La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... 4:le-phare
Guerre de l’Est : Les Eglises interdisent tout dialogue avec le Rwanda
VENDREDI, 13 JUILLET 2012 13:01
Trois jours après la déclaration de la CENCO (Conférence épiscopale nationale du Congo) lue par son Secrétaire général intitulée «Non à la balkanisation de la RD Congo», c’est au tour de toutes les confessions religieuses congolaises de réagir à la guerre d’agression que le Rwanda impose injustement à la mère patrie.
Réunis dans la salle de conférences internationales du Centre interdiocésain catholique, hier jeudi l2juilletdans l’après-midi, les dirigeants de toutes les confessions religieuses congolaises ont fait une déclaration devant la presse pour protester avec fermeté contre l’agression rwandaise.
A travers la même déclaration, ils ont lancé une pétition pour réveiller le peuple congolais en le mobilisant pour qu’il prenne conscience du danger qui guette la nation. Sans le moindre détour et dans un langage clair comme l’eau de source, les chefs religieux du Congo demandent dans cette pétition intitulée «Le Peuple congolais exige la répression des crimes commis par le Rwanda en République démocratique du Congo» à la communauté internationale, notamment aux Nations Unies de condamner le Rwanda pour son agression contre la Rdc, et de prendre tine résolution portant arrestation et poursuites judiciaires contre tous les criminels de guerre au Congo cités nommément dans les différents rapports des Nations Unies. Ils exigent dans le même document le rejet de la candidature du Rwanda au poste de membre non permanent du Conseil de sécurité de l’Onu pour le compte de l’Afrique.
Après avoir exigé de la répression des crimes commis par le Rwanda en Rdc et autres sanctions contre ce pays pour la déstabilisation récurrente de son voisin, les chefs religieux rejettent toute idée de négociation avec le Rwanda dont l’agression contre le Congo est avérée. «Dé tout ce qui précède, nous nous opposons à toutes formes de négociations avec les éternels criminels ainsi qu’à toute tentative dé balkanisation du territoire de la République Démocratique du Congo», concluent-ils.
Signée par tous les représentants des confessions religieuses bien connues au Congo, à l’instar des églises catholique romaine, orthodoxe, protestante, islamique, salutiste, kimbanguiste, des églises de réveil et indépendantes..., la pétition est adressée au Secrétaire général des Nations unies, au Conseil de Sécurité ainsi qu’aux membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Dom
Guerre de l’Est : Les Eglises interdisent tout dialogue avec le Rwanda
VENDREDI, 13 JUILLET 2012 13:01
Trois jours après la déclaration de la CENCO (Conférence épiscopale nationale du Congo) lue par son Secrétaire général intitulée «Non à la balkanisation de la RD Congo», c’est au tour de toutes les confessions religieuses congolaises de réagir à la guerre d’agression que le Rwanda impose injustement à la mère patrie.
Réunis dans la salle de conférences internationales du Centre interdiocésain catholique, hier jeudi l2juilletdans l’après-midi, les dirigeants de toutes les confessions religieuses congolaises ont fait une déclaration devant la presse pour protester avec fermeté contre l’agression rwandaise.
A travers la même déclaration, ils ont lancé une pétition pour réveiller le peuple congolais en le mobilisant pour qu’il prenne conscience du danger qui guette la nation. Sans le moindre détour et dans un langage clair comme l’eau de source, les chefs religieux du Congo demandent dans cette pétition intitulée «Le Peuple congolais exige la répression des crimes commis par le Rwanda en République démocratique du Congo» à la communauté internationale, notamment aux Nations Unies de condamner le Rwanda pour son agression contre la Rdc, et de prendre tine résolution portant arrestation et poursuites judiciaires contre tous les criminels de guerre au Congo cités nommément dans les différents rapports des Nations Unies. Ils exigent dans le même document le rejet de la candidature du Rwanda au poste de membre non permanent du Conseil de sécurité de l’Onu pour le compte de l’Afrique.
Après avoir exigé de la répression des crimes commis par le Rwanda en Rdc et autres sanctions contre ce pays pour la déstabilisation récurrente de son voisin, les chefs religieux rejettent toute idée de négociation avec le Rwanda dont l’agression contre le Congo est avérée. «Dé tout ce qui précède, nous nous opposons à toutes formes de négociations avec les éternels criminels ainsi qu’à toute tentative dé balkanisation du territoire de la République Démocratique du Congo», concluent-ils.
Signée par tous les représentants des confessions religieuses bien connues au Congo, à l’instar des églises catholique romaine, orthodoxe, protestante, islamique, salutiste, kimbanguiste, des églises de réveil et indépendantes..., la pétition est adressée au Secrétaire général des Nations unies, au Conseil de Sécurité ainsi qu’aux membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Dom
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7411
La crise à l’est du pays : comment en terminer une fois pour toute ?
