Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Ignace Matensi [tigmatig2207@yahoo.de] 06/02/2012 10:21:50
Cher Mr A. Wetshi,
salut; merci pour votre intervention. A mon avis, si nous ne sommes pas tous des hors-la-loi, nous devons simplement admettre que le nommé Joseph Kabila est un DESERTEUR! En effet, même si la loi à laquelle je veux faire allusion n’est pas ad hoc reprise concernant l’exercice de la présidence de la République en RDC, nous savons qu’il y’a déjà un cas précédent qui nous permet d’y recourir. En effet, Mr Nzanga Mobutu a été obligé, il y’a quelques mois, de remettre le tablier pour des raisons d’absences prolongée de son poste de ministre... Or, le code du travail stipule dans l’un de ses articles que quiconque s’absente sans raison de son poste de travail pendant sept jours est déserteur, donc Mr Kabila est DESERTEUR; c’est en effet lui, plus que Nzanga Mobutu, qui le premier doit donner l’exemple. Or, donc, il est DESERTEUR. Sinon, nous devons davantage traiter Mr Mende de menteur, ou, du moins, de quelqu’un qui confirme indirectement, mais clairement, que Mr J.Kabila, pendant l’exercice de son pouvoir, a influencé la première partie des élections qui l’a déclaré "vainqueur"! Et la loi électorale l’interdit formellement! Il était en effet à Kinshasa lors de ces élections et comptage des voies! En plus, qui nous dit qu’il ne s’est pas caché pour mieux orienter la magouille dont tout le monde se plaint à propos des législatives? N’a-t-il pas les moyens de communications les plus perfectionnés du pays? Or, donc, dans tous les cas, il est fautif. Il y a anguille sous-roche!
Cher Mr A. Wetshi,
salut; merci pour votre intervention. A mon avis, si nous ne sommes pas tous des hors-la-loi, nous devons simplement admettre que le nommé Joseph Kabila est un DESERTEUR! En effet, même si la loi à laquelle je veux faire allusion n’est pas ad hoc reprise concernant l’exercice de la présidence de la République en RDC, nous savons qu’il y’a déjà un cas précédent qui nous permet d’y recourir. En effet, Mr Nzanga Mobutu a été obligé, il y’a quelques mois, de remettre le tablier pour des raisons d’absences prolongée de son poste de ministre... Or, le code du travail stipule dans l’un de ses articles que quiconque s’absente sans raison de son poste de travail pendant sept jours est déserteur, donc Mr Kabila est DESERTEUR; c’est en effet lui, plus que Nzanga Mobutu, qui le premier doit donner l’exemple. Or, donc, il est DESERTEUR. Sinon, nous devons davantage traiter Mr Mende de menteur, ou, du moins, de quelqu’un qui confirme indirectement, mais clairement, que Mr J.Kabila, pendant l’exercice de son pouvoir, a influencé la première partie des élections qui l’a déclaré "vainqueur"! Et la loi électorale l’interdit formellement! Il était en effet à Kinshasa lors de ces élections et comptage des voies! En plus, qui nous dit qu’il ne s’est pas caché pour mieux orienter la magouille dont tout le monde se plaint à propos des législatives? N’a-t-il pas les moyens de communications les plus perfectionnés du pays? Or, donc, dans tous les cas, il est fautif. Il y a anguille sous-roche!
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
NYANGO nyi BUTU [kovjules@hotmail.fr] 06/02/2012 11:21:58
Le peuple rdcongolais n’ a aucune valeur aux yeux de la dite "communauté internationale" qui veut nous apprendre la morale lorsqu’il s’agit de la Libye et actuellemnet la Syrie . Comme leurs intérêts sont bien couverts par ce président "malade", il peut se faire soigner tranquillement au pays d’ ANGELA sans inquiétude; mais la vérité est tétue , on la saura plus tard. Et si on nous annoce la bonne nouvelle du décès de raïs, ce serait une délivrance divine pour la RDC .Wait and see.
