Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
OLIVE KABILA SURPISE PAR LES COMBATTANTS DANS SA LUXUEUSE VILLA EN BELGIQUE (IMAGES EN MONTAGE)
http://banamikili.skyrock.com/308150239 ... LA-EN.html
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7216
Province du Nord Kivu : Ntaganda replié dans le Masisi
Redoutant un transfert peu probable à la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye, au Pays-Bas, le «général» Bosco Ntaganda, alias "Terminator", se serait replié dans le Territoire de Masisi - à Ngungu ? - en compagnie de plusieurs centaines d’ex-combattants et officiers, étiquetés CNDP, intégrés de manière chaotique dans les FARDC. Va-t-on assister à la renaissance d’une «nouvelle rébellion congolaise» lancée à partir de... Kigali? Des observateurs voient dans la récente «démonstration de force» de Ntaganda lundi 2 avril à Goma une «mise en scène concertée» avec «Joseph Kabila». Objectif : «impressionner» l’opinion tant nationale qu’internationale. Une source proche du CNDP exclut l’hypothèse de la relance d’un mouvement insurrectionnel. Selon lui, les ex-combattants du CNDP seraient «mécontents» de leurs conditions sociales au sein des FARDC.
Que se passe-t-il dans la province du Nord Kivu? Selon des sources kivutiennes, des villages désertés par des autochtones, fuyant les groupes armés, seraient en cours de «repeuplement» par des «familles» venues du Rwanda voisin. Rumeurs non fondées?
«Retour à une paix durable»
Mercredi 4 avril, les députés nationaux originaires de cette Région ont été reçus par le Premier ministre intérimaire, le PPRD Louis-Alphonse Koyagialo. Leur message s’est limité en une demande de «l’implication efficace et totale» du gouvernement afin de promouvoir «le retour d’une paix durable» dans cette partie du pays. Une région qui est déstabilisée depuis plus d’une décennie par des groupes armés. Porte-parole du groupe, le député Konde Vila Kikanda a précisé «qu’actuellement au Nord-Kivu, on déplore les attaques des groupes armés et des cas d’extorsions qui prennent de l’ampleur, sans compter les assassinats».
Tout commence avec le verdict rendu le 14 mars dernier par la CPI sur le cas de l’ex-chef milicien Thomas Lubanga Diylo reconnu coupable de «crimes de guerre» pour avoir - entre septembre 2002 et août 2003 - enrôlé dans sa milice des enfants de moins de 15 ans. Bras droit de Lubanga à l’époque des faits, Bosco Ntaganda, lui, continue à se restaurer dans les meilleurs restaurants de la ville. Il jouit de la protection du "raïs". Le procureur près la CPI Luis Moreno Ocampo a, à l’issue du prononcé de cet arrêt, invité les autorités congolaises à assurer le «transfert» de «Bosco» à La Haye. Subterfuge? Dans son édition n°2673 datée du 1er au 7 avril 2012, l’hebdomadaire «Jeune Afrique» note dans sa rubrique «Confidentiel» que «Joseph Kabila chercherait à donner des gages à la communauté internationale afin de tourner la page de la présidentielle contestée de novembre 2011». Il s’agit sans doute d’une vue de l’esprit dans la mesure où, derrière Ntaganda, il y a des gros intérêts …rwandais en jeu. Livrer "Bosco", équivaudrait pour "Joseph" à un "suicide". A ses interlocuteurs, «Kabila» n’a jamais cessé de clamer que l’arrestation de Ntaganda serait de nature à compromettre «les efforts consentis pour la pacification de l’Est du pays». Pacification? Quelle pacification?
Duplicité de la «communauté internationale»
Depuis janvier 2009, Bosco Ntaganda joue le rôle de commandant en second de toutes les opérations dites de «traque» des rebelles hutus des FDLR. «Bosco» côtoie au quotidien les forces onusiennes basées au Kivu. Les opérations «Umoja Wetu», «Kimya» et autre «Amani leo» n’o guère produit les effets annoncés. Ces opérations n’ont été en réalité qu’un épais écran de fumée pour couvrir une vaste action d’infiltration des troupes régulières de l’armée rwandaise (RDF) dans les rangs des FARDC avant de se répandre dans les coins ert recoins. Tout ceci, avec la complicité de «Joseph Kabila» et celle de deux de ses principaux collaborateurs d’alors. Il s’agit de John Numbi Banza Tambo et de Augustin Katumba Mwanke (décédé le 12 février dernier). Les deux provinces du Kivu ont été «données» au satrape rwandais. C’était le "prix à payer" pour la survie politique de «Joseph». Un porte-parole du département d’Etat américain n’a-t-il pas osé déclarer l’année dernière que les deux Kivu étaient considérés comme partie intégrante du Rwanda? Ancien sous-secrétaire d’Etat aux Affaires africaines, Herman Cohen n’a pas dit autre chose. Dans une tribune libre publiée dans «New York Times», en janvier 2009, Cohen de soutenir sans broncher que l’avènement d’une paix durable entre Kigali et Kinshasa dépendrait de la mise sur pied d’un «marché commun». «Si un tel marché commun était instauré, le Rwanda et la RD Congo n’auraient plus besoin de se faire la guerre», disait-il. En fait le Rwanda de Paul Kagame n’a guère besoin d’un «common market» puisqu’il peut "se servir" grâce à ses supplétifs tels que Ntaganda.
L’arrestation de Lubanga à Kinshasa fin 2005 a été précédée par des pressions exercées sur les autorités congolaises par le Conseil de sécurité des Nations Unies. L’ex-chef milicien a été embarqué la nuit dans un avion français à l’insu des autorités judiciaires congolaises. D’aucuns avaient qualifié cette "extradition" d’enlèvement au motif que la procédure en la matière n’a pas été respectée. Que voit-on dans le cas Ntaganda? Ici, le même Conseil de sécurité devient aphone. Et dire que le mandat d’arrêt a été émis en 2006.
On ne peut que comprendre l’attitude digne de Ponce Pilate adoptée par les responsables de la Mission de l’Onu dite de «stabilisation» au Congo. Depuis le mois de juillet 2009, la Monusco répète sans cesse que « la question du transfert de Bosco Ntaganda à la Cour pénale internationale demeure une initiative du gouvernement» congolais. Au cours d’un point de presse tenu mercredi 4 avril 2012, le porte-parole de la Monusco, Madnodje Mounoubai, a répété la même rengaine en soulignant que la Monusco «n’est impliquée ni de loin, ni de près» dans l’arrestation de Ntaganda. Ajoutant : «Bosco Ntaganda est sous le coup du mandat d’arrêt de la CPI. La RDC a une responsabilité et est tenue de respecter ses engagements du statut de Rome et d’autres conventions». Question : A quel jeu se livre la nébuleuse «communauté internationale» ? Duplicité ?
Au moment de boucler ce «papier», une source proche du CNDP contacte l’auteur de ces lignes. «Je tiens à vous confirmer que des militaires et des officiers étiquetés CNDP ont décidé de se replier dans le Masisi en protestation contre la médiocrité des conditions sociales dans les FARDC, dit-il. Bosco se trouve aussi dans le Masisi. Tous les groupes armés de l’Est ont adopté une position commune pour exiger une meilleure qualité de vie. Les autorités de Kinshasa doivent bien traiter les militaires. L’Etat doit prendre soin de la population, des militaires et des fonctionnaires. Si les Kinois avaient eu le courage de descendre dans la rue, ce «Monsieur» (Joseph Kabila, Ndlr) aurait déjà été chassé du pouvoir…».
«Tous les Congolais sont égaux devant la loi et ont droit à une égale protection des lois», stipule l’article 12 de la Constitution congolaise. Bosco Ntaganda doit être transféré à La Haye au même titre que Lubanga, Germain Katanga et Mathieu Goudjolo. Il faut espérer que les nouveaux députés nationaux auront le courage d’exiger à «Joseph Kabila», dont la passivité frise la félonie, la divulgation du contenu des accords secrets conclus en décembre 2008 et janvier 2009 avec le Rwanda de Paul Kagamé. Les Citoyens ont le droit de savoir...
Baudouin Amba Wetshi
© Congoindépendant 2003-2012
Province du Nord Kivu : Ntaganda replié dans le Masisi
Redoutant un transfert peu probable à la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye, au Pays-Bas, le «général» Bosco Ntaganda, alias "Terminator", se serait replié dans le Territoire de Masisi - à Ngungu ? - en compagnie de plusieurs centaines d’ex-combattants et officiers, étiquetés CNDP, intégrés de manière chaotique dans les FARDC. Va-t-on assister à la renaissance d’une «nouvelle rébellion congolaise» lancée à partir de... Kigali? Des observateurs voient dans la récente «démonstration de force» de Ntaganda lundi 2 avril à Goma une «mise en scène concertée» avec «Joseph Kabila». Objectif : «impressionner» l’opinion tant nationale qu’internationale. Une source proche du CNDP exclut l’hypothèse de la relance d’un mouvement insurrectionnel. Selon lui, les ex-combattants du CNDP seraient «mécontents» de leurs conditions sociales au sein des FARDC.
Que se passe-t-il dans la province du Nord Kivu? Selon des sources kivutiennes, des villages désertés par des autochtones, fuyant les groupes armés, seraient en cours de «repeuplement» par des «familles» venues du Rwanda voisin. Rumeurs non fondées?
«Retour à une paix durable»
Mercredi 4 avril, les députés nationaux originaires de cette Région ont été reçus par le Premier ministre intérimaire, le PPRD Louis-Alphonse Koyagialo. Leur message s’est limité en une demande de «l’implication efficace et totale» du gouvernement afin de promouvoir «le retour d’une paix durable» dans cette partie du pays. Une région qui est déstabilisée depuis plus d’une décennie par des groupes armés. Porte-parole du groupe, le député Konde Vila Kikanda a précisé «qu’actuellement au Nord-Kivu, on déplore les attaques des groupes armés et des cas d’extorsions qui prennent de l’ampleur, sans compter les assassinats».
Tout commence avec le verdict rendu le 14 mars dernier par la CPI sur le cas de l’ex-chef milicien Thomas Lubanga Diylo reconnu coupable de «crimes de guerre» pour avoir - entre septembre 2002 et août 2003 - enrôlé dans sa milice des enfants de moins de 15 ans. Bras droit de Lubanga à l’époque des faits, Bosco Ntaganda, lui, continue à se restaurer dans les meilleurs restaurants de la ville. Il jouit de la protection du "raïs". Le procureur près la CPI Luis Moreno Ocampo a, à l’issue du prononcé de cet arrêt, invité les autorités congolaises à assurer le «transfert» de «Bosco» à La Haye. Subterfuge? Dans son édition n°2673 datée du 1er au 7 avril 2012, l’hebdomadaire «Jeune Afrique» note dans sa rubrique «Confidentiel» que «Joseph Kabila chercherait à donner des gages à la communauté internationale afin de tourner la page de la présidentielle contestée de novembre 2011». Il s’agit sans doute d’une vue de l’esprit dans la mesure où, derrière Ntaganda, il y a des gros intérêts …rwandais en jeu. Livrer "Bosco", équivaudrait pour "Joseph" à un "suicide". A ses interlocuteurs, «Kabila» n’a jamais cessé de clamer que l’arrestation de Ntaganda serait de nature à compromettre «les efforts consentis pour la pacification de l’Est du pays». Pacification? Quelle pacification?
