Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition

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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

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Affaire Zacharie contre MONUSCO, réaction des kinois

http://congomikili.com/affaire-zacharie ... inois.html
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Bosco Ntaganda : massacres planifiés, crimes de guerre et génocide.

http://www.congonumber1.com/v1/videos/?id=&a=2339
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

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Bosco Ntaganda parle
(BBC Afrique 30/05/2012)

Bosco Ntaganda, surnommé le Terminator, est recherché par la cour pénale internationale pour des présumés crimes de guerre et crimes contre l'humanité.

Il est accusé d'avoir recrute des enfants soldats dans le conflit dans l'est de la République démocratique du Congo.

Mots-clésRépublique Démocratique du Congo, CPIIl était le dirigeant du CNDP, un mouvement rebelle dont les combattants avaient été intégrés dans l'armée congolaise dans le cadre d'un accord de paix signe en 2009.

En avril, il a fait défection indiquant qu'il voulait protéger les tutsis. Le général Ntaganda et des soldats, qui lui sont fidèles, ont depuis été accusé d'avoir commis de nouvelles atrocités.

Dans une interview exclusive qu'il a accordée au service des Grands-Lacs de la BBC, l'officier mutin a déclaré qu'il est prêt à faire face à la justice au Congo mais pas à se rendre à la Haye, affirmant que la CPI est partiale.

"Y a-t-il des gens de l'Ituri qui m'accusent? Le procureur à la Haye aime-t-il plus la plus population de l'Ituri plus que ceux qui sont originaires de la région? ", S’est interrogé Bosco Ntaganda, avant de marteler que "c'est du mensonge. Ils doivent cesser de mentir aux Africains."

Le général Ntaganda dément, par ailleurs, les informations selon lesquelles il serait actuellement caché dans le parc national des Virunga, situé à la frontière avec le Rwanda.

Il affirme qu'il se trouve dans le Masisi, dans la province du Nord-Kivu. Interrogé au sujet de la solution qu'il préconisait pour le retour de la paix dans cette région instable de la RDC, il a déclaré que le président congolais, Joseph Kabila, doit appliquer l'accord de 2009.

Il a aussi démenti les accusations des Nations Unies qui indiquent que le Rwanda fait partie du problème.

Lundi, un rapport interne de l'ONU, consulte par la BBC, accuse Kigali de fournir des armes et des hommes aux rebelles congolais.

La ministre rwandaise des affaires étrangères Louise Mushikiwabo a de façon catégorique rejeté ce rapport, accusant les Nations Unies d'utiliser des éléments sans fondement.
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http://www.agoravox.fr/actualites/inter ... -au-117704






Massacre en Syrie, massacres au Congo : deux poids, deux mesures

La communauté internationale s’est naturellement émue du massacre de Houla, en Syrie, qui a couté la vie à 108 personnes dont des enfants. L’ancien Secrétaire général de l’ONU, Koffi Annan s’est rendu dans le pays pour exprimer « son horreur » et a rencontré le Président Bachar el-Assad. Au même moment, des massacres de plus grande ampleur se déroulaient dans l’Est de la République Démocratique du Congo. Des civils achevés pour la plupart à l’arme blanche dans le silence assourdissant des capitales occidentales. La crise du Congo, qui dure depuis 16 ans, avec un terrible bilan de six millions de morts, est sûrement l’illustration la plus tragique de la politique internationale du « deux poids deux mesures ».


L’Est du Congo est, en effet, actuellement en proie aux violences depuis la tentative ratée de capturer le criminel de guerre Bosco Ntaganda. Cet officier tutsi, né au Rwanda mais revendiquant la nationalité congolaise, croule sous plusieurs chefs d’accusation. Des crimes de guerre et crimes contre l’humanité qui lui vaut d’être sous le coup d’un mandat d’arrêt émis par la Cour Pénale Internationale.

Soucieux de redorer son image assombrie par les magouilles électorales de novembre 2011, le Président Joseph Kabila a entrepris de le capturer alors qu’il jouissait depuis toujours d’une totale impunité. Il avait même été promu général et placé à la tête des unités de l’armée nationale engagées dans les opérations au Kivu. Mais les temps changent et lorsqu’on a les mains à ce point couvertes de sang, personne n’est en mesure de vous garantir l’impunité. Ce qui devait arriver est donc arrivé. Sauf que l’opération de capture a été tellement mal préparée que l’individu a eu le temps de fuir. Depuis, il parcourt les maquis pour réactiver les miliciens tutsis avec le soutien du Rwanda, provoquant la réaction d’autres groupes armés dont les tristement célèbres FDLR impliqués dans les récents massacres.

