Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Muya Ilunga Albert - Bientôt Etienne Tshisekedi forme un gouvernement d´union.
http://www.dailymotion.com/video/xp2sd2 ... union_news
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
BABIN MASOMBO EN COLERE CONTRE LES COLLABOS SUIVEZ
http://www.youtube.com/watch?v=OJfVTFY3 ... r_embedded
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Kinshasa : Le petit peuple déjà en colère contre le 1er ministre Matata Ponyo
http://congomikili.com/kinshasa-le-peti ... ponyo.html
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
REUNION AVORTEE SUR LE RWANDA, BURUNDI ET L'EST DE LA RDC.
http://www.facebook.com/photo.php?v=336415463089254
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://kongolibre.over-blog.com/article ... 20525.html
Samedi 21 avril 2012
LE FIGARO: LE REGIME DE "KABILA" AU CONGO-KINSHASA EMPÊTRÉ DANS UN SCANDALE DE CORRUPTION
LE FIGARO: Le regime de "Kabila" au Congo-Kinshasa empêtré dans un scandale de corruption (Lire article ci-dessous)
Ponyo Matata, PM « Porte Monnaie » surnom donné par le clairvoyant Katumba Mwanke à l’actuel premier ministre de J. Kabila. « La où est le trésor, là aussi sera le cœur », ce n’est une surprise pour personne si le choix du chef de gouvernement de Kabila a été porté sur Augustin Matata Ponyo. A l’absence du feu Katumba Mwanke, celui qui connaît le circuit de la carte mère de la grande mafia de Kingakati.
Avant son entrée au gouvernement Muzito, l’argentier de Kabila avait intelligemment créé à la BCECO un algorithme de détournement des fonds de la Banque mondiale au profit du raïs. Personne n’ignore que les travaux publics et le bâtiment sont désignés comme le secteur le plus corrompu dans le monde. C’est dans ce secteur des grands projets d’infrastructures que l’actuel premier ministre à l’époque Coordonnateur du BCECO déviait de gros capitaux de la Banque Mondiale.
Dans un rapport sur la corruption en RDC, Transparency International affirme qu’il existe suffisamment de preuves de l’implication de l’actuel locataire de la Primature dans des actes de corruption, blanchiment d’argent, délits d’initié..
Chers compatriotes,
Nous ne devons pas donner prise à la délation, quand des hommes et des femmes se sont Sali les mains, il devient pour toute conscience humaine un devoir de vérité, de courage et d’honnêteté de les désavouer et de les dénoncer. C’est un devoir sacré pour tous d’éradiquer le mal, de protéger la société comme telle. Aider la justice humaine à découvrir les coupables et à les mettre hors d’état de nuire est un devoir civique.
Yves K.
Le Figaro accuse : 500 millions de dollars de la Banque mondiale partis en fumée
Le Congo-Kinshasa empêtré dans un scandale de corruption
On en parlait déjà à Kinshasa à propos de la restauration des routes de la capitale. La qualité du travail, en plus de la lenteur pour l’exécution des travaux suscitait plusieurs interrogations. Pas plus tard qu’il y a de cela un mois, les responsables de la Banque mondiale à Kinshasa se sont entretenus avec le hauts cadres de la presse sur le fonctionnement des structures de la Banque mondiale. C’est ainsi qu’à une question de la presse de savoir pourquoi des personnalités qui ont travaillé au sein du Bureau central de coordination, Bceco, sous la direction de Matata Ponyo se sont retrouvés au sein de l’Ucop, une autre structure qui exécute quasiment les mêmes fonctions que le Bceco. Il était question de savoir si par là, la Banque mondiale n’entretenait pas la « corruption » comme dénoncée depuis un certain temps. La réponse, très étendue, justifiait amplement que la question était pertinente. Comme pour dire qu’il n’y avait pas de fumée sans feu.
Voilà que le journal Le Figaro, paraissant en France, revient sur le dossier. Un véritable scandale. A l’image du Potentiel qui s’interrogeait sur le silence des instances internationales, Le Figaro se pose la même question sur ce silence alors que le Bceco, le Programme national multisectoriel de lutte contre le Sida… sont pointés du doigt. Au-delà, certains membres du gouvernement. Le Figaro en parle en long et en large.
La Communauté internationale ferme les yeux
Les vieux démons de la corruption sont-ils de retour en République démocratique du Congo ? Plus de 500 millions de dollars, émanant des caisses de la Banque mondiale, se sont envolés en fumée au cours des cinq dernières années. «Du déjà-vu...», disent les plus blasés. «Un scandale !», assurent ceux qui croyaient au discours de bonne gouvernance du régime Kabila et au sérieux de la Banque mondiale. La communauté internationale, qui finance les deux tiers du budget de l’ex-Zaïre, ferme les yeux avec complaisance...
