Le rwandais "Joseph Kabila" a encore enlevé Diomi Ndongala
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Le rwandais "Joseph Kabila" a encore enlevé Diomi Ndongala
http://www.cheikfitanews.net/article-de ... 36355.html
Mardi 9 avril 2013
Dérive totalitaire en RD Congo. Diomi Ndongala enlevé de nouveau!
Selon un sms en provenance de la MPP, majorité présidentielle populaire, et nous parvenu le 8 avril 2013 peu avant minuit, monsieur Diomi Ndongala, a été enlevé à Kinshasa.
Monsieur Diomi Ndongala est un opposant farouche au système politique congolais qui se cramponne toujours au pouvoir depuis le hold-up électoral de novembre 2011. Jusqu’à ce jour, monsieur Diomi Ndongala réclame la vérité des urnes. Il avait été enlevé en 2012 puis libéré à la veille du sommet de la Francophonie de Kinshasa.
Quand on pense à ce qui était arrivé à Floribert Chebeya puis à Armand Tungulu, lorsqu’il y a enlèvement d’un homme politique en RD Congo, il faut toujours s’inquiéter. Le pouvoir judiciaire étant instrumentalisé à outrance.
Nous attendons plus de précisions.
Cheik FITA
Bruxelles, le 9 avril 2013
Mardi 9 avril 2013
Dérive totalitaire en RD Congo. Diomi Ndongala enlevé de nouveau!
Selon un sms en provenance de la MPP, majorité présidentielle populaire, et nous parvenu le 8 avril 2013 peu avant minuit, monsieur Diomi Ndongala, a été enlevé à Kinshasa.
Monsieur Diomi Ndongala est un opposant farouche au système politique congolais qui se cramponne toujours au pouvoir depuis le hold-up électoral de novembre 2011. Jusqu’à ce jour, monsieur Diomi Ndongala réclame la vérité des urnes. Il avait été enlevé en 2012 puis libéré à la veille du sommet de la Francophonie de Kinshasa.
Quand on pense à ce qui était arrivé à Floribert Chebeya puis à Armand Tungulu, lorsqu’il y a enlèvement d’un homme politique en RD Congo, il faut toujours s’inquiéter. Le pouvoir judiciaire étant instrumentalisé à outrance.
Nous attendons plus de précisions.
Cheik FITA
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Re: Le rwandais "Joseph Kabila" a encore enlevé Diomi Ndonga
Dérive totalitaire en RD Congo. Diomi Ndongala enlevé de nouveau!
par mpp le 9 avril 2013
Dérive totalitaire en RD Congo. Diomi Ndongala enlevé de nouveau!
Selon un sms en provenance de la MPP, majorité présidentielle populaire, et nous parvenu le 8 avril 2013 peu avant minuit, monsieur Diomi Ndongala, a été enlevé à Kinshasa.
Monsieur Diomi Ndongala est un opposant farouche au système politique congolais qui se cramponne toujours au pouvoir depuis le hold-up électoral de novembre 2011. Jusqu’à ce jour, monsieur Diomi Ndongala réclame la vérité des urnes. Il avait été enlevé en 2012 puis libéré à la veille du sommet de la Francophonie de Kinshasa.
Quand on pense à ce qui était arrivé à Floribert Chebeya puis à Armand Tungulu, lorsqu’il y a enlèvement d’un homme politique en RD Congo, il faut toujours s’inquiéter. Le pouvoir judiciaire étant instrumentalisé à outrance.
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Bruxelles, le 9 avril 2013
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Communiqué de la Démocratie Chrétienne du 08/04/2013
FLASH : LE COLONEL KANYAMA VIENT D’ ENLEVER DIOMI NDONGALA
par mpp le 8 avril 2013
MISE A JOUR A 02H50
NOUS VENONS DE RECEVOIR LE TEMOIGNAGE DE L AGENT DE SECURITE MAMBA QUI VIENT D ETRE LIBERE: LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA EST BLESSE AU BRAS ET IL SERAIT DETENU AUX SERVICES SPECIAUX PRES PRES DE IEC. NI SON AVOCAT NI LA MONUSCO N ONT PU LE RENCONTRER.
