Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.udps.be/beluxx//viewtopic.ph ... 2367#p2825
Raymond Kahungu arrêté à la 10ème Rue de Limete
Le secrétaire-Général-adjoint de l'UDPS, monsieur Raymond Kahungu, vient d'être arrêté à la 10ème Rue de Limete .
Monsieur Kahungu, qui se rendait en visite de travail à la résidence du Président Etienne Tshisekedi a été interpellé et arrêté à l'une des barrières dressées à toutes les extrémités des rues du quartier de résidence du Président sans aucune charge,sinon celle d’être un membre de l'UDPS. Il a été emmené par les agents de police vers une destination inconnue.
Il y a une semaine, le mardi 7 février dernier, le Secrétaire Général de l'UDPS, Me Jacquemain Shabani Lukoo avait été arrêté à l'aéroport de Ndjili par la DGM, été empêché de voyager alors qu'il s'apprêtait à s'embarquer sur un vol de la SN Brussels à destination de Berlin pour aller représenter le Chef de l'Etat, Dr Etienne Tshisekedi wa Mulumba, à l'invitation des parlementaires allemands sur la situation post-électorale en RDC. Il avait été torturé pendant plusieurs heures à l'ANR et a dû être hospitalisé et recevoir les soins intensifs nécessaires à son état.
Le pouvoir insurrectionnel de Kinshasa, désormais aux abois, intensifie l’arrestation des hauts cadres de l'UDPS, dans l'espoir de museler leur liberté d'expression et stopper ainsi l'élan du peuple congolais dans sa volonté de se libérer du joug d'un pouvoir arbitraire, qui s'impose par la force après la publication de résultats électoraux frauduleux . L’instauration de la démocratie et l'Etat de droit au Congo ainsi que le rétablissement de la vérité des urnes des élections du 28 novembre 2011 demeurent des objectifs inaliénables pour l'UDPS et le peuple congolais.
Vive l démocratie!
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Raphaël KASHALA
Tél:+3216477431
Gsm: +32485157424
rkashala@gmail.com
http://www.udps.org
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Raymond Kahungu arrêté à la 10ème Rue de Limete
Le secrétaire-Général-adjoint de l'UDPS, monsieur Raymond Kahungu, vient d'être arrêté à la 10ème Rue de Limete .
Monsieur Kahungu, qui se rendait en visite de travail à la résidence du Président Etienne Tshisekedi a été interpellé et arrêté à l'une des barrières dressées à toutes les extrémités des rues du quartier de résidence du Président sans aucune charge,sinon celle d’être un membre de l'UDPS. Il a été emmené par les agents de police vers une destination inconnue.
Il y a une semaine, le mardi 7 février dernier, le Secrétaire Général de l'UDPS, Me Jacquemain Shabani Lukoo avait été arrêté à l'aéroport de Ndjili par la DGM, été empêché de voyager alors qu'il s'apprêtait à s'embarquer sur un vol de la SN Brussels à destination de Berlin pour aller représenter le Chef de l'Etat, Dr Etienne Tshisekedi wa Mulumba, à l'invitation des parlementaires allemands sur la situation post-électorale en RDC. Il avait été torturé pendant plusieurs heures à l'ANR et a dû être hospitalisé et recevoir les soins intensifs nécessaires à son état.
Le pouvoir insurrectionnel de Kinshasa, désormais aux abois, intensifie l’arrestation des hauts cadres de l'UDPS, dans l'espoir de museler leur liberté d'expression et stopper ainsi l'élan du peuple congolais dans sa volonté de se libérer du joug d'un pouvoir arbitraire, qui s'impose par la force après la publication de résultats électoraux frauduleux . L’instauration de la démocratie et l'Etat de droit au Congo ainsi que le rétablissement de la vérité des urnes des élections du 28 novembre 2011 demeurent des objectifs inaliénables pour l'UDPS et le peuple congolais.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://bakolokongo.com/portail/2012/02/ ... electoral/
16 février:Manifestations des chrétiens pour dénoncer le hold-up électoral
Publié le 15/02/2012 | Par bakolokongo
Le conseil de l’apostolat des Laïcs catholiques du Congo (calcc)/Kinshasa donne les consignes et invite les chrétiens kinois à répondre massivement à ce rendez-vous historique.
Les chrétiens catholiques de la Rdc refusent d’entériner les résultats des élections présidentielle et législative du 28 novembre 2011 donnant la victoire à Joseph Kabila et à sa majorité actuelle. C’est pourquoi le Conseil de l’apostolat des Laïcs catholiques du Congo (calcc) tient à organiser jeudi 16 février 2012 une marche pacifique à travers le pays pour exiger la vérité des urnes sur les élections du 28 novembre 2011.
Les résultats des élections présidentielle et législative publiés par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) et le verdict de la Cour suprême de Justice (csj) n’ayant pas été conformés ni à la vérité ni à la justice, nous appelons tout le peuple congolais à manifester pacifiquement ce jeudi 16 février 2012 à partir de 10 heures pour exprimer notre rejet des résultats des élections du 28 novembre 2011 et exiger la démission du bureau de la Ceni “, calme le Calcc. La marche pacifique des chrétiens catholiques de ce jeudi 16 février 2012 se veut une manifestation sans connotation politique pour l’Eglise catholique romaine de la RDC pour exiger la vérité sur les élections contrairement aux résultats contestés de Ngoy Mulunda qui ne reflètent pas la réalité des urnes. C’est dans ce cadre que les responsables du CALCC ont donné des consignes à suivre en appelant les chrétiens catholiques qui prendront part à la manifestation pacifique de ne pas hisser les drapeaux des partis politiques et à s’abstenir des provocations à l’endroit de la police et des agents de l’ordre du pouvoir en place.
La manifestation pacifique de ce jeudi 16 février 2012 sera une démonstration de l’Eglise catholique romaine de la RDC vingt ans après la marche des chrétiens réprimée dans le sang par le pouvoir de Mobutu, alors qu’ils exigeaient la réouverture de la Conférence nationale souveraine (CNS). Le pouvoir actuel qui s’illustre aussi par un mobutisme en réprimant dans le sang des manifestations pacifiques de l’opposition est mis devant ses responsabilités pour ne vivre les événements tragiques qui se sont passés en Guinée Conakry où les militaires fidèles à Dadis Camara ont chargé brutalement les opposants dans un stade à Conakry, faisant plusieurs morts.
