Elections RDC 2011
- tony yave
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Re: Elections RDC 2011
Je toujours pose cette question à tous les Congolais qui veut voir JK dehors, donnez moi un Nom pour mettre la RDC en marche, c'est trop facile de tous mettre sur lui y a de la volonté pour certains de nos président Africain mais ils sont souvent mal entoure et pris dans leurs propre piège avec les accords qu'ils signent souvent avec les partis politique et hommes politique.
Imagine un peu que Étienne soit investi comme le candidat de l'opposition mais il faut qu'il soit reconnaissant en vers eux, leurs donner les postes au gouvernement et dans les poste clefs et ceux même personne qui viendront foutre du bordel au sein du gouvernement et dans les bons projets je ne soutiens pas JK mais!!!
Imagine un peu que Étienne soit investi comme le candidat de l'opposition mais il faut qu'il soit reconnaissant en vers eux, leurs donner les postes au gouvernement et dans les poste clefs et ceux même personne qui viendront foutre du bordel au sein du gouvernement et dans les bons projets je ne soutiens pas JK mais!!!
- wantanshi
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Re: Elections RDC 2011
Mais mon cher, ailleurs on publie les résultats le même jour ! Chaque bureau de vote comptera ses résultats et les enverra le lendemain au bureau principal qui compilera le tout ! Avec la technologie c'est pas compliqué !!! Déjà en 2006, on affichait les résultats de chaque bureau le lendemain sur les vitrines...sedigo a écrit :Ca c'est impossible!!! Élections le 28 et publications le 6?8 jours juste pour faire tout le boulot de comptage des votes??? Mensonge sur mensonge. Ca ne se fera pas comme prévu c'est claire.
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. [Albert Einstein]
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Re: Elections RDC 2011
C'est vrai que ce sont les accords kilométriques des candidats qui les mettent en difficulté une fois au pouvoir (cfr JK). Mais il faut que ses accords se fassent par rapport à un programme commun et qu'il y ait une ligne de conduite. En sorte qu'on ait plus un premier ministre qui dort pendant deux ans à la primaturetony yave a écrit :Je toujours pose cette question à tous les Congolais qui veut voir JK dehors, donnez moi un Nom pour mettre la RDC en marche, c'est trop facile de tous mettre sur lui y a de la volonté pour certains de nos président Africain mais ils sont souvent mal entoure et pris dans leurs propre piège avec les accords qu'ils signent souvent avec les partis politique et hommes politique.
Imagine un peu que Étienne soit investi comme le candidat de l'opposition mais il faut qu'il soit reconnaissant en vers eux, leurs donner les postes au gouvernement et dans les poste clefs et ceux même personne qui viendront foutre du bordel au sein du gouvernement et dans les bons projets je ne soutiens pas JK mais!!!



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Re: Elections RDC 2011
Que t'inspire l'expérience "GIZENGA"sedigo a écrit : Pour tshisekedi L'âge n'est pas un problème car il peut déjà communiquer ce qu'il veut.


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Re: Elections RDC 2011
RDC-Elections: pas encore de candidature déposée au bureau de réception de Kinshasa/Gombe
publié il y a 2 heures, 39 minutes, sous Actualité, Kinshasa.
– Siège de la Ceni à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo – Siège de la Ceni à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
Aucune candidature aux élections présidentielle et législatives en RDC n’a encore été déposée au bureau de réception et de traitement des candidatures de Gombe dans la ville de Kinshasa. C’est ce qu’a affirmé, mardi 23 août, le président de ce bureau à Radio Okapi précisant que plus d’une dizaine de candidats à l’élection présidentielle ont déjà retiré des formulaires de candidatures.
Le président du bureau indique qu’il a reçu plus de demandes des formulaires des candidats indépendants que ceux affiliés à des partis politiques.
Le bureau de réception et de traitement des candidatures de Gombe ne traite que les dossiers des candidats à l’élection présidentielle.
Les autres bureaux de Lukunga, Funa, Mont-Amba et Tshangu s’occupent des dossiers des candidats aux législatives.
Plus de trois cents candidats ont déjà retiré leurs dossiers de candidatures dans les bureaux de Lukunga et de Funa.
Mais aucun dossier n’est enregistré dans ces deux bureaux situés dans la même enceinte que celui de Gombe.
