Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Merci ERKA pour cette info...Faut pas lâcher l'affaire...
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Guerre au Congo : Résistance Dans les Zones "Libérées"
http://www.youtube.com/watch?v=usivXU08HsU&feature=fvst
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- tony yave
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Janvier, Février, et Mars bientôt avril, toujours rien

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Patshoosket
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
En fait Yav, je n’arrive toujours pas a cerner ton mystère. Tu plaisantes ou c'est vraiment ta position par rapport aux événement du pays ?tony yave a écrit :Janvier, Février, et Mars bientôt avril, toujours rien![]()
![]()
As-tu seulement des frères encore au pays ?
Tu es fils d'un dignitaire de ce régime ou comment ? Mais ou moins saches une chose, moi je suis de la quatrième génération, c'est la génération que Mfumu KIMBANGU avait décrit comme "MBAMBI YA NTANU MBAMBI ya NSILULU" Ça va se savoir, commences déjà a compter!
Soyez indifférents aux éloges et profitez de critiques pour vous améliorer et vous corriger
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.reveil-fm.com/index.php/2012 ... uis-michel
Bruxelles:L' Aprodec interpelle Bob Kabamba Kazadi, le garçon de course de Louis Michel
Par Freddy Mulongo, mardi 13 mars 2012 à 13:13 :: radio
Pyromane qui joue parfois au sapeur pompier Bob Kazadi Kabamba est connu dans la diaspora congolaise comme le garçon de course de Louis Michel "Big Loulou". Cette image lui colle à la peau et aux semelles. Lorsqu'on sait les dégâts et les magouilles de la bande à Big Loulou au Congo-Kinshasa, on peut comprendre la méfiance et l'animosité qui se dégagent à chaque fois que l'on prononce le nom de Bob Kazadi Kabamba dans la communauté congolaise acquise au changement. Certaines langues parlent de la jalousie. Comment peut-on être jaloux d'un personnage ombrageux, médiocre qui contribue à la prédation et au pillage du Congo ? Il faut dire aussi que Bob Kazadi Kabamba et Evariste Boshab sont les deux Belges d'origine congolaise qui comme observateurs et figurants ont assisté sans broncher à la rédaction la "Constitution de Liège" qui régit la République démocratique, tripatouillée par Joseph Kabila pour se faire réélire au premier tour lors de l'élection présidentielle du 28 novembre dernier. Après tricherie et fraudes massives, il a été proclamé vainqueur alors c'est Etienne Tshisekedi qui a gagné ! La constitution d'un État est à la fois l'acte politique à valeur juridique et la loi fondamentale qui unit et régit de manière organisée et hiérarchisée l’ensemble des rapports entre gouvernants et gouvernés au sein de cet État, en tant qu'unité d'espace géographique et humain. Il y a un préalable qui est la connaissance des us et coutumes d'un pays et de son peuple pour la rédaction d'une bonne constitution.
Bob Kazadi Kabamba connu dans la communauté congolaise comme un pyromane
Or Bob Kazadi Kabamba a quitté le pays de Patrice Emery Lumumba-plus précisément la ville de Bukavu en 1987 pour la Belgique. Après les études, il en a profité pour vite demander la nationalité Belge. Bob Kazadi Kabamba ne connait pas très bien le Congo puisqu'il n'y vit pas, malgré les courses qu'il fait pour Louis Michel au Congo et leurs soutiens diurnes et nocturnes à Joseph Kabila. S'il connaissait la République Démocratique du Congo et était conscient des souffrances de sa population, de l'affaiblissement de l'Etat Congolais, disons plutôt de son Non-Etat, il n'aurait pas encouragé que dans la Constitution de Liège soit inscrit des articles qui peuvent pousser à la balkanisation de la République Démocratique du Congo, par le passage de 11 à 26 provinces (Kinshasa, la capitale est aussi une province). Il ne suffit pas de nous renvoyer à la figure que la Constitution de Liège actuelle fait référence à celle de Luluabourg et des résolutions de la Conférence nationale Souveraine pour nous convaincre. En Belgique, tout belge qui parle du Congo en devient le spécialiste, c'est le cas de Bob Kabamba Kazadi. Né en 1967 à Bukavu dans l'est du Congo et est arrivé en Belgique en 1987. Avec le soutien de Louis Michel, il a étudié à l'univeristé de Liège, qui est soutenue et financée par le parti MR de "Big Loulou" où il est chargé de cours en géopolitique de l'Afrique subsaharienne. Il vit à Dour. Pour brouiller les pistes il a rejoint Sympathisant des Verts francophones, il y a trois ans. Il se dit Ecolo mais n'a d'Ecolo sa roublardise et fourberie. Les ambitions ambiguës du calculard et combinard, les appétits gargantuesques et pantagruéliques à l'égard du Congo de Bob Kazadi Kabamba qui tout professeur qu'il est soutient la prédation et l'occupation de la République démocratique du Congo, laissent pantois ! Dans l'intelligentsia congolaise Bob Kazadi Kabamba ne compte pas, mais dans les milieux mafieux conspirationnistes contre le Congo et sa souveraineté, le Hennuyer d'origine congolaise est consulté. Bob Kabamba Kazadi vient d'être interpellé par l’Aprodec, un Ong très engagé pour la vérité des urnes en République démocratique du Congo.
