Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition

[Ilunga]

Madi a écrit :

"j'en suis un, donc pas de complexe possible. J'ai jamais pensé que etre vantard était une mauvaise chose, moi je m'en prévaux tres souvent."






Dans ce cas, va te soigner...ça relève de la psychiatrie et je ne peux rien pour toi...Tu es un cas "freudien"...

[Ilunga]

Madi a écrit :

"j'en suis un, donc pas de complexe possible. J'ai jamais pensé que etre vantard était une mauvaise chose, moi je m'en prévaux tres souvent."







Je saisis mieux alors pourquoi tu estimes Roger LUMBALA...Il doit être de ta famille et ça confirme que ce gars était une taupe auprès de Tshitshi...Mais il a été démasqué, gare à lui s'il met encore ses pieds en Occident pcq on va le mutakaliser...Un criminel, voleur, pilleur à l'Est du pays...Le faux général criminel de Bakafwenda...Les gens de l'Ituri veulent le traduire à la Haye pour tous les crimes qu'il y a commis avec son RCD-National..Vrai aventurier...

[tony yave]

contestation
Par mande (non vérifié), le lun, 2012-03-05 13:09.

messieurs, vous ne laisserez pas de revêt que TSHIKAS est président légitime de la RDC? sachez que KABILA a gagné les élections comme poutine l'a aussi gagné en RUSSI, sachez que dans chaque matc il y a toujours un perdant et ce perdant n'accepte pas facillement son échec. au moment où vous vous contestez les resultats, KABILA lui met en place les institutions de la République à ce moment vous aurez à quité ce Congo pour aller vous réfugiez en europe là où vous critiquez les européens.

[tony yave]

news
photo video
Le président Joseph Kabila a reçu les évêques catholiques qu’il a rassurés de la bonne marche des affaires de l’Etat

Kinshasa, 06/03/2012 / Politique

Une délégation d’Evêques catholiques membres de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) a été reçue lundi par le président de la République qui a saisi l’opportunité du dialogue engagé entre les deux parties pour rassurer ses hôtes de la bonne marche des affaires de l’Etat

L’examen de la situation politique et sociale de la République démocratique du Congo a été au centre de l’entretien que le Président Joseph Kabila Kabange a eu lundi à sa ferme privée de Kingakati (à l’Est de Kinshasa) avec une délégation du Comité permanent des évêques membres de la Conférence nationale épiscopale du Congo ( CEMCO), conduite par son président, Mgr. Nicholas Djomo, archevêque de Tshumbe.

Le Président Joseph Kabila a rassuré les prélats de la marche normale du pays, actuellement engagé dans un processus de renouvellement de certaines de ses institutions, dans le strict respect de la constitution et des lois de la République. L’abbé Leonard Santedi, secrétaire général et porte-parole de la CENCO, a déclaré à la presse que leur visite auprès du Chef de l’Etat s’inscrit dans le cadre du dialogue qui doit toujours exister entre l’Eglise et les dirigeants du pays, en vue de prouver que l’Eglise a toujours oeuvré pour les bonnes relations avec l’Etat afin que son message soit un message de paix, d’amour et de fraternité.

Il a précisé que l’Eglise a toujours travaillé pour le bien-être de la population, en offrant sa contribution au gouvernement de la République à travers l’évangile. L’abbé Samedi a indiqué, en réponse à une question, que l’église catholique a toujours offert une grande liberté à ses fidèles car, selon lui, chacun est libre de suivre sa conscience. « L’Eglise a toujours demandé que chacun puisse choisir en toute conscience la personne qu’il juge la mieux pour diriger le pays », a-t-il dit.

Il a précisé que le Président Joseph Kabila a apprécié la démarche des évêques et leur a promis de continuer à toujours travailler pour le bien-être de la population. Les évêques, en tant que pasteurs, ont aussi promis au Chef de l’Etat de poursuivre leur mission d’oeuvrer à la base pour une paix véritable. Un memo des évêques, dont la teneur n’a pas été révélée à la presse, a été remis au Chef de l’Etat à cette occasion.