Mwamba Tshibangu
Depuis l’avènement de l’AFDL, l’est du pays est en ébullition. Un scénario catastrophique s’y est installé. La mémoire collective se rappellera des atrocités commises au jour le jour dans plusieurs localités de ces deux provinces. C’est devenu rituel et notoire que c’est qui devrait par ailleurs émouvoir et choquer les consciences est désormais classé au rang des faits divers. On en parle juste le temps nécessaire où les faits interviennent - dans ce cas - les tueries abominables ou les violations monstrueuses de nos mamans et de jeunes filles et puis, le problème est classé sans suite, sans aucun coupable, sans une condamnation. En fait, il tombe dans le règne des oubliettes où les fauteurs de ces troubles ricanent et se moquent des Congolais, dans leur ensemble.
Et pourtant la crise de l’est est un puzzle où il faut savoir replacer chaque morceau à sa place pour en comprendre la substance sinon le fondement. Pour cela, il faut faire marche arrière et voir ce phénomène sous un angle historique. Du temps de Mobutu qui a duré au pouvoir plus de trois décades, le petit Rwanda n’osait pas lever son doigt. C’était tout le contraire. Les dignitaires de ce pays s’appuyaient sur le pouvoir de Kinshasa pour conserver leur règne. Mzee Kabila arriva et avec lui, les loups dans la bergerie. Il avait pour mandat tacite d’appliquer les accords de Lemera. En bon nationaliste, sa conscience s’éveilla plus tard et il refusa de s’y soumettre. Ce fut le début de son calvaire politique qui l’amena par après à son assassinat.
Le règne de Mzee fut de courte durée, trois ans seulement. Toute l’histoire du pays a basculé dès lors que la passation du pouvoir fut opérée de manière rocambolesque. Un énigmatique personnage, ancien soldat de l’armée patriotique rwandaise dirigée par Kagame, fut placé à la tête du pays. Puisqu’il fallait trouver un cheval de Troie pour poursuivre la mission de réaliser pleinement les fameux accords de Lemera, Joseph Kabila, alias Hippolyte Kanambe, accepta volontiers de jouer ce jeu. Un jeu subtile, il faut le dire, mais qui se révèle au fil des jours de plus en plus clair. La balkanisation du pays en cours tire son fondement dans le maintien de la personne qui est à la tête du pays. Ceci expliquant cela, on peut comprendre aisément qu’en dépit de sa déconfiture sur le plan électoral, en 1996 d’abord et plus récemment encore en 2011, Joseph Kabila n’a daigné quitter le pouvoir. Pourquoi s’y accroche-t-il et quels seraient ces résultats éclatants à son actif qui justifieraient sa présence continue au plus perchoir de nos institutions ? À ce propos, où sont passés ceux qui le qualifiaient de « porteur d’espoir » pour le peuple congolais, de l’homme qui a « pacifié le pays » ?
Malheureusement, certains Congolais ont fait d’un problème majeur, essentiel pour la survie du pays et pour son bon fonctionnement, une question sentimentale voire tribale. Exiger à ce que l’on applique strictement le prescrit de la constitution pour accéder à la magistrature suprême était trop demander pour certaines personnes. Il rentre, nous semble-t-il, dans la normalité des choses de chercher à savoir exactement les origines de la personne qui doit conduire le destin de tout un peuple. Aux États-Unis, le groupe dit de « birthners » a continué inlassablement à harceler le président Obama jusqu’à le contraindre à exhiber le long certificat de naissance. Et son geste, de haute portée politique, avait du coup calmé le jeu et réduit à néant les ardeurs de ces fanatiques qui agissent aussi, il faut l’avouer, en racistes patentés. Cette analogie avec le cas d’Obama aux États-Unis nous ramène au problème central de la crise de l’est. Si celle-ci ne se dénoue pas en faveur de nos vaillants soldats qui sont par ailleurs sacrifiés à la carnification (boucherie) comme des bêtes à somme cela n’est pas le fruit du hasard. C’est un projet malicieux qui est en train de se réaliser avec la complicité de celui même qui devait être le garant de la république.