Duplicité de la «communauté internationale»
Depuis janvier 2009, Bosco Ntaganda joue le rôle de commandant en second de toutes les opérations dites de «traque» des rebelles hutus des FDLR. «Bosco» côtoie au quotidien les forces onusiennes basées au Kivu. Les opérations «Umoja Wetu», «Kimya» et autre «Amani leo» n’o guère produit les effets annoncés. Ces opérations n’ont été en réalité qu’un épais écran de fumée pour couvrir une vaste action d’infiltration des troupes régulières de l’armée rwandaise (RDF) dans les rangs des FARDC avant de se répandre dans les coins ert recoins. Tout ceci, avec la complicité de «Joseph Kabila» et celle de deux de ses principaux collaborateurs d’alors. Il s’agit de John Numbi Banza Tambo et de Augustin Katumba Mwanke (décédé le 12 février dernier). Les deux provinces du Kivu ont été «données» au satrape rwandais. C’était le "prix à payer" pour la survie politique de «Joseph». Un porte-parole du département d’Etat américain n’a-t-il pas osé déclarer l’année dernière que les deux Kivu étaient considérés comme partie intégrante du Rwanda? Ancien sous-secrétaire d’Etat aux Affaires africaines, Herman Cohen n’a pas dit autre chose. Dans une tribune libre publiée dans «New York Times», en janvier 2009, Cohen de soutenir sans broncher que l’avènement d’une paix durable entre Kigali et Kinshasa dépendrait de la mise sur pied d’un «marché commun». «Si un tel marché commun était instauré, le Rwanda et la RD Congo n’auraient plus besoin de se faire la guerre», disait-il. En fait le Rwanda de Paul Kagame n’a guère besoin d’un «common market» puisqu’il peut "se servir" grâce à ses supplétifs tels que Ntaganda.
L’arrestation de Lubanga à Kinshasa fin 2005 a été précédée par des pressions exercées sur les autorités congolaises par le Conseil de sécurité des Nations Unies. L’ex-chef milicien a été embarqué la nuit dans un avion français à l’insu des autorités judiciaires congolaises. D’aucuns avaient qualifié cette "extradition" d’enlèvement au motif que la procédure en la matière n’a pas été respectée. Que voit-on dans le cas Ntaganda? Ici, le même Conseil de sécurité devient aphone. Et dire que le mandat d’arrêt a été émis en 2006.
On ne peut que comprendre l’attitude digne de Ponce Pilate adoptée par les responsables de la Mission de l’Onu dite de «stabilisation» au Congo. Depuis le mois de juillet 2009, la Monusco répète sans cesse que « la question du transfert de Bosco Ntaganda à la Cour pénale internationale demeure une initiative du gouvernement» congolais. Au cours d’un point de presse tenu mercredi 4 avril 2012, le porte-parole de la Monusco, Madnodje Mounoubai, a répété la même rengaine en soulignant que la Monusco «n’est impliquée ni de loin, ni de près» dans l’arrestation de Ntaganda. Ajoutant : «Bosco Ntaganda est sous le coup du mandat d’arrêt de la CPI. La RDC a une responsabilité et est tenue de respecter ses engagements du statut de Rome et d’autres conventions». Question : A quel jeu se livre la nébuleuse «communauté internationale» ? Duplicité ?
Au moment de boucler ce «papier», une source proche du CNDP contacte l’auteur de ces lignes. «Je tiens à vous confirmer que des militaires et des officiers étiquetés CNDP ont décidé de se replier dans le Masisi en protestation contre la médiocrité des conditions sociales dans les FARDC, dit-il. Bosco se trouve aussi dans le Masisi. Tous les groupes armés de l’Est ont adopté une position commune pour exiger une meilleure qualité de vie. Les autorités de Kinshasa doivent bien traiter les militaires. L’Etat doit prendre soin de la population, des militaires et des fonctionnaires. Si les Kinois avaient eu le courage de descendre dans la rue, ce «Monsieur» (Joseph Kabila, Ndlr) aurait déjà été chassé du pouvoir…».
«Tous les Congolais sont égaux devant la loi et ont droit à une égale protection des lois», stipule l’article 12 de la Constitution congolaise. Bosco Ntaganda doit être transféré à La Haye au même titre que Lubanga, Germain Katanga et Mathieu Goudjolo. Il faut espérer que les nouveaux députés nationaux auront le courage d’exiger à «Joseph Kabila», dont la passivité frise la félonie, la divulgation du contenu des accords secrets conclus en décembre 2008 et janvier 2009 avec le Rwanda de Paul Kagamé. Les Citoyens ont le droit de savoir...
Baudouin Amba Wetshi
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
KANAMBE veut encore nous organiser un théâtre macabre, façon Mushake, en envoyant nos fils militaires dans des embuscades qu'il a planifiés, lui et son mentor Kagame...Mais sa fin approche, tout ça n'est que distractions, bientôt l'Etat de droit va s'installer...
http://www.20minutes.fr/ledirect/912105 ... forts-kivu
Monde
RDC: L'armée envoie des renforts dans le Kivu
Mis à jour le 05.04.12 à 22h43
L'armée congolaise a dépêché des centaines de soldats en renfort dans les provinces du Kivu, dans l'Est de la RDC, après l'abandon de poste de centaines de militaires gouvernementaux et des accrochages entre factions rivales au sein de l'armée, ont annoncé jeudi des responsables.
Le Nord et le Sud-Kivu sont en état d'alerte renforcé depuis le week-end lorsqu'ont circulé des rumeurs d'arrestation imminente de Bosco Ntaganda, ancien chef de milice aujourd'hui intégré dans l'armée nationale dont il a le grade de général.
Il est recherché pour crimes de guerre par la Cour pénale internationale (CPI), qui exerce des pressions sur Kinshasa pour obtenir son extradition.
Le gouvernement de la République démocratique du Congo s'y est refusé jusqu'ici en faisant valoir que l'influence de ce militaire est une garantie de paix dans cette région volatile frontalière du Rwanda et de l'Ouganda.
Un journaliste de Reuters présent à l'aéroport de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, a assisté au débarquement de centaines de soldats congolais venus, selon l'état-major local, rétablir l'ordre.
Reuters
http://www.20minutes.fr/ledirect/912105 ... forts-kivu
Monde
RDC: L'armée envoie des renforts dans le Kivu
Mis à jour le 05.04.12 à 22h43
L'armée congolaise a dépêché des centaines de soldats en renfort dans les provinces du Kivu, dans l'Est de la RDC, après l'abandon de poste de centaines de militaires gouvernementaux et des accrochages entre factions rivales au sein de l'armée, ont annoncé jeudi des responsables.
Le Nord et le Sud-Kivu sont en état d'alerte renforcé depuis le week-end lorsqu'ont circulé des rumeurs d'arrestation imminente de Bosco Ntaganda, ancien chef de milice aujourd'hui intégré dans l'armée nationale dont il a le grade de général.
Il est recherché pour crimes de guerre par la Cour pénale internationale (CPI), qui exerce des pressions sur Kinshasa pour obtenir son extradition.
Le gouvernement de la République démocratique du Congo s'y est refusé jusqu'ici en faisant valoir que l'influence de ce militaire est une garantie de paix dans cette région volatile frontalière du Rwanda et de l'Ouganda.
Un journaliste de Reuters présent à l'aéroport de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, a assisté au débarquement de centaines de soldats congolais venus, selon l'état-major local, rétablir l'ordre.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
ERKA,
Il est bon de se rafrraîchir la mémoire de ce NGBANDA et de se garder de son "tshintu", son "truc" APARECO, comme le dit Ya Tshitshi...kie kie kie kie kie
http://afrique.kongotimes.info/rdc/dias ... banda.html
Rewind : La face cachée du TERMINATOR Honoré NGBANDA
05/04/2012 18:58:00KongoTimes!
L’homme qui, actuellement entrave la libération du Congo, à cause du lourd lot des malchances accumulées au fil d'innombrables méfaits à son actif. Il tient en otage les bonnes volontés et les potentialités combattives susceptibles de faire la différence dans la lutte actuelle contre l'occupation rwandaise.
Le discours d'Honoré Ngbanda est certes mobilisateur et bon pour la formation des consciences, mais le problème consiste en la composition ésotérique de son être qui est des plus défectueux.
Dans cet état, son corps spirituel est désormais programmé à n'émettre que de l'énergie négative, entrainant dans son sillage une dynamique de malchances, source de défaillance et d'échecs à répétition dans toutes les entreprises qu'il initierait ou auxquelles il serait associé (Mystique bantoue, éclairée par la révélation chrétienne).
Il est par conséquent ce qu'on appelle ''un éternel perdant'', et il n'y peut rien ; personne n'y peut !
PREAMBULE
Les crimes d'Honoré Ngbanda ko Atumba, dit, à raison, le Terminator.
Honoré Ngbanda,
Ceux qui ne connaissent pas son passé, surtout certains jeunes qu'il a abrutis par ses délires, pensent être en face d'un nouveau ''saint'' disons ''saint Ngbanda'' qui, pour ceux qui le connaissent, est l'incarnation même de l'esprit diabolique.
En écrivant son livre ''Crimes organisés en Afrique centrale, Saint Honoré a omis de le conclure avec l'important chapitre qu'on titrerait : ''La prise en otage de la libération du Congo par Ngbanda ko Atumba, Papa pusa motuka'', pour ses fidèles suiveurs.
En effet, après avoir jeté le Congo dans le gouffre profond de la turbulence actuelle, Saint Honoré, avec ses fantasmes jette de la poudre aux yeux des congolais en prétendant être le sauveur du Congo des griffes des rwandais.
Pourtant, l'incompétence criante dont il a fait montre tout au long de sa terrifiante carrière aux côtés de Mobutu, son art de criminel mis à part, devait l'amener à un peu plus de modestie et surtout de la compassion pour ce peuple qui ne sait à quel saint se vouer !
Les langues de ses anciens barbouzes se sont déliées et voici ci-après quelques uns de ses très nombreux crimes:
1 Les pratiques démoniaques du régime Mobutu exigent des sacrifices humaines.
Le régime de Mobutu évoluait et tenait par des pratiques ténébreuses des sociétés secrètes dont le breuvage du sang humain. Ils appelaient cela 'le pacte du sang'.
Le suprême prêtre étant le maréchal lui-même, la sous-prêtrise revint au fil des années à l'honorable Honoré Ngbanda. C'est lui qui choisissait, capturait et immolait les victimes humaines dont le sang servait au breuvage en dans le seul but d'augmenter et renforcer la puissance dans la pratique du pouvoir.
Les victimes à immoler devaient appartenir à ces trois ethnies : Luba, Mongo et Nkongo !
Bien que les raisons de ces choix et les critères de sélection n'aient pas été divulguées, les Kinois ont une bonne mémoire des disparitions inexpliquées et souvent observées, des citoyens tout au long du règne du Mobutisme.
2. La mort du général Mahele Lieko.
Assassinat commandité et ordonné par le rancunier Ngbanda !
En page 328 de votre livre intitulé '' Ainsi sonne le glas, les derniers jours du maréchal Mobutu'', il précise qu'il espionnait les deux généraux Mahele Lieko et Ilunga Shamanga qui se concertaient par téléphone pour trouver une solution concertée en vue d'éviter un bain de sang à Kinshasa.
Mahele qui était Chef d'Etat Major général avait décidé et informé son collègue qu'il fera le tour des garnisons pour demander aux militaires de déposer les armes étant donné qu'il n'était plus tactiquement possible d'opposer une résistance aux forces de l'AFDL!
Mahele que Ngbanda espionnait déjà au travers la prénommée '' Youyou'', une des ses 'hirondelles' ( les femmes qu'il utilisait pour espionner et assassiner des personnalités, dont Bielo, son adjoint au SNIP par empoisonnement et, qui étaient aussi ses maîtresses), devenue sa ''copine''.