Monsieur Bob Kabamba (Ulg - Ecolo),
Nous prenons acte de votre demande relative à la suppression de votre adresse email de nos listes de diffusion.
Nous profitons toutefois de cette occasion pour vous rappeler que lors de la table ronde organisée par le Laboratoire d’Anthropologie des Mondes Contemporains (LAMC) de l’Institut de Sociologie de l’ULB, le lundi 13 février 2012, sur le thème:"Penser les élections en République Démocratique du Congo", à laquelle vous avez participé en qualité d'intervenant au même titre que Monsieur Théodore Trefon (MRAC,) Monsieur Jean-Claude Willame (Ulg - Ecolo,) Madame Marie-France Cros (La Libre Belgique) et la modération de la table ronde a été assurée par Monsieur Mathieu Hilgers (ULB). Vous y avez prétendu détenir une copie de l’instrumentum de l’arrêt RE007 rendu le 16 décembre 2011 par la Cour Suprême de Justice de la République Démocratique du Congo (CSJ) proclamant Joseph Kabila Président de la République acquise à Kinshasa au prix de 5 dollars USD et depuis, ledit document serait accessible, selon vous, sur le site du Journal officiel de la République Démocratique du Congo (http://www.leganet.cd/JO.htm#2011 ).
A ce sujet, vous avez promis de transmettre une copie du précité arrêt de la CSJ à tous les participants de la table ronde qui nous lisent en copie et particulièrement à Monsieur Paul Nsapu Mukulu Secrétaire Général de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH) et Président de la Ligue des électeurs de la RDC lequel nous a confirmés que, plus d’un mois après, vous n’avez donné aucune suite, quant à ce.
Nous vous rappelons que l’article 21 de la Constitution de la République Démocratique du Congo (écrite à liège avec votre concours) stipule que : « Tout jugement est écrit et motivé. Il est prononcé en audience publique. » En l’espèce, en tant que constitutionnaliste, vous savez et/ou vous aurez du savoir ce que prévoit la Loi pour sanctionner l’inexistence de l’instrumentum d’un jugement rendu depuis le 16 décembre 2011!
De ce qui précède, l’APRODEC asbl vous prie officiellement de lui communiquer une copie de l’arrêt RE007 rendu le 16 décembre 2011 par la CSJ proclamant Joseph Kabila Président de République. Faute d’y réserver une suite escomptée, endéans les huit jours de la saisine, l’APRODEC asbl considèrera que vous êtes responsable de faits de tromperie aggravée et de complice d’usurpation de fonction en faveur de Joseph Kabila. Le cas échéant, l’APRODEC asbl pourrait vous citer à comparaître en qualité de témoin forcé dans l’Affaire qui l’oppose au Gouvernement fédéral belge concernant l’implication de celui-ci dans une association internationale de malfaiteurs. Cf. La planification et l’exécution de la fraude électorale en faveur de Joseph Kabila.
Nous vous prions de croire, Monsieur Bob Kabamba (Ulg - Ecolo), en l’assurance de notre haute considération.