L’appel à candidatures aux élections présidentielle et législatives a été lancé le jeudi 18 août.
La date butoir du dépôt des candidatures est fixée au 5 septembre.
Mardi 23 août, Radio Okapi a constaté que cinq jours après le lancement de l’opération de dépôt de candidatures, aucun dossier n’a été enregistré à Lubumbashi au Katanga.
publié il y a 2 heures, 39 minutes, sous Actualité, Kinshasa.
– Siège de la Ceni à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo – Siège de la Ceni à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
Aucune candidature aux élections présidentielle et législatives en RDC n’a encore été déposée au bureau de réception et de traitement des candidatures de Gombe dans la ville de Kinshasa. C’est ce qu’a affirmé, mardi 23 août, le président de ce bureau à Radio Okapi précisant que plus d’une dizaine de candidats à l’élection présidentielle ont déjà retiré des formulaires de candidatures.
Le président du bureau indique qu’il a reçu plus de demandes des formulaires des candidats indépendants que ceux affiliés à des partis politiques.
Le bureau de réception et de traitement des candidatures de Gombe ne traite que les dossiers des candidats à l’élection présidentielle.
Les autres bureaux de Lukunga, Funa, Mont-Amba et Tshangu s’occupent des dossiers des candidats aux législatives.
Plus de trois cents candidats ont déjà retiré leurs dossiers de candidatures dans les bureaux de Lukunga et de Funa.
Mais aucun dossier n’est enregistré dans ces deux bureaux situés dans la même enceinte que celui de Gombe.
L’appel à candidatures aux élections présidentielle et législatives a été lancé le jeudi 18 août.
La date butoir du dépôt des candidatures est fixée au 5 septembre.
Mardi 23 août, Radio Okapi a constaté que cinq jours après le lancement de l’opération de dépôt de candidatures, aucun dossier n’a été enregistré à Lubumbashi au Katanga.
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Re: Elections RDC 2011
Processus électoral : Les Usa jugent les Congolais capables de s’autogérer
Kinshasa, 23/08/2011 / Politique
Selon M. James Entwistle, l’Ambassadeur des Etats-Unis en Rdc, avec un peu d’aide, les Congolais sont capables de gérer leurs élections.
Récemment, l’Ambassadeur des Etats-Unis en RDC, Son Excellence Mr. James Entwistle a présenté devant une audience au Wilson Center Washington DC la position, officielle des Etats-Unis quant aux préparatifs, processus, et certification des résultats des Elections de Novembre 2011.
Lors de son allocution au Wilson Center à Washington, l’Ambassadeur des Etats-Unis en RDC, Mr. James Entwistyle s’est insurgé contre les voix réclament que la Communauté Internationale conduise et certifie les élections le 28 novembre en RDC.
Cette logique dit-il, entrave l’idée selon laquelle les Congolais sont incapables de conduire et certifier eux-mêmes leurs élections, je suis totalement contre cette idée a-t-il fermement souligné.
L’Ambassadeur poursuit à ce que l’Amérique et la Communauté Internationale devrait plutôt faire c’est d’apporter à ces Congolais braves et dévoués les ressources, la formation et tous les moyens nécessaires pour leur permettre de conduire leurs élections ».
Les Etats-Unis d’Amérique par ailleurs, a-t-il ajouté, par le biais de l’agence de Coopération Internationale Américaine pour le développement, USAID en sigle, a déjà mis à la disposition du Gouvernement Congolais 12 millions de dollars dédiés à l’éducation civique, à la formation et aux équipements spécialisés de police pour la sécurisation du processus de vote.
L’Ambassadeur a noté que, l’Amérique, qui a, déjà contribué financièrement à hauteur de 1/3 pour l’exercice de la Monusco de même (1/3) dans le soutien logistique des forces de ladite Monusco.
Il a de même déclaré que les Congolais ont, et continuent de développer les capacités de gérer eux-mêmes, leurs propres élections. Pour ce faire, il est donc logique que la Communauté Internationale apporte un soutien moins important qu’en 2006.
« Si la contribution de la Communauté Internationale s’élève au même niveau que celle de 2006 cela sous-entendrait que la Communauté Internationale et les USA ont failli à leur mission d’accompagner la RDC à aller de l’avant et à se reconstruire...