«Si l’on avait jeté les billets par les fenêtres d’un avion, on aurait eu plus de chances d’atteindre les plus pauvres...» La réflexion vient d’un ex-responsable de la Banque mondiale (BM). Avec certains de ses collègues, il a prévenu le département de Déontologie institutionnelle de Washington. Des dizaines de plaintes d’opérateurs économiques sont venues grossir le dossier. La direction de la BM a ordonné une enquête. La mission d’experts, qui s’est déroulée en RDC du 17 février au 23 mars, n’a toujours pas rendu ses conclusions...
Conflits d’intérêts, délits d’initiés, fraude
L’affaire est de taille. Quand, en 2001, la communauté internationale décide de reprendre sa coopération avec l’ex-Zaïre, elle met en place des agences d’exécution chargées de coordonner les fonds. Avec le Bureau central de coordination (Bceco) sont ainsi créés le Programme national multisectoriel de lutte contre le Sida (PNMLS), la Commission nationale de désarmement, démobilisation et réinsertion (Conader)... Ce sont ces agences qui sont aujourd’hui sur la sellette pour conflits d’intérêts, délits d’initiés, fausses déclarations, corruption, fraude.
«C’est parce qu’il n’y avait plus d’administration publique digne de ce nom que ces agences ont été créées. Elles auraient dû, en principe, avoir des garde-fous. Mais leurs responsables congolais ont refusé les contrôles, ou les ont contournés. Et la communauté internationale a fermé les yeux...», explique un responsable, qui tient à garder l’anonymat.
Les dispositifs de contrôle ayant été rapidement neutralisés, la voie a été ouverte à tous les abus. Dans l’attribution des marchés de construction de routes, par exemple, on a assisté à toutes sortes d’irrégularités. Un marché de 18 millions de dollars a ainsi été attribué à une société ivoirienne, TPZC, dont la principale activité de cette société était... la boulangerie ! Ses bilans portaient de faux tampons de l’administration fiscale ivoirienne, ses renseignements bancaires étaient erronés et le chèque de garantie qui lui a été demandé est revenu impayé...
Les exemples sont identiques dans les autres agences d’exécution. Des centaines de milliers de dollars ont été attribués à un chanteur pour un refrain sur le Sida, des fonds destinés aux soldats se sont évaporés.
A qui la faute ? Comme le soulignent les initiateurs de l’opération mains propres de la Banque mondiale, «Nos propres agents ont été trop complaisants». Quand un appel d’offres de quatre lots de 20 millions de dollars est lancé un vendredi pour être attribué le lundi suivant, sans que le moindre contrôle soit effectué, on se demande si le responsable local de la Banque mondiale a pris le temps de vérifier quoi que ce soit. «D’habitude, on nous reproche d’être trop lents. Cette fois, on a été trop rapides...», explique un responsable, Xavier de Victor. À ce jour, vingt-deux mois après l’attribution des marchés et alors que le délai d’exécution est expiré, moins de 20% des travaux sont réalisés. Le chef de projet à la Banque mondiale «assume toutes les décisions prises» et attend «avec impatience» les résultats de l’enquête interne du département de Déontologie institutionnelle. Il vient d’être discrètement dessaisi de ses dossiers.
Parfaitement informés de la situation, les bailleurs de fonds n’ont pas tenu à réagir. Ils affirment avoir été les premiers surpris. «Comme le gouvernement est composé de toutes les tendances – président, anciens rebelles, opposition intérieure –, on pensait qu’ils se surveilleraient les uns les autres. En fait, tout le monde s’est très bien entendu sur le partage du gâteau...», confie un responsable européen.
LE GRAND SCANDALE
Les Congolais, eux, ne se font plus d’illusions. Le mémorial que le président Kabila avait promis en face du Parlement n’est qu’un immense terrain vague, qui a quand même coûté un demi-million de dollars. Quant aux étudiants, ils ne cessent d’ironiser sur l’état de la route qui mène à l’université. Sa réhabilitation a déjà coûté près de 9 millions de dollars à la communauté internationale pour 9 km, soit un million de dollars par kilomètre.
CORALINE DUMAY-LE FIGHARO
Samedi 21 avril 2012
LE FIGARO: LE REGIME DE "KABILA" AU CONGO-KINSHASA EMPÊTRÉ DANS UN SCANDALE DE CORRUPTION
LE FIGARO: Le regime de "Kabila" au Congo-Kinshasa empêtré dans un scandale de corruption (Lire article ci-dessous)
Ponyo Matata, PM « Porte Monnaie » surnom donné par le clairvoyant Katumba Mwanke à l’actuel premier ministre de J. Kabila. « La où est le trésor, là aussi sera le cœur », ce n’est une surprise pour personne si le choix du chef de gouvernement de Kabila a été porté sur Augustin Matata Ponyo. A l’absence du feu Katumba Mwanke, celui qui connaît le circuit de la carte mère de la grande mafia de Kingakati.