Honoré Ngbanda estimait que Mahele le dérangeait et dérangeait son plan de s'accaparer du pouvoir après Mobutu!
Général Mahele Lieko. Un bantou de l'Equateur. Ngbanda ne lui jamais pardonné d'avoir en 1992, prévenu le peuple congolais de la présence des soldats étrangers assignés à massacrer les chrétiens et surtout son Mea Culpa à la CNS.
Lorsque Mahele était arrivé au camp Tshatshi, ses assassins l'y attendaient, et en ce moment Ngbanda était en communication avec eux, et c'est lui qui leur a ordonné de l'exécuter!
Contrairement à Ngbanda, le général Mahele était un soldat et non un SS comme lui-même ni un traître, et son devoir de soldat était de protéger la population ! En ordonnant de déposer les armes, il remplissait son devoir et c'est pourquoi Honoré l'a fait tuer !
3. C'est Ngbanda qui a initié l'inoculation délibérée du virus du sida aux prisonniers politiques :
Dans son interview, au potentiel, il a confirmé la réalité de cette pratique, lorsque l'exécutant de ce macabre besogne du SARM lui avait demandé d'utiliser le produit contaminé du virus du sida sur Etienne Tshisekedi, Ngbanda a prétendu lui avoir sauvé la vie en ordonnant de ne pas le faire parce qu'effectivement, ce contre-ordre venait précisément du donneur d'ordre! C'est à- dire Honnoré Ngbanda Nzambo Yako Tumba. En fait il faut dire qu'il avait épargné Tshisekedi.
Pour rappel il faut noter que ce dernier luttait pour la libération du peuple congolais de la sauvage dictature de la II ème République et cela dérangeait le bestial régime de Mobutu qui chosifiait l'homme congolais.
De nombreux membres de l'UDPS et des partis d'opposition, et certaines personnalités politiques avaient donc été délibérément infectés du sida après avoir été molestés et blessés par les agents de Ngbanda pour ensuite être ''soignés'' avec des ''produits'' infectés.
Le combattant de l'Udps Kanana et bien d'autres en ont succombé.
L'artiste Ngeleka Kandanda avait subi ce sort au travers son épouse qui avait été arrêtée, faute de l'avoir été lui-même, molestée et soignée par après par le régime de la IIème république !
Feu M. Ngeleka n'avait cessé et à maintes reprise, de dénoncer cette pratique !
Aujourd'hui disparus, sa femme et lui-même, il revient donc à ses enfants qui connaissent ce dossier de porter plainte contre Honoré Ngbanda, le Terminator!
Aussi, nous pensons que l'OMS est en droit d'initier une enquête sur ce dossier pour crime contre l'humanité !
4. Les Forces d'intervention spéciales, FIS,
Formées en Afrique du Sud et en Israël, mises sous le control direct et l'ordre du Terminator pour mener des actions terroristes (hiboux). Affreux souvenir des Kinois !
C'est sur l'ordre de Ngbanda qu'elles ont plastiqué et fait sauter l'imprimerie de l'éditeur du journal Elima Essolomwa Nkoy, de même que la maison de Kibassa Maliba, le Président de l'UDPS, assassinant du même coup deux de ses enfants !
5. Opération ''Lititi! Mboka!''
Le massacre des étudiants à Lubumbashi en mai 1990 !
Lequel, hypocritement, il se défend aujourd'hui de n'y être pour rien alors qu'il était le responsable de la sécurité, prétendant qu'il n'y a pas de preuves que ce massacre ait eu lieu! Ceci est encore frais à la mémoire que les dortoirs et autres bâtiments furent repeints à la hâte, dans le but d'effacer toutes les traces !
Les étudiants rescapés, traumatisés jusqu'à ce jour ne seraient que très soulagés de se décharger du fardeau de ce cauchemar, l'occasion leur serait-elle donnée de s'exprimer devant une commission internationale d'enquête capable de leur garantir la sécurité. Tout ramène sur Ngbanda la responsabilité de ces massacres avérés d'étudiants au campus de Lubumbashi le 10-12 Mai 1990, étant à cette époque le bras de fer qui frappait dans l'ombre ! Il est reconnu que les corps des morts de cette nuit-là ont été disposés sur ordre de Ngbanda, cerveau et organisateur des basses besognes.
6. Les ''hirondelles'',
Ces femmes qui accomplissaient la sale besogne d'élimination physique des personnalités politiques en l'occurrence une certaine Marie Jeanne que Ngbanda connait bien parce qu'elle était sa maîtresse, et qui a à son actif la disparition de Nzondomio, Godefroid Munongo entre autres!
7. ''Joseph'' était le nom de code de Ngbanda en Côte d'Ivoire
De puis les temps d'Houpheit Boigny, le régime de Mobutu entretenait de très bonnes relations avec les milieux du pouvoir ivoirien, notamment les services de sécurité !
La mémoire des Kinois est encore fraiche. Le 16 février 1992, les Kinois se rappellent et en parlent, que les soldats qui ont massacré les chrétiens n'avaient rien de congolais : ils parlaient ni lingala ni shwaili, ni tshiluba moins encore kikongo. Ils avaient la peau toute noire et une morphologie de loin non semblable à celle reconnue aux zairois.
D'ailleurs le Général Mahele avait prévenu les manifestants en jour de la manifestation: ''bozonga ndaku, babengisi ba soldats ya bapaya mpo boboma bino''. Effectivement, certains militaires ivoiriens aujourd'hui à la retraite, ont délié leurs langues.
Ils affirment sans la moindre hésitation avoir fait cette campagne de Kinshasa en 1992, ensemble aux côtés des togolais et soudanais de John Garang.
Recrutés par ''Joseph'', ils ont massacré les kinois sans autre état d'âme.
Ces aveux ne laissent planer aucun doute !
C'est à partir de cette époque (les années 1990) que ''Terminator'' se chuchotait dans la bouche des Kinois. C'est aussi à cette époque que Mahele entrait en disgrâce dans le milieu clanique des Ngbandis du cercle du pouvoir, ce qui se soldera en 1997 par sa mort commanditée et ordonnée par le haineux Terminator !
Un diable plus diabolique que Lucifer
Ngbanda ne cessait de répéter à Mobutu : on est mieux servi que par soi-même.
Il finit donc de parfaire la création d'une armée entièrement tribale et composée uniquement des Ngbandis, la terrible DSP. La campagne de recrutement des jeunes ngbandis débutée en 1972 connaît son apogée au moment où Nbganda s'occupe personnellement du dossier.
A côté de la DSP, il y aura aussi une autre branche un peu diluée qu'on connaitra comme la ''La Garde Civile'' où trônera un autre Ngbandi, le ''Général'' BaraMoto'' . Ainsi le règne Ngbandi sur les autres tribus et ethnies se perpétuera de génération à génération !
C'est alors, qu'exerçant les fonctions de ministre de la défense que le Terminator couvrait le trafic illicite des équipements de l'armée à son propre compte, avec Jonas Savimbi l'angolais!
Ministre de la défense nationale de II ème république
1. Mise en retraite de toutes les unités de l'armée nationale. Un pays sans armée !
'' Tango nalobaka, oyo elokoya eya, natiyaka mayele na ngai na Ngbanda''- Mobutu Sese Seko, Président-Fondateur, chef de l'exécutif où trône l'expert-stratège Honoré Ngbanda !
La IIème République vivait une sorte d'obsession maladive d'un éventuel ''danger de Coup d'Etat des rangs des Forces Armées Zairoises''.
Le ministre de la défense nationale Honoré Ngbanda s'emmène avec une solution magique et définitive :
a. Il désarme les Forces armées zaïroises (FAZ),
b. Il clochardise tous ces ex-hommes en uniforme. Il les chasse des camps et oblige les officiers à partager à deux, ensemble avec leurs familles de petites maisons de deux chambres de l'époque coloniale
c. Il met un terme aux traitements et oblige ces pères de famille à se débrouiller aux fins de subvenir aux besoins de leurs familles. Ainsi, ces ex-hommes en armes s'organisent en bandes des rançonneurs impitoyables d'innocentes populations civiles!
Pas étonnant donc qu'aujourd'hui il soit haï comme l'est son maitre Mobutu dans les milieux de ces ex-Faz ou de tout autre personnel paramilitaire de cette époque !
2. L'incompétence aux conséquences désastreuses pour toute une nation !
La clique des Ngbandis qui s'était arrogé le pouvoir de gérer les destinées de grandes ethnies et tribus du Grand Congo, ne s'encombrait pas de gène. Ils se permettaient de changer et d'occuper à volonté les postes de responsabilités de leurs propres choix. C'était toujours les mêmes noms : Bolozi, BaraMoto, Ndzimbi, Ngbanda…et autres Seti, Kengo….Tout se passait et se transmettait en langue natale le 'Kingbandi'.
De cette bande un seul avait l'imperium universel, c.à.d. de la prééminence en tout et pour tout : Honoré Nganda qui pouvait tout s'offrir et faire tout à volonté ! Il suffisait de référer ou non à son ''Kulutu'', comprenez le Maréchal Mobutu, il avait carte blanche ! Il pouvait devenir ministre quand il le veut, conseiller quand ça lui vaut !
Kulutu ''Waza''de Ya Nzambo, chef de file des vampires et incompétents de la IIème République.
Alors que le commun des congolais voyait une joie à peine contenue la décadence et la fin du régime Mobutu se profiler à l'horizon, tout en nourrissant l'espoir de voir enfin aboutir la lutte pour un pays démocratique où le peuple entier aura un mot à dire dans la gestion des destinées nationales, quelqu'un se frottait les mains dans l'ombre : Ngbanda Honoré.
La chute du Congo aux rwandais, extraordinaire soit-elle, a bénéficié des complicités internes inédites, celle de celui-là même assumant les hautes responsabilités de la sécurité nationale, Honoré Ngbanda.
L'obsession délirante de Ngbanda d'absolument succéder à Mobutu l'amène à ces calculs trompeurs : les rwandais chassent Mobutu et lui, tire les marrons du feu.
En effet, c'est sur ses bureaux que furent déposés en 1992 par certains volontaires hutus rwandais, les plans détaillés d'un projet complet de control du Zaire par les tutsis rwandais.
Il s'exclamera : ''Mwa mboka moke lokola bango, bakokoka ? et surgit de son cerveau brûlé cette espérance : ba tutsis basala makasi balongola ye, ngai naya kopupula bango libanda'
3. La revanche des victimes d'hier
- L'ex-ministre de la défense muté en ''libérateur'' de la RDCongo
Le 17 mai 1997, à la chute du régime Mobutu tous les charognards de la IIème République sont contraints à l'exil, dont le funeste Honoré Ngbanda qui finit par se rendre compte de ses erreurs de calcul. Mais, il n'en démord pas ! Il se voit désormais les dimensions de ''résistant-patriote libérateur du Congo des mains des rwandais''
En réalité il est dévoré par l'obsession délirante de reconquête du pouvoir.
Nostalgique, Ngbanda refuse de considérer que le monde d'aujourd'hui n'est plus celui d'hier ni d'avant-hier. Il n'a aucune politique, il dépense son énergie et celle des autres pour sa survie !
Pour lui, l'avenir se limite au retour au passé, c'est-à-dire de se sortir des tourments qu'il éprouve : plus d'argent, avion et maison saisie faute d'avoir payé les taxes,
C'est aux ex-FAZ, ses victimes d'hier qu'Honoré Ngbanda s'adresse, tout au long de sa campagne dite ''Tokobetana lokola mibali'', pour le remettre au trône !