La tenue de la CNS, sa fermeture arbitraire par Mobutu et sa réouverture ont marqué un tournant décisif dans l’engagement du peuple congolais pour la construction d’une nouvelle société fondée sur des valeurs démocratiques de vérité, justice et de paix. La marche des chrétiens du 16 février 1992 reste gravée dans la mémoire des Congolais. Plusieurs d’entre eux ont versé leur sang pour la réouverture de la CNS fermée avec force par Mobutu. Aujourd’hui dans leur démarche, les catholiques disent non au hold-up électoral et exigent la vérité des urnes. Vingt ans après les massacres des chrétiens, les fidèles catholiques ne comptent pas baisser les bras, et veulent porter plus haut la flamme de la vérité et de la justice pour exiger la vérité des urnes.
Comme l’attestent certaines missions d’observations électorales, les élections du 28 novembre 2011 ont été entachées de graves irrégularités qui remettent en cause la crédibilité des résultats de ces scrutins.
L’Eglise catholique romaine de la RDC est une des structures religieuses qui a haussé le ton contrairement à d’autres congrégations pour exiger la vérité des urnes. Lors de leur déclaration faite à Kinshasa, au terme d’une réunion du comité permanant des évêques du Congo pour donner leur position sur le processus électoral en cours surtout avec la publication des résultats de la présidentielle par la Ceni qui a plongé le pays dans une crise post électorale aigue, les évêques ont remis en cause le travail de la Ceni.
« L’On ne construit pas un Etat de droit dans la tricherie, le mensonge et la terreur, la militarisation et des atteintes flagrantes à la liberté d’expression “, déclaraient les évêques.
Gare à l’infiltration
Chaque fois qu’il y a une manifestation anti pouvoir organisée à Kinshasa ou à l’intérieur du pays, le pouvoir en place recourt aux sportifs et autres marginaux pour s’attaquer à d’autres congolais. Certes, les mauvaises stratèges du régime peuvent exhumer ces vielles pratiques pour recourir aux kuluna afin de semer la terreur pour que la responsabilité incombe à l’organisateur de cette marche pacifique qui est le conseil de l’apostolat des Laïcs catholiques du Congo (calcc). La police qui est censée contrôler le mouvement de la foule dans toute manifestation doit faire preuve de professionnalisme et ne pas recourir à la violence.
Gare donc aux infiltrés car, cette manifestation pacifique des chrétiens catholiques de la RDC est l’occasion de s’exprimer pour exiger la démission de la Ceni, dire non au hold-up électoral et rejeter les résultats des élections de triste mémoire du 28 novembre 2011. Il appartient donc aux autorités ayant la sécurité dans leurs attributions de prendre des dispositions adéquates pour encadrer cette marche pacifique des chrétiens catholiques à travers le pays.
GODE KALONJI MUKENDI
16 février:Manifestations des chrétiens pour dénoncer le hold-up électoral
Publié le 15/02/2012 | Par bakolokongo
Le conseil de l’apostolat des Laïcs catholiques du Congo (calcc)/Kinshasa donne les consignes et invite les chrétiens kinois à répondre massivement à ce rendez-vous historique.
Les chrétiens catholiques de la Rdc refusent d’entériner les résultats des élections présidentielle et législative du 28 novembre 2011 donnant la victoire à Joseph Kabila et à sa majorité actuelle. C’est pourquoi le Conseil de l’apostolat des Laïcs catholiques du Congo (calcc) tient à organiser jeudi 16 février 2012 une marche pacifique à travers le pays pour exiger la vérité des urnes sur les élections du 28 novembre 2011.
Les résultats des élections présidentielle et législative publiés par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) et le verdict de la Cour suprême de Justice (csj) n’ayant pas été conformés ni à la vérité ni à la justice, nous appelons tout le peuple congolais à manifester pacifiquement ce jeudi 16 février 2012 à partir de 10 heures pour exprimer notre rejet des résultats des élections du 28 novembre 2011 et exiger la démission du bureau de la Ceni “, calme le Calcc. La marche pacifique des chrétiens catholiques de ce jeudi 16 février 2012 se veut une manifestation sans connotation politique pour l’Eglise catholique romaine de la RDC pour exiger la vérité sur les élections contrairement aux résultats contestés de Ngoy Mulunda qui ne reflètent pas la réalité des urnes. C’est dans ce cadre que les responsables du CALCC ont donné des consignes à suivre en appelant les chrétiens catholiques qui prendront part à la manifestation pacifique de ne pas hisser les drapeaux des partis politiques et à s’abstenir des provocations à l’endroit de la police et des agents de l’ordre du pouvoir en place.
La manifestation pacifique de ce jeudi 16 février 2012 sera une démonstration de l’Eglise catholique romaine de la RDC vingt ans après la marche des chrétiens réprimée dans le sang par le pouvoir de Mobutu, alors qu’ils exigeaient la réouverture de la Conférence nationale souveraine (CNS). Le pouvoir actuel qui s’illustre aussi par un mobutisme en réprimant dans le sang des manifestations pacifiques de l’opposition est mis devant ses responsabilités pour ne vivre les événements tragiques qui se sont passés en Guinée Conakry où les militaires fidèles à Dadis Camara ont chargé brutalement les opposants dans un stade à Conakry, faisant plusieurs morts.
La tenue de la CNS, sa fermeture arbitraire par Mobutu et sa réouverture ont marqué un tournant décisif dans l’engagement du peuple congolais pour la construction d’une nouvelle société fondée sur des valeurs démocratiques de vérité, justice et de paix. La marche des chrétiens du 16 février 1992 reste gravée dans la mémoire des Congolais. Plusieurs d’entre eux ont versé leur sang pour la réouverture de la CNS fermée avec force par Mobutu. Aujourd’hui dans leur démarche, les catholiques disent non au hold-up électoral et exigent la vérité des urnes. Vingt ans après les massacres des chrétiens, les fidèles catholiques ne comptent pas baisser les bras, et veulent porter plus haut la flamme de la vérité et de la justice pour exiger la vérité des urnes.
Comme l’attestent certaines missions d’observations électorales, les élections du 28 novembre 2011 ont été entachées de graves irrégularités qui remettent en cause la crédibilité des résultats de ces scrutins.
L’Eglise catholique romaine de la RDC est une des structures religieuses qui a haussé le ton contrairement à d’autres congrégations pour exiger la vérité des urnes. Lors de leur déclaration faite à Kinshasa, au terme d’une réunion du comité permanant des évêques du Congo pour donner leur position sur le processus électoral en cours surtout avec la publication des résultats de la présidentielle par la Ceni qui a plongé le pays dans une crise post électorale aigue, les évêques ont remis en cause le travail de la Ceni.
« L’On ne construit pas un Etat de droit dans la tricherie, le mensonge et la terreur, la militarisation et des atteintes flagrantes à la liberté d’expression “, déclaraient les évêques.