Avant son entrée au gouvernement Muzito, l’argentier de Kabila avait intelligemment créé à la BCECO un algorithme de détournement des fonds de la Banque mondiale au profit du raïs. Personne n’ignore que les travaux publics et le bâtiment sont désignés comme le secteur le plus corrompu dans le monde. C’est dans ce secteur des grands projets d’infrastructures que l’actuel premier ministre à l’époque Coordonnateur du BCECO déviait de gros capitaux de la Banque Mondiale.
Dans un rapport sur la corruption en RDC, Transparency International affirme qu’il existe suffisamment de preuves de l’implication de l’actuel locataire de la Primature dans des actes de corruption, blanchiment d’argent, délits d’initié..
Chers compatriotes,
Nous ne devons pas donner prise à la délation, quand des hommes et des femmes se sont Sali les mains, il devient pour toute conscience humaine un devoir de vérité, de courage et d’honnêteté de les désavouer et de les dénoncer. C’est un devoir sacré pour tous d’éradiquer le mal, de protéger la société comme telle. Aider la justice humaine à découvrir les coupables et à les mettre hors d’état de nuire est un devoir civique.
Yves K.
Le Figaro accuse : 500 millions de dollars de la Banque mondiale partis en fumée
Le Congo-Kinshasa empêtré dans un scandale de corruption
On en parlait déjà à Kinshasa à propos de la restauration des routes de la capitale. La qualité du travail, en plus de la lenteur pour l’exécution des travaux suscitait plusieurs interrogations. Pas plus tard qu’il y a de cela un mois, les responsables de la Banque mondiale à Kinshasa se sont entretenus avec le hauts cadres de la presse sur le fonctionnement des structures de la Banque mondiale. C’est ainsi qu’à une question de la presse de savoir pourquoi des personnalités qui ont travaillé au sein du Bureau central de coordination, Bceco, sous la direction de Matata Ponyo se sont retrouvés au sein de l’Ucop, une autre structure qui exécute quasiment les mêmes fonctions que le Bceco. Il était question de savoir si par là, la Banque mondiale n’entretenait pas la « corruption » comme dénoncée depuis un certain temps. La réponse, très étendue, justifiait amplement que la question était pertinente. Comme pour dire qu’il n’y avait pas de fumée sans feu.
Voilà que le journal Le Figaro, paraissant en France, revient sur le dossier. Un véritable scandale. A l’image du Potentiel qui s’interrogeait sur le silence des instances internationales, Le Figaro se pose la même question sur ce silence alors que le Bceco, le Programme national multisectoriel de lutte contre le Sida… sont pointés du doigt. Au-delà, certains membres du gouvernement. Le Figaro en parle en long et en large.
La Communauté internationale ferme les yeux
Les vieux démons de la corruption sont-ils de retour en République démocratique du Congo ? Plus de 500 millions de dollars, émanant des caisses de la Banque mondiale, se sont envolés en fumée au cours des cinq dernières années. «Du déjà-vu...», disent les plus blasés. «Un scandale !», assurent ceux qui croyaient au discours de bonne gouvernance du régime Kabila et au sérieux de la Banque mondiale. La communauté internationale, qui finance les deux tiers du budget de l’ex-Zaïre, ferme les yeux avec complaisance...
«Si l’on avait jeté les billets par les fenêtres d’un avion, on aurait eu plus de chances d’atteindre les plus pauvres...» La réflexion vient d’un ex-responsable de la Banque mondiale (BM). Avec certains de ses collègues, il a prévenu le département de Déontologie institutionnelle de Washington. Des dizaines de plaintes d’opérateurs économiques sont venues grossir le dossier. La direction de la BM a ordonné une enquête. La mission d’experts, qui s’est déroulée en RDC du 17 février au 23 mars, n’a toujours pas rendu ses conclusions...
Conflits d’intérêts, délits d’initiés, fraude
L’affaire est de taille. Quand, en 2001, la communauté internationale décide de reprendre sa coopération avec l’ex-Zaïre, elle met en place des agences d’exécution chargées de coordonner les fonds. Avec le Bureau central de coordination (Bceco) sont ainsi créés le Programme national multisectoriel de lutte contre le Sida (PNMLS), la Commission nationale de désarmement, démobilisation et réinsertion (Conader)... Ce sont ces agences qui sont aujourd’hui sur la sellette pour conflits d’intérêts, délits d’initiés, fausses déclarations, corruption, fraude.
«C’est parce qu’il n’y avait plus d’administration publique digne de ce nom que ces agences ont été créées. Elles auraient dû, en principe, avoir des garde-fous. Mais leurs responsables congolais ont refusé les contrôles, ou les ont contournés. Et la communauté internationale a fermé les yeux...», explique un responsable, qui tient à garder l’anonymat.