Le peuple rdcongolais n’ a aucune valeur aux yeux de la dite "communauté internationale" qui veut nous apprendre la morale lorsqu’il s’agit de la Libye et actuellemnet la Syrie . Comme leurs intérêts sont bien couverts par ce président "malade", il peut se faire soigner tranquillement au pays d’ ANGELA sans inquiétude; mais la vérité est tétue , on la saura plus tard. Et si on nous annoce la bonne nouvelle du décès de raïs, ce serait une délivrance divine pour la RDC .Wait and see.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.udps.be/beluxx//viewtopic.ph ... 2361#p2819
La jonction de la position de tous sur les résultats
La jonction entre la Vérité des urnes, la Victoire éclatante du Président élu Etienne Tshisekedi, la position de la majorité du Peuple Congolais, des Chrétiens catholiques et protestants, de l’UDPS, de toutes les Forces démocratiques, des Observateurs Internationaux, de la Diaspora Congolaise et de la Société Civile Congolaise :
C’est l’invalidation de la candidature de l’imposteur notamment à cause des fraudes massives et des tricheries systématiques à l’issue de l’Election Présidentielle décidée à un seul tour en application de leur propre constitution révisée, à quelques mois seulement des élections, sur une décision unilatérale et adoptée par leur Parlement. Dans ce Parlement, il n’y a aucun Membre de l’UDPS. Et dans ce Parlement, la Majorité est composée de Membres du PPRD. L’existence de ces fraudes et de ces tricheries a été confirmée par l’imposteur lui-même, le Journal L’Avenir proche du pouvoir déchu, les Journalistes du pouvoir déchu (Zacharie Babaswe…).
Les Observateurs Internationaux ont affirmé que les résultats de la CENI manquaient de crédibilité, de confiance et de transparence.
Ceux qui se cramponnent par désespoir à la conclusion partielle du Rapport de la Fondation Carter sur les résultats préliminaires de la CENI auraient dû déjà exiger les sanctions prévues par la Loi électorale en cas des fraudes et des tricheries constatées.
La Victoire du Président Etienne Tshisekedi, l’incompétence de la CENI dont la majorité des Membres sont les Membres du PPRD et dont le Président – un certain Ngoy Mulunda - est l’un des Membres Fondateurs du PPRD et ils doivent tous être sanctionnés en application de la Loi Electorale issue de leurs cerveaux des magouilleurs et adoptée par leur Parlement – qui ne compte aucun Membre de l’UDPS - dans lequel les Membres du PPRD sont majoritaires.
Le Président Etienne Tshisekedi est Vainqueur dans tous les cas de figure : soit suite à l’invalidation de la candidature de l’imposteur à la fois à cause de son crime de l’imposture (Il est rwandais de père et de mère) et à cause des fraudes massives et des tricheries systématiques dont il s’est rendu coupable : il a lui-même, lors de sa conférence de presse, reconnu ces fraudes, ces tricheries et l’incompétence de sa CENI à organiser les élections libres, crédibles, transparentes et démocratiques. Les lobbystes du pouvoir déchu (Le Journal L’Avenir, le Journaliste Zacharie Babaswe…) ont reconnu l’existence de ces fraudes et de ces tricheries.
Nous avons déjà trop suffisamment démontré l’absence de justice impartiale et indépendante au Congo sur base du texte constitutionnel et de la jurisprudence. Evoquer l’arrêt de la Cour Suprême de la Justice confirmant les faux résultats de la CENI relève à la fois de la complicité, de la médiocrité, de la perversion, de la mauvaise foi et du cynisme.
Proposer la réorganisation des élections, c’est refuser d’appliquer la Loi Electorale, violer cette Loi, consacrer l’impunité, sanctifier l’incompétence, l’inconscience, l’irresponsabilité, la médiocrité, les antivaleurs et la perversion, c’est récompenser et promouvoir les criminels.