Gare à l’infiltration
Chaque fois qu’il y a une manifestation anti pouvoir organisée à Kinshasa ou à l’intérieur du pays, le pouvoir en place recourt aux sportifs et autres marginaux pour s’attaquer à d’autres congolais. Certes, les mauvaises stratèges du régime peuvent exhumer ces vielles pratiques pour recourir aux kuluna afin de semer la terreur pour que la responsabilité incombe à l’organisateur de cette marche pacifique qui est le conseil de l’apostolat des Laïcs catholiques du Congo (calcc). La police qui est censée contrôler le mouvement de la foule dans toute manifestation doit faire preuve de professionnalisme et ne pas recourir à la violence.
Gare donc aux infiltrés car, cette manifestation pacifique des chrétiens catholiques de la RDC est l’occasion de s’exprimer pour exiger la démission de la Ceni, dire non au hold-up électoral et rejeter les résultats des élections de triste mémoire du 28 novembre 2011. Il appartient donc aux autorités ayant la sécurité dans leurs attributions de prendre des dispositions adéquates pour encadrer cette marche pacifique des chrétiens catholiques à travers le pays.
GODE KALONJI MUKENDI
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madi
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
La tricherie avait deja commencé en 2006 quand c'est eux qui geraient la CEI. Pourquoi n"y avait-il pas beoin de verité en ce moment? Parce que MaluMalu c'etait l'eglise catholique. Aujourdhui comme c'est une autre eglise qui gere la ceni, tout d'un coup l'eglise veut la verité.
c'est la marche des catholiques et non pas des chretiens. il ne vont jamais reussir à federer les autres.
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Madi a écrit :
"La tricherie avait deja commencé en 2006 quand c'est eux qui geraient la CEI. Pourquoi n"y avait-il pas beoin de verité en ce moment? Parce que MaluMalu c'etait l'eglise catholique. Aujourdhui comme c'est une autre eglise qui gere la ceni, tout d'un coup l'eglise veut la verité.
c'est la marche des catholiques et non pas des chretiens. il ne vont jamais reussir à federer les autres."
Ah ! Tu sous-entendrait avait triché en 2006 et que c'est Bemba qui avait effectivement gagné ! Ce "Kabila" est donc reconnu chez vous, la "kabilie" comme un tricheur patenté !
Je te rappelle que l'Eglise Catholique s'était démarquée de "Kimalumalu" et avait nettement affirmé qu'il ne représentait que lui-même...Mais ce Ngoy "Mukinza" a triché tellement salement que ça avait fini par révolter la terre entière, pas seulement l'Eglise Catholique...Mais sache que qd t'as l'Eglise Catholique à tes trousses dans ce pays, t'es fichu...La cause est déjà entendu pour vous les callobos et votre criminel rwandais...Game is over...
"La tricherie avait deja commencé en 2006 quand c'est eux qui geraient la CEI. Pourquoi n"y avait-il pas beoin de verité en ce moment? Parce que MaluMalu c'etait l'eglise catholique. Aujourdhui comme c'est une autre eglise qui gere la ceni, tout d'un coup l'eglise veut la verité.
c'est la marche des catholiques et non pas des chretiens. il ne vont jamais reussir à federer les autres."
Ah ! Tu sous-entendrait avait triché en 2006 et que c'est Bemba qui avait effectivement gagné ! Ce "Kabila" est donc reconnu chez vous, la "kabilie" comme un tricheur patenté !
Je te rappelle que l'Eglise Catholique s'était démarquée de "Kimalumalu" et avait nettement affirmé qu'il ne représentait que lui-même...Mais ce Ngoy "Mukinza" a triché tellement salement que ça avait fini par révolter la terre entière, pas seulement l'Eglise Catholique...Mais sache que qd t'as l'Eglise Catholique à tes trousses dans ce pays, t'es fichu...La cause est déjà entendu pour vous les callobos et votre criminel rwandais...Game is over...
- tony yave
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Les Etats-Unis reconnaissent Joseph Kabila Kabange comme président réélu en RDC
Kinshasa, 16/02/2012 / Politique
Fini sur les spéculations sur des atermoiements qu’afficherait la première puissance du monde pour reconnaître le président réélu en RDC, puisque l’ambassadeur des Etats-Unis vient de signifier clairement cette reconnaissance officielle du président Joseph Kabila qui a remporté l’élection présidentielle du 28 novembre 2011.
L’ambassadeur des Etats-Unis à Kinshasa, James Entwistle, a donné mercredi la position de son pays sur les élections du 28 novembre 2011 en RDC ainsi que sur l’avenir de la politique américaine et les actions que Washington estime importantes pour promouvoir la démocratie dans ce pays. « La position des Etats- Unis est claire : nous reconnaissons Joseph Kabila comme Président de la République Démocratique du Congo pour les cinq années à venir. Nous espérons que les irrégularités constatées le 28 novembre 2011 seront évitées aux prochaines élections provinciales, locales et autres », a déclaré le diplomate américain, qui répondait aux questions des journalistes au cours d’une conférence de presse au centre culturel américain à Kinshasa.
M. James Entwistle a souligné dans sa déclaration préliminaire que la RDC est actuellement confrontée au défi d’aller de l’avant et de faire des progrès vers des institutions et traditions démocratiques plus robustes. « Je peux dire avec certitude aujourd’hui que les Etats-Unis restent engagés à encourager un avenir plus stable, plus prospère et plus démocratique en RDC », a-t-il affirmé, faisant allusion à son récent séjour à Washington où il a pris part à des discussions sur l’avenir de la politique américaine envers la RDC, y compris les centaines de millions de dollars d’aide et des dizaines de programmes recouvrant une multitude de secteurs, qui s’étendent de la santé à la réforme du secteur de la sécurité, exécutés chaque année.
L’ambassadeur américain croit, dans le contexte actuel du pays, que le gouvernement et les partis politiques peuvent entreprendre certaines actions concrètes pour promouvoir la démocratie en RDC. Selon lui, les Etats-Unis encouragent la formation d’un gouvernement inclusif en RDC. Dans le même esprit, ils recommandent vivement à tous les partis élus à l’Assemblée nationale de participer à ses délibérations.
« Notre attention sur les erreurs commises lors des élections ne doit pas nous faire oublier les moments d’espoir et de promesses. L’enthousiasme exprimé par les Congolais le 28 novembre a mis en exergue un engagement véritable envers la démocratie. Nous savons tous que le chemin vers la démocratie est long. Les Etats-Unis sont donc fiers de travailler avec le peuple congolais pour assurer un avenir prospère et démocratique pour le pays dans son ensemble », a conclu M. Entwistle.