Il est important, en toute chose, que cela soit en situation de crise aiguë comme c’est le cas notamment des guerres successives à l’est du pays ou en situation normale, de savoir toujours dénouer le problème en s’attaquant non aux conséquences mais à ses causes réelles. Voila pourquoi, dans notre approche, nous continuons de marteler que le problème de bonne gouvernance est secondaire par rapport au problème central qui est d’ordre juridique c’est-à-dire, du droit tout court, et dans le cas d’espèce, du droit d’éligibilité. En d’autres termes, Joseph Kabila a-t-il, constitutionnellement, droit d’être éligible président de la république démocratique du Congo ? Répondre à cette question serait déjà le début de la solution. Car, un président qui a à cœur la protection de son pays aurait pu en 11 ans de règne mettre en place une armée républicaine digne de ce nom. Il aurait pu, devant la mise en exécution réitérée des agressions de notre pays par nos voisins de l’est, trouver une solution durable pour mettre hors d’état de nuire ces aventuriers de grand chemin et tueurs patentés. Tout cela n’a pas été fait de manière rationnelle. Au lieu des actions fortes et dissuasives, nous assistons chaque fois, choqués et ébahis, soit à la non réaction du « garant de la république » ou soit encore à une litanie de promesses qui ne sont jamais tenues.
Dans l’entre-temps, les gestes posés en âme et conscience dénotent une trahison certaine. Qui a déplacé le général Buza Mabe du Kivu à Kitona et pour cause ? Qui avait nommé successivement de simples soldats sans titres et histoires à des grades élevés dans l’armée ? Qui a soutenu et favorisé la politique de mixage et de brassage qui nous a conduit à l’infiltration massive et incontrôlée dans notre armée des personnes étrangères ? Qui a consenti aux troupes rwandaises de traverser notre frontière sans l’aval du parlement et moins encore du gouvernement ? Qui a soutenu et défendu mordicus la présence de Bosco Ntaganda à la tête de l’armée au Nord Kivu en dépit d’un mandat d’arrêt de la CPI ? Qui a ordonné de signer tous les contrats de paix, Kimia I et II, Amani leo etc ? Qui est le responsable numéro 1 de la déconfiture de nos troupes armées à Mushake il y a quelques années ? On pourrait continuer à poser des questions ou à soulever des doutes à l’infini sur les actes posés par Kabila. Mais cela ne résoudra rien si on ne les analyse pas pour en comprendre les velléités qui y sont cachés derrière. N’avait-il pas dit lui-même de le juger par ces œuvres ? Eh bien les résultats est là où nous en sommes arrivés, c’est-à-dire, à la phase finale du projet de la balkanisation du pays. Devant la pression continue de la diaspora et présageant un soulèvement populaire, les tireurs des ficelles ont enfourché double leur manœuvre se doutant de l’avenir qui guette leur pion placé à la tête du pays.
Pour dénouer cette crise de l’est qui n’en finit pas et qui humilie et blesse profondément tout le peuple congolais, il n’ y a pas deux ou trois solutions. Ce n’est non plus la mobilisation générale décrétée à la rescousse par le gouvernement fantoche de Matata Ponyo qui va arranger l’affaire. La solution, elle est une et une seule : commencer d’abord par remettre de l’ordre dans la maison commune. Les enfants d’une famille ne peuvent s’épanouir si l’obstruction et la volonté de les voir confiner dans le néant, dans la misère, dans la frivolité, viennent des parents. Cette situation peut continuer tant que les enfants sont mineurs et incapables d’agir. Mais, une fois devenus majeurs et aptes à agir ou à réagir, ils sont appelés à prendre leur destin en main. Le peuple congolais, avant même de chercher à s’en prendre aux agresseurs, est-il prêt à assumer ses responsabilités en remettant en question la personne qui est la cause de tous ses malheurs et du non développement dans lequel le pays est plongé depuis belle lurette en dépit des slogans creux et vides de sens ? C’est par-là, nous semble-t-il, qu’il faut commencer. Le reste suivra. Si les résultats des élections ont été escamotés, manipulés, détournés, falsifiés, au détriment du peuple congolais, quel autre voie nous reste-il pour récupérer notre souveraineté et notre dignité ?
Mwamba Tshibangu
© Congoindépendant 2003-2012
La crise à l’est du pays : comment en terminer une fois pour toute ?
Mwamba Tshibangu
Depuis l’avènement de l’AFDL, l’est du pays est en ébullition. Un scénario catastrophique s’y est installé. La mémoire collective se rappellera des atrocités commises au jour le jour dans plusieurs localités de ces deux provinces. C’est devenu rituel et notoire que c’est qui devrait par ailleurs émouvoir et choquer les consciences est désormais classé au rang des faits divers. On en parle juste le temps nécessaire où les faits interviennent - dans ce cas - les tueries abominables ou les violations monstrueuses de nos mamans et de jeunes filles et puis, le problème est classé sans suite, sans aucun coupable, sans une condamnation. En fait, il tombe dans le règne des oubliettes où les fauteurs de ces troubles ricanent et se moquent des Congolais, dans leur ensemble.