Ces rebelles hutus rwandais avaient longtemps bénéficié d’un regard bienveillant de la part des populations congolaises martyrisées par les agressions militaires menées au Congo par le régime rwandais de Paul Kagamé. Mais la mentalité « barbare », dont ils n’ont jamais réussi à se départir, et qu’ils ont « exportée » au Congo, a fini par lasser la population qui ne supporte plus leur présence sur le sol congolais.

Une force internationale est pourtant déployée au Congo sous l’égide de l’ONU. Des casques bleus malheureusement incapables de se faire respecter par les belligérants. Les groupes armés qui errent dans la région se livrent aux exactions contre des civils parfois en leur présence. En novembre 2008, lorsque la milice CNDP, dirigée par les généraux Laurent Nkunda et, justement, Bosco Ntaganda, lance une attaque sur la route de Goma, elle détruit deux blindés estampillés « Nations Unis », blesse plusieurs casques bleus et massacre 140 civils dans la localité de Kiwanja à quelques dizaines de mètres d’un campement des casques bleus indiens. En juillet 2010, des miliciens hutus investissent la localité de Luvungi et violent pendant quatre jours de suite toutes les 303 femmes et filles que comptait le village.

Cette mission de l’ONU coûte chaque année plus d’un milliard de dollars aux contribuables des pays riches, qui, en ce temps de crise, devraient logiquement s’interroger sur son utilité. C’est la mission onusienne la plus coûteuse et probablement l’une des plus inefficaces. Comparée à d’autres missions internationales, en termes de coût et d’efficacité, on admet que la MONUSCO mérite largement les critiques qui lui sont régulièrement adressées.

En Libye, le contribuable français a payé « seulement » 300 millions d’euros pour mettre fin au régime de Mouammar Kadhafi. L’opération a duré à peine huit mois. En République Démocratique du Congo, la mission onusienne dure depuis onze ans en engloutissant des sommes faramineuses pour entretenir une force qui assiste quasiment les bras croisés au massacre. Une passivité, hélas, destinée à durer aussi longtemps que la communauté internationale ne se sera pas penchée sur les principaux facteurs de la crise du Congo que sont le Rwanda et l’exploitation anarchique des richesses minières.

Sur le Rwanda, en effet, depuis l’arrivée de Paul Kagamé au pouvoir en 1994 (d’abord comme vice-Président, puis comme Président), c’est un régime dur et intransigeant qui sévit dans ce pays, condamnant une partie de sa population à l’exil. Il n’y a pas véritablement d’opposition et la presse se trouve dans un tél état de soumission au pouvoir qu’un débat libre sur un possible règlement pacifique de la rébellion hutue est inenvisageable. On estime qu’en concédant quelques assouplissements, le régime de Kigali pourrait contribuer de manière décisive au règlement de la crise du Congo. Seulement voilà ! Les grandes puissances, coupables d’inaction pendant le génocide de 1994, n’osent rien exiger au dirigeant rwandais.

L’autre démarche pouvant contribuer à régler durablement la crise du Congo serait la mise sous contrôle internationale de ses gisements miniers, en particulier ceux des zones de conflit. Ce pays regorge d’immenses richesses minières (cassitérite, coltan, diamants, or, cuivre, cobalt, zinc, manganèse,…) dont les réserves sont estimées à plus de 24 mille milliards de dollars. Ces richesses, qui auraient dû procurer un bonheur incomparable aux Congolais, sont paradoxalement, la source de tous leurs malheurs. Leur exploitation anarchique ou sous des contrats opaques s’opère au prix d’exactions contre les habitants à qui ne restent que des miettes.