Fait à Bruxelles, le 13 mars 2012
Pour l’APRODEC asbl,
Benjamin Stanis Kalombo
Président et administrateur-délégué
APRODEC asbl
Tél : 0032.484.925.836
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Bruxelles:L' Aprodec interpelle Bob Kabamba Kazadi, le garçon de course de Louis Michel
Par Freddy Mulongo, mardi 13 mars 2012 à 13:13 :: radio
Pyromane qui joue parfois au sapeur pompier Bob Kazadi Kabamba est connu dans la diaspora congolaise comme le garçon de course de Louis Michel "Big Loulou". Cette image lui colle à la peau et aux semelles. Lorsqu'on sait les dégâts et les magouilles de la bande à Big Loulou au Congo-Kinshasa, on peut comprendre la méfiance et l'animosité qui se dégagent à chaque fois que l'on prononce le nom de Bob Kazadi Kabamba dans la communauté congolaise acquise au changement. Certaines langues parlent de la jalousie. Comment peut-on être jaloux d'un personnage ombrageux, médiocre qui contribue à la prédation et au pillage du Congo ? Il faut dire aussi que Bob Kazadi Kabamba et Evariste Boshab sont les deux Belges d'origine congolaise qui comme observateurs et figurants ont assisté sans broncher à la rédaction la "Constitution de Liège" qui régit la République démocratique, tripatouillée par Joseph Kabila pour se faire réélire au premier tour lors de l'élection présidentielle du 28 novembre dernier. Après tricherie et fraudes massives, il a été proclamé vainqueur alors c'est Etienne Tshisekedi qui a gagné ! La constitution d'un État est à la fois l'acte politique à valeur juridique et la loi fondamentale qui unit et régit de manière organisée et hiérarchisée l’ensemble des rapports entre gouvernants et gouvernés au sein de cet État, en tant qu'unité d'espace géographique et humain. Il y a un préalable qui est la connaissance des us et coutumes d'un pays et de son peuple pour la rédaction d'une bonne constitution.
Bob Kazadi Kabamba connu dans la communauté congolaise comme un pyromane
Or Bob Kazadi Kabamba a quitté le pays de Patrice Emery Lumumba-plus précisément la ville de Bukavu en 1987 pour la Belgique. Après les études, il en a profité pour vite demander la nationalité Belge. Bob Kazadi Kabamba ne connait pas très bien le Congo puisqu'il n'y vit pas, malgré les courses qu'il fait pour Louis Michel au Congo et leurs soutiens diurnes et nocturnes à Joseph Kabila. S'il connaissait la République Démocratique du Congo et était conscient des souffrances de sa population, de l'affaiblissement de l'Etat Congolais, disons plutôt de son Non-Etat, il n'aurait pas encouragé que dans la Constitution de Liège soit inscrit des articles qui peuvent pousser à la balkanisation de la République Démocratique du Congo, par le passage de 11 à 26 provinces (Kinshasa, la capitale est aussi une province). Il ne suffit pas de nous renvoyer à la figure que la Constitution de Liège actuelle fait référence à celle de Luluabourg et des résolutions de la Conférence nationale Souveraine pour nous convaincre. En Belgique, tout belge qui parle du Congo en devient le spécialiste, c'est le cas de Bob Kabamba Kazadi. Né en 1967 à Bukavu dans l'est du Congo et est arrivé en Belgique en 1987. Avec le soutien de Louis Michel, il a étudié à l'univeristé de Liège, qui est soutenue et financée par le parti MR de "Big Loulou" où il est chargé de cours en géopolitique de l'Afrique subsaharienne. Il vit à Dour. Pour brouiller les pistes il a rejoint Sympathisant des Verts francophones, il y a trois ans. Il se dit Ecolo mais n'a d'Ecolo sa roublardise et fourberie. Les ambitions ambiguës du calculard et combinard, les appétits gargantuesques et pantagruéliques à l'égard du Congo de Bob Kazadi Kabamba qui tout professeur qu'il est soutient la prédation et l'occupation de la République démocratique du Congo, laissent pantois ! Dans l'intelligentsia congolaise Bob Kazadi Kabamba ne compte pas, mais dans les milieux mafieux conspirationnistes contre le Congo et sa souveraineté, le Hennuyer d'origine congolaise est consulté. Bob Kabamba Kazadi vient d'être interpellé par l’Aprodec, un Ong très engagé pour la vérité des urnes en République démocratique du Congo.
Monsieur Bob Kabamba (Ulg - Ecolo),
Nous prenons acte de votre demande relative à la suppression de votre adresse email de nos listes de diffusion.
Nous profitons toutefois de cette occasion pour vous rappeler que lors de la table ronde organisée par le Laboratoire d’Anthropologie des Mondes Contemporains (LAMC) de l’Institut de Sociologie de l’ULB, le lundi 13 février 2012, sur le thème:"Penser les élections en République Démocratique du Congo", à laquelle vous avez participé en qualité d'intervenant au même titre que Monsieur Théodore Trefon (MRAC,) Monsieur Jean-Claude Willame (Ulg - Ecolo,) Madame Marie-France Cros (La Libre Belgique) et la modération de la table ronde a été assurée par Monsieur Mathieu Hilgers (ULB). Vous y avez prétendu détenir une copie de l’instrumentum de l’arrêt RE007 rendu le 16 décembre 2011 par la Cour Suprême de Justice de la République Démocratique du Congo (CSJ) proclamant Joseph Kabila Président de la République acquise à Kinshasa au prix de 5 dollars USD et depuis, ledit document serait accessible, selon vous, sur le site du Journal officiel de la République Démocratique du Congo (http://www.leganet.cd/JO.htm#2011 ).
