Deux tendances, diamétralement opposées, se sont manifestées autour de cette question. La première, animée par l'ICN, (Initiative pour un Congo Nouveau), regroupe entre autres, Kiakwama, Mokonda Bonza et José Makila. Elle milite en faveur de l'émergence du leadership de Kengo, dans la dynamique de Sultani Hôtel.
Pour cette plate-forme de récente création, Kengo apparaît comme l'interlocuteur valable dont le rapprochement avec le lider maximo mettrait fin à la crise actuelle.
En face de l'ICN, l'UN de Clément Kanku, coordonnateur de la plateforme née pour soutenir Bemba au second tour de la présidentielle de 2006, estime plutôt que c'est Kamerhe qui ferait l'affaire. Il s'est dès lors improvisé médiateur entre les deux personnalités.
Laquelle de ces deux approches triomphera ?
Pour l'heure, les positions semblent très tranchées. Pour I'ICN, le choix de l'UN ne fait aucun poids face aux enjeux de l'heure.
Kiakwama l'a exprimé en des termes très clairs au sortir de la dernière concertation de sa plateforme. Du côté de l'Union pour la Nation, on fait peu de cas de la crédibilité du patron de l'UFC à contribuer réellement à imposer l'alternance à la tête du pays.
Près du but
En dépit des divergences, irréconciliables en apparence, il y a tout de même une lueur d'espoir qui pointe à l'horizon. La désignation de Tshisekedi comme candidat commun ne constitue pas le casus belli des deux franges ci- dessous mises en exergue. Il apparaît clairement que c'est le mode de désignation de ce candidat, en dehors de tout consensus intégral, qui pose problème.
Aussi chacune des deux franges demande à Tshisekedi de se soumettre à l'onction d'une négociation au sommet et au finish entre la dynamique de Fatima et celle de Sultani Hôtel. A cette seule, Tshisekedi sera accepté.
C'est une avancée significative au niveau de l'Opposition. Cela dans la mesure où, sur le principe, nul ne conteste à Tshisekedi son rôle de locomotive. Mais il y a encore beaucoup d'efforts à fournir pour aplanir les vues sur l'identité de l'ultime négociateur à mettre en face du leader de l'UDPS.
C'est une véritable équation qui se pose au groupe dit de Sultani Hôtel. Les différentes formations composant ce groupe sont jusque-là d'accord sur les principes. Ils n'ont pas encore entamé le plat de résistance. Celui qui va consister à désigner un représentant commun. Lequel devra éventuellement ouvrir une série de discussions d'homme à homme avec le Sphinx de Limete.
Si cet obstacle est levé de manière courageuse et sans passion, l'Opposition ne sera vraiment pas loin de réussir son pari. Elle peut alors et ce, pour la première fois, faire douter très sérieusement la Majorité présidentielle.
Tout dépend de sa capacité à saisir les avancées enregistrées dans le processus de mise en place du front commun et à les capitaliser.
LP
Source : Le Phare
1 jj 01-09-2011 13:24
Je pense que ceux qui m'ont lu me donne raison. La stratégie de ce groupe est de surplomber tous les autres partis et négocier le gros lots sur base des présomptions. Certaines n'étant toujours pas vrai. Ce qu'ils veulent est que se présentant devant Tshisekedi comme ayant accepté sa candidature, ce groupe voudra alors aller négocier leur fameuse primature. Mais la geugeure entre Kengo et Vital riquent de jetter un discredit serieux sur leur démarche. Toutefois, l'opposition a plus de chance de présenter la seule candidature de Tshisekedi.
Opposition : Nouveau tiraillement autour de Kengo et Kamerhe !
Jeudi, 01 Septembre 2011 12:43
La désignation d'Etienne Tshisekedi comme candidat commun n'a pas encore fini de provoquer des vagues qu'une nouvelle secousse frappe l'Opposition. Elle ne vise pas la mise en place d'une candidature parallèle. Elle s'exprime plutôt en termes de trouver un interlocuteur valable et capable de conduire le camp de Sultani hôtel en négociations directes avec le Sphinx de Limete.
Deux tendances, diamétralement opposées, se sont manifestées autour de cette question. La première, animée par l'ICN, (Initiative pour un Congo Nouveau), regroupe entre autres, Kiakwama, Mokonda Bonza et José Makila. Elle milite en faveur de l'émergence du leadership de Kengo, dans la dynamique de Sultani Hôtel.
Pour cette plate-forme de récente création, Kengo apparaît comme l'interlocuteur valable dont le rapprochement avec le lider maximo mettrait fin à la crise actuelle.
En face de l'ICN, l'UN de Clément Kanku, coordonnateur de la plateforme née pour soutenir Bemba au second tour de la présidentielle de 2006, estime plutôt que c'est Kamerhe qui ferait l'affaire. Il s'est dès lors improvisé médiateur entre les deux personnalités.
Laquelle de ces deux approches triomphera ?
Pour l'heure, les positions semblent très tranchées. Pour I'ICN, le choix de l'UN ne fait aucun poids face aux enjeux de l'heure.
Kiakwama l'a exprimé en des termes très clairs au sortir de la dernière concertation de sa plateforme. Du côté de l'Union pour la Nation, on fait peu de cas de la crédibilité du patron de l'UFC à contribuer réellement à imposer l'alternance à la tête du pays.
Près du but
En dépit des divergences, irréconciliables en apparence, il y a tout de même une lueur d'espoir qui pointe à l'horizon. La désignation de Tshisekedi comme candidat commun ne constitue pas le casus belli des deux franges ci- dessous mises en exergue. Il apparaît clairement que c'est le mode de désignation de ce candidat, en dehors de tout consensus intégral, qui pose problème.
Aussi chacune des deux franges demande à Tshisekedi de se soumettre à l'onction d'une négociation au sommet et au finish entre la dynamique de Fatima et celle de Sultani Hôtel. A cette seule, Tshisekedi sera accepté.
C'est une avancée significative au niveau de l'Opposition. Cela dans la mesure où, sur le principe, nul ne conteste à Tshisekedi son rôle de locomotive. Mais il y a encore beaucoup d'efforts à fournir pour aplanir les vues sur l'identité de l'ultime négociateur à mettre en face du leader de l'UDPS.
C'est une véritable équation qui se pose au groupe dit de Sultani Hôtel. Les différentes formations composant ce groupe sont jusque-là d'accord sur les principes. Ils n'ont pas encore entamé le plat de résistance. Celui qui va consister à désigner un représentant commun. Lequel devra éventuellement ouvrir une série de discussions d'homme à homme avec le Sphinx de Limete.
Si cet obstacle est levé de manière courageuse et sans passion, l'Opposition ne sera vraiment pas loin de réussir son pari. Elle peut alors et ce, pour la première fois, faire douter très sérieusement la Majorité présidentielle.
Tout dépend de sa capacité à saisir les avancées enregistrées dans le processus de mise en place du front commun et à les capitaliser.
LP
Source : Le Phare