Des groupes armés, soutenus par les pays de la région, s’emparent de secteurs miniers qu’ils exploitent en infligeant des souffrances inouïes aux habitants (massacres, assassinats, viol, travaux forcés, enrôlement d’enfants,…). Penser seulement que les auteurs de récents massacres sévissent sur une région considérée comme étant la plus grande réserve mondiale de coltan (80 % des réserves mondiales). Un métal extrêmement précieux dans la fabrication des téléphones portables et autres appareils électroniques. Penser aussi à l’immense réserve de pétrole récemment découverte dans la même région et dont l’exploitation annoncée fait craindre de nouveaux conflits.

En plaçant ces gisements sous le contrôle d’un organisme international, au besoin par la force, on priverait ces groupes armés des moyens qu’ils se procurent grâce au trafic des minerais du sang.

Mais rien de tout cela n’est entrepris, et le massacre continue.

En tout cas, sans une mobilisation internationale de grande ampleur, comme cela est le cas autour de la crise syrienne, l’issue à la tragédie du Congo n’est pas pour demain.

Boniface MUSAVULI
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http://bakolokongo.com/portail/2012/05/ ... -kinshasa/





FLASH!!! BOSCO NTANGANDA SE TROUVE PROTÉGÉ DANS UNE DES RESIDENCES DE JOSEPH KABILA A KINSHASA.
Publié le 30/05/2012 | Par bakolokongo

Pendant que les régimes de Kinshsa et Kigali sont entrain de distraire l’opinion nationale et internationale sur sa défection et son sort, le Terminator Bosco Ntanganda qui serait tantôt au Kivu tantôt au Rwanda, est discrètement signalé et protège dans une des résidences de Joseph Kabila à Kinshasa. Des sources incontournables des services secrets du régime de Kinshasa acquises à la cause juste de la Patrie viennent de nous renseigner. La rédaction patriotique de Bakolokongo.com reste ferme et confirme cette information. Les services compétentes de l’ONU sur place à Kinshasa peuvent s’en acquérir et ne manquerons pas de nous donner raison… le Terminator Bosco Ntanganda fait l’objet de mandat d’arrêt de la CPI, sieur Joseph Kabila tergiverse pour le capturer et le transférer à la CPI.
Bosco Ntanganda se trouve bel et bien hébergé, protégé et caché dans une des résidences de Joseph Kabila à Kinshasa comme ce fut le cas à l’époque avec Laurent Nkunda Batware qui faisait des navettes nocturnes pour séjourner dans des hotels luxueux à Kinshasa.
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http://afrique.kongotimes.info/rdc/echo ... wanda.html






Insécurité dans le Kivu : Le jeu dangereux du Rwanda
30/05/2012 18:17:00KongoTimes!

Paul KAGAME - War criminal

Classé confidentiel, un rapport de l’ONU vient de révéler au grand jour, le jeu dangereux du Rwanda qu’il présente comme le principal responsable du climat d’insécurité qui règne en permanence dans la partie orientale de la RDC. Ce document conforte la même conclusion du rapport Mapping sur le pillage des ressources de la RDC, également commandé par l’ONU. Les Nations unies disent détenir des preuves démontrant que la rébellion d’anciens membres du CNDP, qui combattent les forces gouvernementales dans l’Est de la RDC, est soutenue depuis le Rwanda. «On le disait depuis bien avant : le Rwanda les appuie en munitions, armes lourdes et même en troupes», a déclaré à l’AFP un colonel des FARDC participant aux combats. «Le M23 ne pouvait pas résister pendant tous ces jours de combats sans le soutien du Rwanda. Combien d'hommes sont-ils pour qu'ils résistent jusqu'à aujourd'hui?», s’est-il interrogé.

L’accord signé récemment à Kigali entre le Rwanda et la RDC n’a pas dissipé les soupçons qui pesaient sur le régime de Kagame, concernant son éventuel soutien aux rebelles du M23. Dans un récent rapport, les Nations unies affirment détenir des preuves irréfutables de l’implication de Kigali dans tout ce qui se passe actuellement dans le Kivu. Pendant ce temps, c’est motus et bouche cousue dans la capitale congolaise.

Depuis la guerre de «libération» de 1996-1997, le «parrain» Kigali se sent dans la position de tout régenter en République démocratique du Congo au point de s’ingérer au vu et au su de tout le monde dans les affaires intérieures de son voisin.

Il se considère en droit d’y intervenir chaque fois que le besoin se fait sentir, en s’appuyant sur la présence quasi permanente des FDLR sur le sol congolais depuis le génocide de 1994.