Il leur alloue des fonds à des fins des opérations militaires 'na nse ya mayi', destinées à changer de régime de Kanambe à Kinshasa!
Comme il fallait s'y attendre, par 18 fois ces ex-militaires ont pris leur revanche en détournant à leur propre compte les fonds leur expédiés (se comptant en centaines de milliers de Dollars) aux opérations made Ya Nzambo, finissant ainsi de l'appauvrir davantage !
Méchanceté et cynisme à outrance !
Se sachant déjà pourchassé par la malchance et vautré dans une spirale d'échecs à répétions, Honoré n'a pas la gentillesse de jeter l'éponge même en privé au bénéfice de libérer les énergies combattives qu'il retient captives de ses délirantes promesses de 'Etikali moke, tokokoyela bango manzange''.
Nous sommes convaincus que ces énergies combattives, une fois libérées du délirant fanatisme envers ce démoniaque Honoré, sont susceptibles de faire mieux que lui en termes du sérieux, de la compétence et du savoir faire !
Comme il ne fait qu'échouer, Ngbanda s'accroche et voudrait entrainer avec lui toute la jeunesse de l'époque MPR qu'il s'était ingénié à systématiquement abrutir avec les 'dialelo' de la Mopap.
NGBANDA ZAMBO KO ATUMBA EST PSYCHOPATHE: LE DELIRE
(Volet Tiré de l'observation et Analyse faites par les congolais de l'UCDP)
L' UCDP tire la sonnette d'alarme :HONORE NGBANDA KO ATUMBA alias ''ERIC LENGE''? ENCORE QUI DEMAIN… ?
Honoré Ngbanda, un dangereux soudano-nilotique sur la terre des bantous !
Un cas pathologique grave de dysfonctionnement psychique
L'UCDP s'est penchée sur un cas particulièrement désespéré de santé mentale avérée du personnage controversé dénommé Honoré Ngbanda ko Atumba dit le '' terminator'', '' vieux Mozart'', '' Joseph'' son nom code en Côte d'Ivoire , ancien conseiller spécial du maréchal Mobutu !
Calfeutré dans sa bulle manichéenne et convaincu qu'il a toujours raison, il passe son temps à recréer le passé, à inventer un monde à lui sur la base des mensonges et de la manipulation des faits !
En effet, nous avons décelé au travers les écrits d'Honoré Ngbanda un mouvement de va et vient entre le passé et le présent, ainsi que l'absence quasi-totale des expériences et des propositions concrètes qui engagent l'avenir !
Chez Ngbanda, vous remarquerez que ce sont seuls les bas instincts et les émotions qui guident son comportement! Notons, par ailleurs, que l'émotion est très contagieuse et ne se raisonne pas!
Ainsi donc, les réactions épidermiques de Ngbanda sont dictées non par une réflexion menée pas à pas, mais par une improvisation empreinte d'émotions!
Tout psychiatre diagnostiquerait chez le sujet Ngbanda, un dysfonctionnement sur le mouvement entre l'archéo et le néo-cortex basé sur le mode de communication émotion-improvisation plus construite mais tout aussi défectueux : le délire !
Oui ! Honoré Ngbanda souffre d'un cas aigu de délire
Savez-vous qu'un cerveau ne travaille efficacement qu'au contact de la Réalité ? Ainsi donc, à partir du moment où ce contact est perdu, on entre dans le domaine de la confusion, de l'amalgame avec toutes les conséquences désastreuses qui en découlent pour la communication ! Le sujet présente les caractéristiques suivantes :
1. Il est incapable de distinguer la réalité de l'imaginaire
2. Il fait des associations d'idées sur un mode hasardeux, aléatoire
En observant Honoré Ngbanda, nous avons décelé ces caractéristiques !
Pour ceux qui le côtoient, ils peuvent se rendre facilement compte du dérèglement mental de ce dernier au travers les manifestations suivantes :
I . La prédominance de la mémoire
Monsieur Honoré Ngbanda persiste à s'accrocher à la manière d'être de la période où il était tout puissant au côté de Mobutu :
** Il diffuse des inepties absolument déjantées qui rassemblent autour de lui des nostalgiques qui s'accrochent désespérément à l'idée de ramener la RDCongo au passé ! Pour cela, il a écrit quelques livres dont les contenus sont des chapelets d'auto- blanchissement pour lui décerner les beaux rôles et distribuer des mauvais points aux autres : il critique les généraux, l'armée, ses collègues… lui seul était bon !
II . La prédominance de l'émotion
Vous remarquerez, en observant Honoré Ngbanda, que la réalité lui importe peu, c'est plutôt la satisfaction de ses instincts criminels et de domination qui s'impose!
Vous remarquerez aussi que son attitude met à côté tout esprit critique, ne suivant que l'instinct et refusant de rester avec la réalité !
Etre coupé de la réalité fait produire à son cerveau des délires aux conséquences catastrophiques ! On sent chez lui que ce sont l'émotion du moment et l'instinct qui orientent son action laquelle démontre clairement que les facultés de réflexion et d'esprit critique ont été atteintes !
Ceux qui le côtoient, peuvent se rendre facilement compte de l'inquiétant dérèglement mental au travers les manifestations suivantes:
- Au sein de son parti ''Apareco''il se fait appeler ''Mokonzi'' et se croit déjà sur un fauteuil présidentiel. Il crée un Site aux couleurs de l'affreux MPR de triste mémoire !
- Il crée autour de lui-même à la manière des gourous mystiques, une ceinture dite de sécurité composée des fidèles parmi les fidèles
- Il délire souvent et a des hallucinations fréquentes sur un éternel et imaginaire complot contre sa personne.
Ngbanda est passé expert dans l'amplification démesurée de toute émotion, même anodine qui accompagne tout fait brut sans gravité :
• Ainsi par exemple, il a manipulé des jeunes naïfs par ignorance à qui il a contaminé ses bas instincts de haine fondé sur du mensonge! Il a mis sous son contrôle leurs petites associations d'agités complètement hystériques intolérants et qui usent de la violence physique comme mode opératoire pour intimider et terroriser nos compatriotes qui ne pensent ni qui ne partagent pas leur délire!
III . Le verbiage
Vous remarquerez qu'Honoré Ngbanda se complaît dans un discours filandreux et souvent hors-sujet allant de coq-à-l'âne parce qu'il se prend et veut se faire reconnaître comme le meilleur ! Souvent, ceux qui le suivent, ne le suivent plus et lui-même ne sait pas où il en est !
• Aujourd'hui, il a outrepassé l'indécence en essayant de pourrir cyniquement la vie d'un enfant innocent lorsqu'il s'est permis d'inventer l'histoire rocambolesque ''d'Eric Lenge''que Ngbanda a lui-même rédigé en se prenant pour Eric Lenge et ensuite en écrivant à son parent le Cardinal Etsou, pour le dissuader de ne pas célébrer le mariage de Joseph Kabila et sa compagne!
• Paranoïaque, Honoré Ngbanda intimide son entourage en leur faisant croire qu'il dispose ''d'un pseudo-service des renseignements ''qui les surveillait en permanence! Par un discours déconnecté de la réalité et du bon sens, en manipulateur du délire, Ngbanda tient son entourage pieds et poings liés et il fait du sous-freudisme en se réfugiant dans l'énervement et la violence verbale dès qu'une question réaliste sur son passé lui est posée !
IV L'imaginaire construit
Vous remarquerez chez Honoré Ngbanda les signes qui confirment son incapacité d'établir la distinction entre la réalité et l'imaginaire en contact avec l'environnement réel avec le pays qui lui est déjà coupé! Il n'a pas de contact avec l'environnement réel avec le pays où personne ne l'attend comme le sauveur !
Il invente des analogies les plus saugrenues qui procèdent du pur imaginaire, nourri par son cerveau qui, sans aucun doute, '' tourne à vide''!
Fort de l'expérience acquise dans cette manipulation par les sectes, on se souvient de la sienne dénommée ''Amor Dei'' qui, était en réalité une cache d'armes pour les hiboux (ses tueurs de nuit) et dont les adeptes lui servaient d'informateurs ! Pour être crédible, à présent, il a réussi à embobiner quelques ''pasteurs'' qui se qualifient ''serviteurs de Dieu'' et qui s'emploient paradoxalement à relayer et à diffuser cette haine au travers un amalgame de contenus des versets bibliques qui subissent des distorsions consécutives à la manipulation délirante dont l'objectif est d'induire en erreur et d'annihiler tout bon sens chez nos compatriotes à qui ils font croire désormais que Ngbanda a reconnu ses fautes donc, qu'ils doivent lui pardonner et le''suivre'', mais pour un criminel de la trempe de Ngbanda, tous ces ''pasteurs'' savent que seul Dieu est le pourvoyeur du pardon!
• L'imaginaire a fini par jouer des tours à ''frère'' Honoré : lui qui avalisait et exécutait les actes dictatoriaux du système de la 2ème République, comble d'outrecuidance !
Un ingrat opportuniste, jouant au renard !
Aujourd'hui, il se permet, par opportunisme, de qualifier le Maréchal Mobutu de dictateur ! Pour mémoire, moins d'une année après la mort de ce dernier, Honoré Ngbanda avait envoyé 2 contenairs du livre intitulé « Ainsi, sonne le glas ! Les derniers jours du Maréchal Mobutu » à Kinshasa pour être bien vu par Mzee Kabila!
Mais celui-ci n'était pas dupe ! Il fait brûler ces livres, pour la simple raison que c'était la forme la plus abjecte et la plus basse de l'indécence qu'est celle de trahir aussi bassement la mémoire de celui que Ngbanda était censé protéger!
''Frère'' Honoré avait chié sur son devoir de réserve pour de l'argent en étalant sur la place publique et vendant l'intimité d'un homme malade qui ne pouvait plus se défendre!
• Dans le même ordre d'idée, contrairement à ce qu'il avait écrit, lorsque le Maréchal Mobutu s'était rendu au Togo, Ngbanda qui l'y avait précédé, avait demandé au Président Eyadema de ne pas accueillir le Président Mobutu déchu parce qu'il était fini et n'écoutait personne.
Mais le Président du Togo avait répondu à Ngbanda que Mobutu était son frère et qu'il ne pouvait pas l'abandonner.
C'est pour cela que Eyadema avait fait stopper l'expédition à Kinshasa des troupes togolaises et du Nigeria, parce que Ngbanda les avait sollicitées pour son compte personnel dans sa quête de s'imposer comme successeur du Maréchal Mobutu, cela non plus , il ne l'a signalé dans son livre!
Ngbanda avait trahi celui qui l'avait fait : le Maréchal Mobutu ! Le clan Mobutu sait tout cela, tous les ngbandis avertis sont au courant de ce coup bas de frère Honoré contre son bienfaiteur. Ce la n'est traditionnellement pas de coutume chez les bantous ! A moins que… !
Conclusion ?
Les jeunes que Ngbanda a abrutis au moyen de ses délirantes ''promesses de libération du Congo'', et qui lui vouent sacro-sainte adoration en l'affublant des surnoms comme 'Ya Nzamo', 'Papa pusa', 'Maillot jaune de la résistance patriotique'', ne supportant aucune remise en cause de leur idole, ne se font pas justice, car ce criminel Ngbanda n'est en réalité qu'une coquille vide. C'est un démoniaque vendu à la 'malchance' et dont la compagnie ne porte que malheur. Azali na libabe, azali motu ya libabe. S'il était d'origine muntu, il aurait compris ce que ses crimes lui auront coûté en termes de pureté d'âme !