Et pourtant la crise de l’est est un puzzle où il faut savoir replacer chaque morceau à sa place pour en comprendre la substance sinon le fondement. Pour cela, il faut faire marche arrière et voir ce phénomène sous un angle historique. Du temps de Mobutu qui a duré au pouvoir plus de trois décades, le petit Rwanda n’osait pas lever son doigt. C’était tout le contraire. Les dignitaires de ce pays s’appuyaient sur le pouvoir de Kinshasa pour conserver leur règne. Mzee Kabila arriva et avec lui, les loups dans la bergerie. Il avait pour mandat tacite d’appliquer les accords de Lemera. En bon nationaliste, sa conscience s’éveilla plus tard et il refusa de s’y soumettre. Ce fut le début de son calvaire politique qui l’amena par après à son assassinat.
Le règne de Mzee fut de courte durée, trois ans seulement. Toute l’histoire du pays a basculé dès lors que la passation du pouvoir fut opérée de manière rocambolesque. Un énigmatique personnage, ancien soldat de l’armée patriotique rwandaise dirigée par Kagame, fut placé à la tête du pays. Puisqu’il fallait trouver un cheval de Troie pour poursuivre la mission de réaliser pleinement les fameux accords de Lemera, Joseph Kabila, alias Hippolyte Kanambe, accepta volontiers de jouer ce jeu. Un jeu subtile, il faut le dire, mais qui se révèle au fil des jours de plus en plus clair. La balkanisation du pays en cours tire son fondement dans le maintien de la personne qui est à la tête du pays. Ceci expliquant cela, on peut comprendre aisément qu’en dépit de sa déconfiture sur le plan électoral, en 1996 d’abord et plus récemment encore en 2011, Joseph Kabila n’a daigné quitter le pouvoir. Pourquoi s’y accroche-t-il et quels seraient ces résultats éclatants à son actif qui justifieraient sa présence continue au plus perchoir de nos institutions ? À ce propos, où sont passés ceux qui le qualifiaient de « porteur d’espoir » pour le peuple congolais, de l’homme qui a « pacifié le pays » ?
Malheureusement, certains Congolais ont fait d’un problème majeur, essentiel pour la survie du pays et pour son bon fonctionnement, une question sentimentale voire tribale. Exiger à ce que l’on applique strictement le prescrit de la constitution pour accéder à la magistrature suprême était trop demander pour certaines personnes. Il rentre, nous semble-t-il, dans la normalité des choses de chercher à savoir exactement les origines de la personne qui doit conduire le destin de tout un peuple. Aux États-Unis, le groupe dit de « birthners » a continué inlassablement à harceler le président Obama jusqu’à le contraindre à exhiber le long certificat de naissance. Et son geste, de haute portée politique, avait du coup calmé le jeu et réduit à néant les ardeurs de ces fanatiques qui agissent aussi, il faut l’avouer, en racistes patentés. Cette analogie avec le cas d’Obama aux États-Unis nous ramène au problème central de la crise de l’est. Si celle-ci ne se dénoue pas en faveur de nos vaillants soldats qui sont par ailleurs sacrifiés à la carnification (boucherie) comme des bêtes à somme cela n’est pas le fruit du hasard. C’est un projet malicieux qui est en train de se réaliser avec la complicité de celui même qui devait être le garant de la république.
Il est important, en toute chose, que cela soit en situation de crise aiguë comme c’est le cas notamment des guerres successives à l’est du pays ou en situation normale, de savoir toujours dénouer le problème en s’attaquant non aux conséquences mais à ses causes réelles. Voila pourquoi, dans notre approche, nous continuons de marteler que le problème de bonne gouvernance est secondaire par rapport au problème central qui est d’ordre juridique c’est-à-dire, du droit tout court, et dans le cas d’espèce, du droit d’éligibilité. En d’autres termes, Joseph Kabila a-t-il, constitutionnellement, droit d’être éligible président de la république démocratique du Congo ? Répondre à cette question serait déjà le début de la solution. Car, un président qui a à cœur la protection de son pays aurait pu en 11 ans de règne mettre en place une armée républicaine digne de ce nom. Il aurait pu, devant la mise en exécution réitérée des agressions de notre pays par nos voisins de l’est, trouver une solution durable pour mettre hors d’état de nuire ces aventuriers de grand chemin et tueurs patentés. Tout cela n’a pas été fait de manière rationnelle. Au lieu des actions fortes et dissuasives, nous assistons chaque fois, choqués et ébahis, soit à la non réaction du « garant de la république » ou soit encore à une litanie de promesses qui ne sont jamais tenues.