Les dispositifs de contrôle ayant été rapidement neutralisés, la voie a été ouverte à tous les abus. Dans l’attribution des marchés de construction de routes, par exemple, on a assisté à toutes sortes d’irrégularités. Un marché de 18 millions de dollars a ainsi été attribué à une société ivoirienne, TPZC, dont la principale activité de cette société était... la boulangerie ! Ses bilans portaient de faux tampons de l’administration fiscale ivoirienne, ses renseignements bancaires étaient erronés et le chèque de garantie qui lui a été demandé est revenu impayé...
Les exemples sont identiques dans les autres agences d’exécution. Des centaines de milliers de dollars ont été attribués à un chanteur pour un refrain sur le Sida, des fonds destinés aux soldats se sont évaporés.
A qui la faute ? Comme le soulignent les initiateurs de l’opération mains propres de la Banque mondiale, «Nos propres agents ont été trop complaisants». Quand un appel d’offres de quatre lots de 20 millions de dollars est lancé un vendredi pour être attribué le lundi suivant, sans que le moindre contrôle soit effectué, on se demande si le responsable local de la Banque mondiale a pris le temps de vérifier quoi que ce soit. «D’habitude, on nous reproche d’être trop lents. Cette fois, on a été trop rapides...», explique un responsable, Xavier de Victor. À ce jour, vingt-deux mois après l’attribution des marchés et alors que le délai d’exécution est expiré, moins de 20% des travaux sont réalisés. Le chef de projet à la Banque mondiale «assume toutes les décisions prises» et attend «avec impatience» les résultats de l’enquête interne du département de Déontologie institutionnelle. Il vient d’être discrètement dessaisi de ses dossiers.
Parfaitement informés de la situation, les bailleurs de fonds n’ont pas tenu à réagir. Ils affirment avoir été les premiers surpris. «Comme le gouvernement est composé de toutes les tendances – président, anciens rebelles, opposition intérieure –, on pensait qu’ils se surveilleraient les uns les autres. En fait, tout le monde s’est très bien entendu sur le partage du gâteau...», confie un responsable européen.
LE GRAND SCANDALE
Les Congolais, eux, ne se font plus d’illusions. Le mémorial que le président Kabila avait promis en face du Parlement n’est qu’un immense terrain vague, qui a quand même coûté un demi-million de dollars. Quant aux étudiants, ils ne cessent d’ironiser sur l’état de la route qui mène à l’université. Sa réhabilitation a déjà coûté près de 9 millions de dollars à la communauté internationale pour 9 km, soit un million de dollars par kilomètre.
CORALINE DUMAY-LE FIGHARO
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://direct.cd/2012/04/21/exclusif-et ... mbo-nkisi/
Exclusif – Etienne Tshisekedi à deux mètres de chez Kombo Nkisi
Publié par La Rédaction le 21 avril 2012.
KINSHASA (Direct.cd) – Le leader de l’opposition en République démocratique du Congo (RDC) et président de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) s’est rendu à un deuil situé à seulement deux parcelles à côté de la résidence de Kombo Kissi, actuel deuxième vice-président de l’Assemblée et « ancien » député de l’UDPS d’où il a été radié, occasionnant une situation tendue et anecdotique.
Accompagné d’un cortège avec un dispositif policier musclé et plusieurs dizaines de ses partisans, Etienne Tshisekedi est allé se recueillir ce vendredi en début de soirée auprès d’un proche de sa famille éprouvé à Kinshasa.
La visite qui aurait due être familiale s’est transformée à un « enjeu politique » lorsque le Lider-Maximo a foulé l’avenue Boyata dans la commune de la Gombe, la même que celle d’un certain… Timothée Nkombo Nkisi.
A son arriver à la résidence du défunt, M. Mukendi (parenté à la femme d’Etienne Tshisekedi), une situation tendue s’est installée entre les policiers du cortège de Tshisekedi, accompagnés des partisans de ce dernier et les policiers commis à la garde du désormais deuxième vice-président de l’Assemblée Nationale, dont la résidence est située à moins de deux mètres du lieu.
La foule qui accompagnait M. Tshisekedi chantait et scandait de slogans hostiles à l’endroit du député Kombo Nkisi, alors que les policiers de deux camps étaient au aguets.
Au final, plus de peur que de mal, il n’y aura finalement pas de « problème » et ce, malgré le fait que les « combattants » ont suppliés leur « Leader » d’aller « chercher Kombo » et de le « ramener à l’extérieur ».
A noter que selon des informations en notre possession, le député Kombo n’était même pas à sa résidence au moment de l’événement, et ce, jusque tard dans la nuit.
Kombo Nkisi Timothée, 76 ans, a été exclut de l’UDPS, 24 heures seulement après son installation à la tête du Bureau Provisoire de l’Assemblée Nationale, en sa qualité de Doyen d’âge.
Il a par la suite était élu au poste de deuxième vice-président de l’Assemblée lors d’une élection boycottée par l’opposition, accusant la majorité d’avoir déconsidéré ses candidats aux postes de deuxième vice-président et de rapporteur adjoint qui lui sont réservés, en poussant la candidature d’autres députés qu’elle n’avait pas désignés.