[tony yave]

Menacé en France pour avoir appelé à voter Joseph Kabila, le Prof. J.F. Mbala a porté plainte sur ce dossier dont la police française est saisie

Kinshasa, 05/03/2012 / Politique

Pertinentes et édifiantes confidences du Prof. John Francis Mbala autour du phénomène d’agressions que perpètrent dans les pays occidentaux les intégristes de la diaspora congolaise contre les compatriotes soutenant le pouvoir au pays, d’autant que l’intéressé est actuellement ciblé par les soi-disant “combattants”

La série noire des agressions des intégristes radicaux de l’opposition dans la diaspora congolaise en France s’allonge avec les menaces encourues cette fois par le très affiché pro-Kabiliste en la personne du Prof. John Francis Mbala, familier chroniqueur politique du site Digitalcongo.net du groupe de presse Multi Média Congo (MMC). Appelé au téléphone pour en savoir plus sur l’épisode qui secoue le concerné, l’homme s’est prêté aux questions pour expliquer sa situation. En rappelant, fait-il remarquer, sa précédente prestation dans l’interview en vidéo sur le site.

Voici à nouveau, la vidéo (ci-haut) qui a été très mal appréciée par des compatriots de la diaspora congolaise en France se faisant passer pour des « combattants » alors qu'il semble que le Prof. John Francis Mbala appelait au calme et à la paix durant la période postélectorale. Qu’est-ce qui a bien pu arriver à ce familier de digitalcongo.net/MMC ? L’interview téléphonique retranscrite ci-après en dit long.

Bonjour Professeur, qu'est-ce que nous apprenons qui vous arrive, et d’abord comment allez-vous ?

Merci de m'avoir contacté afin de vous enquérir de ma situation, cependant laissez-moi m'empresser de rassurer mes proches amis et parents ainsi que tous les compatriotes, en somme toute femme et tout homme épris de paix. Je n'ai pas été agressé physiquement mais il y a quelques jours j'ai reçu des menaces assez sérieuses. Je m'explique : quand on s'engage en politique, il faut savoir assumer ses choix. Je suis un soutien clair et affiché au Président de la République Joseph Kabila Kabange, et je suis ausi membre du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie ( PPRD) colonne vertébrale de la Majorité présidentielle.

En politique des clivages existent et c'est normal que certains soient opposants et nous critiquent. Je suis donc habitué aux critiques acerbes, menaces et même aux injures en tout genre. Mais jusqu'ici ces lâches - parce que c'est comme cela qu'il faut les désigner - agissaient sous couvert de l'anonymat. Le 17 novembre 2011 donc, lors d'une émission à Paris sur la chaîne internationale Tele Sud, j'ai ouvertement appelé à voter pour le candidat n° 3 Joseph Kabila.

Depuis, j'ai reçu des félicitations mais également des injures et menaces. Dès lors qu'une personne connue pour être un « combattant » prend contact avec moi, se dévoile et me dit clairement que je suis recherché par les « combattants » qui vont m'agresser parce que je soutiens Kabila, et cela à peine quelques jours seulement après l'agression odieuse dont a été victime le Président du Sénat Léon Kengo à Paris, qu'auriez-vous voulu que je fasse ? Surtout que le “combatant” messager refusait de me citer les noms de ses camarades "combattants".

Pour moi, il n'était plus question de porter plainte contre x puisque étant en mesure d'identifier au moins un des auteurs des menaces d'agression. J'ai donc anticipé et le dossier suit son cours, tandis que la Police française me protège. La France est une terre de droits de l'homme, de liberté d'expression et moi j'assume mon choix de soutenir le Président Joseph Kabila ici ou quand je suis en Rd Congo, de la même façon que je respecte le choix de ceux qui ont un avis contraire au mien, à nous membre de la majorité présidentielle.

Comment entrevoyez-vous l'issue de ces tensions entre la diaspora et le pouvoir en place ?