**********************************************************************************
22H50 DU 08/04/2013
LE COLONEL KANYAMA A LA TETE DE 20 POLICIERS VIENT D ENLEVER SANS MANDAT A 22H19 AU CENTRE CANA LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA. LES POLICIERS ONT BRUTALISE LE PERSONNEL DE CANA ET PARTICULIEREMENT LES RECEPTIONISTES POUR DEMANDER OU SE TROUVAIT DIOMI NDONGALA. IL L ONT PRIS DE FORCE ET L ONT AMENE VERS UNE DESTINATION INCONNUE. L AGENT DE SECURITE MAMBA QUI ETAIT A LA PORTE DU CENTRE A ETE AUSSI ENLEVE. LA FAMILLE DIOMI ET LA DEMOCRATIE CHRETIENNE EXPRIMENT DES VIVES CRAINTES POUR L INTEGRITE PHYSIQUE DU DEPUTE DIOMI NDONGALA ET DEMANDENT A TOUS LES CONGOLAIS EPRIS DE JUSTICE DE SE MOBILISER CONTRE CET HARCELEMENT POLITICO-JUDICIARE QUI VIT LE DISSIDENT DIOMI NDONGALA DEPUIS DESORMAIS PLUSIEURS ANNEES
par mpp le 9 avril 2013
Dérive totalitaire en RD Congo. Diomi Ndongala enlevé de nouveau!
Selon un sms en provenance de la MPP, majorité présidentielle populaire, et nous parvenu le 8 avril 2013 peu avant minuit, monsieur Diomi Ndongala, a été enlevé à Kinshasa.
Monsieur Diomi Ndongala est un opposant farouche au système politique congolais qui se cramponne toujours au pouvoir depuis le hold-up électoral de novembre 2011. Jusqu’à ce jour, monsieur Diomi Ndongala réclame la vérité des urnes. Il avait été enlevé en 2012 puis libéré à la veille du sommet de la Francophonie de Kinshasa.
Quand on pense à ce qui était arrivé à Floribert Chebeya puis à Armand Tungulu, lorsqu’il y a enlèvement d’un homme politique en RD Congo, il faut toujours s’inquiéter. Le pouvoir judiciaire étant instrumentalisé à outrance.
Nous attendons plus de précisions.
Cheik FITA
Bruxelles, le 9 avril 2013
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Communiqué de la Démocratie Chrétienne du 08/04/2013
FLASH : LE COLONEL KANYAMA VIENT D’ ENLEVER DIOMI NDONGALA
par mpp le 8 avril 2013
MISE A JOUR A 02H50
NOUS VENONS DE RECEVOIR LE TEMOIGNAGE DE L AGENT DE SECURITE MAMBA QUI VIENT D ETRE LIBERE: LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA EST BLESSE AU BRAS ET IL SERAIT DETENU AUX SERVICES SPECIAUX PRES PRES DE IEC. NI SON AVOCAT NI LA MONUSCO N ONT PU LE RENCONTRER.
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22H50 DU 08/04/2013
LE COLONEL KANYAMA A LA TETE DE 20 POLICIERS VIENT D ENLEVER SANS MANDAT A 22H19 AU CENTRE CANA LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA. LES POLICIERS ONT BRUTALISE LE PERSONNEL DE CANA ET PARTICULIEREMENT LES RECEPTIONISTES POUR DEMANDER OU SE TROUVAIT DIOMI NDONGALA. IL L ONT PRIS DE FORCE ET L ONT AMENE VERS UNE DESTINATION INCONNUE. L AGENT DE SECURITE MAMBA QUI ETAIT A LA PORTE DU CENTRE A ETE AUSSI ENLEVE. LA FAMILLE DIOMI ET LA DEMOCRATIE CHRETIENNE EXPRIMENT DES VIVES CRAINTES POUR L INTEGRITE PHYSIQUE DU DEPUTE DIOMI NDONGALA ET DEMANDENT A TOUS LES CONGOLAIS EPRIS DE JUSTICE DE SE MOBILISER CONTRE CET HARCELEMENT POLITICO-JUDICIARE QUI VIT LE DISSIDENT DIOMI NDONGALA DEPUIS DESORMAIS PLUSIEURS ANNEES
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Re: Le rwandais "Joseph Kabila" a encore enlevé Diomi Ndonga
Diomi Ndongala bras cassé, tabassé et enlevé par colonel Kanyama : son épouse témoigne
http://banamikili.skyrock.com/315479661 ... a-son.html
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Re: Le rwandais "Joseph Kabila" a encore enlevé Diomi Ndonga
http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7920
Arbitraire :
Diomi Ndongala "enlèvé" par la police politique de "Joseph Kabila"
Sur la photo: Eugène Diomi Ndongala est à droite d’Etienne Tshisekedi
Dans un communiqué diffusé, mardi 9 avril, à 0h20, Rigobert Kuta, annonce l’arrestation du député national Eugène Diomi Ndongala. Celui-ci est, par ailleurs, porte-parole de la "Majorité présidentielle populaire", un cartel des partis qui soutient Etienne Tshisekedi wa Mulumba.