A ce sujet, vous avez promis de transmettre une copie du précité arrêt de la CSJ à tous les participants de la table ronde qui nous lisent en copie et particulièrement à Monsieur Paul Nsapu Mukulu Secrétaire Général de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH) et Président de la Ligue des électeurs de la RDC lequel nous a confirmés que, plus d’un mois après, vous n’avez donné aucune suite, quant à ce.
Nous vous rappelons que l’article 21 de la Constitution de la République Démocratique du Congo (écrite à liège avec votre concours) stipule que : « Tout jugement est écrit et motivé. Il est prononcé en audience publique. » En l’espèce, en tant que constitutionnaliste, vous savez et/ou vous aurez du savoir ce que prévoit la Loi pour sanctionner l’inexistence de l’instrumentum d’un jugement rendu depuis le 16 décembre 2011!
De ce qui précède, l’APRODEC asbl vous prie officiellement de lui communiquer une copie de l’arrêt RE007 rendu le 16 décembre 2011 par la CSJ proclamant Joseph Kabila Président de République. Faute d’y réserver une suite escomptée, endéans les huit jours de la saisine, l’APRODEC asbl considèrera que vous êtes responsable de faits de tromperie aggravée et de complice d’usurpation de fonction en faveur de Joseph Kabila. Le cas échéant, l’APRODEC asbl pourrait vous citer à comparaître en qualité de témoin forcé dans l’Affaire qui l’oppose au Gouvernement fédéral belge concernant l’implication de celui-ci dans une association internationale de malfaiteurs. Cf. La planification et l’exécution de la fraude électorale en faveur de Joseph Kabila.
Nous vous prions de croire, Monsieur Bob Kabamba (Ulg - Ecolo), en l’assurance de notre haute considération.
Fait à Bruxelles, le 13 mars 2012
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... 4:le-phare
CRISE CONGOLAISE : L'Opposition tentée par Palais de Marbre I et II
VENDREDI, 16 MARS 2012 14:27
Depuis quelque temps, des « plans de sortie de crise » en République Démocratique du Congo circulent dans tous les sens. Diplomates, analystes politiques, membres de la Majorité au pouvoir comme de l'Opposition institutionnelle et non institutionnelle rivalisent d'imagination pour tenter de résoudre la crise de légitimité qui affecte aussi bien le Chef de l'Etat réélu que certains députés nationaux élus sur fond de contestations.
Selon certaines moutures parvenues au Phare, des opposants se seraient déjà inscrits dans le schéma du Palais de Marbre I et II des années '90. A l'époque en effet, sous la médiation de Lakhtar Brahimi (émissaire des Nations Unies) d'abord et de Me Abdoulaye Wade (alors ministre d'Etat du président Abdou Diouf au Sénégal) ensuite, Mobutu et l'Opposition avaient décidé de comploter derrière le dos de 2800 participants de la Conférence Nationale. Souveraine. C'était après la mémorable séance plénière dirigée par le Bureau provisoire de Kalonji Mutambayi et sabotée par l'Opposition à coups de sifflets ainsi que des premiers pillages, en septembre 1991.
La trame des accords du Palais de Marbre I et II s'articulait autour de la reconnaissance du Maréchal Mobutu pomme Chef de l'Etat et de la nomination d'Un membre de l'Opposition comme Premier ministre, avec les pleins pouvoirs. On se souvient qu'Etienne Tshisekedi, ayant flairé le piège de sa soumission aveugle et inconditionnelle au Chef de l'Etat, s'était empressé 'de biffer, publiquement, la mention à problème inscrite dans le serment constitutionnel. Après lui, Bernardin Mungul Diaka puis Nguz a Karl i Bond s'étaient offerts pour la besogne de figurants à la tête du Gouvernement.