Je demande à tous de bien écouter mes propos contenus dans la vidéo que vous annexerez à cette interview. J’y explique bien que les « combattants » posent quelques bonnes questions mais qu'ils proposent de mauvaises solutions en ayant recours à la violence. Je ne pense pas que la violence sert leur combat. Il faut prendre de la hauteur et remarquer que toutes les chancelleries occidentales et lieux de pouvoir sur la scène internationale ont regretté l’gression perpétrée contre le Président du Sénat Léon Kengo. En fait agresser un Monsieur qui a 76 ans a été très mal perçu et les Etats que les "combattants" espèrent voir rallier leur cause ont bien signifié que ce n'est pas eux qui allaient dicter leur politique étrangère. Voyez-vous : peu de temps après, le Premier ministre belge Eli Di Rupo a félicité le Président Joseph Kabila pour sa reelection.

Immédiatement après le chef du gouvernement belge, c’était le tour des Présidents africains réunis au sein de la CEEAC d’adresser eux aussi leurs félicitations. La SADC a agit également dans le même sens. Ces reconnaissances officielles sont une forme nette de désaveu des méthodes violentes de quelques « combattants ». Derniers en date et pas des moindres, ce sont les Etats-Unis d'Amérique qui ont reconnu la victoire du Président Joseph Kabila Kabange. Suivez mon regard. La messe est dite. N'épiloguons pas sur la capacité d'injonction et de coercition des Etats-Unis.

Plutôt que de savoir percevoir les signes des temps, ces "combattants" ont tenté d'agresser récemment à Bruxelles Moïse Katumbi, le Gouverneur du Katanga, une personnalité qui n'a pas démérité dans sa province au regard de ses méthodes managériales et ses qualités humaines indéniables. Bref, je pense qu'il ne faille pas négliger tout ce que disent ces « combattants », mais pour ce qui est de la marche vers la « Révolution de la modernité », les choses sont irréversibles : c'est avec Joseph Kabila qu'il faudra compter.

A mon avis et j'insiste sur cet aspect, il existe au sein de la diaspora une minorité d'irréductibles extrémistes qui justifient par leurs actes répréhensibles le terme de diaspourie. En réalité la plupart des hommes et des femmes parmi les Congolais de l'étranger aspirent à la paix. Ils veulent être associés véritablement au processus de reconstruction et meme, en catimini, ils condamnent fermement les méthodes de certains de nos frères et soeurs « combattants », mais ils n'osent s'afficher et dénoncer ouvertement, de peur d'être pris à parti.

La grande majorité de la diaspora ne doit pas être mal vue à cause d'une minorité que nous appellons "diaspourrie". A votre question “Quelle issue face aux tensions entre la diaspora congolaise et le pouvoir en Rd Congo” je répondrais que sans tarder le Président Joseph Kabila doit vraiment réussir sur le volet social et sécuritaire, tout en mettant l’accent sur la communication parce que beaucoup de nos compatriotes de la diaspora sont matraqués par des intox et des montages grossiers. Il faut leur apporter la bonne information et surtout les associer à ce qui se passe chez nous au pays. Est-il besoin ici de rappeler que si les Congolais de la diaspora ferment les vannes de l'aide en tout genre ( transferts d’argent par Western Union, produits pharmaceutiques, véhicules de transport en commun...), le circuit économique en RDC sera gravement perturbé ?

Au bout du compte, vu le poids qu’ils représentent dans une marche notoire des affaires au pays, il faudra bien concrétiser à long terme la question du droit de vote des Congolais de l'étranger, instaurer la double nationalité, mettre en oeuvre de véritables politique de réinsertion des compatriotes qui aspirent au retour et déjà faciliter l'accueil ne serait-ce que touristique des enfants qui naissent à l'étranger. Devenus adultes, ces enfants d'origine congolaise sont exaspérés de ne pas connaître le pays de leurs parents. Il y a beaucoup à dire mais s'il y a un point que l'on doit souligner, dans l’actuel mandat renouvelé du Président Joseph Kabila réélu au suffrage universel direct, le dirigeant congolais concerné débute un quinquennat de tous les enjeux ;et s'il améliore effectivement le social, cela apaisera les Congolais de l'étranger qui deviennent le pilier de leurs familles restées en Rd Congo.

