La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...

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#1 Mbata 03-09-2012 16:33

Lambert -Kafar :Ce sont les rwandais , oh non ,il faut d'abort verifier.
Il y eu des accords communs ,oh non,c'est une exfiltration.
on avait organisé une ceremonie pour leur dire au revoir.
On s'etonne qu'ils soient encore là.
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#2 Elkabong 03-09-2012 17:57

pas seulement qu,ils sont là mais ils sont intégré dans l'armée national avec grade commandement et tout! allez comprendre quelque chose, Didier Etumba peut tu dois nous dire quelque chose?
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Message par Ilunga »

Rediffusion : Spécial Emission avec le lieutenant-général John Tshibangu et son officier de renseignement

http://www.congomikili.com/radio-congom ... tshibangu/
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Message par Ilunga »

Analyse du prof. Kalele Kabila sur l’ affaire du comité de sanction contre le Rwanda


Le comité de sanction de l’ ONU a entendu le Rwanda et la RDC sur l’ agression de la RDC par les pilleurs des richesses congolais, avec le fond de commerce qui est le FDLR. Est-ce que l’ ONU va finalement prendre des sanctions pour que le Rwanda puisse rester tranquillement dans son petit pays? Voici l’ analyse du professeur Kalele.

http://www.congomikili.com/analyse-du-p ... le-rwanda/
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http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... 4:le-phare



Accord secret Kinshasa-Kigali ou pas L'aveu des Rwandais trouble les Congolais
MARDI, 04 SEPTEMBRE 2012 16:18




La révélation des officiels rwandais sur la présence de leurs soldats à Rutshuru, dans le Nord-Kivu, depuis janvier 2009, a jeté un profond trouble dans les esprits de nombreux congolais. L'aveu est d'autant brutal qu'il intervient dans un contexte où le Rwanda continue de nier son appui militaire, logistique et financier aux rebelles du M23, en guerre contre les FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) depuis le mois d'avril 2012.

Que cette occupation prolongée d'une partie du territoire congolais relève d'un accord secret ou pas entre Kinshasa et Kigali, il est difficile de faire foi aux informations officielles en circulation dans les deux, capitales au sujet de la situation sécuritaire du Nord-Kivu.

L'alerte de la Société Civile du Nord-Kivu ignorée par Kinshasa

S'il y a un reproche à faire aux décideurs politiques et militaires congolais, c'est celui d'avoir donné l'impression de ne pas prendre au sérieux les alertes aux bruits de bottes émanant des autochtones du Nord-Kivu. En effet, bien avant le déclenchement de la rébellion du Mouvement du 23 Mars 2009, la Société Civile de cette province avait répertorié une dizaine cas d'assassinats et 18 cas d'enlèvement de civils dans plusieurs territoires et villes signé par des éléments appartenant à des forces négatives, nationales comme étrangères.

Elle signalait aussi des défections en série d'officiers et soldats venus du CNDP (Congrès National pour la Défense du Peuple) des rangs des FARDC. Identifiés comme des éléments rwandophones dans leur majorité, les déserteurs quittaient en réalité l'armée nationale pour se mettre à la disposition du général Bosco Ntaganda, officier supérieur encore en fonctions visé par un mandat d'arrêt international de la CPI (Cour Pénale Internationale) et devenu méfiant à l'égard de ses anciens protecteurs à Kinshasa. Dans un rapport trimestriel rendu public le 10 mai 201.2, soit dix jours après le déclenchement des hostilités par le M23, cette fois sous le commandement du colonel rwandais Ruzandiza alias Sultani Makenga, la même Société Civile en appelait à un prompt réveil de Kinshasa « Le gouvernement devrait tout mettre en oeuvre pour décourager une nouvelle guerre qui s'observe dans le Nord-Kivu », insistait-elle, « en démantelant les groupes armés, en arrêtant ceux qui font la défection au sein de l'armée et en décourageant tous ceux qui sont en train de déstabiliser la paix et la quiétude des Nord-Kivutiens ».

Et de poursuivre : « mais aussi, qu'on dote les services et forces de sécurité des moyens conséquents pour sécuriser les populations des territoires et villes de la province ». Il est dommage qu'un tel cri de détresse n'ait pas reçu d'écho en retour au moment opportun. Ainsi, la situation sécuritaire a continué à pourrir dans cette partie de la République. Tant et si bien que lorsque les FARDC ont lancé la contre-offensive, les mutins étaient solidement installés dans leur « jardin », à Rutshuru et ses environs.