Nous avons confiance que les observateurs Electoraux Congolais offriront au monde entier l’assurance la plus authentique que le résultat des élections reflète « avec certitude ce qui s’est passé aux urnes », a-t-il ajouté.
L’Ambassadeur poursuit en disant que malgré le fait que le processus a connu des difficultés techniques et logistiques au début du processus, la RDC a enrôlé plus de 32 millions de votants « ceci est un accomplissement profondément significatif compte tenu des défis historiques et actuels qu’a connu et que continue de connaître la RDC »...
Il dit de même que, pour des élections crédibles en RDC, il faudra de la transparence, des campagnes électorales ouvertes et équilibrées. L’Ambassadeur espère ainsi, que les acteurs concernés signeront la proposition du Code de Bonne Conduite.
Des élections transparentes signifient : « un environnement dans lequel les candidats battent campagne, les électeurs votent, les votes sont comptabilisés et les résultats sont proclamés dans un processus ouvert et transparent... Les candidats devraient être capables de voyager et battre campagne librement, sans harcèlement ni intimidation ...
Egalement, avoir un accès neutre et équilibré sur les ondes nationales dans un environnement où les medias travaillent sans harcèlement ni intimidation. Aussi, les femmes et les hommes devraient avoir un accès égal au processus.
De plus l’Ambassadeur a insisté sur le fait que le comportement des Candidats Perdants représentera « un outil, primordial de mesures de développement de la démocratie »...
L’idéal de la Théorie des Elections suggère que les candidats perdants acceptent le résultat et se rangent derrière le gagnant pour l’intérêt de la nation.
En faisant cela, ils expriment un appui pour le processus démocratique et de toute façons ils pourront se représenter aux prochaines élections, a-t-il ajouté.
L’Ambassadeur a déclaré que la majorité des Congolais avec- lesquels il s’est entretenu sont convaincus que dans 5 ans il y aura d’autres élections en RDC. (Ceci me donne une raison d’avoir de l’espoir et de rester optimiste) que le Congo petit à petit se redresse de son passé violent et de son instabilité politique.
Et ceci a-t-il ajouté « rend de plus en plus difficile la tâche de tout leader, Homme politique et parti politique de s’éloigner de ce processus ».
L’Ambassadeur estime également que l’assistance pour la reforme en matière sécuritaire, l’aide aux victimes des violences sexuelles, les efforts pour l’assainissement du climat des affaires sont conduits avec l’idée des années de violence et conflit dans l’esprit.
« Toute politique Américaine au Congo est conçue pour que tout ce qui a été fait en RDC et à la RDC dans les années 90 et le début des années 2000 », (statistiquement années les plus sombres de la RDC depuis la 2ème guerre mondiale), n’arrivent plus jamais, de plus, assister le .... dans sa reconstruction et pour qu’il aille de l’avant...
Le Phare
Kinshasa, 23/08/2011 / Politique
Selon M. James Entwistle, l’Ambassadeur des Etats-Unis en Rdc, avec un peu d’aide, les Congolais sont capables de gérer leurs élections.
Récemment, l’Ambassadeur des Etats-Unis en RDC, Son Excellence Mr. James Entwistle a présenté devant une audience au Wilson Center Washington DC la position, officielle des Etats-Unis quant aux préparatifs, processus, et certification des résultats des Elections de Novembre 2011.
Lors de son allocution au Wilson Center à Washington, l’Ambassadeur des Etats-Unis en RDC, Mr. James Entwistyle s’est insurgé contre les voix réclament que la Communauté Internationale conduise et certifie les élections le 28 novembre en RDC.
Cette logique dit-il, entrave l’idée selon laquelle les Congolais sont incapables de conduire et certifier eux-mêmes leurs élections, je suis totalement contre cette idée a-t-il fermement souligné.
L’Ambassadeur poursuit à ce que l’Amérique et la Communauté Internationale devrait plutôt faire c’est d’apporter à ces Congolais braves et dévoués les ressources, la formation et tous les moyens nécessaires pour leur permettre de conduire leurs élections ».
Les Etats-Unis d’Amérique par ailleurs, a-t-il ajouté, par le biais de l’agence de Coopération Internationale Américaine pour le développement, USAID en sigle, a déjà mis à la disposition du Gouvernement Congolais 12 millions de dollars dédiés à l’éducation civique, à la formation et aux équipements spécialisés de police pour la sécurisation du processus de vote.