Quel est, Prof, en guise de conclusion votre mot de la fin ?

Je ne peux que réitérer mes appels au calme, à la paix, au bannissement de la violence, et dire en même temps que chacun doit demeurer libre de soutenir celui qu'il veut. Les autorités policières et judiciaires françaises que je remercie ont décidé de prendre à bras le corps les incivilités commises ou susceptibles d’être commis sur leur sol. Il est clair pour ces responsables français que violenter quelqu'un et le tabasser n'est pas une solution, puisque mort peut s'en suivre, la solution irréversible.

Il existe d'autres moyens d'expression que la violence qui reste l'arme des faibles. Au-delà de cette question des « combattants », il y a à constater parmi eux des aigris, sinon des jaloux, qui s'immiscent dans la politique pour des règlements de compte, et c'est dommage, car il faut avoir le courage de se dévoiler et de s'affronter par le verbe, plutôt que de sortir ses muscles et se dire sportif, alors qu'il s'agit là des manières de casseurs, sinon une « voyoucratie » qui d'ailleurs ne sert pas la cause des « combattants ». Même là, vous le savez bien : un véritable sportif gagne des tournois et s'affronte sur des rings avec des personnes de sa catégorie plutôt que de s'en prendre aux paisibles citoyens pour des motifs fallacieux, même s’il s’agissait pour chacun de défendre son beefsteack sinon surveiller son hamburger, puisqu'il n y a pas de sot métier, il n'y a que de sottes gens!

Enfin il faut savoir être fair play et reconnaître les valeurs des uns et des autres. Puisque de nombreux Congolais aspirent à apporter leur expertise à la mère patrie. Du reste, j'invite nos compatriotes à un peu de réalisme. Je m'explique : Dans l'hypothèse d'un projet de recours à la force, à ce jour, ni les « combattants », ni aucun mouvement politique de l'opposition ne dispose ne serait-ce que d'un contingent militaire formé et aguerri dans un pays frontalier de la Rd Congo ( Angola, Congo Brazzaville, Centrafrique...). Bien plus, ce qui n’est pasle moins important, ils n'ont surtout aucune logistique, ni moyens financiers ou carnet d'adresse internationale pour changer la donne en Rd Congo.

Ainsi, il faut arrêter de distraire les Congolais de l'étranger en promettant de renverser le régime en place à des milliers de kilomètres. Dans les lieux secrets de décision, les grandes puissances et/ou les think thank s'intéressent, certes, aux manifestations ici ou là des Congolais de l'étranger opposés au Président Joseph Kabila, mais avant tout ils privilégient une analyse mettant l'accent sur les rapports de force militaire sur le terrain, au-delà de la victoire électorale du Président réélu, car ne l'oublions pas : les pays les plus influents de la communauté internationale préféreront préserver l'élan vers la stabilité régionale qu'offre le régime en place, compte tenu surtout de leurs intérêts stratégiques et économiques, realpolitik oblige.

Le Président Joseph Kabila travaille, et comme il disait il y a peu lors d'une conférence de presse le 18 octobre 2011 : « Le Congo avance, et ceux qui pensent qu'ils ne peuvent pas avancer avec nous, peuvent rester ». Pour finir, je salue l'initiative du Président Joseph Kabila qui, une fois réélu en décembre 2011, n'a affiché aucun triomphalisme. Au contraire, il a affirmé vouloir travailler avec tous les Congolais. Nous devons donc considérer qu'il s'agit d'associer éventuellement les personnes de valeur qui sont dans l'opposition.