Si on aime le Congo, si on est un vrai combattant, si on est un vrai résistant, Ngbanda est la barrière à écarter pour le bien de ce pays. N'oublions pas …le 31 décembre 2007. Que pouvons-nous encore attendre ? Et pour combien de temps encore ? Les temps passent et, tous nous vieillissons accrochés à la terrible illusion d'une libération qui ne viendra jamais de cet homme dont les crimes ont oint son être d'une malédiction éternelle !
Et les rwandais s'enracinent !
Qui aura gagné ? Bien sûr que ce sera Ngbanda le grand vainqueur, ayant été le principal architecte de l'actuelle débâcle de toute une nation !
Pour l'Union de Congolais pour la Défense de la Patrie et du Peuple (UCDP)
Le Comité Exécutif
Il est bon de se rafrraîchir la mémoire de ce NGBANDA et de se garder de son "tshintu", son "truc" APARECO, comme le dit Ya Tshitshi...kie kie kie kie kie
http://afrique.kongotimes.info/rdc/dias ... banda.html
Rewind : La face cachée du TERMINATOR Honoré NGBANDA
05/04/2012 18:58:00KongoTimes!
L’homme qui, actuellement entrave la libération du Congo, à cause du lourd lot des malchances accumulées au fil d'innombrables méfaits à son actif. Il tient en otage les bonnes volontés et les potentialités combattives susceptibles de faire la différence dans la lutte actuelle contre l'occupation rwandaise.
Le discours d'Honoré Ngbanda est certes mobilisateur et bon pour la formation des consciences, mais le problème consiste en la composition ésotérique de son être qui est des plus défectueux.
Dans cet état, son corps spirituel est désormais programmé à n'émettre que de l'énergie négative, entrainant dans son sillage une dynamique de malchances, source de défaillance et d'échecs à répétition dans toutes les entreprises qu'il initierait ou auxquelles il serait associé (Mystique bantoue, éclairée par la révélation chrétienne).
Il est par conséquent ce qu'on appelle ''un éternel perdant'', et il n'y peut rien ; personne n'y peut !
PREAMBULE
Les crimes d'Honoré Ngbanda ko Atumba, dit, à raison, le Terminator.
Honoré Ngbanda,
Ceux qui ne connaissent pas son passé, surtout certains jeunes qu'il a abrutis par ses délires, pensent être en face d'un nouveau ''saint'' disons ''saint Ngbanda'' qui, pour ceux qui le connaissent, est l'incarnation même de l'esprit diabolique.
En écrivant son livre ''Crimes organisés en Afrique centrale, Saint Honoré a omis de le conclure avec l'important chapitre qu'on titrerait : ''La prise en otage de la libération du Congo par Ngbanda ko Atumba, Papa pusa motuka'', pour ses fidèles suiveurs.
En effet, après avoir jeté le Congo dans le gouffre profond de la turbulence actuelle, Saint Honoré, avec ses fantasmes jette de la poudre aux yeux des congolais en prétendant être le sauveur du Congo des griffes des rwandais.
Pourtant, l'incompétence criante dont il a fait montre tout au long de sa terrifiante carrière aux côtés de Mobutu, son art de criminel mis à part, devait l'amener à un peu plus de modestie et surtout de la compassion pour ce peuple qui ne sait à quel saint se vouer !
Les langues de ses anciens barbouzes se sont déliées et voici ci-après quelques uns de ses très nombreux crimes:
1 Les pratiques démoniaques du régime Mobutu exigent des sacrifices humaines.
Le régime de Mobutu évoluait et tenait par des pratiques ténébreuses des sociétés secrètes dont le breuvage du sang humain. Ils appelaient cela 'le pacte du sang'.
Le suprême prêtre étant le maréchal lui-même, la sous-prêtrise revint au fil des années à l'honorable Honoré Ngbanda. C'est lui qui choisissait, capturait et immolait les victimes humaines dont le sang servait au breuvage en dans le seul but d'augmenter et renforcer la puissance dans la pratique du pouvoir.
Les victimes à immoler devaient appartenir à ces trois ethnies : Luba, Mongo et Nkongo !
Bien que les raisons de ces choix et les critères de sélection n'aient pas été divulguées, les Kinois ont une bonne mémoire des disparitions inexpliquées et souvent observées, des citoyens tout au long du règne du Mobutisme.
2. La mort du général Mahele Lieko.
Assassinat commandité et ordonné par le rancunier Ngbanda !
En page 328 de votre livre intitulé '' Ainsi sonne le glas, les derniers jours du maréchal Mobutu'', il précise qu'il espionnait les deux généraux Mahele Lieko et Ilunga Shamanga qui se concertaient par téléphone pour trouver une solution concertée en vue d'éviter un bain de sang à Kinshasa.
Mahele qui était Chef d'Etat Major général avait décidé et informé son collègue qu'il fera le tour des garnisons pour demander aux militaires de déposer les armes étant donné qu'il n'était plus tactiquement possible d'opposer une résistance aux forces de l'AFDL!
Mahele que Ngbanda espionnait déjà au travers la prénommée '' Youyou'', une des ses 'hirondelles' ( les femmes qu'il utilisait pour espionner et assassiner des personnalités, dont Bielo, son adjoint au SNIP par empoisonnement et, qui étaient aussi ses maîtresses), devenue sa ''copine''.
Honoré Ngbanda estimait que Mahele le dérangeait et dérangeait son plan de s'accaparer du pouvoir après Mobutu!
Général Mahele Lieko. Un bantou de l'Equateur. Ngbanda ne lui jamais pardonné d'avoir en 1992, prévenu le peuple congolais de la présence des soldats étrangers assignés à massacrer les chrétiens et surtout son Mea Culpa à la CNS.
Lorsque Mahele était arrivé au camp Tshatshi, ses assassins l'y attendaient, et en ce moment Ngbanda était en communication avec eux, et c'est lui qui leur a ordonné de l'exécuter!
Contrairement à Ngbanda, le général Mahele était un soldat et non un SS comme lui-même ni un traître, et son devoir de soldat était de protéger la population ! En ordonnant de déposer les armes, il remplissait son devoir et c'est pourquoi Honoré l'a fait tuer !
3. C'est Ngbanda qui a initié l'inoculation délibérée du virus du sida aux prisonniers politiques :
Dans son interview, au potentiel, il a confirmé la réalité de cette pratique, lorsque l'exécutant de ce macabre besogne du SARM lui avait demandé d'utiliser le produit contaminé du virus du sida sur Etienne Tshisekedi, Ngbanda a prétendu lui avoir sauvé la vie en ordonnant de ne pas le faire parce qu'effectivement, ce contre-ordre venait précisément du donneur d'ordre! C'est à- dire Honnoré Ngbanda Nzambo Yako Tumba. En fait il faut dire qu'il avait épargné Tshisekedi.
Pour rappel il faut noter que ce dernier luttait pour la libération du peuple congolais de la sauvage dictature de la II ème République et cela dérangeait le bestial régime de Mobutu qui chosifiait l'homme congolais.
De nombreux membres de l'UDPS et des partis d'opposition, et certaines personnalités politiques avaient donc été délibérément infectés du sida après avoir été molestés et blessés par les agents de Ngbanda pour ensuite être ''soignés'' avec des ''produits'' infectés.
Le combattant de l'Udps Kanana et bien d'autres en ont succombé.
L'artiste Ngeleka Kandanda avait subi ce sort au travers son épouse qui avait été arrêtée, faute de l'avoir été lui-même, molestée et soignée par après par le régime de la IIème république !
Feu M. Ngeleka n'avait cessé et à maintes reprise, de dénoncer cette pratique !
Aujourd'hui disparus, sa femme et lui-même, il revient donc à ses enfants qui connaissent ce dossier de porter plainte contre Honoré Ngbanda, le Terminator!
Aussi, nous pensons que l'OMS est en droit d'initier une enquête sur ce dossier pour crime contre l'humanité !
4. Les Forces d'intervention spéciales, FIS,
Formées en Afrique du Sud et en Israël, mises sous le control direct et l'ordre du Terminator pour mener des actions terroristes (hiboux). Affreux souvenir des Kinois !
C'est sur l'ordre de Ngbanda qu'elles ont plastiqué et fait sauter l'imprimerie de l'éditeur du journal Elima Essolomwa Nkoy, de même que la maison de Kibassa Maliba, le Président de l'UDPS, assassinant du même coup deux de ses enfants !
5. Opération ''Lititi! Mboka!''
Le massacre des étudiants à Lubumbashi en mai 1990 !
Lequel, hypocritement, il se défend aujourd'hui de n'y être pour rien alors qu'il était le responsable de la sécurité, prétendant qu'il n'y a pas de preuves que ce massacre ait eu lieu! Ceci est encore frais à la mémoire que les dortoirs et autres bâtiments furent repeints à la hâte, dans le but d'effacer toutes les traces !
Les étudiants rescapés, traumatisés jusqu'à ce jour ne seraient que très soulagés de se décharger du fardeau de ce cauchemar, l'occasion leur serait-elle donnée de s'exprimer devant une commission internationale d'enquête capable de leur garantir la sécurité. Tout ramène sur Ngbanda la responsabilité de ces massacres avérés d'étudiants au campus de Lubumbashi le 10-12 Mai 1990, étant à cette époque le bras de fer qui frappait dans l'ombre ! Il est reconnu que les corps des morts de cette nuit-là ont été disposés sur ordre de Ngbanda, cerveau et organisateur des basses besognes.
6. Les ''hirondelles'',
Ces femmes qui accomplissaient la sale besogne d'élimination physique des personnalités politiques en l'occurrence une certaine Marie Jeanne que Ngbanda connait bien parce qu'elle était sa maîtresse, et qui a à son actif la disparition de Nzondomio, Godefroid Munongo entre autres!
7. ''Joseph'' était le nom de code de Ngbanda en Côte d'Ivoire
De puis les temps d'Houpheit Boigny, le régime de Mobutu entretenait de très bonnes relations avec les milieux du pouvoir ivoirien, notamment les services de sécurité !
La mémoire des Kinois est encore fraiche. Le 16 février 1992, les Kinois se rappellent et en parlent, que les soldats qui ont massacré les chrétiens n'avaient rien de congolais : ils parlaient ni lingala ni shwaili, ni tshiluba moins encore kikongo. Ils avaient la peau toute noire et une morphologie de loin non semblable à celle reconnue aux zairois.
D'ailleurs le Général Mahele avait prévenu les manifestants en jour de la manifestation: ''bozonga ndaku, babengisi ba soldats ya bapaya mpo boboma bino''. Effectivement, certains militaires ivoiriens aujourd'hui à la retraite, ont délié leurs langues.
Ils affirment sans la moindre hésitation avoir fait cette campagne de Kinshasa en 1992, ensemble aux côtés des togolais et soudanais de John Garang.
Recrutés par ''Joseph'', ils ont massacré les kinois sans autre état d'âme.
Ces aveux ne laissent planer aucun doute !
C'est à partir de cette époque (les années 1990) que ''Terminator'' se chuchotait dans la bouche des Kinois. C'est aussi à cette époque que Mahele entrait en disgrâce dans le milieu clanique des Ngbandis du cercle du pouvoir, ce qui se soldera en 1997 par sa mort commanditée et ordonnée par le haineux Terminator !
Un diable plus diabolique que Lucifer
Ngbanda ne cessait de répéter à Mobutu : on est mieux servi que par soi-même.
Il finit donc de parfaire la création d'une armée entièrement tribale et composée uniquement des Ngbandis, la terrible DSP. La campagne de recrutement des jeunes ngbandis débutée en 1972 connaît son apogée au moment où Nbganda s'occupe personnellement du dossier.