A ce jour, il se constate que tous les accords signés entre les deux pays penchent en faveur du Rwanda, dont celui conclu le 19 mai 2012 à Kigali.

Comme les précédents, ce nouvel accord est fondé essentiellement sur la traque des FDLR, alors que ce n’est pas une urgence pour Kinshasa, compte tenu de la rébellion menée par les insurgés du Mouvement du 23 mars (M23). Mais, contre toute attente, la RDC a de nouveau fait la part belle au Rwanda, en acceptant totalement de coopérer à la neutralisation des rebelles hutu rwandais. Elle ne fait même pas siens les sages adages selon lesquels «A malin, malin et demi» et «chassez le naturel, il revient au galop».

En fait, l’expérience du passé renseigne que le rapprochement entre les deux pays n’a jamais été sincère. Car, c’est au nom de ses intérêts et pour se protéger que Kigali entraîne toujours Kinshasa dans son jeu en lui faisant signer des accords généralement contre-nature.

Classé confidentiel, un rapport de l’ONU vient de révéler au grand jour, le jeu dangereux du Rwanda qu’il présente comme le principal responsable du climat d’insécurité qui règne en permanence dans la partie orientale de la RDC. Ce document conforte la même conclusion du rapport Mapping sur le pillage des ressources de la RDC, également commandé par l’ONU. Les Nations unies disent détenir des preuves démontrant que la rébellion d’anciens membres du CNDP, qui combattent les forces gouvernementales dans l’Est de la RDC, est soutenue depuis le Rwanda.

Selon ce rapport interne de l'ONU basé sur les interrogatoires de déserteurs du M23 à Goma, l'approvisionnement en armes et même en hommes de ce nouveau mouvement rebelle provient du Rwanda. Ces combattants sont présentés comme des Rwandais recrutés au Rwanda, sous prétexte de rejoindre l'armée nationale de ce pays.

A en croire BBC, qui s'en est procuré une copie, les Nations unies ont conduit des entretiens avec onze (11) combattants, parmi lesquels un mineur, qui ont déserté leurs positions dans les forêts montagneuses situées à la frontière entre la RDC et le Rwanda.

De son côté, l’AFP indique avoir interviewé 15 mutins qui se sont rendus à ce jour, dont sept Rwandais, et qui ont témoigné sur les «renforts» du Rwanda en leur faveur.

«On le disait depuis bien avant : le Rwanda les appuie en munitions, armes lourdes et même en troupes», a déclaré à l’AFP un colonel des FARDC participant aux combats. «Le M23 ne pouvait pas résister pendant tous ces jours de combats sans le soutien du Rwanda. Combien d'hommes sont-ils pour qu'ils résistent jusqu'à aujourd'hui?», s’est-il interrogé.

REACTIONS MITIGEES
Contacté par BBC, le porte-parole du M23, le lieutenant-colonel Vianney Kazarama, a rejeté tout «soutien» du Rwanda à son mouvement rebelle. A l’AFP, il a été plus direct : «Si le Rwanda nous soutenait, on serait arrivés très loin aujourd'hui, car il a une armée organisée, et très forte! Or, nous sommes tout justes dans le Rutshuru. Que ces hommes nous disent dans quel régiment, dans quel bataillon ils étaient».

Le Rwanda n'a pas non plus tardé à réagir aux accusations de l’ONU, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Mushikiwabo. «Dans l'histoire récente de cette région, l’Onu n'a pas joué un rôle positif», a-t-il rétorqué. Une réaction qui ne semble le dédouaner de son soutien aux rebelles du M23. Car, comme lorsqu’il se sent à court d’arguments, c’est sur le génocide de 1994 que le Rwanda se réfugie pour justifier ses incursions en RDC.

Frappé d’amnésie, Kinshasa a presque minimisé les révélations faites par l’ONU.

Interrogé, le porte-parole du gouvernement, le ministre des Médias Lambert Mende, a nettement pris la défense de Kigali. «Il n'est pas exclu que l'on soit en face d'une provocation de gens qui veulent perturber davantage la situation en créant des problèmes entre le Rwanda et nous. Une vérification est en cours, mais a priori nous n'avons pas d'élément qui puisse confirmer de telles accusations», a-t-il déclaré.