Personnellement, je reste persuadé que le dialogue l'emportera sur la violence – que ce soit en Rd Congo ou dans la diaspora - car nous sommes tous frères et soeurs. L'évolution vers la démocratie dans son acception occidentale ne saurait donc négliger l'arbre à palabre africain.

Prof. merci de nous avoir accordé un peu de votre temps, et à présent aux internautes de revisionner pour leur édification sur le sujet la vidéo dans laquelle le Prof. John Francis Mbala appelait les Congolais à la paix et au dialogue durant la période postélectorale.

Entretien présenté par Daniel Nzuzi/MMC

[Ilunga]

http://www.afriqueredaction.com/article ... 02317.html



Mardi 6 mars 2012
LA CENCO CHEZ ETIENNE TSHISEKEDI


Crée le 06-03-2012- 13h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 06-03-2012 - 13H47 AFRIQUE REDACTION PAR : ROGER BONGOS






Le but de LA VISITE était simplement d’écouter la position des principaux protagonistes. La délégation a commence a Kingakati puis Limete puis chez Kamerhe.

Il faut noter que la police n'a pas autorise le passage de la barrière au cameraman de la délégation afin qu'il n'y ait pas d'images de la rencontre de Limete contrairement a Kingakati. Mais par un heureux hasard quelqu'un a pu quand meme filmer.
La confiscation d'information devient l'art de la KABILIE Rwandaise. Un non Etat géré par des voyous.
ROGER BONGOS

[Ilunga]

Rencontre ce lundi 5 mars de la CENCO avec le président Tshisekedi

Le but de LA VISITE était simplement d'écouter la position des principaux protagonistes. La délégation a commence a Kingakati puis Limete puis chez Kamerhe.
Il faut noter que la police n'a pas autorise le passage de la barrière au cameraman de la délégation afin qu'il n'y ait pas d'images de la rencontre de Limete contrairement a Kingakati. Mais par un heureux hasard quelqu'un a pu quand même filmer.

http://banamikili.skyrock.com/307486272 ... ekedi.html

[Ilunga]

kie kie kie kie kie kie

"Claris" avait pris les jambes à son cou...










http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7158

«Le raïs en fuite»



Entre le "raïs" et "DSN", rien sera plus comme avant.

Ce n’est pas le titre d’un thriller. C’est la triste réalité de ce qui s’est passé dimanche 4 mars à Kinshasa. Ce dimanche, les Kinois, civils et militaires, ont été pris de panique suite à trois retentissantes explosions. D’aucuns ont vite pensé à une tentative de putsch mené par le général fugitif Faustin-Benoît Munene, exilé au pays de "DSN" (Denis Sassou-Nguesso). Le doute n’était plus de mise au vu des vitres de plusieurs immeubles soufflées par les détonations. En lingala, on dit «lokito». Les déflagrations venaient de Brazzaville plus précisément du quartier Mpila qui se trouve à moins d’un kilomètre du Mont Ngaliema. Ne dit-on pas que Brazzaville et Kinshasa sont les capitales les plus rapprochées du monde? Quand l’une s’enrhume, l’autre éternue. Selon les autorités du «Congo d’en face», c’est un court-circuit qui a fait «cramer» le dépôt central des armes et munitions. Bilan : +/- 150 morts. Plus d’un millier de blessés et des disparus. Selon des sources proches de la ferme de Kingakati, le «raïs» se trouvait, au moment des faits, dans sa nouvelle résidence au Mont Ngaliema. Pris de peur, il a fui à toutes jambes avant d’ordonner à sa garde prétorienne de pilonner à l’aveuglette certains quartiers de Brazzaville pour «riposter» à l’«attaque». Quelle attaque ?