Kinshasa, 16/02/2012 / Politique
Fini sur les spéculations sur des atermoiements qu’afficherait la première puissance du monde pour reconnaître le président réélu en RDC, puisque l’ambassadeur des Etats-Unis vient de signifier clairement cette reconnaissance officielle du président Joseph Kabila qui a remporté l’élection présidentielle du 28 novembre 2011.
L’ambassadeur des Etats-Unis à Kinshasa, James Entwistle, a donné mercredi la position de son pays sur les élections du 28 novembre 2011 en RDC ainsi que sur l’avenir de la politique américaine et les actions que Washington estime importantes pour promouvoir la démocratie dans ce pays. « La position des Etats- Unis est claire : nous reconnaissons Joseph Kabila comme Président de la République Démocratique du Congo pour les cinq années à venir. Nous espérons que les irrégularités constatées le 28 novembre 2011 seront évitées aux prochaines élections provinciales, locales et autres », a déclaré le diplomate américain, qui répondait aux questions des journalistes au cours d’une conférence de presse au centre culturel américain à Kinshasa.
M. James Entwistle a souligné dans sa déclaration préliminaire que la RDC est actuellement confrontée au défi d’aller de l’avant et de faire des progrès vers des institutions et traditions démocratiques plus robustes. « Je peux dire avec certitude aujourd’hui que les Etats-Unis restent engagés à encourager un avenir plus stable, plus prospère et plus démocratique en RDC », a-t-il affirmé, faisant allusion à son récent séjour à Washington où il a pris part à des discussions sur l’avenir de la politique américaine envers la RDC, y compris les centaines de millions de dollars d’aide et des dizaines de programmes recouvrant une multitude de secteurs, qui s’étendent de la santé à la réforme du secteur de la sécurité, exécutés chaque année.
L’ambassadeur américain croit, dans le contexte actuel du pays, que le gouvernement et les partis politiques peuvent entreprendre certaines actions concrètes pour promouvoir la démocratie en RDC. Selon lui, les Etats-Unis encouragent la formation d’un gouvernement inclusif en RDC. Dans le même esprit, ils recommandent vivement à tous les partis élus à l’Assemblée nationale de participer à ses délibérations.
« Notre attention sur les erreurs commises lors des élections ne doit pas nous faire oublier les moments d’espoir et de promesses. L’enthousiasme exprimé par les Congolais le 28 novembre a mis en exergue un engagement véritable envers la démocratie. Nous savons tous que le chemin vers la démocratie est long. Les Etats-Unis sont donc fiers de travailler avec le peuple congolais pour assurer un avenir prospère et démocratique pour le pays dans son ensemble », a conclu M. Entwistle.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Sanctions contre la Rdc : le démenti de la Banque mondiale
Kinshasa, 15/02/2012 / Politique
M. Eustache Ouayoro, Directeur des Opérations de la Banque mondiale pour la Rd Congo a démenti cette information, qui n’est pour lui qu’une simple rumeur.
Contrairement aux informations publiées par une certaine presse, faisant état des sanctions prises par la Banque mondiale à l’encontre de la Rd Congo, suite à la réélection dite contestée du Chef de l’Etat, le Directeur des Opérations de cette Institution de Bretton Woods à Kinshasa, Eustache Ouayoro dément et précise que c’est depuis plusieurs années que la BM n’accorde pas d’appuis budgétaires à la Rd Congo * La Banque mondiale gère près de 17 projets nationaux et 2 projets régionaux en Rd Congo. Elle a aussi un programme d’investissement d’environ 3 milliards de dollars Us en Rdc.
Aidant ainsi de plusieurs manières les pays membres, elle n’est pas obligée d’utiliser tous les instruments en sa possession *Comment parler d’appui budgétaire en Rd Congo, pendant que ce pays ne s’est même pas doté d’un budget pour l’exercice 2012 ? La population ne devra pas s’affoler, parce qu’il y a des progrès à faire dans le domaine de la gouvernance ; le Gouvernement Congolais est conscient et s’y attèle.
Après la série des contestations suscitées par les dernières élections du 28 novembre 2011 en Rd Congo, plusieurs commentaires fusent de partout. A l’époque, le FMI avait dit qu’il était préoccupé par la situation de la Rd Congo et suivait jour après jour comment évoluait le processus électoral, notamment les différents recours interjetés devant la Cour suprême de justice.
De fausses accusations
Selon une dépêche parvenue à notre rédaction, « après la réélection contestée de Joseph Kabila en République démocratique du Congo (RDC), les premières sanctions tombent sur les autorités congolaises... et elles sont financières ». En effet, la Banque mondiale, qui estime que les « contrôles démocratiques sont insuffisants » en RDC, a décidé de ne plus contribuer au budget général du pays.
La même dépêche qui cite Robert Zoellick, président de la Banque mondiale, dit que ce dernier s’est montré très sceptique sur les « contrôles démocratiques », ainsi que sur le manque de « contre-pouvoirs » en RDC dans une conférence diffusée sur internet. Il a donc décidé de stopper la contribution de la Banque mondiale au budget général du Congo, tout en précisant que les programmes sur la nutrition, l’éducation, le Sida ou le paludisme continueraient à être soutenus.
Robert Zoellick a qualifié la RDC de "zone grise", à l’image de l’Afghanistan ou d’Haïti. Cette décision intervient après des élections présidentielles et législatives particulièrement chaotiques et entachées de nombreuses irrégularités. L’Union européenne et les Etats-Unis avaient notamment relevé le manque de transparence et de crédibilité du scrutin. La Banque mondiale est le premier organisme international à infliger ainsi une sanction financière à la République démocratique du Congo. D’autres vont-ils suivre ?
La Banque mondiale dément !
Contacté au téléphone par le journal l’Avenir, M. Eustache Ouayoro, Directeur des Opérations de la Banque mondiale pour la Rd Congo a démenti cette information, qui n’est pour lui qu’une simple rumeur. « Cela fait longtemps que la Banque mondiale n’accorde pas de crédits à la Rd Congo et à certains pays du monde, s’est-il exprimé, avant d’ajouter que son Institution gère un portefeuille de 3 milliards de dollars Us. Avec ses 17 projets nationaux et 2 projets régionaux, la BM est pratiquement le premier bailleur de fonds de la Rd Congo.
Dans cet entretien qu’il nous a accordé, la Banque mondiale estime qu’il y a plusieurs manières d’aider un pays. Ça peut être à travers une assistance technique, un appui budgétaire, etc. Et elle n’est pas obligée d’utiliser tous les instruments en sa possession, mais elle fait un choix. Il a demandé à la population de ne pas s’affoler, car il y a des progrès à faire au niveau de la Gouvernance et le Gouvernement de la Rd Congo est conscient et s’y attèle déjà.