L'on apprend qu'un schéma presque analogue est en chantier dans plusieurs états-majors politiques de l'Opposition. Il aurait pour préalable majeur de fermer les yeux sur toutes les tricheries ayant entaché le processus électoral tant au niveau de l'enrôlement que des scrutins présidentiel et législatifs. Après avoir fait marcher des milliers de compatriotes dans les rues de Kinshasa contre l'opacité du' fichier électoral, appelé à cor et à cri au changement de gouvernance au sommet de l'Etat,crié sur tous les toits aux fraudes électorales, proclamé urbi et orbi que le véritable vainqueur de la présidentielle était le candidat n°11 (Etienne Tshisekedi), voire déposé des recours à la Cour Suprême de Justice, certains leaders de l'Opposition demandent à leurs électeurs « d'effacer le tableau ».
Ils exigent, en contrepartie de la caution de légitimité à apporter à Joseph Kabila comme Chef de l'Etat, qu'il puise l'Informateur au sein de leur famille politique, lequel serait appelé plus tard à s'assumer comme Formateur puis Premier ministre. S'agissant du format du Gouvernement d'union nationale, les portefeuilles ministériels devraient être « distribués » au prorata des sièges détenus par chaque parti à l'Assemblée Nationale. Ce poids politique devrait aussi être pris en compte au moment du partage des «responsabilités » au sein de la territoriale, de la diplomatie, des entreprises du Portefeuille, etc.
Premier ministre : un profil bizarre
L'Opposition est en fait appelée à jeter l'éponge dans son bras de fer actuel avec la famille politique du Président de la République. Avec l'accompagnement de la communauté internationale; elle devrait s'inscrire dans le schéma de sortie de crise déjà expérimenté au Kenya et au Zimbabwe. Mais, s'agissant du profil du futur Informateur-Formateur- Premier ministre, il est des plus flous. Il est suggéré
Kabila de respecter l'ordre lexical d'arrivée des candidats de l'Opposition lors du scrutin présidentiel du 28 novembre.
Pourquoi un tel critère et à qui devrait-il profiter ? La question suscite curiosité et suspicion. On connaît les Congolais le mérite d'être de petits génies dans l'oeuvre d'enrichissement du lexique francophone. Après la géopolitique, qui ressurgit chaque fois qu'il est question du partage équitable et équilibré des postes de responsabilité dans la gestion des affaires publiques, il faut désormais compter avec «l'ordre lexical », un concept qui est tout, sauf impersonnel et objectif.
Adieu les électeurs
A quoi auront servi les bulletins de vote émis par des millions de Congolais le 28 novembre 2011, si des raccourcit du genre” de celui sous examen peuvent permettre de mettre une croix, sur les résultats des urnes et de répartir de zéro ? Après le hold up électoral, voici donc les électeurs embarqués dans un projet de nouvel ordre institutionnel sorti de l'imagination de ceux qui prétendent se battre pour sa cause.
Il s'avère, à l'analyse, que l'homme politique congolais, qu'il appartienne à la majorité au pouvoir ou à l'opposition, vise le seul et même objectif : la recherche de son confort personnel. Et pour y parvenir, il est prêt à souscrire' à tous les compromis et à toutes les compromissions. Quatre mois après les élections, le « bal des chauves » commence à livrer ses secrets. Et, d'aucuns pensent que le feuilleton des reniements sera long et riche.
Kimp
CRISE CONGOLAISE : L'Opposition tentée par Palais de Marbre I et II
VENDREDI, 16 MARS 2012 14:27
Depuis quelque temps, des « plans de sortie de crise » en République Démocratique du Congo circulent dans tous les sens. Diplomates, analystes politiques, membres de la Majorité au pouvoir comme de l'Opposition institutionnelle et non institutionnelle rivalisent d'imagination pour tenter de résoudre la crise de légitimité qui affecte aussi bien le Chef de l'Etat réélu que certains députés nationaux élus sur fond de contestations.
Selon certaines moutures parvenues au Phare, des opposants se seraient déjà inscrits dans le schéma du Palais de Marbre I et II des années '90. A l'époque en effet, sous la médiation de Lakhtar Brahimi (émissaire des Nations Unies) d'abord et de Me Abdoulaye Wade (alors ministre d'Etat du président Abdou Diouf au Sénégal) ensuite, Mobutu et l'Opposition avaient décidé de comploter derrière le dos de 2800 participants de la Conférence Nationale. Souveraine. C'était après la mémorable séance plénière dirigée par le Bureau provisoire de Kalonji Mutambayi et sabotée par l'Opposition à coups de sifflets ainsi que des premiers pillages, en septembre 1991.