Pourquoi n'avait-on pas réagi pendant que le feu de la rébellion couvait encore ? Pourquoi a-t-on laissé au général Bosco Ntaganda et au colonel Sultani Makenga le temps de battre le rappel d'officiers et soldats rwandophones « mixés» dans les différentes unités des FARDC basées au Nord et Sud-Kivu?

Infiltrés rwandais incontrôlables chez les FARDC?

La question que de nombreux Congolais se posent est de savoir s'il est encore possible de connaître le nombre exact de soldats et officiers rwandais ayant infiltré les FARDC à la faveur des accords du 23 mars 2009 ayant intégré automatique au sein de cet instrument de notre défense nationale. Qui peut certifier que le contingent rwandais cantonné à Rutshuru entre janvier 2009 et août 2012 n'était composé que de 350 soldats ? Qui peut affirmer qu'ils ont réellement retraversé la frontière comme ils étaient venu, avec l'aval du gouvernement congolais, selon la partie rwandaise, ou dans l'anarchie la plus totale, à en croire le porte-parole du gouvernement congolais, qui parle d'une « exfiltration déguisée » ?

Les autorités civiles et militaires congolaises peuvent-elles garantir à nos compatriotes que les ex-combattants du CNDP présumés encore fidèles à l'armée régulière et que l'on est occupé à dispatcher dans les garnisons militaires disséminées à travers le territoire national n'ont pas reçu mission, le moment venu, de nous poignarder de nouveau dans le dos ? Pourquoi cherche-t-on à s'encombrer d'éléments douteux alors que l'armée nationale regorge de milliers d'officiers et soldats réellement patriotes, prêts à sacrifier leur sang pour la défense du drapeau national ?

Il est temps, à la lumière du sombre feuilleton du Nord-Kivu, que la hiérarchie militaire revisite le projet d'accord avec Cobra Matata, ce colonel mutin accusé de renforcer sa milice avec des éléments du M23 en provenance de la province voisine du Nord-Kivu. Si l'on y prend garde, plusieurs régiments des FARDC en formation en Province Orientale risquent de se transformer en « maisons de placement » des soldats et officiers rwandais. Et chacun peut deviner la suite. Les écuries des FARDC doivent être correctement nettoyées au risque de subir de nouveaux coups fourrés.

Kimp
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Retrait des troupes rwandaises de Rutshuru L'Opposition exige un débat de vérité au Parlement
MARDI, 04 SEPTEMBRE 2012 16:17




L'Opposition politique congolaise vient de hausser le ton à la suite de la récente déclaration du ministre rwandais de la Défense, James Kabarebe, faisant état du retrait, du Nord-Kivu, des troupes de son pays stationnées au Congo depuis 2009, à l'insu du peuple congolais.

Réunis hier lundi 3 septembre 2012 au CEPAS, Mwenze Kongolo, Lisanga Bonganga, Ewanga, Rémy Massamba, Bitakwira et d'autres membres de leur famille politique ont affirmé ne plus avoir de doute sur la trahison dont le pays est victime dans la guerre actuelle de l'Est, de la part de ses gouvernants. Aussi tiennent-ils à voir clair dans les causes réelles de la nouvelle agression armée de la RDC par les pays de Paul Kagame et Yoweri Museveni. Ils en appellent à l'éclatement de la vérité vraie dans un débat public à organiser au Parlement et, ce, dès la rentrée de septembre. Dans leur déclaration lue par le député Rémy Massamba, ces acteurs politiques ont martelé que l'élément déclencheur de la guerre qui sévit à l'Est du pays est le fameux accord signé entre le gouvernement de la République et le CNDP (Congrès National pour la Défense du Peuple) le 23 mars 2009.

Ils ont soutenu que cet accord, dont le contenu a été délibérément caché tant aux institutions de la République qu'à la population congolaise; avait permis le déploiement sur le territoire national des troupes rwandaises et ougandaises chargées officiellement de traquer les FDLR et les autres forces dites négatives. Ces opposants ont fait remarquer que le pouvoir en place a opéré une mise en place en faveur de seuls officiers complices du Rwanda quelques mois après avoir annoncé le retrait de ces troupes étrangères du territoire national, suite aux protestations de la population, victime de cette occupation étrangère.

«La mise en place de ces officiers dans la chaîne de commandement au sein de l'armée, de la police, des services de sécurité, à partir du Nord-Katanga jusqu'en Ituri, et d'une manière plus subtile dans, les autres provinces, a affaibli la RDC face à ses voisins de l'Est qui ne jurent que par sa balkanisation », ont-ils souligné.