Par ailleurs, Eustache Ouayoro a présenté ses condoléances à la famille des victimes du crash de Bukavu de dimanche dernier et a souhaité un prompt rétablissement au ministre des Finances, Matata Ponyo, leur partenaire privilégié. Il a aussi émis le vœu de voir le transport aérien être la priorité du Gouvernement de la Rd Congo. « On a déjà des projets qui sont sur la table du Gouvernement, notamment concernant le système de certification de pilotes de ligne », a-t-il indiqué, tout en envisageant de voir de quelle manière faudra-t-il appuyer le Gouvernement pour améliorer cet état de choses.
Il n’y a aucun problème entre la Rd Congo et la BM
Intervenant sur Top Congo, peu avant de s’envoler à Bukavu, le ministre des Finances, Augustin Matata Ponyo avait démenti l’information selon laquelle il y aurait désaccord entre les Institutions de Bretton Woods et la Rd Congo. Pour lui, il s’agit de simples rumeurs et il n’y a pas eu suspension de la coopération avec l’Institution.
Selon le ministre des Finances, la rumeur est inventée de toutes pièces pour des buts inavoués. « Les relations sont au beau fixe, surtout avec la publication récente de deux contrats miniers qui bloquaient les 4ème et 5ème revue, jugées satisfaisantes par le Fonds monétaire international (FMI). Tout se porte bien », avait-il déclaré à Top Congo Fm. Augustin Matata Ponyo a annoncé aussi que la Banque Mondiale finance de nombreux projets, mais pas le budget de la Rd Congo.
Il faut noter que les revues du FMI font l’état de la situation des finances publiques pour les périodes juin et fin 2011. Le ministre Matata Ponyo qui s’est réjoui de ces bons résultats, tient à ce que la 6ème revue (celle de juin 2012) soit aussi satisfaisante. « Satisfaire à toutes les revues depuis 3 ans serait une grande première depuis plus de 50 ans et le ministre des finances que je suis y tient », a-t-il renchéri, tout en rappelant que la Banque Mondiale, à ce jour, finance en RDC des projets de l’ordre de plus de 2 milliards de dollars américains.
Pas de budget pour l’exercice 2012
Comme tout le monde le sait très bien, la Rd Congo n’a pas encore de budget pour l’exercice 2012. Ceci, parce que, lors de la session de septembre 2011, le parlement avait beaucoup plus privilégié la campagne électorale qu’un débat d’idées pour doter le pays d’un budget. Dans cette optique, on ne peut même pas parler d’appuis budgétaires, dans la mesure où ceux-ci sont prévus par le budget de l’Etat.
Voilà qui nous permet de conclure sur la fausseté de cette rumeur, d’autant plus que l’Ambassadeur de Robert Zoellick, le président de la Banque mondiale en Rd Congo, s’est adressé il y a quelques jours à la presse. Dans ce face-à-face avec la presse, il n’a nullement indiqué que son Institution avait, ou se préparait à sanctionner la Rd Congo. Si tel était le cas, pourquoi se réserverait-il de le dire à la presse ? Au-delà de tout ce qui vient d’être dit, nulle part dans le site de la Banque mondiale on a retrouvé la prétendue information. Alors on se demande : pour quelles raisons et dans quel objectif cette information a été mise sur la place publique ? N’est-ce pas une campagne pour toujours diaboliser le pouvoir de la Rd Congo ? Peut-être que l’avenir nous dira le contraire !
Kinshasa, 15/02/2012 / Politique
M. Eustache Ouayoro, Directeur des Opérations de la Banque mondiale pour la Rd Congo a démenti cette information, qui n’est pour lui qu’une simple rumeur.
Contrairement aux informations publiées par une certaine presse, faisant état des sanctions prises par la Banque mondiale à l’encontre de la Rd Congo, suite à la réélection dite contestée du Chef de l’Etat, le Directeur des Opérations de cette Institution de Bretton Woods à Kinshasa, Eustache Ouayoro dément et précise que c’est depuis plusieurs années que la BM n’accorde pas d’appuis budgétaires à la Rd Congo * La Banque mondiale gère près de 17 projets nationaux et 2 projets régionaux en Rd Congo. Elle a aussi un programme d’investissement d’environ 3 milliards de dollars Us en Rdc.
Aidant ainsi de plusieurs manières les pays membres, elle n’est pas obligée d’utiliser tous les instruments en sa possession *Comment parler d’appui budgétaire en Rd Congo, pendant que ce pays ne s’est même pas doté d’un budget pour l’exercice 2012 ? La population ne devra pas s’affoler, parce qu’il y a des progrès à faire dans le domaine de la gouvernance ; le Gouvernement Congolais est conscient et s’y attèle.
Après la série des contestations suscitées par les dernières élections du 28 novembre 2011 en Rd Congo, plusieurs commentaires fusent de partout. A l’époque, le FMI avait dit qu’il était préoccupé par la situation de la Rd Congo et suivait jour après jour comment évoluait le processus électoral, notamment les différents recours interjetés devant la Cour suprême de justice.
De fausses accusations
Selon une dépêche parvenue à notre rédaction, « après la réélection contestée de Joseph Kabila en République démocratique du Congo (RDC), les premières sanctions tombent sur les autorités congolaises... et elles sont financières ». En effet, la Banque mondiale, qui estime que les « contrôles démocratiques sont insuffisants » en RDC, a décidé de ne plus contribuer au budget général du pays.
La même dépêche qui cite Robert Zoellick, président de la Banque mondiale, dit que ce dernier s’est montré très sceptique sur les « contrôles démocratiques », ainsi que sur le manque de « contre-pouvoirs » en RDC dans une conférence diffusée sur internet. Il a donc décidé de stopper la contribution de la Banque mondiale au budget général du Congo, tout en précisant que les programmes sur la nutrition, l’éducation, le Sida ou le paludisme continueraient à être soutenus.
Robert Zoellick a qualifié la RDC de "zone grise", à l’image de l’Afghanistan ou d’Haïti. Cette décision intervient après des élections présidentielles et législatives particulièrement chaotiques et entachées de nombreuses irrégularités. L’Union européenne et les Etats-Unis avaient notamment relevé le manque de transparence et de crédibilité du scrutin. La Banque mondiale est le premier organisme international à infliger ainsi une sanction financière à la République démocratique du Congo. D’autres vont-ils suivre ?
La Banque mondiale dément !