Or, le Premier ministre, Matata Ponyo, a affirmé devant les députés congolais en session plénière au Palais du peuple qu’«aucune rébellion ne peut prospérer si elle ne bénéficie de l’appui de la population, si elle n’a pas une base de repli dans un territoire voisin».

Sans le dire ouvertement, Matata Ponyo est convaincu de l’existence d’une main invisible qui, bien au-delà des frontières de la RDC, commanderait les opérations pour la déstabilisation de l’Est. Il s’est toutefois réservé de la nommer. Et si c’était le Rwanda qui tirerait les ficelles ? Rien n’exclut cette hypothèse.

De toute évidence, c’est la preuve qu’à Kinshasa, on est bien conscient de l’implication du Rwanda dans ce qui s’est toujours passé dans l’Est. Mais, pour s’être trempés totalement dans la compromission, certaines personnalités congolaises laissent Kigali poursuivre son expédition criminelle en RDC, feignant de compatir à la cause du Congo-Kinshasa.

A l’analyse, le silence de Kinshasa donne à penser qu’il y a des complicités internes. Sinon, comment continuer à «protéger» Kigali lorsque toutes les hypothèses corroborent sa culpabilité dans le drame à répétition de l’Est ?

«Le cerveau de la maffia se trouve à Kinshasa», avait affirmé le président Joseph Kabila, en évoquant il y a peu, la situation sécuritaire dans l’Est.

Qu’on ne se méprenne pas ! La stabilisation de la partie orientale du pays doit partir de Kinshasa en cherchant avant tout à séparer le vrai de l’ivraie. Passer outre cette voie, c’est s’enfermer dans un cercle vicieux. Ce qui ne fera que raffermir le Rwanda dans sa stratégie de fragiliser davantage la RDC.

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Message par tony yave »

Ilunga a écrit :http://bakolokongo.com/portail/2012/05/ ... -kinshasa/





FLASH!!! BOSCO NTANGANDA SE TROUVE PROTÉGÉ DANS UNE DES RESIDENCES DE JOSEPH KABILA A KINSHASA.
Publié le 30/05/2012 | Par bakolokongo

Pendant que les régimes de Kinshsa et Kigali sont entrain de distraire l’opinion nationale et internationale sur sa défection et son sort, le Terminator Bosco Ntanganda qui serait tantôt au Kivu tantôt au Rwanda, est discrètement signalé et protège dans une des résidences de Joseph Kabila à Kinshasa. Des sources incontournables des services secrets du régime de Kinshasa acquises à la cause juste de la Patrie viennent de nous renseigner. La rédaction patriotique de Bakolokongo.com reste ferme et confirme cette information. Les services compétentes de l’ONU sur place à Kinshasa peuvent s’en acquérir et ne manquerons pas de nous donner raison… le Terminator Bosco Ntanganda fait l’objet de mandat d’arrêt de la CPI, sieur Joseph Kabila tergiverse pour le capturer et le transférer à la CPI.
Bosco Ntanganda se trouve bel et bien hébergé, protégé et caché dans une des résidences de Joseph Kabila à Kinshasa comme ce fut le cas à l’époque avec Laurent Nkunda Batware qui faisait des navettes nocturnes pour séjourner dans des hotels luxueux à Kinshasa.




quel gros mensonge
:roll: :roll:
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http://7sur7.cd/index.php?option=com_co ... -tropiques




Kinshasa et Kigali comme deux larrons en foire : Bosco Ntaganda exfiltré au Rwanda !
JEUDI, 31 MAI 2012 15:03 0 COMMENTAIRES ENVOYER




Réclamé instamment par la CPI en tant qu'ancien lieutenant de Thomas Lubanga identifié sujet rwandais, couvert par Kinshasa officiel qui prétendait trouver en lui un élément indispensable pour la pacification du Kivu, puis soudain traqué par les FARDC qui étaient à deux doigts de le capturer vif et qui ont été sommés de stopper net cette opération de chasse à l'homme, Bosco Ntaganda a eu juste le temps de se sauver dans la nature, il y a environ un mois. Depuis lors l'opinion n'a plus de ses nouvelles. Les sphères officielles n'en parlent plus, elles qui avaient apparemment décidé de se débarrasser cette fois-ci de cet homme devenu pratiquement encombrant. Dans cet intervalle, il y a eu des tractations dans la coulisse d'abord à Kigali, ensuite à Gisenyi en face de la ville de Goma au Nord-Kivu, entre des officiels congolais et rwandais. Si au moins Kigali a informé l'opinion au Rwanda de ce autour de quoi avaient tourné ces conciliabules, à Kinshasa c'était le silence radio. On nie même qu'il y a eu des documents signés de part et d'autre sanctionnant ces négociations secrètes, alors que certaines stations périphériques disent le contraire.