Tout en s'indignant de la déclaration du ministre rwandais de la Défense, l'Opposition politique rappelle que le gouvernement avait en son temps affirmé que toutes les troupes étrangères avaient réellement quitté le pays et que la dégradation sécuritaire à l'Est était le fait des rivalités entre communautés locales. Ils ont pointé du doigt le porte-parole du gouvernement qui avait déclare, dans une de ses interventions dans les médias, que les éléments armés rwandais que la Monusco avait capturés sur le terrain des opérations n'étaient pas de l'armée rwandaise. Il s'agissait plutôt d'une simple manipulation.

Somme toute, l'Opposition exige un dialogue national franc, convaincue que la seule initiative du gouvernement ne peut pas aboutir.

Tout en rejetant en bloc le déploiement de la force internationale neutre de nature à concrétiser, selon cette famille politique la balkanisation du pays, elle propose la requalification du mandat de la Monusco, en tenant des dispositions du Chapitre VII.

S'agissant de la décision du président français, François Hollande, de prendre part au 14ème sommet de la Francophonie, l'opposition a déploré le fait que l'actuel locataire de l'Elysée a privilégié des considérations autres que les valeurs contenues dans la Chatte de l'Organisation Internationale de la Francophonie.

Toutefois, ces opposants ont promis de faire parvenir au « Président normal », par les voies officielles, leur cahier de charges quant à ce et décideront, le moment venu, de l'opportunité de le rencontrer ou non.

Eric WEMBA
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http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... :congonews




Les opposants accusent Joseph Kabila de haute trahison
Mardi, 04 Septembre 2012 15:16





Kigali a réussi son coup, si son intention était de mettre Joseph Kabila en difficulté à l'intérieur.

Ses dernières déclarations sur le retrait des troupes rwandaises de la province du Nord-Kivu ont renforcé l'idée selon laquelle des accords secrets ont été conclus avec Kinshasa. Du coup, l'opposition déjà très critique envers le régime sur la guerre de l'Est a franchi le rubicond pour exiger la destitution de Joseph Kabila. Kabila que les opposants accusent de «haute trahison» dans une déclaration lue à l'issue d'une réunion organisée, le 3 septembre, au centre catholique Cepas. La déclaration porte la signature de Jean-Bertrand Ewanga, secrétaire général de l'UNC de Vital Kamerhe, Jean-Pierre Lisanga Bonganga et autres. Les opposants promettent d'amener la question dans la salle de congrès du Palais du peuple. La prochaine session parlementaire, la session budgétaire, s'annonce donc très chaude. (Lire ci-dessous la déclaration de l'opposition en intégralité)

MATTHIEU KEPA
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Confirmation: le collabos Roger Lumbala arrêté au Burundi après avoir fait alliance avec le M23


Monsieur Roger LUMBALA TSHITENGE aurait fait 2 séjours successifs au Rwanda. Il aurait été interpellé le 1er septembre 2012 par la Sécurité burundaise. Après sa garde-à-vue, il aurait été placé en résidence surveillée à Bujumbura, où il aurait réussi à s'enfuir pour se réfugier à l'ambassade de l'Afrique du Sud à Bujumbura.
A ce jour, suivant la coopération judiciaire entre l'Afrique du Sud et la RDC, il serait en voie d'être extradé devant l'autorité congolaise pour haute trahison. Plus aucun Etat, membre de la SADC, ne veut plus soutenir des actes terroristes dans la région. Affaire à suivre.

http://banamikili.skyrock.com/311258455 ... avoir.html
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http://www.reveil-fm.com/index.php/2012 ... -assassine




16 janvier 2001: Sur conseil de Paul Kagamé, Bill Clinton téléphone M'zée Victor Mpoyo et lui propose Joseph Kabila pour succéder à M'zée Laurent-Désiré Kabila assassiné
Par Freddy Mulongo, mardi 4 septembre 2012 à 17:06 :: radio :: #2839 :: rss

Onze ans après l'assassinat de M'zée Laurent-Désiré Kabila, troisième Président de la République démocratique du Congo, aucun avancé sur son assassinat, 50 suspects, condamnés au terme d'un procès expéditif, croupissent toujours au Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa (CPRK), ex-prison de Makala. Le 16 janvier 2001, dans la mi-journée, des coups de feu retentissent dans l'enceinte du Palais de Marbre, résidence du président Laurent-Désiré Kabila. RFI (Radio France International) parle de "quelque chose de très grave" qui s'est passé au palais présidentiel à Kinshasa. La rumeur, principale source d'information dans la capitale congolaise, se met en marche. C'est Louis Michel "Big Loulou", ministre Belge des Affaires étrangères, qui le premier, intervenant sur les antennes de la radio mondiale, citant des sources crédibles à Kinshasa, annonce successivement la mort de Kabila des suites des balles tirées par un de ses gardes du corps.