L’Ambassadeur a noté que, l’Amérique, qui a, déjà contribué financièrement à hauteur de 1/3 pour l’exercice de la Monusco de même (1/3) dans le soutien logistique des forces de ladite Monusco.
Il a de même déclaré que les Congolais ont, et continuent de développer les capacités de gérer eux-mêmes, leurs propres élections. Pour ce faire, il est donc logique que la Communauté Internationale apporte un soutien moins important qu’en 2006.
« Si la contribution de la Communauté Internationale s’élève au même niveau que celle de 2006 cela sous-entendrait que la Communauté Internationale et les USA ont failli à leur mission d’accompagner la RDC à aller de l’avant et à se reconstruire...
Nous avons confiance que les observateurs Electoraux Congolais offriront au monde entier l’assurance la plus authentique que le résultat des élections reflète « avec certitude ce qui s’est passé aux urnes », a-t-il ajouté.
L’Ambassadeur poursuit en disant que malgré le fait que le processus a connu des difficultés techniques et logistiques au début du processus, la RDC a enrôlé plus de 32 millions de votants « ceci est un accomplissement profondément significatif compte tenu des défis historiques et actuels qu’a connu et que continue de connaître la RDC »...
Il dit de même que, pour des élections crédibles en RDC, il faudra de la transparence, des campagnes électorales ouvertes et équilibrées. L’Ambassadeur espère ainsi, que les acteurs concernés signeront la proposition du Code de Bonne Conduite.
Des élections transparentes signifient : « un environnement dans lequel les candidats battent campagne, les électeurs votent, les votes sont comptabilisés et les résultats sont proclamés dans un processus ouvert et transparent... Les candidats devraient être capables de voyager et battre campagne librement, sans harcèlement ni intimidation ...
Egalement, avoir un accès neutre et équilibré sur les ondes nationales dans un environnement où les medias travaillent sans harcèlement ni intimidation. Aussi, les femmes et les hommes devraient avoir un accès égal au processus.
De plus l’Ambassadeur a insisté sur le fait que le comportement des Candidats Perdants représentera « un outil, primordial de mesures de développement de la démocratie »...
L’idéal de la Théorie des Elections suggère que les candidats perdants acceptent le résultat et se rangent derrière le gagnant pour l’intérêt de la nation.
En faisant cela, ils expriment un appui pour le processus démocratique et de toute façons ils pourront se représenter aux prochaines élections, a-t-il ajouté.
L’Ambassadeur a déclaré que la majorité des Congolais avec- lesquels il s’est entretenu sont convaincus que dans 5 ans il y aura d’autres élections en RDC. (Ceci me donne une raison d’avoir de l’espoir et de rester optimiste) que le Congo petit à petit se redresse de son passé violent et de son instabilité politique.
Et ceci a-t-il ajouté « rend de plus en plus difficile la tâche de tout leader, Homme politique et parti politique de s’éloigner de ce processus ».
L’Ambassadeur estime également que l’assistance pour la reforme en matière sécuritaire, l’aide aux victimes des violences sexuelles, les efforts pour l’assainissement du climat des affaires sont conduits avec l’idée des années de violence et conflit dans l’esprit.
« Toute politique Américaine au Congo est conçue pour que tout ce qui a été fait en RDC et à la RDC dans les années 90 et le début des années 2000 », (statistiquement années les plus sombres de la RDC depuis la 2ème guerre mondiale), n’arrivent plus jamais, de plus, assister le .... dans sa reconstruction et pour qu’il aille de l’avant...
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Re: Elections RDC 2011
RDC: A l’approche du 28 novembre 2011, l’opposition inquiète
Publié par La Rédaction, le 23 août 2011 dans Actualité, La une, Spécial Elections · 0 Commentaire ·
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a rendu public la semaine dernière le calendrier réaménagé des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011. S’agissant du dépôt des candidatures, il ne reste plus que 14 jours aux différents postulants pour se présenter dans les bureaux de réception, de traitement des candidatures (BRTC) ouverts à travers le pays pour y déposer leurs dossiers. A la veille de l’échéance de cette opération fixée au 5 septembre, l’opinion ne cesse de s’interroger sur l’organisation pour le choix d’un candidat commun à l’élection présidentielle. A ce propos, les différents leaders des partis politiques de cette famille politique ne cessent de clamer urbi et orbi que l’opposition doit désigner un seul candidat pour réunir plus de chances pour une victoire sur le candidat de la majorité présidentielle. Lors de la sortie officielle de l’Union des forces du changement (UFC), Léon Kengo wa Dondo a insisté sur l’impérieuse nécessité pour l’opposition de se serrer les coudes. Il ne s’est pas prononcé sur son éventuelle candidature à la magistrature suprême, mais a appelé à une candidature commune de l’opposition.