Proposer la prolongation du mandat de l’imposteur devant l’impossibilité financière, matérielle et technique de réorganiser, c’est jouer le jeu de l’imposteur et l’aider par une autre fraude et par la porte de derrière à obtenir le résultat qu’il avait recherché par la violation de la constitution (révision de la constitution en Janvier 2011), des fraudes et des tricheries, c’est-à-dire s’éterniser au pouvoir.
Donc toutes les positions dénonçant et condamnant la révision constitutionnelle, les irrégularités, les fraudes et les tricheries électorales… coïncident sur le fond et l’essentiel (l’invalidation de la candidature de l’imposteur, la Victoire du Président Etienne Tshisekedi, sanctions contre l’imposteur et contre les agents de la CENI), en amont de différentes solutions subséquentes et divergentes proposées (réorganiser les élections, prolonger le mandat de l’imposteur, invalider la candidature de l’imposteur, sanctionner les Membres de la CENI et mettre en place une autre CENI
Dr François Tshipamba Mpuila
GSM 0032-485-270-866 ; E-mail :tshipambampuila@yahoo.fr
_________________
Pour le Bureau d’études, expertise et stratégies de l’UDPS
Dr François Tshipamba Mpuila Coordonnateur
Contact : GSM 0032-485-270-866 ; Tél : 0032-16-60-70-86 ; E-mail : tshipambampuila@yahoo.fr
La jonction de la position de tous sur les résultats
La jonction entre la Vérité des urnes, la Victoire éclatante du Président élu Etienne Tshisekedi, la position de la majorité du Peuple Congolais, des Chrétiens catholiques et protestants, de l’UDPS, de toutes les Forces démocratiques, des Observateurs Internationaux, de la Diaspora Congolaise et de la Société Civile Congolaise :
C’est l’invalidation de la candidature de l’imposteur notamment à cause des fraudes massives et des tricheries systématiques à l’issue de l’Election Présidentielle décidée à un seul tour en application de leur propre constitution révisée, à quelques mois seulement des élections, sur une décision unilatérale et adoptée par leur Parlement. Dans ce Parlement, il n’y a aucun Membre de l’UDPS. Et dans ce Parlement, la Majorité est composée de Membres du PPRD. L’existence de ces fraudes et de ces tricheries a été confirmée par l’imposteur lui-même, le Journal L’Avenir proche du pouvoir déchu, les Journalistes du pouvoir déchu (Zacharie Babaswe…).
Les Observateurs Internationaux ont affirmé que les résultats de la CENI manquaient de crédibilité, de confiance et de transparence.
Ceux qui se cramponnent par désespoir à la conclusion partielle du Rapport de la Fondation Carter sur les résultats préliminaires de la CENI auraient dû déjà exiger les sanctions prévues par la Loi électorale en cas des fraudes et des tricheries constatées.
La Victoire du Président Etienne Tshisekedi, l’incompétence de la CENI dont la majorité des Membres sont les Membres du PPRD et dont le Président – un certain Ngoy Mulunda - est l’un des Membres Fondateurs du PPRD et ils doivent tous être sanctionnés en application de la Loi Electorale issue de leurs cerveaux des magouilleurs et adoptée par leur Parlement – qui ne compte aucun Membre de l’UDPS - dans lequel les Membres du PPRD sont majoritaires.
Le Président Etienne Tshisekedi est Vainqueur dans tous les cas de figure : soit suite à l’invalidation de la candidature de l’imposteur à la fois à cause de son crime de l’imposture (Il est rwandais de père et de mère) et à cause des fraudes massives et des tricheries systématiques dont il s’est rendu coupable : il a lui-même, lors de sa conférence de presse, reconnu ces fraudes, ces tricheries et l’incompétence de sa CENI à organiser les élections libres, crédibles, transparentes et démocratiques. Les lobbystes du pouvoir déchu (Le Journal L’Avenir, le Journaliste Zacharie Babaswe…) ont reconnu l’existence de ces fraudes et de ces tricheries.