La statue de M'zée Laurent-Désiré Kabila devant le palais de la nation à Kinshasa. Photo Réveil FM, archives

Kinshasa admet la fusillade mais dit que Kabila a été blessé et évacué à l'étranger pour des soins appropriés. Le Zimbabwe, principal allié du gouvernement congolais annonce le décès du président avant de se rétracter. Le 18 janvier 2001 à 20 H00, le gouvernement congolais annonce à la télévision nationale, par la bouche du ministre de la communication, Dominique Sakombi Inongo "Buka Lokuta", la mort de M'zée Laurent-Désiré Kabila survenue ce jour là (18 janvier 2001) dans un hôpital de Harare au Zimbabwe. Le président aurait eu le temps de laisser un testament que lira magistralement le ministre de la communication.



Joseph Kabila, usurpateur des voix des congolais à l'élection présidentielle du 28 novembre 2011, peine depuis 11 ans à convaincre sa filiation avec M'zée Laurent-Désiré Kabila. Photo Réveil-FM, archives

Toujours à Kinshasa, ce 16 janvier 2001, à la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC, chaîne étatique) les émissions continuent normalement jusqu'à ce qu'apparais à l'écran le colonel Eddy Kapend, aide de camp du chef de l'Etat. Les yeux hagards, les lèvres sèches, sur un ton sec et autoritaire, l'aide de camps du chef de l'Etat se présente : "(…) c'est le colonel Eddy Kapend qui vous parle de Kinshasa, capitale de la République (…). Il ordonne à toute la hiérarchie militaire, citée nommément, de maintenir les troupes au calme et de fermer toutes les frontières du pays. Sur les raisons de cette déclaration aux allures d'un putsch, le colonel Eddy Kapend ne dit rien. Il promet des informations supplémentaires pour plus tard. Il ne réapparaîtra plus à l'écran si ce n'est, le 23 janvier 2001, dans la garde d'honneur lors des funérailles officielles du président Kabila.



Sur conseil de Paul Kagamé, Bill Clinton en fin mandat a introduit un cheval de troie à la tête de la République démocratique du Congo: Joseph Kabila.

Le même 16 janvier 2001 dans la soirée, Bill Clinton, le quarante-deuxième président des États-Unis qui est en fin de son second mandat, sur instigation, de Paul Kagamé, le président rwandais, téléphone à M'zée Victor Mpoyo et lui propose Joseph Kabila pour remplacer M'zée Laurent-Désiré Kabila assassiné. Raison évoquée: Pour éviter la course au pouvoir, Joseph Kabila est jeune, il a besoin d'être encadré et cela sera une continuité comme c'est le fils qui remplace le père ! Lorsque les M'zéeïstes: Gaëtan Kakuji, ministre d'Etat chargé des Affaires intérieures, dans l'ordre protocolaire, est, en effet, le numéro deux du régime; Mwenze Kongolo, minstre de la justice; Abdoulaye Yerodia qui devint par la suite le pleureur de la République, Théophile Bemba Fundu etc..C'est M'zée Victor Mpoyo, ministre d'Etat chargé du pétrole qui réussit sans beaucoup de peine à avaliser et à convaincre les autres sur la proposition de Bill Clinton dans le choix de Joseph Kabila. Ce dernier, jusque-là chef de l'armée de terre, est rappelé de Lubumbashi pour succéder à M'zée Laurent-Désiré Kabila. Avant même son introduction, Joseph Kabila foulera le tapis réservé aux Chefs d'Etat, pour régagner Kinshasa. Des Zimbabwéens assurent sa protection dès son arrivée à Kinshasa, tandis que des unités congolaises sont désarmées.

Pourquoi Bill Clinton a-t-il appelé M'zée Victor Mpoyo plutôt qu'un autre ?