L’UDPS a exclu 33 de ses députés élus lors des législatives contestées de fin 2011 pour avoir siégé à l’Assemblée nationale bien que le leader du parti avait déclaré ces élections « nulles ».
BLC/ Rédaction Direct.cd
Exclusif – Etienne Tshisekedi à deux mètres de chez Kombo Nkisi
Publié par La Rédaction le 21 avril 2012.
KINSHASA (Direct.cd) – Le leader de l’opposition en République démocratique du Congo (RDC) et président de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) s’est rendu à un deuil situé à seulement deux parcelles à côté de la résidence de Kombo Kissi, actuel deuxième vice-président de l’Assemblée et « ancien » député de l’UDPS d’où il a été radié, occasionnant une situation tendue et anecdotique.
Accompagné d’un cortège avec un dispositif policier musclé et plusieurs dizaines de ses partisans, Etienne Tshisekedi est allé se recueillir ce vendredi en début de soirée auprès d’un proche de sa famille éprouvé à Kinshasa.
La visite qui aurait due être familiale s’est transformée à un « enjeu politique » lorsque le Lider-Maximo a foulé l’avenue Boyata dans la commune de la Gombe, la même que celle d’un certain… Timothée Nkombo Nkisi.
A son arriver à la résidence du défunt, M. Mukendi (parenté à la femme d’Etienne Tshisekedi), une situation tendue s’est installée entre les policiers du cortège de Tshisekedi, accompagnés des partisans de ce dernier et les policiers commis à la garde du désormais deuxième vice-président de l’Assemblée Nationale, dont la résidence est située à moins de deux mètres du lieu.
La foule qui accompagnait M. Tshisekedi chantait et scandait de slogans hostiles à l’endroit du député Kombo Nkisi, alors que les policiers de deux camps étaient au aguets.
Au final, plus de peur que de mal, il n’y aura finalement pas de « problème » et ce, malgré le fait que les « combattants » ont suppliés leur « Leader » d’aller « chercher Kombo » et de le « ramener à l’extérieur ».
A noter que selon des informations en notre possession, le député Kombo n’était même pas à sa résidence au moment de l’événement, et ce, jusque tard dans la nuit.
Kombo Nkisi Timothée, 76 ans, a été exclut de l’UDPS, 24 heures seulement après son installation à la tête du Bureau Provisoire de l’Assemblée Nationale, en sa qualité de Doyen d’âge.
Il a par la suite était élu au poste de deuxième vice-président de l’Assemblée lors d’une élection boycottée par l’opposition, accusant la majorité d’avoir déconsidéré ses candidats aux postes de deuxième vice-président et de rapporteur adjoint qui lui sont réservés, en poussant la candidature d’autres députés qu’elle n’avait pas désignés.
L’UDPS a exclu 33 de ses députés élus lors des législatives contestées de fin 2011 pour avoir siégé à l’Assemblée nationale bien que le leader du parti avait déclaré ces élections « nulles ».
BLC/ Rédaction Direct.cd
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.congoone.net/one/index.php?o ... &Itemid=54
La DGM : une barbouse maffieuse en mal de sécurité aux frontières du pays !
Écrit par Clément Wa Mbuyi
Vendredi, 20 Avril 2012 19:17
La Direction Générale de Migration, DGM en sigle n’est autre que la police aux frontières du Congo Rd à démocratiser. Héritière des services d’immigration et des renseignements du mobutisme où l’on ne rencontrait que des Ngwandi (tribu de Mobutu) et autres ressortissants de la province de l’Equateur, il faut aujourd’hui faire patte blanche pour appartenir à ce nouveau corps de sécurité du kabilisme : être Katangais (originaire de la province du Katanga), Rwandais pour ne pas utiliser le terme de tutsi congolais qu’on tente de nous imposer si carrément on ne parle pas swahili.
Depuis l’avènement au pouvoir en 1997 de l’AFDL de triste mémoire et de la manière que l’on connait, les services de sécurité aux frontières sont carrément devenus une véritable barbouze maffieuse en mal de sécurité. Même sous le mobutisme délétère, les choses n’étaient pas autant pires : l’extorsion contre les voyageurs, les tracasseries en tous genres et le rançonnage sont devenu le sport favori des individus sans foi ni loi opérant aux postes frontalières du pays dont le plus en vue demeure l’aéroport international de Kinshasa.
Du Directeur au simple petit agent commis à ce service, tous et chacun veut avoir sa part de gâteau en bakchich si le voyageur ne voudra pas avoir des pépins à l’entrée comme à la sortie du territoire national congolais. Pourtant, de la devanture de son site internet http://www.dgm.cd/ comme dans la bouche de tous ses responsables, on nous clame mains sur le cœur ceci : «La Direction Générale de Migration offre la possibilité aux migrants de séjourner agréablement en RDC et de bénéficier de l'hospitalité des Congolais». La réalité demeure toute autre chose car les pratiques de ce corps de sécurité sont pires que durant la deuxième république sous le mobutisme régnant. Bavardage de mauvais goût pour un service sensé accorder toutes les facilités aux étrangers comme aux nationaux entrant ou sortant du pays.