Dans l’entre-temps, les gestes posés en âme et conscience dénotent une trahison certaine. Qui a déplacé le général Buza Mabe du Kivu à Kitona et pour cause ? Qui avait nommé successivement de simples soldats sans titres et histoires à des grades élevés dans l’armée ? Qui a soutenu et favorisé la politique de mixage et de brassage qui nous a conduit à l’infiltration massive et incontrôlée dans notre armée des personnes étrangères ? Qui a consenti aux troupes rwandaises de traverser notre frontière sans l’aval du parlement et moins encore du gouvernement ? Qui a soutenu et défendu mordicus la présence de Bosco Ntaganda à la tête de l’armée au Nord Kivu en dépit d’un mandat d’arrêt de la CPI ? Qui a ordonné de signer tous les contrats de paix, Kimia I et II, Amani leo etc ? Qui est le responsable numéro 1 de la déconfiture de nos troupes armées à Mushake il y a quelques années ? On pourrait continuer à poser des questions ou à soulever des doutes à l’infini sur les actes posés par Kabila. Mais cela ne résoudra rien si on ne les analyse pas pour en comprendre les velléités qui y sont cachés derrière. N’avait-il pas dit lui-même de le juger par ces œuvres ? Eh bien les résultats est là où nous en sommes arrivés, c’est-à-dire, à la phase finale du projet de la balkanisation du pays. Devant la pression continue de la diaspora et présageant un soulèvement populaire, les tireurs des ficelles ont enfourché double leur manœuvre se doutant de l’avenir qui guette leur pion placé à la tête du pays.
Pour dénouer cette crise de l’est qui n’en finit pas et qui humilie et blesse profondément tout le peuple congolais, il n’ y a pas deux ou trois solutions. Ce n’est non plus la mobilisation générale décrétée à la rescousse par le gouvernement fantoche de Matata Ponyo qui va arranger l’affaire. La solution, elle est une et une seule : commencer d’abord par remettre de l’ordre dans la maison commune. Les enfants d’une famille ne peuvent s’épanouir si l’obstruction et la volonté de les voir confiner dans le néant, dans la misère, dans la frivolité, viennent des parents. Cette situation peut continuer tant que les enfants sont mineurs et incapables d’agir. Mais, une fois devenus majeurs et aptes à agir ou à réagir, ils sont appelés à prendre leur destin en main. Le peuple congolais, avant même de chercher à s’en prendre aux agresseurs, est-il prêt à assumer ses responsabilités en remettant en question la personne qui est la cause de tous ses malheurs et du non développement dans lequel le pays est plongé depuis belle lurette en dépit des slogans creux et vides de sens ? C’est par-là, nous semble-t-il, qu’il faut commencer. Le reste suivra. Si les résultats des élections ont été escamotés, manipulés, détournés, falsifiés, au détriment du peuple congolais, quel autre voie nous reste-il pour récupérer notre souveraineté et notre dignité ?
Mwamba Tshibangu
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
Regardez-moi ces inciviques
http://www.facebook.com/M23CongoRdc
Allez leur passer un message s'il vous plait ma tête va exploser de colère !
Nous sommes a la risée de tout le monde ! Même les plus cons des cons !





http://www.facebook.com/M23CongoRdc
Allez leur passer un message s'il vous plait ma tête va exploser de colère !
Nous sommes a la risée de tout le monde ! Même les plus cons des cons !
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. [Albert Einstein]
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
Kinshasa, Que pensent les kinois de la guerre à l’Est?
http://www.congomikili.com/que-pensent- ... re-a-lest/
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
Wantanshi a écrit :
"Regardez-moi ces inciviques
http://www.facebook.com/M23CongoRdc"
Tu oses les appeler des "inciviques" comme le fait Kanambe !! Appelle un chat un chat !! Ce sont des envahisseurs rwandais et point barre ! Ils n'ont rien de congolais !!