Nous avons déjà trop suffisamment démontré l’absence de justice impartiale et indépendante au Congo sur base du texte constitutionnel et de la jurisprudence. Evoquer l’arrêt de la Cour Suprême de la Justice confirmant les faux résultats de la CENI relève à la fois de la complicité, de la médiocrité, de la perversion, de la mauvaise foi et du cynisme.
Proposer la réorganisation des élections, c’est refuser d’appliquer la Loi Electorale, violer cette Loi, consacrer l’impunité, sanctifier l’incompétence, l’inconscience, l’irresponsabilité, la médiocrité, les antivaleurs et la perversion, c’est récompenser et promouvoir les criminels.
Proposer la prolongation du mandat de l’imposteur devant l’impossibilité financière, matérielle et technique de réorganiser, c’est jouer le jeu de l’imposteur et l’aider par une autre fraude et par la porte de derrière à obtenir le résultat qu’il avait recherché par la violation de la constitution (révision de la constitution en Janvier 2011), des fraudes et des tricheries, c’est-à-dire s’éterniser au pouvoir.
Donc toutes les positions dénonçant et condamnant la révision constitutionnelle, les irrégularités, les fraudes et les tricheries électorales… coïncident sur le fond et l’essentiel (l’invalidation de la candidature de l’imposteur, la Victoire du Président Etienne Tshisekedi, sanctions contre l’imposteur et contre les agents de la CENI), en amont de différentes solutions subséquentes et divergentes proposées (réorganiser les élections, prolonger le mandat de l’imposteur, invalider la candidature de l’imposteur, sanctionner les Membres de la CENI et mettre en place une autre CENI
Dr François Tshipamba Mpuila
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.afriqueredaction.com/article ... 02286.html
Lundi 6 février 2012
RDC : le PPRD donne une fois de plus raison à Mgr Monsengwo
Crée le 06-02-2012- 11h25 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi 06-02-2012 - 12H29 AFRIQUE REDACTION PAR : AFRISCOOP
De Gauche à Droite : Etienne Tshisekedi,Cardinal Monsengwo et Joseph Kabila(photo:Africa News).
Jeudi dernier, la Ceni de la Rdc a donné les résultats provisoires des législatives organisées dans ce pays le 28 novembre dernier. Sans vergogne, la Ceni congolaise a proclamé les chiffres qu’avaient décriés par avance plusieurs scrutateurs indépendants des scrutins du 28 novembre 2011 en Rdc, dont l’Eglise catholique…
Un commentaire de Achille Ngueti - La Rédaction © AfriSCOOP
Pour une fois au cours de ces deux dernières décennies, l’Eglise catholique dans un pays d’Afrique francophone n’a plus eu froid aux yeux. Bien que critiqué au vitriol et “sali” publiquement à plusieurs reprises par des membres du gouvernement congolais, le cardinal Monsengwo, principale figure de proue de l’Eglise catholique en Rdc est resté ferme sur les résultats de l’observation de ses ouailles autour des scrutins présidentiel et législatives organisés fin novembre 2011. Grosso modo, la Mission catholique d’observation électorale au pays de Patrice Lumumba a prié instamment la Ceni de proclamer la vraie vérité des urnes.