La trame des accords du Palais de Marbre I et II s'articulait autour de la reconnaissance du Maréchal Mobutu pomme Chef de l'Etat et de la nomination d'Un membre de l'Opposition comme Premier ministre, avec les pleins pouvoirs. On se souvient qu'Etienne Tshisekedi, ayant flairé le piège de sa soumission aveugle et inconditionnelle au Chef de l'Etat, s'était empressé 'de biffer, publiquement, la mention à problème inscrite dans le serment constitutionnel. Après lui, Bernardin Mungul Diaka puis Nguz a Karl i Bond s'étaient offerts pour la besogne de figurants à la tête du Gouvernement.
L'on apprend qu'un schéma presque analogue est en chantier dans plusieurs états-majors politiques de l'Opposition. Il aurait pour préalable majeur de fermer les yeux sur toutes les tricheries ayant entaché le processus électoral tant au niveau de l'enrôlement que des scrutins présidentiel et législatifs. Après avoir fait marcher des milliers de compatriotes dans les rues de Kinshasa contre l'opacité du' fichier électoral, appelé à cor et à cri au changement de gouvernance au sommet de l'Etat,crié sur tous les toits aux fraudes électorales, proclamé urbi et orbi que le véritable vainqueur de la présidentielle était le candidat n°11 (Etienne Tshisekedi), voire déposé des recours à la Cour Suprême de Justice, certains leaders de l'Opposition demandent à leurs électeurs « d'effacer le tableau ».
Ils exigent, en contrepartie de la caution de légitimité à apporter à Joseph Kabila comme Chef de l'Etat, qu'il puise l'Informateur au sein de leur famille politique, lequel serait appelé plus tard à s'assumer comme Formateur puis Premier ministre. S'agissant du format du Gouvernement d'union nationale, les portefeuilles ministériels devraient être « distribués » au prorata des sièges détenus par chaque parti à l'Assemblée Nationale. Ce poids politique devrait aussi être pris en compte au moment du partage des «responsabilités » au sein de la territoriale, de la diplomatie, des entreprises du Portefeuille, etc.
Premier ministre : un profil bizarre
L'Opposition est en fait appelée à jeter l'éponge dans son bras de fer actuel avec la famille politique du Président de la République. Avec l'accompagnement de la communauté internationale; elle devrait s'inscrire dans le schéma de sortie de crise déjà expérimenté au Kenya et au Zimbabwe. Mais, s'agissant du profil du futur Informateur-Formateur- Premier ministre, il est des plus flous. Il est suggéré
Kabila de respecter l'ordre lexical d'arrivée des candidats de l'Opposition lors du scrutin présidentiel du 28 novembre.
Pourquoi un tel critère et à qui devrait-il profiter ? La question suscite curiosité et suspicion. On connaît les Congolais le mérite d'être de petits génies dans l'oeuvre d'enrichissement du lexique francophone. Après la géopolitique, qui ressurgit chaque fois qu'il est question du partage équitable et équilibré des postes de responsabilité dans la gestion des affaires publiques, il faut désormais compter avec «l'ordre lexical », un concept qui est tout, sauf impersonnel et objectif.
Adieu les électeurs
A quoi auront servi les bulletins de vote émis par des millions de Congolais le 28 novembre 2011, si des raccourcit du genre” de celui sous examen peuvent permettre de mettre une croix, sur les résultats des urnes et de répartir de zéro ? Après le hold up électoral, voici donc les électeurs embarqués dans un projet de nouvel ordre institutionnel sorti de l'imagination de ceux qui prétendent se battre pour sa cause.
Il s'avère, à l'analyse, que l'homme politique congolais, qu'il appartienne à la majorité au pouvoir ou à l'opposition, vise le seul et même objectif : la recherche de son confort personnel. Et pour y parvenir, il est prêt à souscrire' à tous les compromis et à toutes les compromissions. Quatre mois après les élections, le « bal des chauves » commence à livrer ses secrets. Et, d'aucuns pensent que le feuilleton des reniements sera long et riche.
Kimp
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
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PARTICIPATION DES DEPUTES DE L'OPPOSITION A L'ASSEMBLEE Etienne Tshisekedi trahi au conclave de Fatima
VENDREDI, 16 MARS 2012 14:48
La nouvelle est tombée hier. Les députés nationaux élus faisant partie de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) et des autres proches partis qui avaient soutenu la candidature d'Etienne Tshisekedi lors de la dernière présidentielle, ont levé l'option de siéger à l'Assemblée nationale. Débat.