Selon mon ami qui sait tout sur tout et presque tout sur rien sur les potins de Kinshasa-Lez-Immondices, le «raïs» a quitté son habitation au Mont Ngaliema en prenant ses jambes à son cou. Destination : la ferme de Kingakati où il devait organiser la «contre-offensive» face à un ennemi invisible. Un hélicoptère serait prêt à décoller. A en croire mon ami, le "raïs", alias "le tricheur de la République", alias l’autorité très immorale de la très nébuleuse «majorité présidentielle», alias le commandant suprême des FARDC, de la police nationale et de la garde présidentielle n’a pas été le seul à paniquer. «Les militaires du camp Kokolo ont eu la présence d’esprit de se fondre dans la masse après avoir abandonné leurs uniformes», assure-t-il en ajoutant que «le pouvoir était dans la rue». Et qu’il n’y avait pour le "ramasser".

Mon ami qui sait décidément tout sur tout croit savoir que les autorités de l’ex-République populaire du Congo serait très en colère à l’égard du «raïs». "DSN" en tête. En cause, le "raïs mal réélu" de la République très très démocratique du Congo a fait tirer plusieurs obus sur certains quartiers de Brazzaville en lieu et place de manifester sa compassion aux frères éplorés de l’autre côté du fleuve. «Denis Sassou-Nguesso a la rancune tenace, dit mon ami. Il aura difficile à oublier ce coup de poignard que le «raïs» lui a planté dans le dos».

A en croire mon ami, certains Kinois ont dû déchanter en apprenant que les détonations entendues venaient de Brazza et non de Kin. certains d’entre eux avaient cru trop vite qu’il s’agissait d’un coup d’Etat contre le régime très antinational du «raïs». Il semble que la catastrophe survenue "en face" a conforté «la haute hiérarchie» dans sa résolution à fuir la ville frondeuse de Kin. Une ville où lui et sa fratrie sont mal aimés. Mon ami de conclure : "Les événements de ce dimanche 4 mars ont démontré que le raïs et ses sbires ne sont nullement forts. En fait, ce sont les Kinois qui sont des faiblards".

Issa Djema
© Congoindépendant 2003-2012

[Ilunga]

Merci Congo [mercicongo@yahoo.fr] 05/03/2012 16:21:50

Lorsque’on vous dit que Kanambe c’est du maïs, personne ne veut nous croire. Et voilà un premier test. Puisqu’il s’agit d’un accident. Que fera ou mieux comment DSN ( Denis Sassou Ngwesso) répondra à la provoque de Kanambe et ses froussards en tirant des Obus sur Brazza. Vont-ils les capturer et le remettre à Tshitshi ou le tuer pour crime d’honneur.
Ce qui est vrai est que Kanambe devra nous laisse tranquille.
A très bientôt cher compatriotes.

[Ilunga]

BkvDawa [alexmetayer@yahoo.fr] 05/03/2012 18:12:42

La conclusion de votre article est une evidence qui s’impose à tous. Vous avez juste tort de la limiter qu’aux seuls kinois. C’est le Congo entier qui est faible et peureux.

A t’on d’autres exemples, dans l’histoire moderne, d’une telle humiliation subie par tout un peuple? Montrez-moi un Etat dans le monde qui se fait envahir par un voisin qui a la taille de sa capitale. Un etat incapable de se défendre, qui se fait depecer et piller par les pays limitrophes en toute quiétude.

Un Etat qui accepte qui lui impose à sa tête un étranger semi-lettré dont nul ne connait le parcours.
Ce même etranger se moquant comme d’une guigne du sort de la population, pillant tout ce qui lui passe sous la main, plongeant chaque jour un peu plus ce pays dans la honte et la misère la plus abjecte.

Il faut voir la réalité en face: ce pays est la honte de l’Afrique.

Chaque jour qui passe, ce tanzanien et sa clique crapuleuse ridiculise ce pays et sa population.

Le Congolais, lâche par nature, prefère mourrir à petit feu, de maladie, de malnutrition, de violences diverses, plutot que se revolter pour ses droits les plus élementaires. Et ce, malgré, les exemples venus de Tunisie, de Libye et de Syrie.

Les Syriens ont compris qu’ils vaut mieux mourrir debout que vivre couché comme une bête.

Ils ont surtout compris qu’un peuple a les dirigeants qu’il mérite.