A côté de la DSP, il y aura aussi une autre branche un peu diluée qu'on connaitra comme la ''La Garde Civile'' où trônera un autre Ngbandi, le ''Général'' BaraMoto'' . Ainsi le règne Ngbandi sur les autres tribus et ethnies se perpétuera de génération à génération !
C'est alors, qu'exerçant les fonctions de ministre de la défense que le Terminator couvrait le trafic illicite des équipements de l'armée à son propre compte, avec Jonas Savimbi l'angolais!
Ministre de la défense nationale de II ème république
1. Mise en retraite de toutes les unités de l'armée nationale. Un pays sans armée !
'' Tango nalobaka, oyo elokoya eya, natiyaka mayele na ngai na Ngbanda''- Mobutu Sese Seko, Président-Fondateur, chef de l'exécutif où trône l'expert-stratège Honoré Ngbanda !
La IIème République vivait une sorte d'obsession maladive d'un éventuel ''danger de Coup d'Etat des rangs des Forces Armées Zairoises''.
Le ministre de la défense nationale Honoré Ngbanda s'emmène avec une solution magique et définitive :
a. Il désarme les Forces armées zaïroises (FAZ),
b. Il clochardise tous ces ex-hommes en uniforme. Il les chasse des camps et oblige les officiers à partager à deux, ensemble avec leurs familles de petites maisons de deux chambres de l'époque coloniale
c. Il met un terme aux traitements et oblige ces pères de famille à se débrouiller aux fins de subvenir aux besoins de leurs familles. Ainsi, ces ex-hommes en armes s'organisent en bandes des rançonneurs impitoyables d'innocentes populations civiles!
Pas étonnant donc qu'aujourd'hui il soit haï comme l'est son maitre Mobutu dans les milieux de ces ex-Faz ou de tout autre personnel paramilitaire de cette époque !
2. L'incompétence aux conséquences désastreuses pour toute une nation !
La clique des Ngbandis qui s'était arrogé le pouvoir de gérer les destinées de grandes ethnies et tribus du Grand Congo, ne s'encombrait pas de gène. Ils se permettaient de changer et d'occuper à volonté les postes de responsabilités de leurs propres choix. C'était toujours les mêmes noms : Bolozi, BaraMoto, Ndzimbi, Ngbanda…et autres Seti, Kengo….Tout se passait et se transmettait en langue natale le 'Kingbandi'.
De cette bande un seul avait l'imperium universel, c.à.d. de la prééminence en tout et pour tout : Honoré Nganda qui pouvait tout s'offrir et faire tout à volonté ! Il suffisait de référer ou non à son ''Kulutu'', comprenez le Maréchal Mobutu, il avait carte blanche ! Il pouvait devenir ministre quand il le veut, conseiller quand ça lui vaut !
Kulutu ''Waza''de Ya Nzambo, chef de file des vampires et incompétents de la IIème République.
Alors que le commun des congolais voyait une joie à peine contenue la décadence et la fin du régime Mobutu se profiler à l'horizon, tout en nourrissant l'espoir de voir enfin aboutir la lutte pour un pays démocratique où le peuple entier aura un mot à dire dans la gestion des destinées nationales, quelqu'un se frottait les mains dans l'ombre : Ngbanda Honoré.
La chute du Congo aux rwandais, extraordinaire soit-elle, a bénéficié des complicités internes inédites, celle de celui-là même assumant les hautes responsabilités de la sécurité nationale, Honoré Ngbanda.
L'obsession délirante de Ngbanda d'absolument succéder à Mobutu l'amène à ces calculs trompeurs : les rwandais chassent Mobutu et lui, tire les marrons du feu.
En effet, c'est sur ses bureaux que furent déposés en 1992 par certains volontaires hutus rwandais, les plans détaillés d'un projet complet de control du Zaire par les tutsis rwandais.
Il s'exclamera : ''Mwa mboka moke lokola bango, bakokoka ? et surgit de son cerveau brûlé cette espérance : ba tutsis basala makasi balongola ye, ngai naya kopupula bango libanda'
3. La revanche des victimes d'hier
- L'ex-ministre de la défense muté en ''libérateur'' de la RDCongo
Le 17 mai 1997, à la chute du régime Mobutu tous les charognards de la IIème République sont contraints à l'exil, dont le funeste Honoré Ngbanda qui finit par se rendre compte de ses erreurs de calcul. Mais, il n'en démord pas ! Il se voit désormais les dimensions de ''résistant-patriote libérateur du Congo des mains des rwandais''
En réalité il est dévoré par l'obsession délirante de reconquête du pouvoir.
Nostalgique, Ngbanda refuse de considérer que le monde d'aujourd'hui n'est plus celui d'hier ni d'avant-hier. Il n'a aucune politique, il dépense son énergie et celle des autres pour sa survie !
Pour lui, l'avenir se limite au retour au passé, c'est-à-dire de se sortir des tourments qu'il éprouve : plus d'argent, avion et maison saisie faute d'avoir payé les taxes,
C'est aux ex-FAZ, ses victimes d'hier qu'Honoré Ngbanda s'adresse, tout au long de sa campagne dite ''Tokobetana lokola mibali'', pour le remettre au trône !
Il leur alloue des fonds à des fins des opérations militaires 'na nse ya mayi', destinées à changer de régime de Kanambe à Kinshasa!
Comme il fallait s'y attendre, par 18 fois ces ex-militaires ont pris leur revanche en détournant à leur propre compte les fonds leur expédiés (se comptant en centaines de milliers de Dollars) aux opérations made Ya Nzambo, finissant ainsi de l'appauvrir davantage !
Méchanceté et cynisme à outrance !
Se sachant déjà pourchassé par la malchance et vautré dans une spirale d'échecs à répétions, Honoré n'a pas la gentillesse de jeter l'éponge même en privé au bénéfice de libérer les énergies combattives qu'il retient captives de ses délirantes promesses de 'Etikali moke, tokokoyela bango manzange''.
Nous sommes convaincus que ces énergies combattives, une fois libérées du délirant fanatisme envers ce démoniaque Honoré, sont susceptibles de faire mieux que lui en termes du sérieux, de la compétence et du savoir faire !
Comme il ne fait qu'échouer, Ngbanda s'accroche et voudrait entrainer avec lui toute la jeunesse de l'époque MPR qu'il s'était ingénié à systématiquement abrutir avec les 'dialelo' de la Mopap.
NGBANDA ZAMBO KO ATUMBA EST PSYCHOPATHE: LE DELIRE
(Volet Tiré de l'observation et Analyse faites par les congolais de l'UCDP)
L' UCDP tire la sonnette d'alarme :HONORE NGBANDA KO ATUMBA alias ''ERIC LENGE''? ENCORE QUI DEMAIN… ?
Honoré Ngbanda, un dangereux soudano-nilotique sur la terre des bantous !
Un cas pathologique grave de dysfonctionnement psychique
L'UCDP s'est penchée sur un cas particulièrement désespéré de santé mentale avérée du personnage controversé dénommé Honoré Ngbanda ko Atumba dit le '' terminator'', '' vieux Mozart'', '' Joseph'' son nom code en Côte d'Ivoire , ancien conseiller spécial du maréchal Mobutu !
Calfeutré dans sa bulle manichéenne et convaincu qu'il a toujours raison, il passe son temps à recréer le passé, à inventer un monde à lui sur la base des mensonges et de la manipulation des faits !
En effet, nous avons décelé au travers les écrits d'Honoré Ngbanda un mouvement de va et vient entre le passé et le présent, ainsi que l'absence quasi-totale des expériences et des propositions concrètes qui engagent l'avenir !
Chez Ngbanda, vous remarquerez que ce sont seuls les bas instincts et les émotions qui guident son comportement! Notons, par ailleurs, que l'émotion est très contagieuse et ne se raisonne pas!
Ainsi donc, les réactions épidermiques de Ngbanda sont dictées non par une réflexion menée pas à pas, mais par une improvisation empreinte d'émotions!
Tout psychiatre diagnostiquerait chez le sujet Ngbanda, un dysfonctionnement sur le mouvement entre l'archéo et le néo-cortex basé sur le mode de communication émotion-improvisation plus construite mais tout aussi défectueux : le délire !
Oui ! Honoré Ngbanda souffre d'un cas aigu de délire
Savez-vous qu'un cerveau ne travaille efficacement qu'au contact de la Réalité ? Ainsi donc, à partir du moment où ce contact est perdu, on entre dans le domaine de la confusion, de l'amalgame avec toutes les conséquences désastreuses qui en découlent pour la communication ! Le sujet présente les caractéristiques suivantes :
1. Il est incapable de distinguer la réalité de l'imaginaire
2. Il fait des associations d'idées sur un mode hasardeux, aléatoire
En observant Honoré Ngbanda, nous avons décelé ces caractéristiques !
Pour ceux qui le côtoient, ils peuvent se rendre facilement compte du dérèglement mental de ce dernier au travers les manifestations suivantes :
I . La prédominance de la mémoire
Monsieur Honoré Ngbanda persiste à s'accrocher à la manière d'être de la période où il était tout puissant au côté de Mobutu :
** Il diffuse des inepties absolument déjantées qui rassemblent autour de lui des nostalgiques qui s'accrochent désespérément à l'idée de ramener la RDCongo au passé ! Pour cela, il a écrit quelques livres dont les contenus sont des chapelets d'auto- blanchissement pour lui décerner les beaux rôles et distribuer des mauvais points aux autres : il critique les généraux, l'armée, ses collègues… lui seul était bon !
II . La prédominance de l'émotion
Vous remarquerez, en observant Honoré Ngbanda, que la réalité lui importe peu, c'est plutôt la satisfaction de ses instincts criminels et de domination qui s'impose!
Vous remarquerez aussi que son attitude met à côté tout esprit critique, ne suivant que l'instinct et refusant de rester avec la réalité !
Etre coupé de la réalité fait produire à son cerveau des délires aux conséquences catastrophiques ! On sent chez lui que ce sont l'émotion du moment et l'instinct qui orientent son action laquelle démontre clairement que les facultés de réflexion et d'esprit critique ont été atteintes !
Ceux qui le côtoient, peuvent se rendre facilement compte de l'inquiétant dérèglement mental au travers les manifestations suivantes:
- Au sein de son parti ''Apareco''il se fait appeler ''Mokonzi'' et se croit déjà sur un fauteuil présidentiel. Il crée un Site aux couleurs de l'affreux MPR de triste mémoire !
- Il crée autour de lui-même à la manière des gourous mystiques, une ceinture dite de sécurité composée des fidèles parmi les fidèles
- Il délire souvent et a des hallucinations fréquentes sur un éternel et imaginaire complot contre sa personne.
Ngbanda est passé expert dans l'amplification démesurée de toute émotion, même anodine qui accompagne tout fait brut sans gravité :
• Ainsi par exemple, il a manipulé des jeunes naïfs par ignorance à qui il a contaminé ses bas instincts de haine fondé sur du mensonge! Il a mis sous son contrôle leurs petites associations d'agités complètement hystériques intolérants et qui usent de la violence physique comme mode opératoire pour intimider et terroriser nos compatriotes qui ne pensent ni qui ne partagent pas leur délire!
III . Le verbiage
Vous remarquerez qu'Honoré Ngbanda se complaît dans un discours filandreux et souvent hors-sujet allant de coq-à-l'âne parce qu'il se prend et veut se faire reconnaître comme le meilleur ! Souvent, ceux qui le suivent, ne le suivent plus et lui-même ne sait pas où il en est !