Richissime, Pierre Victor Mpoyo est un vrai patriote congolais. En 1997, il sera, aux côtés de M'zée Laurent-Désiré Kabila, le principal artisan financier et logistique de la chute du régime du maréchal Mobutu, dont il fut un inlassable opposant. Il a ramené sa fortune personnelle et a financé l'Afdl pour chasser Mobutu du pouvoir. C'est avec son argent, qu'on a financé la sortie du franc congolais et payé les militaires et les fonctionnaires. En 1998, c'est lui qui a sollicité l'intervention des militaires Angolais, Zimbabwéens et Namibiens pour contraindre l'agression Ougando-Burundo-Rwandaise. Cet échec Museveni Kanguta de l'Ouganda et Paul Kagamé du Rwanda n'ont jamais pardonné Pierre Victor Mpoyo. Sa voix compte en ce 16 janvier 20001. Non assoiffé du pouvoir, les Angolais lui disent c'est maintenant ou jamais, il réfuse et les Américains savent aussi qu'il souffre de la maladie de Parkinson. Bill Clinton va jouer sur la fibre paternelle de Victor Mpoyo sur Joseph Kabila pour avaliser ce choix saugrénu. Surtout que Joseph Kabila passait son temps à la résidence de M'zée Victor Mpoyo pour quémander plusieurs services et l'appui auprès du président de la République, M'zée Laurent-Désiré Kabila.

Anguille sous roche ! Le Rwanda vient de réussir son infiltration et d'introduire son cheval de troie à la tête de la République démocratique du Congo. Car au fait Joseph Kabila est sous le contrôle de James Kabarebe et de Paul Kagmé. Un vrai punch contre la République démocratique du Congo.



M'zée Pierre Victor Mpoyo, un patriote congolais. Photo Réveil FM, archives

Quelques jours, après l'investiture de Joseph Kabila comme Président de la République démocratique du Congo, M'zée Victor Mpoyo sera nommé ministre d'Etat sans porteuille et il sera envoyé pour soins en Europe avec un billet aller simple. Depuis, il a pris ses distances avec le pouvoir de Kinshasa. Si M'zée Laurent-Désiré Kabila a été assassiné le 16 janvier 2001, qui a ordonné à l’avocat de la République démocratique du Congo de retirer la plainte déposée contre le Rwanda à la Cour internationale de Justice (CIJ), par lettre télécopiée, datée du 15 janvier 2001?

La Cour internationale de Justice (CIJ) est l’organe judiciaire principal de l’Organisation des Nations Unies (ONU). Elle a été instituée en juin 1945 par la Charte des Nations Unies et a entamé son activité en avril 1946.

La Cour a son siège au Palais de la Paix, à La Haye (Pays-Bas). C’est le seul des six organes principaux des Nations Unies à ne pas avoir son siège à New York (Etats-Unis d’Amérique).

La mission de la Cour est de régler, conformément au droit international, les différends d’ordre juridique qui lui sont soumis par les Etats et de donner des avis consultatifs sur les questions juridiques que peuvent lui poser les organes et les institutions spécialisées de l’Organisation des Nations Unies autorisés à le faire.

La Cour se compose de quinze juges, qui sont élus pour un mandat de neuf ans par l’Assemblée générale et le Conseil de sécurité des Nations Unies. Elle est assistée du Greffe, son organe administratif. Ses langues officielles sont le français et l’anglais.

En 1998, les soldats rwandais ont été chassés de la République démocratique du Congo, c'est depuis janvier 2001 que Paul Kagamé, dirige par procuration la République démocratique du Congo. Ne pas vouloir le dire ni le voir, c'est faire preuve de naïveté. Le 30 juin 2010, lors des festivités du cinquantenaire du Congo, Joseph Kabila a contraint les personnalités présentes y compris Albert II, roi des Belges, d'attendre Paul Kagamé, qui est arrivé avec deux heurs de retard!

Déjà début février 2001, Joseph Kabila faisait une tournée remarquée en Europe (Belgique, France), puis les Etats-Unis, où il rencontra Georges Bush avec Paul kagamé.



2 févier 2001, George Bush s'entretient à Washington avec Joseph Kabila, Thabo Mbengi (Afrique du Sud) et Paul Kagamé (Rwanda). Photo Réveil FM, archives

En février 2004, Joseph Kabila effectue un voyage officiel en Belgique. Lors de son allocution au Sénat belge il fait l'éloge de la colonisation belge : « L'histoire de la République démocratique du Congo, c'est aussi celle des Belges, missionnaires, fonctionnaires et entrepreneurs qui crurent au rêve du Roi Léopold II de bâtir, au centre de l'Afrique, un État. Nous voulons rendre hommage à la mémoire de tous ces pionniers. » Cette prise de position lui a été reprochée et ses propos qualifiés de « révisionnistes ».

Depuis onze ans qu'il trône à la tête de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila a commis plusieurs actes de "haute trahison" contre le Congo.
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...

Message par Erka »

Il y a cette vidéo du départ des troupes rwandaises de la RDC, rien qu'avec ceci Mende et son chef devraient présenter leur démission.
http://www.youtube.com/watch?v=ROtn6qjU ... ture=share
Président du LUZOLA, association des Luvumbistes et des Distelistes convaincus
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