Contacté au téléphone par le journal l’Avenir, M. Eustache Ouayoro, Directeur des Opérations de la Banque mondiale pour la Rd Congo a démenti cette information, qui n’est pour lui qu’une simple rumeur. « Cela fait longtemps que la Banque mondiale n’accorde pas de crédits à la Rd Congo et à certains pays du monde, s’est-il exprimé, avant d’ajouter que son Institution gère un portefeuille de 3 milliards de dollars Us. Avec ses 17 projets nationaux et 2 projets régionaux, la BM est pratiquement le premier bailleur de fonds de la Rd Congo.
Dans cet entretien qu’il nous a accordé, la Banque mondiale estime qu’il y a plusieurs manières d’aider un pays. Ça peut être à travers une assistance technique, un appui budgétaire, etc. Et elle n’est pas obligée d’utiliser tous les instruments en sa possession, mais elle fait un choix. Il a demandé à la population de ne pas s’affoler, car il y a des progrès à faire au niveau de la Gouvernance et le Gouvernement de la Rd Congo est conscient et s’y attèle déjà.
Par ailleurs, Eustache Ouayoro a présenté ses condoléances à la famille des victimes du crash de Bukavu de dimanche dernier et a souhaité un prompt rétablissement au ministre des Finances, Matata Ponyo, leur partenaire privilégié. Il a aussi émis le vœu de voir le transport aérien être la priorité du Gouvernement de la Rd Congo. « On a déjà des projets qui sont sur la table du Gouvernement, notamment concernant le système de certification de pilotes de ligne », a-t-il indiqué, tout en envisageant de voir de quelle manière faudra-t-il appuyer le Gouvernement pour améliorer cet état de choses.
Il n’y a aucun problème entre la Rd Congo et la BM
Intervenant sur Top Congo, peu avant de s’envoler à Bukavu, le ministre des Finances, Augustin Matata Ponyo avait démenti l’information selon laquelle il y aurait désaccord entre les Institutions de Bretton Woods et la Rd Congo. Pour lui, il s’agit de simples rumeurs et il n’y a pas eu suspension de la coopération avec l’Institution.
Selon le ministre des Finances, la rumeur est inventée de toutes pièces pour des buts inavoués. « Les relations sont au beau fixe, surtout avec la publication récente de deux contrats miniers qui bloquaient les 4ème et 5ème revue, jugées satisfaisantes par le Fonds monétaire international (FMI). Tout se porte bien », avait-il déclaré à Top Congo Fm. Augustin Matata Ponyo a annoncé aussi que la Banque Mondiale finance de nombreux projets, mais pas le budget de la Rd Congo.
Il faut noter que les revues du FMI font l’état de la situation des finances publiques pour les périodes juin et fin 2011. Le ministre Matata Ponyo qui s’est réjoui de ces bons résultats, tient à ce que la 6ème revue (celle de juin 2012) soit aussi satisfaisante. « Satisfaire à toutes les revues depuis 3 ans serait une grande première depuis plus de 50 ans et le ministre des finances que je suis y tient », a-t-il renchéri, tout en rappelant que la Banque Mondiale, à ce jour, finance en RDC des projets de l’ordre de plus de 2 milliards de dollars américains.
Pas de budget pour l’exercice 2012
Comme tout le monde le sait très bien, la Rd Congo n’a pas encore de budget pour l’exercice 2012. Ceci, parce que, lors de la session de septembre 2011, le parlement avait beaucoup plus privilégié la campagne électorale qu’un débat d’idées pour doter le pays d’un budget. Dans cette optique, on ne peut même pas parler d’appuis budgétaires, dans la mesure où ceux-ci sont prévus par le budget de l’Etat.
Voilà qui nous permet de conclure sur la fausseté de cette rumeur, d’autant plus que l’Ambassadeur de Robert Zoellick, le président de la Banque mondiale en Rd Congo, s’est adressé il y a quelques jours à la presse. Dans ce face-à-face avec la presse, il n’a nullement indiqué que son Institution avait, ou se préparait à sanctionner la Rd Congo. Si tel était le cas, pourquoi se réserverait-il de le dire à la presse ? Au-delà de tout ce qui vient d’être dit, nulle part dans le site de la Banque mondiale on a retrouvé la prétendue information. Alors on se demande : pour quelles raisons et dans quel objectif cette information a été mise sur la place publique ? N’est-ce pas une campagne pour toujours diaboliser le pouvoir de la Rd Congo ? Peut-être que l’avenir nous dira le contraire !
- tony yave
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Francophonie : confirmation par cette organisation de la tenue en Rdc de son 14ème sommet
Kinshasa, 15/02/2012 / Politique
La Rdc est à pied d’œuvre pour que ce sommet soit un succès, dont le logo est déjà fin prêt a été déjà présenté aux Etats membres de la Francophonie au cours de la 27ème session de la conférence ministérielle à Paris.
Le 14ème sommet de l'OIF se tiendra bel et bien à Kinshasa, du 12 au 14 octobre 2012. Par la bouche du Conseiller spécial du secrétaire général de l'OIF et chargé de l'organisation des sommets, Ousmane Paye, la Francophonie a confirmé la tenue du 14e sommet de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) prévu du 12 au 14 octobre 2012 en RDC. Le 14ème sommet de la Francophonie " aura bel et bien lieu à Kinshasa et aux dates prévues ", a-t-il confirmé le lundi 13 février, tout en excluant l'idée de report ou d'annulation de ce sommet.
Le Conseiller spécial du secrétaire général de l'OIF et chargé de l'organisation des sommets, Ousmane Paye a écarté toute idée de reporter, d'annuler ou de transférer le 14ème sommet de l'Organisation internationale de la Francophonie dans un autre pays. « On ne l'envisage pas du tout. D'abord, je suis les meilleurs pour la RDC. Je suis très optimiste quant au dialogue qui va prévaloir. Donc, on ne réfléchit absolument pas à autre chose qu'à l'organisation du sommet [de Kinshasa] et tout se fait dans cette direction », a-t-il rassuré.
Ousmane Paye a effectué dernièrement une mission à Kinshasa, où se tiendra ce sommet pour entre autres objectifs « d'évaluer la capacité de la RDC d'organiser ce sommet. Cette capacité est avérée ». En raison du climat agité qui a prévalu dans le pays au lendemain de la publication par la Commission électorale nationale indépendante (Céni) des résultats de la présidentielle couplée aux législatives du 28 novembre 2011. Des inquiétudes sur un lendemain fort agité dans le pays a préoccupé la communauté internationale, en l'occurrence l'OIF qui, par conséquent, a dû craindre que la tenue à Kinshasa du 14ème sommet ne soit compromise.