• Aujourd'hui, il a outrepassé l'indécence en essayant de pourrir cyniquement la vie d'un enfant innocent lorsqu'il s'est permis d'inventer l'histoire rocambolesque ''d'Eric Lenge''que Ngbanda a lui-même rédigé en se prenant pour Eric Lenge et ensuite en écrivant à son parent le Cardinal Etsou, pour le dissuader de ne pas célébrer le mariage de Joseph Kabila et sa compagne!
• Paranoïaque, Honoré Ngbanda intimide son entourage en leur faisant croire qu'il dispose ''d'un pseudo-service des renseignements ''qui les surveillait en permanence! Par un discours déconnecté de la réalité et du bon sens, en manipulateur du délire, Ngbanda tient son entourage pieds et poings liés et il fait du sous-freudisme en se réfugiant dans l'énervement et la violence verbale dès qu'une question réaliste sur son passé lui est posée !
IV L'imaginaire construit
Vous remarquerez chez Honoré Ngbanda les signes qui confirment son incapacité d'établir la distinction entre la réalité et l'imaginaire en contact avec l'environnement réel avec le pays qui lui est déjà coupé! Il n'a pas de contact avec l'environnement réel avec le pays où personne ne l'attend comme le sauveur !
Il invente des analogies les plus saugrenues qui procèdent du pur imaginaire, nourri par son cerveau qui, sans aucun doute, '' tourne à vide''!
Fort de l'expérience acquise dans cette manipulation par les sectes, on se souvient de la sienne dénommée ''Amor Dei'' qui, était en réalité une cache d'armes pour les hiboux (ses tueurs de nuit) et dont les adeptes lui servaient d'informateurs ! Pour être crédible, à présent, il a réussi à embobiner quelques ''pasteurs'' qui se qualifient ''serviteurs de Dieu'' et qui s'emploient paradoxalement à relayer et à diffuser cette haine au travers un amalgame de contenus des versets bibliques qui subissent des distorsions consécutives à la manipulation délirante dont l'objectif est d'induire en erreur et d'annihiler tout bon sens chez nos compatriotes à qui ils font croire désormais que Ngbanda a reconnu ses fautes donc, qu'ils doivent lui pardonner et le''suivre'', mais pour un criminel de la trempe de Ngbanda, tous ces ''pasteurs'' savent que seul Dieu est le pourvoyeur du pardon!
• L'imaginaire a fini par jouer des tours à ''frère'' Honoré : lui qui avalisait et exécutait les actes dictatoriaux du système de la 2ème République, comble d'outrecuidance !
Un ingrat opportuniste, jouant au renard !
Aujourd'hui, il se permet, par opportunisme, de qualifier le Maréchal Mobutu de dictateur ! Pour mémoire, moins d'une année après la mort de ce dernier, Honoré Ngbanda avait envoyé 2 contenairs du livre intitulé « Ainsi, sonne le glas ! Les derniers jours du Maréchal Mobutu » à Kinshasa pour être bien vu par Mzee Kabila!
Mais celui-ci n'était pas dupe ! Il fait brûler ces livres, pour la simple raison que c'était la forme la plus abjecte et la plus basse de l'indécence qu'est celle de trahir aussi bassement la mémoire de celui que Ngbanda était censé protéger!
''Frère'' Honoré avait chié sur son devoir de réserve pour de l'argent en étalant sur la place publique et vendant l'intimité d'un homme malade qui ne pouvait plus se défendre!
• Dans le même ordre d'idée, contrairement à ce qu'il avait écrit, lorsque le Maréchal Mobutu s'était rendu au Togo, Ngbanda qui l'y avait précédé, avait demandé au Président Eyadema de ne pas accueillir le Président Mobutu déchu parce qu'il était fini et n'écoutait personne.
Mais le Président du Togo avait répondu à Ngbanda que Mobutu était son frère et qu'il ne pouvait pas l'abandonner.
C'est pour cela que Eyadema avait fait stopper l'expédition à Kinshasa des troupes togolaises et du Nigeria, parce que Ngbanda les avait sollicitées pour son compte personnel dans sa quête de s'imposer comme successeur du Maréchal Mobutu, cela non plus , il ne l'a signalé dans son livre!
Ngbanda avait trahi celui qui l'avait fait : le Maréchal Mobutu ! Le clan Mobutu sait tout cela, tous les ngbandis avertis sont au courant de ce coup bas de frère Honoré contre son bienfaiteur. Ce la n'est traditionnellement pas de coutume chez les bantous ! A moins que… !
Conclusion ?
Les jeunes que Ngbanda a abrutis au moyen de ses délirantes ''promesses de libération du Congo'', et qui lui vouent sacro-sainte adoration en l'affublant des surnoms comme 'Ya Nzamo', 'Papa pusa', 'Maillot jaune de la résistance patriotique'', ne supportant aucune remise en cause de leur idole, ne se font pas justice, car ce criminel Ngbanda n'est en réalité qu'une coquille vide. C'est un démoniaque vendu à la 'malchance' et dont la compagnie ne porte que malheur. Azali na libabe, azali motu ya libabe. S'il était d'origine muntu, il aurait compris ce que ses crimes lui auront coûté en termes de pureté d'âme !
Si on aime le Congo, si on est un vrai combattant, si on est un vrai résistant, Ngbanda est la barrière à écarter pour le bien de ce pays. N'oublions pas …le 31 décembre 2007. Que pouvons-nous encore attendre ? Et pour combien de temps encore ? Les temps passent et, tous nous vieillissons accrochés à la terrible illusion d'une libération qui ne viendra jamais de cet homme dont les crimes ont oint son être d'une malédiction éternelle !
Et les rwandais s'enracinent !
Qui aura gagné ? Bien sûr que ce sera Ngbanda le grand vainqueur, ayant été le principal architecte de l'actuelle débâcle de toute une nation !
Pour l'Union de Congolais pour la Défense de la Patrie et du Peuple (UCDP)
Le Comité Exécutif
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
NS AVONS UN SEUL ET UNIQUE OPPOSANT AU CONGO, C'est Monsieur TSHISEKEDI
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chidap a écrit :NS AVONS UN SEUL ET UNIQUE OPPOSANT AU CONGO, C'est Monsieur TSHISEKEDI
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Chidap a écrit :
"NS AVONS UN SEUL ET UNIQUE OPPOSANT AU CONGO, C'est Monsieur TSHISEKEDI"
Oui, le seul qui fait de la politique pour défendre des valeurs, une haute éthique, pour le peuple (LE PEUPLE D'ABORD) et non pour sa poire, pour remplir ses poches au détriment du peuple...
Dans cet océan d'anti-valeurs au Congo, il représente notre repère pour réhabiliter un pays construit sur des valeurs...
"NS AVONS UN SEUL ET UNIQUE OPPOSANT AU CONGO, C'est Monsieur TSHISEKEDI"
Oui, le seul qui fait de la politique pour défendre des valeurs, une haute éthique, pour le peuple (LE PEUPLE D'ABORD) et non pour sa poire, pour remplir ses poches au détriment du peuple...
Dans cet océan d'anti-valeurs au Congo, il représente notre repère pour réhabiliter un pays construit sur des valeurs...
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
La villa de Olive Kabila en Belgique dévoilée par les combattants alors qu'elle y séjournait pour Pâques
http://banamikili.skyrock.com/308167688 ... tants.html
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7217
«Les Congolais n’ont pas le sang arabe»
Des Congolais de la diaspora lors d’une rencontre politique à Bruxelles. Photo CIC
A l’issue d’une réunion restreinte organisée par des diplomates occidentaux en poste à Kinshasa, l’un d’eux a prononcé une phrase lourde de sens : «Les Congolais n’ont pas le sang arabe…». Et pour cause ?
Le 20 mars dernier, le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’Homme (BCNDH) a publié un rapport "tardif" mais accablant sur des graves violations massives des droits et libertés imputables aux forces dites de défense et de sécurité avant, pendant et après les élections du 28 novembre 2011 soit entre le 26 novembre et le 25 décembre. La Garde présidentielle, la Demiap, l’Agence nationale de renseignements (ANR) et les unités spéciales de la police nationale ont été épinglées. Il s’agit des organismes relevant directement de «Joseph Kabila».
Le rapport fait état d’une centaine de blessés et de trente-trois personnes tuées dont vingt-deux par balles. Il fait également état de deux cent soixante-cinq cas d’arrestations et de détentions arbitraires dont les victimes seraient des militants de l’opposition. Il est enfin question d’une vingtaine de personnes «portées disparues».
Au lieu d’exiger des «comptes» au régime tyrannique et fasciste de «Joseph Kabila», les Congolais se sont attardés sur l’accessoire. A savoir, le «délai de publication» de ce document. C’est à dire trois mois après les élections. Une attitude qui rappelle celle de cet homme - l’idiot - qui regardait le doigt du Sage alors que celui-ci lui montrait la lune. Inutile de dire que le corps diplomatique accrédité au Congo redoutait que ce rapport provoque une agitation dans les milieux proches de l’opposition. A la surprise générale, rien ne s’est passé.
Le jeudi 29 mars dernier, la Mission d’observation électorale de l’Union européenne (MOE-UE) conduite par l’eurodéputé Mariya Nedelcheva a publié les conclusions de son rapport sur l’élection présidentielle et les législatives. La sentence est sans appel : «La mission considère que les résultats publiés par la Commission électorale nationale indépendante ne sont pas crédibles à la lumière des nombreuses irrégularités et fraudes constatées lors du processus électoral sur ces scrutins remportés par le chef de l’Etat sortant Joseph Kabila et l’alliance de partis qui l’ont soutenu.». Les «analystes congolais» ont préféré mettre l’accent sur le caractère «tardif» du document au lieu d’en tirer des enseignements. Un de ces enseignements est clair : le Congo-Kinshasa est dirigé par un «Président tricheur». Un usurpateur.
En réalité, ces deux rapports successifs rédigés par des organisations internationales devaient être interprétés comme un message subliminal de «responsabilisation» que l’on pourrait décrypter comme suit : «Les faits sont là ! Prenez vos responsables. Il vous incombe à façonner votre destin. La balle se trouve dans votre camp». Une fois de plus, rien ne s’est passé. Les Congolais - grands ou petits - continuent à vaquer à leurs occupations avec cette indolence devenue légendaire. Ils continuent à manger et à boire. Ils continuent à commenter l’actualité politique dans les "Matanga". D’où cette réflexion interpellante de ce diplomate occidental.
Que voit-on? En Tunisie et en Egypte, les peuples de ces deux pays, soucieux de plus de justice, de liberté et de dignité, sont descendus dans la rue pour faire "dégager" deux dictateurs redoutés et redoutables (Ben Ali et Hosni Moubarak). Ils n’ont pas attendu l’aide de la "communauté internationale". En Libye, bien que bénéficiant de la «couverture aérienne» des forces de l’OTAN, ce sont les Libyens qui ont combattu le pouvoir en place sur le terrain. Arme à la main.
Plusieurs événements récents survenus au Congo-Kinshasa donnent des Congolais l’image d’un peuple peureux. Peu tenace. Un peuple sans mémoire et dénué de toute capacité d’indignation. Un peuple incapable de faire le départ entre le bien et le mal, le juste et l’injuste, l’acceptable et l’inacceptable, la vérité et le mensonge. Des faits?