Des mauvais exemples à foisonnement. Trois congolais naturalisés américains et belges ont eu l’année dernière et cette même année une désagréable surprise de se voir confisquer simplement leurs passeports pour des motifs plus que dilatoires les uns que les autres. Le premier compatriote naturalisé américain s’est vu son visa carrément annulé à sa descente d’avion à Kinshasa pour cause de non réglementaire alors qu’il l’avait obtenu le plus légalement à l’ambassade Rd congolaise de Washington DC. C’était pourtant un troisième voyage familial qu’il effectuait au pays entre 2006 et 2011.
Voulant s’expliquer avec l’agent préposé, l’américano-congolais s’est entendu dure sèchement ces propos : vous vous imaginiez que les choses n’allaient jamais marcher dans ce pays. Aujourd’hui, nous n’avons plus besoin de vous et retournez d’où vous venez et ce, après avoir refusé de débourser 1500 dollars Us en vue de se faire mettre un nouveau visa (réglementaire celui-là) sur place à l’aéroport de la N’djili. Ce compatriote, ancien journaliste dans un grand quotidien de Kinshasa s’est vu refoulé le soir même de son arrivé à Kinshasa via le même vol de la SN Brussels Airlines qui l’avait ramené sur le sol de ses ancêtres.
Le deuxième cas est celui de cette dame habitant la province de Hainaut en Belgique dont le mari d’origine congolaise est professeur de mathématique dans une grande université belge. Retournée au pays presque en ce début 2012 pour enterrer son papa décédé à Kinshasa, elle s’est vu son passeport belge retenu par un agent zélé au motif qu’elle ne lui avait pas donné un peu de son CPAS (terme expliquant l’aide sociale accordée aux sans revenu en Belgique). Ayant refusé de s’exécuter, cette dame s’est vu qualifiée de tous les maux avec moult menaces en rapport avec le mouvement des combattants des congolais dans les diasporas européennes. Le dernier cas concernait un compatriote revenu au pays en novembre dernier comme observateur des élections après un autre séjour en août lors de la précampagne. Son visa ayant expiré d’un jour en décembre 2011 pour motif que les vols internationaux sur Kinshasa ne s’opéraient plus à cause des violences post-électorales, il s’est vu confisqué son passeport belge et expulsé de l’enceinte de l’aéroport pour motif d’irrégularité de séjour.
Pourtant dans des pays dits civilisés et démocratiques, l’irrégularité de séjour se voit toujours sanctionnée par une expulsion vers le pays d’origine du porteur du passeport en question. Ce que du reste le compatriote naturalisé belge avait réclamé auprès des services congolais après avoir refusé de payer 150 dollars US d’amende qu’on lui réclamait. Le zélé Directeur Administrateur de la DGM N’djili, le citoyen H. K. et ses agents se sont vu remis à leur place par le beau-frère de ce compatriote, lui-même Directeur et haut responsable des mêmes services au niveau national. La question qui se pose reste celle de savoir jusqu’à quand ces méthodes et pratiques héritées du mobutisme régneront-elles sous le kabilisme de mauvais alois ? Faut-il toujours avoir des relations pour se sortir des situations parfois ubuesques et dont on n’est pas l’auteur dans ce pays qui va de mal en pis sur le plan de la sécurité des biens et personnes ?
Les 19 Congolais expulsés de la Belgique. Un autre mauvais cas d’école à l’actif de la DGM est celui des 19 Congolais expulsés de la Belgique et arrivés le mercredi 7 mars dernier à Kinshasa. Ce, quelque jours avant la visité autant controversée qu’inutile de Didier Reynders, ministre libéral francophone belge des Affaires Etrangères. Présentés comme des délinquants sévissant en Belgique connus sous le nom des combattants; ce vocable identifiant les opposants au régime de la kabilie à travers les diasporas congolaises de l’étranger), on les a passé pour les bandits hors la loi agresseurs des responsables politiques congolais en voyage en dehors du pays comme Léon Kengo à Paris en décembre 2011ou Moïse Katumbi à Bruxelles en mars 2012.
Moqués et vilipendés sur les chaines Tv Télé 50 et Lingala facile, les mêmes personnes présentées comme de sans papiers sont revenus sur la RTNC dans un restaurant payé par le régime et vantant les bienfaits du kabilisme. Chose très curieuse, ces individus mal briffés par les services de la DGM se disant parent d’enfants et mari de femme naturalisés belges pour l’un, travailleur attendant son pécule de vacance dont il se demandait comment le récupérer pour le second n’ont convaincu personne en dehors des barbouzes zélés de Kinshasa. Car, selon la loi, on n’expulse pas les parents d’enfants belges même s’ils n’ont pas de papiers de séjour valable. Conclusion dans cette bêtise, les expulsés se disaient à même d’aider le chef de l’Etat dans la reconstruction du pays après avoir perdu tant de temps en Belgique…
Si l’Ambassade de la Belgique à Kinshasa avait présenté cette opération comme s’inscrivant dans le cadre de la coopération bilatérale entre les deux pays étant donné que ces personnes renvoyées vivent en situation irrégulière, la presse belge en disait autrement. Rappelons tout de même que la cinquantaine de Congolais vivant en Afrique du Sud expulsés via Lubumbashi en février 2012 avaient dû passer quelques jours à la prison de la Kassapa.