Je t'invite à lire cet article de Kwebe Kimpele, la guerre est aussi une guerre de sémantique mon gars !!
http://kongolibre.over-blog.com/article ... 32021.html
Samedi 14 juillet 2012
LA PREMIÈRE PIERRE DU TUTSILAND
La première pierre du tutsiland
ParKwebe Kimpele
Chers tous,
A force de recourir à une grille de compréhension totalement aberrante de la guerre qui ravage leur pays, tous les Bantous congolais sont frappés de stupéfaction. Venant de découvrir l'horrible vérité, ils expriment à haute voie leur surprise en découvrant, fort tardivement, le dessein caché derrière les terribles événements qui se déroulent dans leur pays depuis septembre 1996 à savoir, la création par le régime tutsi en place au Rwanda, d'un État dénommé "tutsiland" ou foyer national tutsi aux dépens du territoire congolais. La tragédie congolaise se révèle ainsi dans toute sa dimension ethnique mais il existe encore des individus frappés de cécité ou victimes de l'intoxication mentale des médias, qui refusent encore et toujours de voir l'identité réelle des personnages, tous des bourreaux, qui s'agitent sur la scène congolaise. Qu'il s'il s'agisse de Laurent Nkundabatware, de Jean-Bosco N'taganda, de Jules Mutebusi, de John Numbi, assassin de Chebeya, ou des leaders du mouvement M.23 qui n'est en réalité qu'une métastase du CNDP de Nkundabware, nous avons uniquement à faire à des officiers tutsis rwandais.
Totalement inconnus dans notre pays avant septembre 1996, ils sont venus au Congo pour œuvrer à la réalisation du plan de création d'un foyer national tutsi, appelé aussi "République des Volcans" ou encore "République de Virunga" au détriment du territoire congolais. En fait, le fameux projet remonte aux années 1962, dès le lendemain du génocide commis par les Hutus contre leurs compatriotes tutsis après le putsch militaire du hutu Grégoire Kayibanda. Les concepteurs du tutsiland, vieux rêve des Tutsis, ont pris le temps nécessaire pour le mûrir. Trente-deux ans après, ils pensent que leur heure a sonné. Il ne restait plus qu'à trouver le bon prétexte. L'alibi leur fut fourni en 1994, à la faveur des massacres inter-ethniques perpétrés au Rwanda entre les deux communautés ennemies. Tout ce qui s'est passé au Rwanda, à commencer par le génocide, visait en réalité l'invasion du Congo par les Tutsis rwandais et rien d'autre. Sous le fallacieux prétexte de poursuivre les "génocidaires hutus" réfugiés au Congo, les Tutsis ont investi notre pays, s'y sont installés à demeure en s'emparant des principaux rouages de l’État congolais, à commencer par l'armée. Désormais, une trentaine de généraux, de colonels et de lieutenants-colonels rwandais, exclusivement tutsis, occupent les plus hautes fonctions à la tête des FARDC, des régions militaires, des services de renseignements et de l’État-major. Tout ceci s'est passé à l'insu des Congolais, y compris de leurs hommes politiques, de leurs intellectuels, de leurs faiseurs d'opinion et de leur clergé, tous incapables de distinguer un compatriote d'un étranger, de discerner un Tutsi d'un Muntu.
Rien d'étonnant que , dans un bel ensemble, tout ce beau monde parle unanimement de "rébellions" et de "mutins" en faisant allusion au CNDP, au M.23, de Nkundabatware et de N'taganda, sans se douter le moins du monde que, ce disant, ils accordent a priori la nationalité congolaise à des Tutsis rwandais. De toute évidence, en plus d'une cécité rédhibitoire, les Bantous congolais souffrent également de graves lacunes en matière de sémantique. Comment osent-ils qualifier de "mutins" des officiers étrangers, aussi bien des points de vue national qu'ethnique?. Dans le même temps, des corps expéditionnaires opérant au Congo et dépêchés par l'armée rwandaise sont appelés des "rébellions". Mais où sont passés les linguistes congolais ? Et la pauvre MONUSCO dans tout ceci ?
Les événements de Rutshuru démontrent que les Tutsis viennent de poser la première pierre du tutsiland. Des correspondants des agences de presse et des envoyés spéciaux de médias occidentaux ont osé écrire que les forces d'agression s'étaient retirées d'elles-mêmes de ce territoire congolais.La nouvelle a fait le tour du monde et tout le monde y a prêté foi !! C'est à se demander pour quelle cause ces journalistes écrivent. Dans tous les cas, au Congo, ils n'exercent pas leur profession pour servir la vérité. Les soldats rwandais ayant pris Rutshuru ont tout simplement troqué leurs uniformes militaires contre des tenues civiles. D'autres ont revêtu des uniformes de la police. Ils se sont fondus dans la nature. Mais tout le monde est là, aux aguets, prêts à frapper. On est vraiment confondu devant la naïveté des gens. Comment ont-ils pu croire que les assaillants tutsis rwandais se sont immédiatement retirés d'eux-mêmes, sans y être forcés, après s'être emparés d'un objectif qui leur a coûté des larmes et du sang ? Décidément, l'appareil de propagande tutsie à travers le monde, notamment dans les médias, fonctionne à merveille.