Tout en continuant de se réclamer du courant tshisekediste, les députés des partis et regroupements des forces dites du changement, soutiennent qu'ils ont choisi de prendre part aux travaux de la chambre basse du Parle- ment pour «bien défendre les intérêts de la population». Prenant part à ces travaux qui se sont tenus à la Paroisse catholique Fatima, dans la commune de la Gombe, Serge Mayamba, élu député national sur la liste UDPS, dans la circonscription électorale de la Tshangu, est parmi les élus qui vont siéger au Palais du Peuple. Il faut dire que la position du député Serge Mayamba, Secrétaire national de l'UDPS chargé des relations avec les autres partis, a surpris plus d'une personne. «Si une telle déclaration venait d'un député issu d'un autre parti que l'UDPS, je pouvais comprendre, mais quand j'apprends qu'elle a été faite par le député Serge Mayamba, je suis tout simplement dépité», souligne un cadre du parti d'Etienne Tshisekedi qui a requis l'anonymat.
La déclaration faite par l'élu de la Tshangu à l'issue des travaux du Conclave des forces du changement et fans laquelle il opte d'occuper son siège au Palais du Peuple est balayée par Kahungu, secrétaire général adjoint de l'UDPS, qui a indiqué que son parti ignore tout ce qui a été fait et dit à Fatima. Bien avant lui, un autre député de l'UDPS, élu dans la circonscription de Miabi, dans le Kasaï-Oriental, avait dérouté la hiérarchie de son parti en levant l'option de siéger à l'assemblée nationale. Kalonji Mukendi Romain, c'est de lui qu'il s'agit, a fait remarquer que la manoeuvre visant à pousser les forces du changement à boycotter ce mandat ne passera pas. «Les animateurs du pouvoir sortant nous poussent à boycotter ce mandat pour leur offrir l'opportunité, notamment de décider seuls du choix des responsables des institutions politiques et celles d'appui à la démocratie, telles que la Cour constitutionnelle, la CENI et le CSAC ainsi que le contrôle des élections à venir», a-t-il déclaré. « C'est donc par souci de barrer la route aux prédateurs et de sécuriser les intérêts de notre peuple meurtri que nous avons levé l'option de faire valider les mandats des élus, de démasquer tous les fraudeurs et engager des discussions pour résoudre la crise postélectorale», a indiqué Kalonji Mukendi Romain, rappelant son attachement à Etienne Tshisekedi. «Avec ce choix stratégique, nous tenons à rassurer le peuple congolais de notre fidélité, de notre indéfectible attachement, ainsi que de notre loyauté à son élu, le président Etienne Tshisekedi wa Mulumba», a-t-il ajouté.
Même chanson du côté des alliés
Du côté des alliés de l'UDPS et d'Etienne Tshisekedi, la surprise est venue de Roger Lumbala, le président de la structure Soutien à Etienne Tshisekedi (SET). Jeune Afrique rappelle, dans un article publié sur son site le 13 mars dernier, que «peu de partis ou de regroupements politiques soutiennent la stratégie de boycott des institutions issues des élections présidentielle et législatives du 28 novembre prônée par l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS)». Sur la liste de ces partis qui ont accepté de siéger dans l'hémicycle, figure SET. Son président, Roger Lumbala, qui a battu campagne pour Tshisekedi, affirme qu'il est «égoïste» de se proclamer «président élu» et, dans le même temps, d'empêcher les autres de participer aux institutions.
La sentence
Avant la tenue du Conclave de Fatima, une délégation d'une vingtaine de députés de l'UDPS nouvellement élus avait rencontré Etienne Tshisekedi dans sa résidence de Limete le 20 février dernier pour tenter de trouver un compromis. Conseiller politique du président national de l'UDPS, Valentin Mubake s'oppose catégoriquement à cette démarche. «Nous devrons nous soumettre à la discipline du parti, soutient-il.
Tous ceux qui s'y opposent n'ont qu'à partir». Pour lui, «il n'est pas question pour l'UDPS de siéger aux côtés des personnes qui ont volé sa victoire».
Comme on peut le noter, la plupart de candidats qui se sont servis de l'aura d'Etienne Tshisekedi pour se faire élire, sont en train de montrer leur vraie face aujourd'hui. Moralité : la liste des traîtres du leader de l'UDPS ne cessera jamais de s'allonger.
Thomas NABOR
PARTICIPATION DES DEPUTES DE L'OPPOSITION A L'ASSEMBLEE Etienne Tshisekedi trahi au conclave de Fatima
VENDREDI, 16 MARS 2012 14:48
La nouvelle est tombée hier. Les députés nationaux élus faisant partie de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) et des autres proches partis qui avaient soutenu la candidature d'Etienne Tshisekedi lors de la dernière présidentielle, ont levé l'option de siéger à l'Assemblée nationale. Débat.