Pour un pays démocratique qui ne l’est que de nom, il faut que ça change !
Mise à jour le Vendredi, 20 Avril 2012 19:23
La DGM : une barbouse maffieuse en mal de sécurité aux frontières du pays !
Écrit par Clément Wa Mbuyi
Vendredi, 20 Avril 2012 19:17
La Direction Générale de Migration, DGM en sigle n’est autre que la police aux frontières du Congo Rd à démocratiser. Héritière des services d’immigration et des renseignements du mobutisme où l’on ne rencontrait que des Ngwandi (tribu de Mobutu) et autres ressortissants de la province de l’Equateur, il faut aujourd’hui faire patte blanche pour appartenir à ce nouveau corps de sécurité du kabilisme : être Katangais (originaire de la province du Katanga), Rwandais pour ne pas utiliser le terme de tutsi congolais qu’on tente de nous imposer si carrément on ne parle pas swahili.
Depuis l’avènement au pouvoir en 1997 de l’AFDL de triste mémoire et de la manière que l’on connait, les services de sécurité aux frontières sont carrément devenus une véritable barbouze maffieuse en mal de sécurité. Même sous le mobutisme délétère, les choses n’étaient pas autant pires : l’extorsion contre les voyageurs, les tracasseries en tous genres et le rançonnage sont devenu le sport favori des individus sans foi ni loi opérant aux postes frontalières du pays dont le plus en vue demeure l’aéroport international de Kinshasa.
Du Directeur au simple petit agent commis à ce service, tous et chacun veut avoir sa part de gâteau en bakchich si le voyageur ne voudra pas avoir des pépins à l’entrée comme à la sortie du territoire national congolais. Pourtant, de la devanture de son site internet http://www.dgm.cd/ comme dans la bouche de tous ses responsables, on nous clame mains sur le cœur ceci : «La Direction Générale de Migration offre la possibilité aux migrants de séjourner agréablement en RDC et de bénéficier de l'hospitalité des Congolais». La réalité demeure toute autre chose car les pratiques de ce corps de sécurité sont pires que durant la deuxième république sous le mobutisme régnant. Bavardage de mauvais goût pour un service sensé accorder toutes les facilités aux étrangers comme aux nationaux entrant ou sortant du pays.
Des mauvais exemples à foisonnement. Trois congolais naturalisés américains et belges ont eu l’année dernière et cette même année une désagréable surprise de se voir confisquer simplement leurs passeports pour des motifs plus que dilatoires les uns que les autres. Le premier compatriote naturalisé américain s’est vu son visa carrément annulé à sa descente d’avion à Kinshasa pour cause de non réglementaire alors qu’il l’avait obtenu le plus légalement à l’ambassade Rd congolaise de Washington DC. C’était pourtant un troisième voyage familial qu’il effectuait au pays entre 2006 et 2011.
Voulant s’expliquer avec l’agent préposé, l’américano-congolais s’est entendu dure sèchement ces propos : vous vous imaginiez que les choses n’allaient jamais marcher dans ce pays. Aujourd’hui, nous n’avons plus besoin de vous et retournez d’où vous venez et ce, après avoir refusé de débourser 1500 dollars Us en vue de se faire mettre un nouveau visa (réglementaire celui-là) sur place à l’aéroport de la N’djili. Ce compatriote, ancien journaliste dans un grand quotidien de Kinshasa s’est vu refoulé le soir même de son arrivé à Kinshasa via le même vol de la SN Brussels Airlines qui l’avait ramené sur le sol de ses ancêtres.
Le deuxième cas est celui de cette dame habitant la province de Hainaut en Belgique dont le mari d’origine congolaise est professeur de mathématique dans une grande université belge. Retournée au pays presque en ce début 2012 pour enterrer son papa décédé à Kinshasa, elle s’est vu son passeport belge retenu par un agent zélé au motif qu’elle ne lui avait pas donné un peu de son CPAS (terme expliquant l’aide sociale accordée aux sans revenu en Belgique). Ayant refusé de s’exécuter, cette dame s’est vu qualifiée de tous les maux avec moult menaces en rapport avec le mouvement des combattants des congolais dans les diasporas européennes. Le dernier cas concernait un compatriote revenu au pays en novembre dernier comme observateur des élections après un autre séjour en août lors de la précampagne. Son visa ayant expiré d’un jour en décembre 2011 pour motif que les vols internationaux sur Kinshasa ne s’opéraient plus à cause des violences post-électorales, il s’est vu confisqué son passeport belge et expulsé de l’enceinte de l’aéroport pour motif d’irrégularité de séjour.