« Tôt ou tard, la vérité rattrape toujours le mensonge et le dépasse », enseigne l’adage. A la faveur de la publication des résultats provisoires des législatives du 28 novembre 2011, les Congolais ont un peu plus été fixés sur les FRAUDES HISTORIQUES mises en œuvre dans leur pays, fin 2011… Comment peut-on accorder une once de crédibilité à un scrutin législatif qui donne vainqueur un parti dans une ville dans laquelle les électeurs ont voté pour une autre formation le même jour lors de la présidentielle ? Ce fut le cas à Kinshasa où l’Udps (principale formation d’opposition) a été plébiscité durant la présidentielle mais, contre toute logique, a été défait pendant les législatives par le Pprd (Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, au pouvoir). Que dire et penser des multiples dénonciations de fraudes patentes, même dans le camp des partis alliés du Pprd ? Comme si les Congolais souffraient d’une pernicieuse cécité politique, ils ont élu, selon la Ceni, 300 députés Pprd sur les 500 sièges de l’Assemblée nationale…
Pour l’histoire
Joseph Kabila et le Pprd sont désormais embarqués dans des mandats illégitimes (au sommet de l’exécutif et au Parlement). Ce n’est pas le principal enseignement à tirer des dernières élections en Rdc. Mais il s’agit plutôt de mettre en lumière la détermination d’un prélat en Afrique francophone à exiger le triomphe de la vérité électorale. Chose rare en Afrique où ces dernières années des évêques du Togo et de la Côte d’Ivoire se sont déchirés sur la position à adopter devant une joute électorale manifestement émaillée de fraudes. Même si la Mission catholique d’observation électorale n’a pas publié les résultats en sa possession en Rdc, elle a au moins eu le mérite d’afficher le fossé qui existe entre sa lecture des élections et celle opérée par le gouvernement congolais…
Rien que pour avoir adopté cette posture, le cardinal Monsengwo mérite d’être félicité et encouragé en Afrique francophone. Si et seulement si les évêques ouest-africains qui viennent de se réunir en Côte d’Ivoire pouvaient dorénavant marcher sur les plates bandes du prêtre congolais. L’unité prônée chez les catholiques passe nécessairement par la vérité.
Lundi 6 février 2012
RDC : le PPRD donne une fois de plus raison à Mgr Monsengwo
Crée le 06-02-2012- 11h25 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi 06-02-2012 - 12H29 AFRIQUE REDACTION PAR : AFRISCOOP
De Gauche à Droite : Etienne Tshisekedi,Cardinal Monsengwo et Joseph Kabila(photo:Africa News).
Jeudi dernier, la Ceni de la Rdc a donné les résultats provisoires des législatives organisées dans ce pays le 28 novembre dernier. Sans vergogne, la Ceni congolaise a proclamé les chiffres qu’avaient décriés par avance plusieurs scrutateurs indépendants des scrutins du 28 novembre 2011 en Rdc, dont l’Eglise catholique…
Un commentaire de Achille Ngueti - La Rédaction © AfriSCOOP
Pour une fois au cours de ces deux dernières décennies, l’Eglise catholique dans un pays d’Afrique francophone n’a plus eu froid aux yeux. Bien que critiqué au vitriol et “sali” publiquement à plusieurs reprises par des membres du gouvernement congolais, le cardinal Monsengwo, principale figure de proue de l’Eglise catholique en Rdc est resté ferme sur les résultats de l’observation de ses ouailles autour des scrutins présidentiel et législatives organisés fin novembre 2011. Grosso modo, la Mission catholique d’observation électorale au pays de Patrice Lumumba a prié instamment la Ceni de proclamer la vraie vérité des urnes.