A plus
"Regardez-moi ces inciviques
http://www.facebook.com/M23CongoRdc"
Tu oses les appeler des "inciviques" comme le fait Kanambe !! Appelle un chat un chat !! Ce sont des envahisseurs rwandais et point barre ! Ils n'ont rien de congolais !!
Je t'invite à lire cet article de Kwebe Kimpele, la guerre est aussi une guerre de sémantique mon gars !!
http://kongolibre.over-blog.com/article ... 32021.html
Samedi 14 juillet 2012
LA PREMIÈRE PIERRE DU TUTSILAND
La première pierre du tutsiland
ParKwebe Kimpele
Chers tous,
A force de recourir à une grille de compréhension totalement aberrante de la guerre qui ravage leur pays, tous les Bantous congolais sont frappés de stupéfaction. Venant de découvrir l'horrible vérité, ils expriment à haute voie leur surprise en découvrant, fort tardivement, le dessein caché derrière les terribles événements qui se déroulent dans leur pays depuis septembre 1996 à savoir, la création par le régime tutsi en place au Rwanda, d'un État dénommé "tutsiland" ou foyer national tutsi aux dépens du territoire congolais. La tragédie congolaise se révèle ainsi dans toute sa dimension ethnique mais il existe encore des individus frappés de cécité ou victimes de l'intoxication mentale des médias, qui refusent encore et toujours de voir l'identité réelle des personnages, tous des bourreaux, qui s'agitent sur la scène congolaise. Qu'il s'il s'agisse de Laurent Nkundabatware, de Jean-Bosco N'taganda, de Jules Mutebusi, de John Numbi, assassin de Chebeya, ou des leaders du mouvement M.23 qui n'est en réalité qu'une métastase du CNDP de Nkundabware, nous avons uniquement à faire à des officiers tutsis rwandais.
Totalement inconnus dans notre pays avant septembre 1996, ils sont venus au Congo pour œuvrer à la réalisation du plan de création d'un foyer national tutsi, appelé aussi "République des Volcans" ou encore "République de Virunga" au détriment du territoire congolais. En fait, le fameux projet remonte aux années 1962, dès le lendemain du génocide commis par les Hutus contre leurs compatriotes tutsis après le putsch militaire du hutu Grégoire Kayibanda. Les concepteurs du tutsiland, vieux rêve des Tutsis, ont pris le temps nécessaire pour le mûrir. Trente-deux ans après, ils pensent que leur heure a sonné. Il ne restait plus qu'à trouver le bon prétexte. L'alibi leur fut fourni en 1994, à la faveur des massacres inter-ethniques perpétrés au Rwanda entre les deux communautés ennemies. Tout ce qui s'est passé au Rwanda, à commencer par le génocide, visait en réalité l'invasion du Congo par les Tutsis rwandais et rien d'autre. Sous le fallacieux prétexte de poursuivre les "génocidaires hutus" réfugiés au Congo, les Tutsis ont investi notre pays, s'y sont installés à demeure en s'emparant des principaux rouages de l’État congolais, à commencer par l'armée. Désormais, une trentaine de généraux, de colonels et de lieutenants-colonels rwandais, exclusivement tutsis, occupent les plus hautes fonctions à la tête des FARDC, des régions militaires, des services de renseignements et de l’État-major. Tout ceci s'est passé à l'insu des Congolais, y compris de leurs hommes politiques, de leurs intellectuels, de leurs faiseurs d'opinion et de leur clergé, tous incapables de distinguer un compatriote d'un étranger, de discerner un Tutsi d'un Muntu.
Rien d'étonnant que , dans un bel ensemble, tout ce beau monde parle unanimement de "rébellions" et de "mutins" en faisant allusion au CNDP, au M.23, de Nkundabatware et de N'taganda, sans se douter le moins du monde que, ce disant, ils accordent a priori la nationalité congolaise à des Tutsis rwandais. De toute évidence, en plus d'une cécité rédhibitoire, les Bantous congolais souffrent également de graves lacunes en matière de sémantique. Comment osent-ils qualifier de "mutins" des officiers étrangers, aussi bien des points de vue national qu'ethnique?. Dans le même temps, des corps expéditionnaires opérant au Congo et dépêchés par l'armée rwandaise sont appelés des "rébellions". Mais où sont passés les linguistes congolais ? Et la pauvre MONUSCO dans tout ceci ?