A l'ère actuelle du développement prodigieux des technologies de l'information et de la communication et où des gens surfent aisément sur Internet, les nouvelles comme elles qu'on considère faussement comme des secrets d'Etat ou secret-défense, transpirent à travers le monde, Les gens s'informent en suivant les chaînes de TV et les stations de radio étrangères. Le pouvoir devrait faire effort pour améliorer son image de marque par des actions de bonne gouvernance qui parlent d'elles-mêmes, pour dire la vérité au peuple plutôt que de s'installer dans la mystification, l'arrogance et la modulation du chant des sirènes qui ne passent jamais la rampe dans ce pays, avec un peu- pie frustré et blasé. On en est bien conscient; mais on ne peut pas se comporter autrement quand on e déjà juré de faire sentir sa volonté de puissance, c'est-à-dire tout régenter par défi, advienne que pourra. Nous sommes dans un pays où des actes de haute trahison sont banalisés parce que telle est la volonté de la haute hiérarchie qui en st l'auteur, vassalisant l'entourage des béni-oui-oui et tétanisant de peur bon nombre d'élites politiques, intellectuelles, religieuses et sociales.

Il en avait cuit à Vital Kamerhe, alors tout-puissant Président de l'Assemblée nationale, de s'être inquiété publiquement de l'entrée des troupes rwandaises au Kivu soi-disant pour liquider les FDLR sans que le parlement en ai été préalablement informé. Des négociations sourdes de Kigali et de Gisenyi au moment où l'affaire Bosco Ntaganda est laissée dans un flou artistique, ne pouvaient-elles pas mettre la puce à l'oreille d'Aubin Minaku et des députés de la majorité pour faire leur examen de conscience ? L'information défile régulièrement sur la Toile, apprenant aux internautes que l'oiseau s'est envolé vers le bercail des montagnes et collines, à l'instar de deux précédents oiseaux. Comme Jules Mutebusi et Laurent Nkunda, Bosco Ntaganda s été exfiltré au Rwanda. Le stop à la chasse à l'homme au moment où Bosco Ntaganda était poursuivi dans ses derniers retranchements pour être pincé facilement par Didier Etumba et ses hommes, des tractations à Kigali et è Gisenyi, autant de manoeuvre pour permettre au gibier de potence de la CPI de regagner sain et sauf son havre d'origine, accueilli discrètement avec faste en reconnaissance de bons et loyaux services rendus pour la conquête de l'espace vital qui est l'objet des préoccupations, de la mère patrie juchée sur des montagnes et collines.



Un colosse aux pieds d'argile



Des gens intelligents et réfléchis qui ne s'expliquaient pas la protection dont Kinshasa assurait Bosco Ntaganda qu'il refusait obstinément de livrer à la CPI, étaient persuadés qu'en cas de fortes pressions exercées par la communauté internationale sur les dirigeants congolais, Kinshasa manoeuvrerait, de mèche avec Kigali, pour que Bosco Ntaganda soit, en dernier ressort, exfiltré au Rwanda comme l'ont été Jules Mutebusi et Laurent Nkunda, tous des commandants successifs du poste avancé au Kivu pour la conquête de l1espa- ce vital (afflux d'immigrants d'expression kinyarwanda, exploitation des minerais avec la plaque tournante à Kigali, persécution et déplacement des autochtones fuyant l'insécurité). Il y a même d'autres révélations troublantes qui signalent que le fameux M23 est l'oeuvre du rusé Paul Kagame. Ses éléments d'avant- garde sont recrutés et formés à Kigali. Ils ont pour mission de combler le vide laissé par Bosco Ntaganda et de poursuivre son travail de conquête de l'espace vital en RDC pour le Rwanda. Cette information a été diffusée par une station périphérique dernièrement.