Au cours de sa dernière conférence de presse tenue en sa résidence de la Gombe, Vital Kamerhe, président national de l’UNC, a démontré que depuis l’accession de la RDC à la souveraineté nationale et internationale, aucun parti politique n’a réussi seul à remporter la majorité. C’est toujours par le jeu des alliances que les politiciens parviennent à se constituer une majorité a-t-il affirmé en substance. A titre illustratif, il a cité le cas de Patrice Emery Lumumba qui en dépit de son charisme, n’a obtenu que quelques sièges à l’Assemblée nationale, ce qui l’a contraint à s’allier au PSA et à d’autres partis de son obédience pour créer la majorité à l’Assemblée nationale issue de premières élections démocratiques de 1960.
Face à une telle réalité qui caractérise l’univers politique rd-congolais, Vital Kamerhe a réitéré sa position exprimée à maintes reprises à savoir : l’organisation des concertations pour l’adoption d’un programme commun de gouvernement et la désignation d’un seul candidat susceptible de bien exécuter ledit programme. Humble, il s’est dit disposé à aller vers son aîné Tshisekedi pour aborder cette cruciale question.
De son côté, Etienne Tshisekedi a beaucoup changé son discours. Lui qui se considérait autrefois comme le seul attitré à représenter l’opposition a mis suffisamment d’eau dans son vin. Lors de son périple katangais après son séjour en Europe et aux Etats-Unis tout comme dans son meeting au stade des Martyrs, le » Lider Maximo » n’a cessé d’appeler à la coalition des forces du changement en vue d’une alternance en RDC. Il est sans doute rendu compte qu’il peut avoir beau drainer des foules immenses partout où il a été accueilli, cette liesse populaire ne constitue pas une assurance pour une victoire électorale. Ce qui justifie cet appel à l’unité de l’opposition.
Débat responsable
Mais en dépit de tous ses discours de bonne intention, rien de concret n’est fait alors que le temps ne doit pas s’arrêter pour attendre l’opposition. En principe, c’est M. Tshisekedi en qualité de doyen d’âge qui doit prendre l’initiative de convoquer ce forum de l’opposition. Ce serait une erreur fatale de sa part de considérer ses pairs comme ses dépendants qui devraient aller solliciter une audience dans son bureau de Limete. En politique, il ne faut pas minimiser l’autre surtout lorsqu’on se trouve dans un même camp. Car une seule voix peut faire basculer la victoire dans le camp adverse.
Tshisekedi est souvent reproché de ne pas tenir compte des ambitions de ses partenaires politiques qui, faut-il le rappeler, n’ont pas embrassé cette voie pour servir des enfants de chœur à quiconque quelque soit son charisme. Après expérience de la CNS, certains continuent à le » craindre « . Il lui revient d’organiser un débat franc, sincère et responsable avec les autres leaders de l’opposition pour comprendre leurs préoccupations et leurs desiderata. Mais s’il veut s’enfermer dans sa tour d’ivoire, il portera sans doute la lourde responsabilité de l’échec de l’opposition. Ici échec s’entend comme l’impossibilité de se concerter et trouver un candidat de compromis.
Pour l’opinion nationale, le scrutin présidentiel du 28 novembre n’aura de vraie valeur que lorsqu’il s’agira d’opérer un choix entre deux de nombreux vertébrés de la scène politique rd-congolaise. Or, dans le camp de la majorité où la discipline est de fer, Joseph Kabila est soutenu par tous les partis politiques. Pas de discordance dans cette famille. Tous sont derrière Joseph Kabila C’est pourquoi, pour l’intérêt de notre démocratie, l’opposition ferait œuvre en s’accordant autour d’un candidat commun pour affronter celui de la majorité. Le suspens sera ainsi là le jour du vote. Mais si l’opposition va en ordre dispersé, le verdict des urnes sera connu avant même les élections. Beaucoup de Congolais risquent de ne pas aller voter, ce qui enlèverait à cette joute électorale toute sa substance. Le taux de participation risque d’être faible. Ce qui peut réduire davantage le degré de légitimité du futur président élu.