Selon ce communiqué, Eugène Diomi Ndangala, président de la Démocratie chrétienne (DC), "a été enlevé à Kinshasa depuis 22H30 par le service de sécurité congolaise et la police nationale". Il serait détenu "dans le cachot du Camp Lufungula" où se trouve le tristement célèbre quartier général de la police nationale. "Sa vie est danger", souligne le communiqué.
Que reproche-t-on à cet opposant politique proche d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba? L’auteur de ces lignes a joint au téléphone, mardi 9 avril, à 11h48, le général Charles Bisengimana, patron ad intérim de la police nationale. But : obtenir la réponse à cette épineuse question. Réponse du policier : "Veuillez poser la question au parquet général de la République. C’est là que se trouve Diomi Ndongala".
Selon une source bien informée, le président de la DC a bel et bien passé la nuit du lundi dans une cellule miteuse du Camp Lufungula. "Il a été transféré mardi matin, vers 8 heures, au parquet général de la République". Selon la même source, l’arrestation de ce parlementaire aurait été opérée sous la direction du colonel Kanyama Bilolo sur la base d’un mandat d’arrêt émis ...le 28 janvier dernier.
Selon Rigobert Kuta, le vendredi 5 avril, le secrétaire général de la "Démocratie chrétienne" a animé un point de presse au cours duquel, il a dénoncé le maintien en détention de deux membres de cette formation politique. Diomi avait prévu de tenir une conférence de presse ce mardi à l’hôtel Canan.
"Le jeu du chat et de la souris"
Diomi Ndongala et la police politique de "Joseph Kabila" jouent au "chat et à la souris" depuis que le premier a choisi de soutenir jusqu’au bout Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Et ce dès lendemain des élections législatives et présidentielle du 28 novembre 2011. A l’instar des millions d’autres Congolais, cet opérateur politique est convaincu que le leader de l’UDPS est le véritable vainqueur de ce scrutin présidentiel. Autrement dit, "Joseph Kabila" lui a volé sa "victoire".
Elu député national du district kinois de la Funa, Diomi s’est abstenu de rejoindre l’hémicycle de l’Assemblée nationale conformément au mot donné par "Tshitshi". Le samedi 23 juin 2012, l’homme organisait un office religieux à la cathédrale Notre Dame «pour soutenir» les forces loyalistes déployées au Nord Kivu face aux mutins du M23. L’invité-vedette de cette manifestation n’était autre que Tshisekedi qui a été chaleureusement applaudi. Pour la petite histoire, le président de l’UDPS se trouvait, depuis janvier, en "résidence surveillée" de facto. C’est au cours de cette célébration qu’aurait germé l’idée de mettre sur pieds une plateforme dénommée la "Majorité présidentielle populaire" (MPP). La charte de cette organisation devait être signée le mercredi 27 juin au même endroit. C’est le jour choisi par la police politique de "Joseph Kabila" pour "enlever" Diomi. Le 17 juillet, le procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, demandait au président de l’Assemblée nationale la levée de l’immunité parlementaire de ce député «en vue de permettre d’exercer des poursuites judiciaires à sa charge devant la juridiction compétente du chef de viol (…)».
Près de quatre mois après sa "disparition", c’est un Diomi barbu qui fait sa réapparition le 11 octobre. Selon ses premières déclarations, il a été déposé par des «inconnus» à quelques mètres du Centre supérieur militaire à Binza Ozone. Des agissements inimaginables dans un Etat qui s’est affublé de l’épithète "démocratique" et où le pluralisme politique est consacré dans la Constitution.