Est-ce le soubassement des tractations de Kigali et de Gisenyi, d'où il appert que la RDC manque de ressort et se voit contrainte de faire les quatre volontés du Rwanda en position de force.

Un nain d'une superficie de 26.238 km2 domine un géant d'une superficie de 2.345.409 km2 Comment ce colosse en est-il arrivé à ce niveau ignominieux d'humiliation et de soumission ? Ceux qui passent pour les élites politiques, intellectuelles, religieuses, sont-ils fiers de cette décadence que connaît leur pays et dans laquelle il s'enfonce de plus en plus ? De quelles apathie et nonchalance semblent-ils tous frappés au point d'être incapables de se réveiller de leur torpeur comme s'ils étaient hypnotisés et envoûtés collectivement 9 Voilà la conséquence des tripatouillages électoraux des scrutins du 28 novembre 2011. Où est la capacité des institutions et leurs dirigeants à rabaisser le caquet au petit Rwanda qui fait avaler des couleuvres à ce colosse aux pieds d'argile au coeur du continent africain?

Et pourtant il n'y a guère longtemps le Rwanda, le Burundi et l'Ouganda étaient à la botte et à la remarque de ce pays alors le Zaïre de Mobutu !

On n'a copié sur Mobutu que les caractéristiques négatives d'oppression, de répression, de sadisme, de pillage des ressources naturelles, d'enrichissement sans cause d'une oligarchie, de destruction du pays, mais pas celles positives de grandeur, d'honneur, de prestige, de dignité, de protection de l'intégrité territoriale, de rassemblement des Congolais, de formation des élites militaires, etc.



Des agents rwandais de la cinquième colonne



Bosco Ntaganda est exfiltré dans son pays après avoir accompli sa mission au même titre qu'avant lui Jules Mutebusi et Laurent Nkunda. Quel est le bilan de sa contribution déterminante à la pacification du Kivu ? Le M23 est un cadeau empoisonné qu'il laisse au gouvernement congolais pour continuer la déstabilisation du Kivu.

Tout bien considéré, depuis l'AFDL de feu Laurent Désiré Kabila, le Rwanda est devenu un pays plutôt ennemi qu'allié de la RDC.

Il est la base arrière de déstabilisation de la RDC à partir du Kivu. C'est au Rwanda que se retirent, trouvent asile et vivent tranquillement des agents rwandais de la cinquième colonne après avoir commis plusieurs crimes en RDC, comme Mutebusi, Nkunda et aujourd'hui Ntaganda.

Les rapports entre ces deux pays sont comme le mariage de la carpe et du lapin. Comment est-il logiquement concevable de faire confiance à ce pays et de convenir avec lui de traquer les FDLR qui sont justement son propre fonds de commerce en RDC, sans que cela soit considéré comme un acte de haute trahison ? Les FDLR, le CNDP, le M23, sont tous des légionnaires rwandais en opérations en RDC pour la conquête de l'espace vital dont leur pays a grandement besoin. C'est pour cela que tous ceux qui arrivent au terme de leur mission de dévastations et de massacres au Kivu sont exfiltrés au Rwanda.

Jean N'SAKA wa N'SAKA/Journaliste indépendant
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http://7sur7.cd/index.php?option=com_co ... 4:le-phare





Nord-Kivu : le huis clos booste les rumeurs
JEUDI, 31 MAI 2012 14:26




La question orale avec débat du député national Martin Fayulu adressée au Vice-Premier ministre et ministre de la Défense, Alexandre Luba Ntambo, et axée sur le récent accord signé par le Rwanda et la RDC au sujet de la présence des FDLR au Nord-Kivu, a été frappée de huis clos. Pourtant, depuis le 18 mai 2012, date du dépôt du texte de cet élu du peuple au Bureau de l'Assemblée Nationale, de nombreux Congolais et Congolaises se réjouissaient à l'idée d'avoir l'occasion d'être, pour une fois, pleinement informés non seulement sur ce qui se passe dans cette partie du pays mais aussi sur les alliances sans lendemain entre Kinshasa et Kigali.