Ainsi, dans un communiqué daté du vendredi 20 janvier, le Secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf, avait recommandé l'apaisement et le respect des principes démocratiques dans la poursuite du processus électoral en RDC. Selon le texte, l'OIF offrait sa disponibilité d'accompagnement, précisant qu'elle ne prend position en faveur d'aucune partie au processus électoral. Par la même occasion, Abdou Diouf avait prôné un dialogue inclusif pour calmer les tensions postélectorales dans ce pays.
Cette déclaration avait suscité des réactions diverses au sein de la classe politique congolaise. Le sénateur Henri-Thomas Lokondo de la majorité avait indiqué que « quand le Secrétaire général de l'Organisation internationale de la francophonie dit que le processus électoral doit être observé avec rigueur, il veut diplomatiquement dire que le processus est bancal et que nous [la RDC] sommes mis sous la loupe ».
En 1991, le sommet de la francophonie qui aurait dû se tenir en RDC pour la toute première fois avait été délocalisé pour des raisons politiques. Donc, après avoir raté cette occasion-là, Kinshasa n'a plus droit à l'erreur de peur de se voir ravir l'organisation du 14ème sommet, et voir évaporer pour toujours ce privilège. Le 13ème sommet de la Francophonie, auquel la RDC avait pris une part active avec la présence du chef de l'Etat Joseph Kabila, avait eu lieu à Montreux, en Suisse, du 23 au 24 octobre 2010. Tandis que le 12ème sommet s'est tenu du 14 au 19 octobre 2008 au Québec, au Canada.
« Défis et visions d'avenir pour la Francophonie » était le thème principal du 13ème sommet auquel 2000 participants ont pris part. Parmi lesquels de nombreux chefs d'Etat et de gouvernement ont passé au peigne fin les défis qui se posent à l'espace francophone et insisté sur la nécessité de multiplier les actions pour relever ces défis et se pencher sur l'avenir de la langue française.
Ces assises du XIIIème Sommet de la Francophonie ont été également marquées par l'élection du Secrétaire général de l'organisation. Le Secrétaire général sortant, le Sénégalais Abdou Diouf, candidat à sa propre succession, avait été réélu par les Chefs d'Etat et de gouvernement présents à Montreux. Abdou Diouf est Secrétaire général de l'OIF depuis huit ans. Il est ainsi à son troisième mandat à la tête de l'Organisation Internationale de la Francophonie.
Dans les couloirs de la conférence, l'écrivaine franco camerounaise Calixte Beyala a été annoncée pour succéder à Abdou Diouf. Il semble que, officiellement, sa candidature n'avait pas été adressée au pays qui assure la présidence de l'organisation, c'est-à-dire le Canada.
Logo déjà prêt
La RDC a obtenu la tenue du 14ème sommet par une résolution consensuelle prise par les Chefs d'État et de gouvernement à l'occasion du XIIIème Sommet où la RDC a été représentée par le Président Joseph Kabila qui a remporté là une victoire diplomatique après son empêchement au Sommet de Québec en 2008, alors que la RDC était en lice avec Madagascar pour accueillir le Sommet de 2010.
La RDC est à pied d'œuvre pour que ce sommet soit un succès, dont le logo est déjà fin prêt. Il a été déjà présenté aux Etats membres de la Francophonie au cours de la 27ème session de la conférence ministérielle à Paris. Il est l'œuvre d'une Congolaise, Mbumba Tondu Umba Sweet. Licenciée en sciences de l'information et de la communication à l'IFASIC, elle est aussi passée par l'Institut du Mont Amba. Elle travaille actuellement comme experte en audiovisuel du projet SESAM (Service pour l'éducation, les savoirs et l'appui à la maîtrise et à l'usage du français).
Kinshasa, 15/02/2012 / Politique
La Rdc est à pied d’œuvre pour que ce sommet soit un succès, dont le logo est déjà fin prêt a été déjà présenté aux Etats membres de la Francophonie au cours de la 27ème session de la conférence ministérielle à Paris.
Le 14ème sommet de l'OIF se tiendra bel et bien à Kinshasa, du 12 au 14 octobre 2012. Par la bouche du Conseiller spécial du secrétaire général de l'OIF et chargé de l'organisation des sommets, Ousmane Paye, la Francophonie a confirmé la tenue du 14e sommet de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) prévu du 12 au 14 octobre 2012 en RDC. Le 14ème sommet de la Francophonie " aura bel et bien lieu à Kinshasa et aux dates prévues ", a-t-il confirmé le lundi 13 février, tout en excluant l'idée de report ou d'annulation de ce sommet.
Le Conseiller spécial du secrétaire général de l'OIF et chargé de l'organisation des sommets, Ousmane Paye a écarté toute idée de reporter, d'annuler ou de transférer le 14ème sommet de l'Organisation internationale de la Francophonie dans un autre pays. « On ne l'envisage pas du tout. D'abord, je suis les meilleurs pour la RDC. Je suis très optimiste quant au dialogue qui va prévaloir. Donc, on ne réfléchit absolument pas à autre chose qu'à l'organisation du sommet [de Kinshasa] et tout se fait dans cette direction », a-t-il rassuré.
Ousmane Paye a effectué dernièrement une mission à Kinshasa, où se tiendra ce sommet pour entre autres objectifs « d'évaluer la capacité de la RDC d'organiser ce sommet. Cette capacité est avérée ». En raison du climat agité qui a prévalu dans le pays au lendemain de la publication par la Commission électorale nationale indépendante (Céni) des résultats de la présidentielle couplée aux législatives du 28 novembre 2011. Des inquiétudes sur un lendemain fort agité dans le pays a préoccupé la communauté internationale, en l'occurrence l'OIF qui, par conséquent, a dû craindre que la tenue à Kinshasa du 14ème sommet ne soit compromise.
Ainsi, dans un communiqué daté du vendredi 20 janvier, le Secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf, avait recommandé l'apaisement et le respect des principes démocratiques dans la poursuite du processus électoral en RDC. Selon le texte, l'OIF offrait sa disponibilité d'accompagnement, précisant qu'elle ne prend position en faveur d'aucune partie au processus électoral. Par la même occasion, Abdou Diouf avait prôné un dialogue inclusif pour calmer les tensions postélectorales dans ce pays.
Cette déclaration avait suscité des réactions diverses au sein de la classe politique congolaise. Le sénateur Henri-Thomas Lokondo de la majorité avait indiqué que « quand le Secrétaire général de l'Organisation internationale de la francophonie dit que le processus électoral doit être observé avec rigueur, il veut diplomatiquement dire que le processus est bancal et que nous [la RDC] sommes mis sous la loupe ».