Le vendredi 28 décembre, Diomi Ndongala décide de se rendre à Brazzaville via le Beach Ngobila. A sa grande surprise, il est interpellé par des agents de l’ANR (Agence nationale de renseignements) agissant «sur ordre de la haute hiérarchie». Personne ne prend la peine de lui notifier les motifs de son arrestation qui va durer plusieurs heures. Dépendant directement de la Présidence de la République - pour ne pas dire de "Joseph Kabila -, les agents de l’ANR se considèrent au-dessus des lois. Aucun magistrat ne peut exercer un quelconque droit de regard sur leurs activités.
Incapables de prévenir l’irruption des Maï Maï Ba Kata Katanga le 23 mars dernier à Lubumbashi, les "hommes" de Kalev Mutond ont choisi la facilité en s’acharnant sur un acteur politique non-armé dont le "crime" est d’avoir des convictions politiques contraires à celles de "Joseph Kabila". Dans le communiqué précité, Kuta prévient que "la majorité présidentielle populaire tiendra le régime de Kabila pour responsable de tout ce qui pourrait arriver à Monsieur Eugène Diomi Ndongala". Affaire à suivre.
B.A.W
© Congoindépendant 2003-2013
Arbitraire :
Diomi Ndongala "enlèvé" par la police politique de "Joseph Kabila"
Sur la photo: Eugène Diomi Ndongala est à droite d’Etienne Tshisekedi
Dans un communiqué diffusé, mardi 9 avril, à 0h20, Rigobert Kuta, annonce l’arrestation du député national Eugène Diomi Ndongala. Celui-ci est, par ailleurs, porte-parole de la "Majorité présidentielle populaire", un cartel des partis qui soutient Etienne Tshisekedi wa Mulumba.
Selon ce communiqué, Eugène Diomi Ndangala, président de la Démocratie chrétienne (DC), "a été enlevé à Kinshasa depuis 22H30 par le service de sécurité congolaise et la police nationale". Il serait détenu "dans le cachot du Camp Lufungula" où se trouve le tristement célèbre quartier général de la police nationale. "Sa vie est danger", souligne le communiqué.
Que reproche-t-on à cet opposant politique proche d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba? L’auteur de ces lignes a joint au téléphone, mardi 9 avril, à 11h48, le général Charles Bisengimana, patron ad intérim de la police nationale. But : obtenir la réponse à cette épineuse question. Réponse du policier : "Veuillez poser la question au parquet général de la République. C’est là que se trouve Diomi Ndongala".
Selon une source bien informée, le président de la DC a bel et bien passé la nuit du lundi dans une cellule miteuse du Camp Lufungula. "Il a été transféré mardi matin, vers 8 heures, au parquet général de la République". Selon la même source, l’arrestation de ce parlementaire aurait été opérée sous la direction du colonel Kanyama Bilolo sur la base d’un mandat d’arrêt émis ...le 28 janvier dernier.
Selon Rigobert Kuta, le vendredi 5 avril, le secrétaire général de la "Démocratie chrétienne" a animé un point de presse au cours duquel, il a dénoncé le maintien en détention de deux membres de cette formation politique. Diomi avait prévu de tenir une conférence de presse ce mardi à l’hôtel Canan.
"Le jeu du chat et de la souris"
Diomi Ndongala et la police politique de "Joseph Kabila" jouent au "chat et à la souris" depuis que le premier a choisi de soutenir jusqu’au bout Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Et ce dès lendemain des élections législatives et présidentielle du 28 novembre 2011. A l’instar des millions d’autres Congolais, cet opérateur politique est convaincu que le leader de l’UDPS est le véritable vainqueur de ce scrutin présidentiel. Autrement dit, "Joseph Kabila" lui a volé sa "victoire".
Elu député national du district kinois de la Funa, Diomi s’est abstenu de rejoindre l’hémicycle de l’Assemblée nationale conformément au mot donné par "Tshitshi". Le samedi 23 juin 2012, l’homme organisait un office religieux à la cathédrale Notre Dame «pour soutenir» les forces loyalistes déployées au Nord Kivu face aux mutins du M23. L’invité-vedette de cette manifestation n’était autre que Tshisekedi qui a été chaleureusement applaudi. Pour la petite histoire, le président de l’UDPS se trouvait, depuis janvier, en "résidence surveillée" de facto. C’est au cours de cette célébration qu’aurait germé l’idée de mettre sur pieds une plateforme dénommée la "Majorité présidentielle populaire" (MPP). La charte de cette organisation devait être signée le mercredi 27 juin au même endroit. C’est le jour choisi par la police politique de "Joseph Kabila" pour "enlever" Diomi. Le 17 juillet, le procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, demandait au président de l’Assemblée nationale la levée de l’immunité parlementaire de ce député «en vue de permettre d’exercer des poursuites judiciaires à sa charge devant la juridiction compétente du chef de viol (…)».