Tout en continuant de se réclamer du courant tshisekediste, les députés des partis et regroupements des forces dites du changement, soutiennent qu'ils ont choisi de prendre part aux travaux de la chambre basse du Parle- ment pour «bien défendre les intérêts de la population». Prenant part à ces travaux qui se sont tenus à la Paroisse catholique Fatima, dans la commune de la Gombe, Serge Mayamba, élu député national sur la liste UDPS, dans la circonscription électorale de la Tshangu, est parmi les élus qui vont siéger au Palais du Peuple. Il faut dire que la position du député Serge Mayamba, Secrétaire national de l'UDPS chargé des relations avec les autres partis, a surpris plus d'une personne. «Si une telle déclaration venait d'un député issu d'un autre parti que l'UDPS, je pouvais comprendre, mais quand j'apprends qu'elle a été faite par le député Serge Mayamba, je suis tout simplement dépité», souligne un cadre du parti d'Etienne Tshisekedi qui a requis l'anonymat.
La déclaration faite par l'élu de la Tshangu à l'issue des travaux du Conclave des forces du changement et fans laquelle il opte d'occuper son siège au Palais du Peuple est balayée par Kahungu, secrétaire général adjoint de l'UDPS, qui a indiqué que son parti ignore tout ce qui a été fait et dit à Fatima. Bien avant lui, un autre député de l'UDPS, élu dans la circonscription de Miabi, dans le Kasaï-Oriental, avait dérouté la hiérarchie de son parti en levant l'option de siéger à l'assemblée nationale. Kalonji Mukendi Romain, c'est de lui qu'il s'agit, a fait remarquer que la manoeuvre visant à pousser les forces du changement à boycotter ce mandat ne passera pas. «Les animateurs du pouvoir sortant nous poussent à boycotter ce mandat pour leur offrir l'opportunité, notamment de décider seuls du choix des responsables des institutions politiques et celles d'appui à la démocratie, telles que la Cour constitutionnelle, la CENI et le CSAC ainsi que le contrôle des élections à venir», a-t-il déclaré. « C'est donc par souci de barrer la route aux prédateurs et de sécuriser les intérêts de notre peuple meurtri que nous avons levé l'option de faire valider les mandats des élus, de démasquer tous les fraudeurs et engager des discussions pour résoudre la crise postélectorale», a indiqué Kalonji Mukendi Romain, rappelant son attachement à Etienne Tshisekedi. «Avec ce choix stratégique, nous tenons à rassurer le peuple congolais de notre fidélité, de notre indéfectible attachement, ainsi que de notre loyauté à son élu, le président Etienne Tshisekedi wa Mulumba», a-t-il ajouté.
Même chanson du côté des alliés
Du côté des alliés de l'UDPS et d'Etienne Tshisekedi, la surprise est venue de Roger Lumbala, le président de la structure Soutien à Etienne Tshisekedi (SET). Jeune Afrique rappelle, dans un article publié sur son site le 13 mars dernier, que «peu de partis ou de regroupements politiques soutiennent la stratégie de boycott des institutions issues des élections présidentielle et législatives du 28 novembre prônée par l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS)». Sur la liste de ces partis qui ont accepté de siéger dans l'hémicycle, figure SET. Son président, Roger Lumbala, qui a battu campagne pour Tshisekedi, affirme qu'il est «égoïste» de se proclamer «président élu» et, dans le même temps, d'empêcher les autres de participer aux institutions.
La sentence
Avant la tenue du Conclave de Fatima, une délégation d'une vingtaine de députés de l'UDPS nouvellement élus avait rencontré Etienne Tshisekedi dans sa résidence de Limete le 20 février dernier pour tenter de trouver un compromis. Conseiller politique du président national de l'UDPS, Valentin Mubake s'oppose catégoriquement à cette démarche. «Nous devrons nous soumettre à la discipline du parti, soutient-il.
Tous ceux qui s'y opposent n'ont qu'à partir». Pour lui, «il n'est pas question pour l'UDPS de siéger aux côtés des personnes qui ont volé sa victoire».
Comme on peut le noter, la plupart de candidats qui se sont servis de l'aura d'Etienne Tshisekedi pour se faire élire, sont en train de montrer leur vraie face aujourd'hui. Moralité : la liste des traîtres du leader de l'UDPS ne cessera jamais de s'allonger.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Tous n'iront pas. J'ai échangé avec l'un d'eux élu du BDD et prof d'université ici à Ottawa qui m'a révélé des choses choquantes. Il ne participera pas à ce parlement. Et Diomi Ndongala, fidèle et cohérent avec lui-même n'ira pas non plus.
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