« Tôt ou tard, la vérité rattrape toujours le mensonge et le dépasse », enseigne l’adage. A la faveur de la publication des résultats provisoires des législatives du 28 novembre 2011, les Congolais ont un peu plus été fixés sur les FRAUDES HISTORIQUES mises en œuvre dans leur pays, fin 2011… Comment peut-on accorder une once de crédibilité à un scrutin législatif qui donne vainqueur un parti dans une ville dans laquelle les électeurs ont voté pour une autre formation le même jour lors de la présidentielle ? Ce fut le cas à Kinshasa où l’Udps (principale formation d’opposition) a été plébiscité durant la présidentielle mais, contre toute logique, a été défait pendant les législatives par le Pprd (Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, au pouvoir). Que dire et penser des multiples dénonciations de fraudes patentes, même dans le camp des partis alliés du Pprd ? Comme si les Congolais souffraient d’une pernicieuse cécité politique, ils ont élu, selon la Ceni, 300 députés Pprd sur les 500 sièges de l’Assemblée nationale…
Pour l’histoire
Joseph Kabila et le Pprd sont désormais embarqués dans des mandats illégitimes (au sommet de l’exécutif et au Parlement). Ce n’est pas le principal enseignement à tirer des dernières élections en Rdc. Mais il s’agit plutôt de mettre en lumière la détermination d’un prélat en Afrique francophone à exiger le triomphe de la vérité électorale. Chose rare en Afrique où ces dernières années des évêques du Togo et de la Côte d’Ivoire se sont déchirés sur la position à adopter devant une joute électorale manifestement émaillée de fraudes. Même si la Mission catholique d’observation électorale n’a pas publié les résultats en sa possession en Rdc, elle a au moins eu le mérite d’afficher le fossé qui existe entre sa lecture des élections et celle opérée par le gouvernement congolais…
Rien que pour avoir adopté cette posture, le cardinal Monsengwo mérite d’être félicité et encouragé en Afrique francophone. Si et seulement si les évêques ouest-africains qui viennent de se réunir en Côte d’Ivoire pouvaient dorénavant marcher sur les plates bandes du prêtre congolais. L’unité prônée chez les catholiques passe nécessairement par la vérité.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Le piège du 17 février 2012 07/02/2012 11:35:01
Le piège du 17 février 2012
Les gouvernants sortants tiennent à tout prix, avec l’aide de leurs parrains, à poursuivre leur petit bonhomme de chemin dans notre pays, comme si de rien n’était. Ayant instrumentalisé la CENI, ils veulent, avec « leur future majorité à l’Assemblée nationale », défier la majorité de nos populations ayant opté pour la rupture avec la culture de la tricherie, du mensonge, de la fraude et de la terreur. Ils tiennent à convoquer plusieurs « députés cooptés » ou « mal élus » en une Assemblée plénière le 17 février 2012.
Le choix de cette date ne semble pas être opéré au hasard. Il contient tout un message ; il est en lui-même un message. Le 17 février 2012 pourrait être une réponse donnée aux chrétiens, aux chrétiennes, aux hommes et aux femmes de bonne volonté qui auront marché le 16 pour « réclamer la légitimité et la légalité du pouvoir », selon le mot d’ordre de l’Eglise de Kinshasa. Cette réponse serait : « Le chien aboie et la caravane passe » ; la caravane peut même écraser le chien sans que cela émeuve outre-mesure « les défenseurs mondiaux de la démocratie et des droits de l’homme » !
Où se trouve le piège ? La paie de ces « députés cooptés » ou « mal élus », le goût du pouvoir et des honneurs pourraient constituer des appâts pour « les députés » des forces du changement élus et/ou « cooptés » dans les mêmes conditions que les autres. Cette « cooptation » aurait pour finalité l’application du principe de « diviser pour régner » ; un principe cher aux « maîtres du monde et à ceux qui leur obéissent ». Atomiser les forces du changement en brandissant les avantages matériels dont elles pourraient bénéficier participe de la politique de la marchandisation de notre « vivre-ensemble », chère au « conglomérat d’aventuriers » initiateur et héritier de la guerre de l’AFDL.
Participer de cette politique est synonyme de reconduire le système mortifère sur lequel elle est fondée. Aller à une Assemblée nationale « cooptée » après une mascarade électorale chaotique, c’est signer l’arrêt de mort pour notre beau et grand pays.
A ce point nommé, les forces du changement devraient penser aux stratégies pouvant les aider à minorer l’ordre inique issu de cette mascarade électorale et à mettre sur pied des institutions et des organisations proches de nos populations. Elles devraient inventer des lieux où travailler avec nos populations les conduirait à participer réellement à l’édification d’un autre Congo. Au sein de ces forces du changement, les minorités organisées et agissantes doivent s’investir davantage pour que ce que notre peuple a considéré comme « sa victoire » au cours de ces dernières « consultations populaires » ne lui soit pas volé. Elles doivent créer et/ou actionner leurs plans B, C, D, etc. sur le court, moyen et long terme.