Pourquoi le Bureau de l'Assemblée Nationale a-t-il décrété le huis clos sur un sujet qui est au centre des préoccupations de nos concitoyens voici plusieurs décennies ? Y aurait-il un lien entre l'Accord congolo-rwandais du 19 mai 2012 et les opérations des FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) sur le terrain ? Qu'est-ce qui fait peur au Gouvernement congolais ? Nos concitoyens n'ont-ils pas le droit de savoir de quoi il retourne au Nord-Kivu, où les masques commencent à tomber pour laisser à découvert des combattants étrangers infiltrés dans des rébellions fabriquées de toutes pièces ?

Les rumeurs circulaient depuis des années sur la congolité douteuse de plusieurs officiers supérieurs et combattants intégrés dans les FARDC sur base d'accords de paix entre le gouvernement et des forces négatives. Le général Laurent Nkunda et le colonel Jules Mutebusi étaient les premiers à jeter leurs masques, suivis plus tard par le général Bosco Ntaganda. Le feuilleton des trahisons à la cause de la République est certainement loin de s'arrêter dans sa partie Nord.

Un débat public sur la cartographie de l'armée nationale au Nord-Kivu allait certainement tordre le cou aux rumeurs, mais le Bureau dé l'Assemblée Nationale en a décidé autrement.

En mettant une croix sur le débat public tant attendu, Aubin Minaku va pousser des millions de compatriotes à s'abonner à la radiotrottoir. Jusqu'à nouvel ordre, c'est ce média aux milles facettes, qui charrie à la fois vérités et mensonges, qui va devenir la principale source d'information de nos compatriotes pour ce qui est de la situation sécuritaire du Nord-Kivu. C'est la radiotrottoir qui va se charger de répercuter, auprès de l'opinion congolaise, les comptes rendu des rencontres sécrètes entre autorités civiles et militaires rwandaises et congolaises, les péripéties des affrontements entre FARDC et mutins.



Au niveau du Bureau de l'Assemblée Nationale, a-t-on suffisamment mesuré les dégâts que les rumeurs vont continuer de causer dans les cercles politiques, les milieux économiques, les organisations socio-culturelles, les familles biologiques de notre pays ? Comment les remuants Congolais de la diaspora vont-ils accueillir cette décision de rétention volontaire d'informations intéressant l'ensemble de la communauté nationale, d'ici comme d'ailleurs?



Rupture grave de la confiance



L'une des conséquences du huis clos d'hier risque d'être la rupture de la confiance entre l'Assemblée Nationale et de nombreux compatriotes, qui avaient placé tous leurs espoirs dans cette institution en vue de la découverte des dessous de cartes dans le dossier sécuritaire du Nord-Kivu. Quel crédit l'homme de la rue pourrait-il encore accorder, dans l'immédiat ou l'avenir, à un communiqué du Bureau de la Chambre Basse du Parlement ou du Gouvernement faisant état de la maîtrise totale de la situation sécuritaire de cette province par le pouvoir en place à Kinshasa?

De nombreux Congolais auront désormais du mal à se convaincre que leurs gouvernants travaillent réellement pour la recherche d'une paix durable dans la partie Est du pays. Certains risquent d'être plus attentifs aux messages diffusés par Kigali et même d'être tentés d'y faire foi car, du côté des autorités rwandaises, les informations sur les contacts avec leurs homologues congolaises, les mutins congolo-rwandais, les rapports des Ong des droits de l'homme ou de la Monusco ne semblent faire l'objet d'aucun tabou. Les officiels rwandais prennent le soin de lancer, pour les besoins de la cause, des « scoops » apparemment neutres mais en réalité orientés, qui prennent toujours de court le gouvernement de Kinshasa.

Ce qu'il faut redouter, après le huis clos d'hier à l'Assemblée Nationale, est que le pouvoir en place à Kigali multiplie de nouvelles déclarations et conférences de presse ayant pour but de faire croire à nos compatriotes que la responsabilité de l'insécurité au Nord-Kivu est à imputé à nos propres gouvernants. Qu'aura-t-on gagné à maintenir nos concitoyens dans la sous-information, à l'heure où les autoroutes de l'information ont transformé la planète en une maison en verte ?

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Ilunga
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Message par Ilunga »

Zacharie Bababaswe atombokeli Monusco lisusu...

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