Pourtant dans des pays dits civilisés et démocratiques, l’irrégularité de séjour se voit toujours sanctionnée par une expulsion vers le pays d’origine du porteur du passeport en question. Ce que du reste le compatriote naturalisé belge avait réclamé auprès des services congolais après avoir refusé de payer 150 dollars US d’amende qu’on lui réclamait. Le zélé Directeur Administrateur de la DGM N’djili, le citoyen H. K. et ses agents se sont vu remis à leur place par le beau-frère de ce compatriote, lui-même Directeur et haut responsable des mêmes services au niveau national. La question qui se pose reste celle de savoir jusqu’à quand ces méthodes et pratiques héritées du mobutisme régneront-elles sous le kabilisme de mauvais alois ? Faut-il toujours avoir des relations pour se sortir des situations parfois ubuesques et dont on n’est pas l’auteur dans ce pays qui va de mal en pis sur le plan de la sécurité des biens et personnes ?
Les 19 Congolais expulsés de la Belgique. Un autre mauvais cas d’école à l’actif de la DGM est celui des 19 Congolais expulsés de la Belgique et arrivés le mercredi 7 mars dernier à Kinshasa. Ce, quelque jours avant la visité autant controversée qu’inutile de Didier Reynders, ministre libéral francophone belge des Affaires Etrangères. Présentés comme des délinquants sévissant en Belgique connus sous le nom des combattants; ce vocable identifiant les opposants au régime de la kabilie à travers les diasporas congolaises de l’étranger), on les a passé pour les bandits hors la loi agresseurs des responsables politiques congolais en voyage en dehors du pays comme Léon Kengo à Paris en décembre 2011ou Moïse Katumbi à Bruxelles en mars 2012.
Moqués et vilipendés sur les chaines Tv Télé 50 et Lingala facile, les mêmes personnes présentées comme de sans papiers sont revenus sur la RTNC dans un restaurant payé par le régime et vantant les bienfaits du kabilisme. Chose très curieuse, ces individus mal briffés par les services de la DGM se disant parent d’enfants et mari de femme naturalisés belges pour l’un, travailleur attendant son pécule de vacance dont il se demandait comment le récupérer pour le second n’ont convaincu personne en dehors des barbouzes zélés de Kinshasa. Car, selon la loi, on n’expulse pas les parents d’enfants belges même s’ils n’ont pas de papiers de séjour valable. Conclusion dans cette bêtise, les expulsés se disaient à même d’aider le chef de l’Etat dans la reconstruction du pays après avoir perdu tant de temps en Belgique…
Si l’Ambassade de la Belgique à Kinshasa avait présenté cette opération comme s’inscrivant dans le cadre de la coopération bilatérale entre les deux pays étant donné que ces personnes renvoyées vivent en situation irrégulière, la presse belge en disait autrement. Rappelons tout de même que la cinquantaine de Congolais vivant en Afrique du Sud expulsés via Lubumbashi en février 2012 avaient dû passer quelques jours à la prison de la Kassapa.
Pour un pays démocratique qui ne l’est que de nom, il faut que ça change !
Mise à jour le Vendredi, 20 Avril 2012 19:23
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Le combattant Henry MUKE en séjour aux Etats-Unis...
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Lundi 23 avril 2012
VIDEO: WATCH CONGO'S 'TERMINATOR' JUST AS DANGEROUS AS KONY: BOSCO NTAGANDA A TUTSI RWANDESE
international Press : JUSTICE FOR THE CONGOLESE VICTIMS OF WAR
Video:Watch Congo's 'Terminator' just as dangerous as Kony/ regardez l'exterminateur des Congolais, Bosco Ntaganda, aussi dangereux que Kony
Jonathan Miller reports on Bosco Ntaganda, a Ruandese from the RPF now general and chief of a ruandan militia CNDP within the Congolese Army, he is known as The Terminator, who is wanted by the International Criminal Court for conscripting child soldiers and orchestrating mass killings in the Congo with the support of the congolese government. See Video: Jonathan Miller reports on Bosco Ntaganda, known as The Terminator: JUSTICE HAS TO BE DONE FOR THE CONGOLESE VICTIMS !
http://link.brightcove.com/services/pla ... 3745109001
L'EXTERMINATEUR DES KONGOLAIS / THE CONGO's TERMINATOR , LE RWANDAIS GENOCIDAIRE BOSCO NTAGANDA DOIT ETRE ARRETE ET TRADUIT AU TRIBUNAL PENAL INTERNATIONAL A LA HAYE! suivez la video et mobilisons-nous ! LARGE DIFFUSION SVP.
International PRESS ASSOCIATION
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