Les événements de Rutshuru démontrent que les Tutsis viennent de poser la première pierre du tutsiland. Des correspondants des agences de presse et des envoyés spéciaux de médias occidentaux ont osé écrire que les forces d'agression s'étaient retirées d'elles-mêmes de ce territoire congolais.La nouvelle a fait le tour du monde et tout le monde y a prêté foi !! C'est à se demander pour quelle cause ces journalistes écrivent. Dans tous les cas, au Congo, ils n'exercent pas leur profession pour servir la vérité. Les soldats rwandais ayant pris Rutshuru ont tout simplement troqué leurs uniformes militaires contre des tenues civiles. D'autres ont revêtu des uniformes de la police. Ils se sont fondus dans la nature. Mais tout le monde est là, aux aguets, prêts à frapper. On est vraiment confondu devant la naïveté des gens. Comment ont-ils pu croire que les assaillants tutsis rwandais se sont immédiatement retirés d'eux-mêmes, sans y être forcés, après s'être emparés d'un objectif qui leur a coûté des larmes et du sang ? Décidément, l'appareil de propagande tutsie à travers le monde, notamment dans les médias, fonctionne à merveille.
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
Samedi 14 juillet 2012
JEAN-PIERRE MBELU : LA NATION EST EN PÉRIL, NE DORMONS PAS.
http://kongolibre.over-blog.com/article ... 31170.html
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
Ils sont a la fois Rwandais et Inciviques ! Quoi, les deux mots ne peuvent pas aller ensemble ?!Ilunga a écrit :
Tu oses les appeler des "inciviques" comme le fait Kanambe !! Appelle un chat un chat !! Ce sont des envahisseurs rwandais et point barre ! Ils n'ont rien de congolais !!
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. [Albert Einstein]
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
Wantanshi a écrit :
"Ils sont a la fois Rwandais et Inciviques ! Quoi, les deux mots ne peuvent pas aller ensemble ?!"
Non Monsieur ! Voilà que tu adoptes le langage ambigu de Kanambe : un incivique est qq part un citoyen, pcq la qualité première d'un citoyen c'est son sens du civisme...Or, employer ce terme en référence à des envahisseurs, non invités sur notre sol, est vraiment incroyable ! Ces gens sont des barbares, envahisseurs rwandais, qui violent, tuent, pillent et c'est pire que de l'incivisme ça !!! Pourquoi user d'un euphémisme dans ce cas de figure alors?
Voilà pourquoi je vous soupçonne de collaboration, de jouer le jeu de "Mwana ndeke", soi-disant "katangais" comme vous alors qu'il n'en est RIEN ! S'il permet à une élite katangaise de régner dans ce pays grâce au contrôle de l'appareil militaro-sécuritaire, sachez que vous, le peuple du Katanga, vous n'en profitez pas du tout, vous subissez la misère, l'humiliation par dessus le marché comme tous les congolais...
"Inciviques" ! kie kie kie kie kie...Tu adoptes le même langage que Kanambe pour éviter de désigner le Rwanda comme l'agresseur du Congo et ainsi, vous espérez comme Kanambe noyer le poisson et revêtir, colorer cette agression caractérisée en "mutinerie" de soldats congolais alors qu'il s'agit de l'armée rwandaise qui nous attaque !!!
La guerre est aussi une guerre sémantique, ça commence déjà par là !!!
"Ils sont a la fois Rwandais et Inciviques ! Quoi, les deux mots ne peuvent pas aller ensemble ?!"
Non Monsieur ! Voilà que tu adoptes le langage ambigu de Kanambe : un incivique est qq part un citoyen, pcq la qualité première d'un citoyen c'est son sens du civisme...Or, employer ce terme en référence à des envahisseurs, non invités sur notre sol, est vraiment incroyable ! Ces gens sont des barbares, envahisseurs rwandais, qui violent, tuent, pillent et c'est pire que de l'incivisme ça !!! Pourquoi user d'un euphémisme dans ce cas de figure alors?
Voilà pourquoi je vous soupçonne de collaboration, de jouer le jeu de "Mwana ndeke", soi-disant "katangais" comme vous alors qu'il n'en est RIEN ! S'il permet à une élite katangaise de régner dans ce pays grâce au contrôle de l'appareil militaro-sécuritaire, sachez que vous, le peuple du Katanga, vous n'en profitez pas du tout, vous subissez la misère, l'humiliation par dessus le marché comme tous les congolais...
"Inciviques" ! kie kie kie kie kie...Tu adoptes le même langage que Kanambe pour éviter de désigner le Rwanda comme l'agresseur du Congo et ainsi, vous espérez comme Kanambe noyer le poisson et revêtir, colorer cette agression caractérisée en "mutinerie" de soldats congolais alors qu'il s'agit de l'armée rwandaise qui nous attaque !!!
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
Jean-Pierre Mbelu : "RDC-Rwanda: l'accord d'Addis-Abeba est faible"
http://www.youtube.com/watch?v=9GdwG4BO ... r_embedded
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