Un petit regard rétrospectif sur notre passé récent nous apprend qu’à force de marcher ensemble, nous avons créé des liens patriotiques à même de résister à l’usure du temps. La rue a constitué pour plusieurs d’entre nous un lieu d’apprentissage de l’histoire récente de notre pays marquée par une prédation transnationale orchestrée par les oligarchies d’argent, les pays satellites et les élites africaines et congolaises compradores. La rue nous a permis de crier notre indignation en brandissant les photos des massacres des nôtres, victimes du cynisme, de la rapacité et de la cupidité des « cosmocrates ». L’implication de nos enfants dans la rue a constitué une garantie pour la relève : la rue est devenue pour nous, le lieu du passage de relais. Nos sit-in ont aussi été des lieux où notre indignation a été dite. Nos messes et nos autres assemblées de prière ont soutenu tous ces efforts de notre peuple voulant à tout pris rester debout.
Mais en examinant les moyens, les méthodes et les stratégies prônés par « les experts » de la Résistance contre les pouvoirs tyranniques, dictatoriaux et les autres forces de la mort, ce que nous mettons en œuvre est encore insuffisant pour atteindre nos objectifs. N’en déplaise à certains d’entre nous !
En principe, nous devrions conjuguer l’étude de ces méthodes, de ces moyens, de ces tactiques et de ces stratégies avec leur mise en pratique. Instituer un va-et-vient permanent entre la théorie et la pratique. Tournés davantage vers les actions concrètes à impact immédiat, nous avons, pour la plupart d’entre nous, perdu le contact avec les lieux d’apprentissage et d’approfondissement de ce que nous devrions mettre en œuvre.
Le risque serait de répéter les mêmes méthodes classiques ou de recourir aux mêmes tactiques et stratégies et de tomber finalement dans l’essoufflement quand les résultats palpables traînent à se manifester.
Le cas Congo devrait pousser les minorités organisées et/ou agissantes à planifier la lutte de la Résistance sur le long terme. Cela d’autant plus que nous ne luttons pas seulement contre les forces visibles. Nous luttons aussi contre les forces invisibles et les principautés de la nuit.
Revenons au piège du 17 février 2012. Comment pourrons-nous soutenir les forces du changement qui refuseraient d’obéir à cet ordre inique d’une Assemblée nationale « cooptée » en vue de recréer un ordre politique et juridique « juste » ? Comment la diaspora Congolaise acquise au changement pourrait-elle devenir un partenaire sûr de notre peuple (au pays) et des autres forces du changement en paroles et en actes ? Quels sont les moyens qu’elle pourrait mettre à leur disposition pour qu’elles évitent de se laisser corrompre et qu’elles aident notre peuple à rester debout ? Ces questions et beaucoup d’autres que certains d’entre nous posent déjà invitent à un travail permanent abattu en synergie. Et sur le temps. (à suivre)
J.-P. Mbelu
VOICI LES AVANTAGES QUE LES "DEPUTES" NOMMES (OPPOSITION ET POUVOIR) PAR NGOY MULUNDA PRIVILÉGIENT AU DÉTRIMENT DU BIEN ETRE DU PEUPLE CONGOLAIS: 1: UN SALAIRE DE 6.000 DOLLARS AMERICAINS; 2. UNE JEEP TOYOTA PRADO IMPORTÉE DU JAPON d’une valeur de 54.000$; 3. DES PRIMES PARLEMENTAIRES OFFICIELLES COMME APPLAUDISSEURS; 4. DES PRIMES DE PARTICIPATION EN COMMISSION; 5. DES PRIMES DE VOYAGE; 6. PRIMES D’ENCOURAGEMENT (CORRUPTION) POUR LES VOTES EN FAVEUR DE KANAMBE, VERSEES PAR LE PPRD. QUANT A NOUS LA LUTTE CONTINUE ET VIVE LE CONGOZAIRE REELLEMENT LIBRE ET DEMOCRATIQUE. 500 Jeeps à 54 000$ la pièce pendant que le Congo manque de transport public... Ils n’ont pas honte avec ce pays.