En 1991, le sommet de la francophonie qui aurait dû se tenir en RDC pour la toute première fois avait été délocalisé pour des raisons politiques. Donc, après avoir raté cette occasion-là, Kinshasa n'a plus droit à l'erreur de peur de se voir ravir l'organisation du 14ème sommet, et voir évaporer pour toujours ce privilège. Le 13ème sommet de la Francophonie, auquel la RDC avait pris une part active avec la présence du chef de l'Etat Joseph Kabila, avait eu lieu à Montreux, en Suisse, du 23 au 24 octobre 2010. Tandis que le 12ème sommet s'est tenu du 14 au 19 octobre 2008 au Québec, au Canada.
« Défis et visions d'avenir pour la Francophonie » était le thème principal du 13ème sommet auquel 2000 participants ont pris part. Parmi lesquels de nombreux chefs d'Etat et de gouvernement ont passé au peigne fin les défis qui se posent à l'espace francophone et insisté sur la nécessité de multiplier les actions pour relever ces défis et se pencher sur l'avenir de la langue française.
Ces assises du XIIIème Sommet de la Francophonie ont été également marquées par l'élection du Secrétaire général de l'organisation. Le Secrétaire général sortant, le Sénégalais Abdou Diouf, candidat à sa propre succession, avait été réélu par les Chefs d'Etat et de gouvernement présents à Montreux. Abdou Diouf est Secrétaire général de l'OIF depuis huit ans. Il est ainsi à son troisième mandat à la tête de l'Organisation Internationale de la Francophonie.
Dans les couloirs de la conférence, l'écrivaine franco camerounaise Calixte Beyala a été annoncée pour succéder à Abdou Diouf. Il semble que, officiellement, sa candidature n'avait pas été adressée au pays qui assure la présidence de l'organisation, c'est-à-dire le Canada.
Logo déjà prêt
La RDC a obtenu la tenue du 14ème sommet par une résolution consensuelle prise par les Chefs d'État et de gouvernement à l'occasion du XIIIème Sommet où la RDC a été représentée par le Président Joseph Kabila qui a remporté là une victoire diplomatique après son empêchement au Sommet de Québec en 2008, alors que la RDC était en lice avec Madagascar pour accueillir le Sommet de 2010.
La RDC est à pied d'œuvre pour que ce sommet soit un succès, dont le logo est déjà fin prêt. Il a été déjà présenté aux Etats membres de la Francophonie au cours de la 27ème session de la conférence ministérielle à Paris. Il est l'œuvre d'une Congolaise, Mbumba Tondu Umba Sweet. Licenciée en sciences de l'information et de la communication à l'IFASIC, elle est aussi passée par l'Institut du Mont Amba. Elle travaille actuellement comme experte en audiovisuel du projet SESAM (Service pour l'éducation, les savoirs et l'appui à la maîtrise et à l'usage du français).
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Copy for you Tatu Ilus:
Kinshasa a encore presque déçu : d'abord incapable de braver madame la pluie, les kinois et les kinoises se sont terrés chez eux, dans leur misère légendaire. Peu de ceux qui ont pu attendre les lieux de rassemblement, les églises, ont été accueillis chaleureusement par la soldatesque de Kanambe. Comme des femmes en jupon, ils ont pris la poudre d'escampette laissant derrière eux leurs curés en soutane de deuil. Pauvres curés de "quiquignant" non seulement q'ils ont subit les supplices de Golgotha ou la traitrise de judas, mais les Kadogo, comme à St Joseph de Matongo, se sont même offerts le corps du christ arrosé au vin rouge, alors qu'à quelques deux kilomètres de là, toutes les révérences ont été réservées, par la même soldatesque, aux députés de "l'opposition" tous tirés à quatre épingles lors de la procession, comme dans basilique St Pierre de Rome, à hémicycle du parlement à Lingwala. O pays, mon vilain peuple !
les larmes d'un Sage.
Fo se rendre a l evidence seule une action militaire liberera le Congo.
Kinshasa a encore presque déçu : d'abord incapable de braver madame la pluie, les kinois et les kinoises se sont terrés chez eux, dans leur misère légendaire. Peu de ceux qui ont pu attendre les lieux de rassemblement, les églises, ont été accueillis chaleureusement par la soldatesque de Kanambe. Comme des femmes en jupon, ils ont pris la poudre d'escampette laissant derrière eux leurs curés en soutane de deuil. Pauvres curés de "quiquignant" non seulement q'ils ont subit les supplices de Golgotha ou la traitrise de judas, mais les Kadogo, comme à St Joseph de Matongo, se sont même offerts le corps du christ arrosé au vin rouge, alors qu'à quelques deux kilomètres de là, toutes les révérences ont été réservées, par la même soldatesque, aux députés de "l'opposition" tous tirés à quatre épingles lors de la procession, comme dans basilique St Pierre de Rome, à hémicycle du parlement à Lingwala. O pays, mon vilain peuple !
les larmes d'un Sage.
Fo se rendre a l evidence seule une action militaire liberera le Congo.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
La RDc n'est plus la porte ouverte aux coups d'etats et rebellions. l'etat devient de plus en plus fort et sais prevoir au lieu de subir les evenement comme avant. Demandez à l'udps et son secretaire
Nous savons tous comment les coup d'etat et rebellions marchent. il faut le soutien de l'exterieur. une rebellion ne peut pas marcher sans une base arriere cad un etat de repli. la seule base arriere possible pour une rebellion congolaise today reste le congo brazza, or là il faudra l'aval de la france.
Donc c'est barré pour tous les pecheur en eau touble
Nous savons tous comment les coup d'etat et rebellions marchent. il faut le soutien de l'exterieur. une rebellion ne peut pas marcher sans une base arriere cad un etat de repli. la seule base arriere possible pour une rebellion congolaise today reste le congo brazza, or là il faudra l'aval de la france.
Donc c'est barré pour tous les pecheur en eau touble
- Mom Boucher
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
madi a écrit :La RDc n'est plus la porte ouverte aux coups d'etats et rebellions. l'etat devient de plus en plus fort et sais prevoir au lieu de subir les evenement comme avant. Demandez à l'udps et son secretaire
Nous savons tous comment les coup d'etat et rebellions marchent. il faut le soutien de l'exterieur. une rebellion ne peut pas marcher sans une base arriere cad un etat de repli. la seule base arriere possible pour une rebellion congolaise today reste le congo brazza, or là il faudra l'aval de la france.
Donc c'est barré pour tous les pecheur en eau touble
You re right Madi, le fameux general Munene on ne l entend plus, et les USA qui reconnaissent Kabila comme president elu. Men just forget about it, echec et mat sur toute la ligne comme les gens du MP le disent.
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