L’assassinat de Floribert Chebeya et de Fidèle Bazana en juin 2010 au siège de la police nationale avait suscité plusieurs «marches de protestation». «Kabila assassin au Congo», criaient la population kinoise lors des obsèques de Chebeya. Deux années après, la mémoire collective semble avoir effacé ces deux crimes d’Etat dont on en parle aujourd’hui sur un ton anecdotique. On pourrait dire autant du «suicide» d’Armand Tungulu Mudiandambu le 2 octobre 2010 dans un cachot de la garde présidentielle de «Joseph Kabila» au Camp Tshatshi. Le 26 novembre dernier, une vingtaine de militants de l’opposition pro-Tshisekedi ont été abattus comme des «lapins» par cette même garde présidentielle. Sous d’autres cieux, les parents des victimes se seraient constitués parties civiles en saisissant les juridictions internationales. Au Congo, c’est le silence plat. Ce même 26 novembre, Etienne Tshisekedi wa Mulumba, leader du plus grand parti de l’opposition et candidat à l’élection présidentielle a été bloqué à l’aéroport de Ndjili pendant huit heures. Rien ne s’est passé. Depuis trois mois, le président de l’UDPS se trouve en résidence surveillée de facto. Tout le monde regarde. Et laisse faire.
Ne pas avoir «le sang arabe» est une métaphore qui veut dire simplement que les Congolais manquent du courage pour affronter les sicaires du pouvoir en place et «dégager» leur tyran. Ils n’osent pas croiser le fer alors que leurs conditions sociales sont pires que celles que vivaient les Tunisiens et les Egyptiens. Il en est de même des Libyens. En un mot comme en cent, ce diplomate occidental a voulu dire que les ex-Zaïrois sont tétanisés par la peur pendant que l’avenir de leur Nation est en péril. Malheur donc à ceux qui espèrent une intervention de la "communauté internationale"...
Baudouin Amba Wetshi
© Congoindépendant 2003-2012
«Les Congolais n’ont pas le sang arabe»
Des Congolais de la diaspora lors d’une rencontre politique à Bruxelles. Photo CIC
A l’issue d’une réunion restreinte organisée par des diplomates occidentaux en poste à Kinshasa, l’un d’eux a prononcé une phrase lourde de sens : «Les Congolais n’ont pas le sang arabe…». Et pour cause ?
Le 20 mars dernier, le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’Homme (BCNDH) a publié un rapport "tardif" mais accablant sur des graves violations massives des droits et libertés imputables aux forces dites de défense et de sécurité avant, pendant et après les élections du 28 novembre 2011 soit entre le 26 novembre et le 25 décembre. La Garde présidentielle, la Demiap, l’Agence nationale de renseignements (ANR) et les unités spéciales de la police nationale ont été épinglées. Il s’agit des organismes relevant directement de «Joseph Kabila».
Le rapport fait état d’une centaine de blessés et de trente-trois personnes tuées dont vingt-deux par balles. Il fait également état de deux cent soixante-cinq cas d’arrestations et de détentions arbitraires dont les victimes seraient des militants de l’opposition. Il est enfin question d’une vingtaine de personnes «portées disparues».
Au lieu d’exiger des «comptes» au régime tyrannique et fasciste de «Joseph Kabila», les Congolais se sont attardés sur l’accessoire. A savoir, le «délai de publication» de ce document. C’est à dire trois mois après les élections. Une attitude qui rappelle celle de cet homme - l’idiot - qui regardait le doigt du Sage alors que celui-ci lui montrait la lune. Inutile de dire que le corps diplomatique accrédité au Congo redoutait que ce rapport provoque une agitation dans les milieux proches de l’opposition. A la surprise générale, rien ne s’est passé.
Le jeudi 29 mars dernier, la Mission d’observation électorale de l’Union européenne (MOE-UE) conduite par l’eurodéputé Mariya Nedelcheva a publié les conclusions de son rapport sur l’élection présidentielle et les législatives. La sentence est sans appel : «La mission considère que les résultats publiés par la Commission électorale nationale indépendante ne sont pas crédibles à la lumière des nombreuses irrégularités et fraudes constatées lors du processus électoral sur ces scrutins remportés par le chef de l’Etat sortant Joseph Kabila et l’alliance de partis qui l’ont soutenu.». Les «analystes congolais» ont préféré mettre l’accent sur le caractère «tardif» du document au lieu d’en tirer des enseignements. Un de ces enseignements est clair : le Congo-Kinshasa est dirigé par un «Président tricheur». Un usurpateur.
En réalité, ces deux rapports successifs rédigés par des organisations internationales devaient être interprétés comme un message subliminal de «responsabilisation» que l’on pourrait décrypter comme suit : «Les faits sont là ! Prenez vos responsables. Il vous incombe à façonner votre destin. La balle se trouve dans votre camp». Une fois de plus, rien ne s’est passé. Les Congolais - grands ou petits - continuent à vaquer à leurs occupations avec cette indolence devenue légendaire. Ils continuent à manger et à boire. Ils continuent à commenter l’actualité politique dans les "Matanga". D’où cette réflexion interpellante de ce diplomate occidental.
Que voit-on? En Tunisie et en Egypte, les peuples de ces deux pays, soucieux de plus de justice, de liberté et de dignité, sont descendus dans la rue pour faire "dégager" deux dictateurs redoutés et redoutables (Ben Ali et Hosni Moubarak). Ils n’ont pas attendu l’aide de la "communauté internationale". En Libye, bien que bénéficiant de la «couverture aérienne» des forces de l’OTAN, ce sont les Libyens qui ont combattu le pouvoir en place sur le terrain. Arme à la main.
Plusieurs événements récents survenus au Congo-Kinshasa donnent des Congolais l’image d’un peuple peureux. Peu tenace. Un peuple sans mémoire et dénué de toute capacité d’indignation. Un peuple incapable de faire le départ entre le bien et le mal, le juste et l’injuste, l’acceptable et l’inacceptable, la vérité et le mensonge. Des faits?
L’assassinat de Floribert Chebeya et de Fidèle Bazana en juin 2010 au siège de la police nationale avait suscité plusieurs «marches de protestation». «Kabila assassin au Congo», criaient la population kinoise lors des obsèques de Chebeya. Deux années après, la mémoire collective semble avoir effacé ces deux crimes d’Etat dont on en parle aujourd’hui sur un ton anecdotique. On pourrait dire autant du «suicide» d’Armand Tungulu Mudiandambu le 2 octobre 2010 dans un cachot de la garde présidentielle de «Joseph Kabila» au Camp Tshatshi. Le 26 novembre dernier, une vingtaine de militants de l’opposition pro-Tshisekedi ont été abattus comme des «lapins» par cette même garde présidentielle. Sous d’autres cieux, les parents des victimes se seraient constitués parties civiles en saisissant les juridictions internationales. Au Congo, c’est le silence plat. Ce même 26 novembre, Etienne Tshisekedi wa Mulumba, leader du plus grand parti de l’opposition et candidat à l’élection présidentielle a été bloqué à l’aéroport de Ndjili pendant huit heures. Rien ne s’est passé. Depuis trois mois, le président de l’UDPS se trouve en résidence surveillée de facto. Tout le monde regarde. Et laisse faire.
Ne pas avoir «le sang arabe» est une métaphore qui veut dire simplement que les Congolais manquent du courage pour affronter les sicaires du pouvoir en place et «dégager» leur tyran. Ils n’osent pas croiser le fer alors que leurs conditions sociales sont pires que celles que vivaient les Tunisiens et les Egyptiens. Il en est de même des Libyens. En un mot comme en cent, ce diplomate occidental a voulu dire que les ex-Zaïrois sont tétanisés par la peur pendant que l’avenir de leur Nation est en péril. Malheur donc à ceux qui espèrent une intervention de la "communauté internationale"...
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.rfi.fr/afrique/20120407-rdc- ... C3%A9-goma
RDC - Article publié le : samedi 07 avril 2012 - Dernière modification le : samedi 07 avril 2012
RDC: l’armée dépêche des renforts dans le Kivu
Le général Bosco Ntaganda, recherché par la Cour pénale internationale.
Par RFI
A l’est de la RDC, une partie de l’armée est entrée en dissidence. Il s’agit d' anciens rebelles du CNDP (Congrès national pour la défense du peuple), intégrés dans l’armée nationale. Ils défendent Bosco Ntaganda, ancien chef rebelle, devenu général dans l’armée régulière. Ntaganda est recherché par la CPI (Cour pénale internationale), et Kinshasa semble avoir décidé de cesser de le protéger. Des troupes de l’armée nationale, les FARDC, ont été envoyées en masse dans la région depuis quelques jours. Mais le gouvernement congolais reste très discret sur ces opérations militaires.
Dans le Nord-Kivu, les FARDC ont lancé une opération de traque de ceux que l’on appelle les « rebelles ». Ils sont pourchassés dans les régions de Rutshuru et de Kitchanga. La force d’action rapide a également été déployée dans le sud-Kivu ; et elle aurait repris le contrôle des abords de la ville d’Uvira, où la situation était plus calme hier, vendredi 6 avril, après les affrontements de ces deux derniers jours. Aucun bilan n’a été fourni par l’armée.
A Kinshasa, la communication des autorités reste minimale sur ces événements. Un communiqué du gouvernement parle « d’une sorte de psychose, créée par des troupes indisciplinées » qui érigent des barrages, et se contente d’appeler ces hommes au respect de la discipline sous peine de poursuites. Pas un mot sur ce qui est au cœur de cette montée de fièvre : une volonté d’arrêter l’ex-rebelle devenu général des FARDC, Bosco Ntaganda, pour le livrer à la Cour pénale internationale.
Certaines sources disent qu’il est retranché dans la région de Walikalé avec environ 250 hommes ; d’autres le disent à Goma. Accusé de crimes de guerre, Bosco Ntaganda avait été jusqu’aujourd’hui protégé au nom de la paix.
RDC - Article publié le : samedi 07 avril 2012 - Dernière modification le : samedi 07 avril 2012
RDC: l’armée dépêche des renforts dans le Kivu
Le général Bosco Ntaganda, recherché par la Cour pénale internationale.
Par RFI
A l’est de la RDC, une partie de l’armée est entrée en dissidence. Il s’agit d' anciens rebelles du CNDP (Congrès national pour la défense du peuple), intégrés dans l’armée nationale. Ils défendent Bosco Ntaganda, ancien chef rebelle, devenu général dans l’armée régulière. Ntaganda est recherché par la CPI (Cour pénale internationale), et Kinshasa semble avoir décidé de cesser de le protéger. Des troupes de l’armée nationale, les FARDC, ont été envoyées en masse dans la région depuis quelques jours. Mais le gouvernement congolais reste très discret sur ces opérations militaires.
Dans le Nord-Kivu, les FARDC ont lancé une opération de traque de ceux que l’on appelle les « rebelles ». Ils sont pourchassés dans les régions de Rutshuru et de Kitchanga. La force d’action rapide a également été déployée dans le sud-Kivu ; et elle aurait repris le contrôle des abords de la ville d’Uvira, où la situation était plus calme hier, vendredi 6 avril, après les affrontements de ces deux derniers jours. Aucun bilan n’a été fourni par l’armée.
A Kinshasa, la communication des autorités reste minimale sur ces événements. Un communiqué du gouvernement parle « d’une sorte de psychose, créée par des troupes indisciplinées » qui érigent des barrages, et se contente d’appeler ces hommes au respect de la discipline sous peine de poursuites. Pas un mot sur ce qui est au cœur de cette montée de fièvre : une volonté d’arrêter l’ex-rebelle devenu général des FARDC, Bosco Ntaganda, pour le livrer à la Cour pénale internationale.
Certaines sources disent qu’il est retranché dans la région de Walikalé avec environ 250 hommes ; d’autres le disent à Goma. Accusé de crimes de guerre, Bosco Ntaganda avait été jusqu’aujourd’hui protégé au nom de la paix.
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