Pour nous éviter toutes ces cogitations et une élection mascarade, les acteurs politiques de l’opposition sont obligés de se ressaisir. Qu’ils fassent vite parce que le temps courts très vitre.
Rombaut Ot.
Publié par La Rédaction, le 23 août 2011 dans Actualité, La une, Spécial Elections · 0 Commentaire ·
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a rendu public la semaine dernière le calendrier réaménagé des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011. S’agissant du dépôt des candidatures, il ne reste plus que 14 jours aux différents postulants pour se présenter dans les bureaux de réception, de traitement des candidatures (BRTC) ouverts à travers le pays pour y déposer leurs dossiers. A la veille de l’échéance de cette opération fixée au 5 septembre, l’opinion ne cesse de s’interroger sur l’organisation pour le choix d’un candidat commun à l’élection présidentielle. A ce propos, les différents leaders des partis politiques de cette famille politique ne cessent de clamer urbi et orbi que l’opposition doit désigner un seul candidat pour réunir plus de chances pour une victoire sur le candidat de la majorité présidentielle. Lors de la sortie officielle de l’Union des forces du changement (UFC), Léon Kengo wa Dondo a insisté sur l’impérieuse nécessité pour l’opposition de se serrer les coudes. Il ne s’est pas prononcé sur son éventuelle candidature à la magistrature suprême, mais a appelé à une candidature commune de l’opposition.
Au cours de sa dernière conférence de presse tenue en sa résidence de la Gombe, Vital Kamerhe, président national de l’UNC, a démontré que depuis l’accession de la RDC à la souveraineté nationale et internationale, aucun parti politique n’a réussi seul à remporter la majorité. C’est toujours par le jeu des alliances que les politiciens parviennent à se constituer une majorité a-t-il affirmé en substance. A titre illustratif, il a cité le cas de Patrice Emery Lumumba qui en dépit de son charisme, n’a obtenu que quelques sièges à l’Assemblée nationale, ce qui l’a contraint à s’allier au PSA et à d’autres partis de son obédience pour créer la majorité à l’Assemblée nationale issue de premières élections démocratiques de 1960.
Face à une telle réalité qui caractérise l’univers politique rd-congolais, Vital Kamerhe a réitéré sa position exprimée à maintes reprises à savoir : l’organisation des concertations pour l’adoption d’un programme commun de gouvernement et la désignation d’un seul candidat susceptible de bien exécuter ledit programme. Humble, il s’est dit disposé à aller vers son aîné Tshisekedi pour aborder cette cruciale question.
De son côté, Etienne Tshisekedi a beaucoup changé son discours. Lui qui se considérait autrefois comme le seul attitré à représenter l’opposition a mis suffisamment d’eau dans son vin. Lors de son périple katangais après son séjour en Europe et aux Etats-Unis tout comme dans son meeting au stade des Martyrs, le » Lider Maximo » n’a cessé d’appeler à la coalition des forces du changement en vue d’une alternance en RDC. Il est sans doute rendu compte qu’il peut avoir beau drainer des foules immenses partout où il a été accueilli, cette liesse populaire ne constitue pas une assurance pour une victoire électorale. Ce qui justifie cet appel à l’unité de l’opposition.
Débat responsable
Mais en dépit de tous ses discours de bonne intention, rien de concret n’est fait alors que le temps ne doit pas s’arrêter pour attendre l’opposition. En principe, c’est M. Tshisekedi en qualité de doyen d’âge qui doit prendre l’initiative de convoquer ce forum de l’opposition. Ce serait une erreur fatale de sa part de considérer ses pairs comme ses dépendants qui devraient aller solliciter une audience dans son bureau de Limete. En politique, il ne faut pas minimiser l’autre surtout lorsqu’on se trouve dans un même camp. Car une seule voix peut faire basculer la victoire dans le camp adverse.