Près de quatre mois après sa "disparition", c’est un Diomi barbu qui fait sa réapparition le 11 octobre. Selon ses premières déclarations, il a été déposé par des «inconnus» à quelques mètres du Centre supérieur militaire à Binza Ozone. Des agissements inimaginables dans un Etat qui s’est affublé de l’épithète "démocratique" et où le pluralisme politique est consacré dans la Constitution.
Le vendredi 28 décembre, Diomi Ndongala décide de se rendre à Brazzaville via le Beach Ngobila. A sa grande surprise, il est interpellé par des agents de l’ANR (Agence nationale de renseignements) agissant «sur ordre de la haute hiérarchie». Personne ne prend la peine de lui notifier les motifs de son arrestation qui va durer plusieurs heures. Dépendant directement de la Présidence de la République - pour ne pas dire de "Joseph Kabila -, les agents de l’ANR se considèrent au-dessus des lois. Aucun magistrat ne peut exercer un quelconque droit de regard sur leurs activités.
Incapables de prévenir l’irruption des Maï Maï Ba Kata Katanga le 23 mars dernier à Lubumbashi, les "hommes" de Kalev Mutond ont choisi la facilité en s’acharnant sur un acteur politique non-armé dont le "crime" est d’avoir des convictions politiques contraires à celles de "Joseph Kabila". Dans le communiqué précité, Kuta prévient que "la majorité présidentielle populaire tiendra le régime de Kabila pour responsable de tout ce qui pourrait arriver à Monsieur Eugène Diomi Ndongala". Affaire à suivre.
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Re: Le rwandais "Joseph Kabila" a encore enlevé Diomi Ndonga
MUTEBUZI RIZIKI avril 9, 2013 at 9:58
AH!! JOSEPH KABILA SAIGNE LES CONGOLAIS
KUTINO, MOKIA, AUJOURD’HUI C’EST DIOMI KIE KIE KIE
AH!! JOSEPH KABILA SAIGNE LES CONGOLAIS
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Re: Le rwandais "Joseph Kabila" a encore enlevé Diomi Ndonga
http://www.cheikfitanews.net/article-no ... 60938.html
Mardi 9 avril 2013
Nouvel enlèvement de Diomi Ndongala à Kinshasa: Récit
Nous avons annoncé le nouvel enlèvement de Diomi Ndongala le lundi 8 avril 2013 à Kinshasa.
Voici, par monsieur Rigobert Kuta, le récit de cet enlèvement, et ce qui est advenu à monsieur Diomi Ndongala, en ce mardi 9 avril 2013.
Rigobert Kuta est président du parti politique congolais « Pareso », et représentant extérieur de la MPP, « majorité présidentielle populaire », plate-forme qui soutient le Président Tshisekedi.
Cheik FITA
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Mardi 9 avril 2013
Nouvel enlèvement de Diomi Ndongala à Kinshasa: Récit
Nous avons annoncé le nouvel enlèvement de Diomi Ndongala le lundi 8 avril 2013 à Kinshasa.
Voici, par monsieur Rigobert Kuta, le récit de cet enlèvement, et ce qui est advenu à monsieur Diomi Ndongala, en ce mardi 9 avril 2013.
Rigobert Kuta est président du parti politique congolais « Pareso », et représentant extérieur de la MPP, « majorité présidentielle populaire », plate-forme qui soutient le Président Tshisekedi.
Cheik FITA
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Re: Le rwandais "Joseph Kabila" a encore enlevé Diomi Ndonga
aah le pauvre
Moke moke ndeke a tongana zala naye.
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Re: Le rwandais "Joseph Kabila" a encore enlevé Diomi Ndonga
...
C'est tout simplement une démonstration de force!
C'est tout simplement une démonstration de force!
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