Tshisekedi est souvent reproché de ne pas tenir compte des ambitions de ses partenaires politiques qui, faut-il le rappeler, n’ont pas embrassé cette voie pour servir des enfants de chœur à quiconque quelque soit son charisme. Après expérience de la CNS, certains continuent à le » craindre « . Il lui revient d’organiser un débat franc, sincère et responsable avec les autres leaders de l’opposition pour comprendre leurs préoccupations et leurs desiderata. Mais s’il veut s’enfermer dans sa tour d’ivoire, il portera sans doute la lourde responsabilité de l’échec de l’opposition. Ici échec s’entend comme l’impossibilité de se concerter et trouver un candidat de compromis.
Pour l’opinion nationale, le scrutin présidentiel du 28 novembre n’aura de vraie valeur que lorsqu’il s’agira d’opérer un choix entre deux de nombreux vertébrés de la scène politique rd-congolaise. Or, dans le camp de la majorité où la discipline est de fer, Joseph Kabila est soutenu par tous les partis politiques. Pas de discordance dans cette famille. Tous sont derrière Joseph Kabila C’est pourquoi, pour l’intérêt de notre démocratie, l’opposition ferait œuvre en s’accordant autour d’un candidat commun pour affronter celui de la majorité. Le suspens sera ainsi là le jour du vote. Mais si l’opposition va en ordre dispersé, le verdict des urnes sera connu avant même les élections. Beaucoup de Congolais risquent de ne pas aller voter, ce qui enlèverait à cette joute électorale toute sa substance. Le taux de participation risque d’être faible. Ce qui peut réduire davantage le degré de légitimité du futur président élu.
Pour nous éviter toutes ces cogitations et une élection mascarade, les acteurs politiques de l’opposition sont obligés de se ressaisir. Qu’ils fassent vite parce que le temps courts très vitre.
Rombaut Ot.
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Re: Elections RDC 2011
Katanga: élections, pas d’engouement pour le dépôt des candidatures à Lubumbashi
http://radiookapi.net/actualite/2011/08 ... ubumbashi/

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Re: Elections RDC 2011
Par rapport à l'absence de candidature pour l'instant, je suis ravi car ca me montre que cette fois, on aura pas des gens qui tentent juste leur chance.
Par rapport au propos de l'ambassadeur américain, je suis vraiment inquiet car ils risque de dire la même chose si kabila triche aux élections.on dirait qu'ils ont déjà choisi leur candidat!!! Ah oui les USA choisissent toujours leur candidat à l'avance. Lequel pour le Congo?
Par rapport au propos de l'ambassadeur américain, je suis vraiment inquiet car ils risque de dire la même chose si kabila triche aux élections.on dirait qu'ils ont déjà choisi leur candidat!!! Ah oui les USA choisissent toujours leur candidat à l'avance. Lequel pour le Congo?
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Re: Elections RDC 2011
ils sont souvent au gouvernement pour assurer leurs arrière, ils ont besoin d'argent pour le fonctionnement de leurs partis voila pourquoi certains projet ne voit pas le jour. c'est ça la cause les accords qu'il signe nuitamment.wantanshi a écrit :C'est vrai que ce sont les accords kilométriques des candidats qui les mettent en difficulté une fois au pouvoir (cfr JK). Mais il faut que ses accords se fassent par rapport à un programme commun et qu'il y ait une ligne de conduite. En sorte qu'on ait plus un premier ministre qui dort pendant deux ans à la primaturetony yave a écrit :Je toujours pose cette question à tous les Congolais qui veut voir JK dehors, donnez moi un Nom pour mettre la RDC en marche, c'est trop facile de tous mettre sur lui y a de la volonté pour certains de nos président Africain mais ils sont souvent mal entoure et pris dans leurs propre piège avec les accords qu'ils signent souvent avec les partis politique et hommes politique.
Imagine un peu que Étienne soit investi comme le candidat de l'opposition mais il faut qu'il soit reconnaissant en vers eux, leurs donner les postes au gouvernement et dans les poste clefs et ceux même personne qui viendront foutre du bordel au sein du gouvernement et dans les bons projets je ne soutiens pas JK mais!!!Autrement, on le met à la porte! L'objectif premier devrait être l'avancement du pays et non les intérêts des dirigeants... Lorsqu'un parti se permet de proposer un ministre fictif parce qu'il a participé à l'élection du président de la République et n'est pas sanctionné, ça devient grave et catastrophique !!!
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