Le piège du 17 février 2012
Les gouvernants sortants tiennent à tout prix, avec l’aide de leurs parrains, à poursuivre leur petit bonhomme de chemin dans notre pays, comme si de rien n’était. Ayant instrumentalisé la CENI, ils veulent, avec « leur future majorité à l’Assemblée nationale », défier la majorité de nos populations ayant opté pour la rupture avec la culture de la tricherie, du mensonge, de la fraude et de la terreur. Ils tiennent à convoquer plusieurs « députés cooptés » ou « mal élus » en une Assemblée plénière le 17 février 2012.
Le choix de cette date ne semble pas être opéré au hasard. Il contient tout un message ; il est en lui-même un message. Le 17 février 2012 pourrait être une réponse donnée aux chrétiens, aux chrétiennes, aux hommes et aux femmes de bonne volonté qui auront marché le 16 pour « réclamer la légitimité et la légalité du pouvoir », selon le mot d’ordre de l’Eglise de Kinshasa. Cette réponse serait : « Le chien aboie et la caravane passe » ; la caravane peut même écraser le chien sans que cela émeuve outre-mesure « les défenseurs mondiaux de la démocratie et des droits de l’homme » !
Où se trouve le piège ? La paie de ces « députés cooptés » ou « mal élus », le goût du pouvoir et des honneurs pourraient constituer des appâts pour « les députés » des forces du changement élus et/ou « cooptés » dans les mêmes conditions que les autres. Cette « cooptation » aurait pour finalité l’application du principe de « diviser pour régner » ; un principe cher aux « maîtres du monde et à ceux qui leur obéissent ». Atomiser les forces du changement en brandissant les avantages matériels dont elles pourraient bénéficier participe de la politique de la marchandisation de notre « vivre-ensemble », chère au « conglomérat d’aventuriers » initiateur et héritier de la guerre de l’AFDL.
Participer de cette politique est synonyme de reconduire le système mortifère sur lequel elle est fondée. Aller à une Assemblée nationale « cooptée » après une mascarade électorale chaotique, c’est signer l’arrêt de mort pour notre beau et grand pays.
A ce point nommé, les forces du changement devraient penser aux stratégies pouvant les aider à minorer l’ordre inique issu de cette mascarade électorale et à mettre sur pied des institutions et des organisations proches de nos populations. Elles devraient inventer des lieux où travailler avec nos populations les conduirait à participer réellement à l’édification d’un autre Congo. Au sein de ces forces du changement, les minorités organisées et agissantes doivent s’investir davantage pour que ce que notre peuple a considéré comme « sa victoire » au cours de ces dernières « consultations populaires » ne lui soit pas volé. Elles doivent créer et/ou actionner leurs plans B, C, D, etc. sur le court, moyen et long terme.
Un petit regard rétrospectif sur notre passé récent nous apprend qu’à force de marcher ensemble, nous avons créé des liens patriotiques à même de résister à l’usure du temps. La rue a constitué pour plusieurs d’entre nous un lieu d’apprentissage de l’histoire récente de notre pays marquée par une prédation transnationale orchestrée par les oligarchies d’argent, les pays satellites et les élites africaines et congolaises compradores. La rue nous a permis de crier notre indignation en brandissant les photos des massacres des nôtres, victimes du cynisme, de la rapacité et de la cupidité des « cosmocrates ». L’implication de nos enfants dans la rue a constitué une garantie pour la relève : la rue est devenue pour nous, le lieu du passage de relais. Nos sit-in ont aussi été des lieux où notre indignation a été dite. Nos messes et nos autres assemblées de prière ont soutenu tous ces efforts de notre peuple voulant à tout pris rester debout.
Mais en examinant les moyens, les méthodes et les stratégies prônés par « les experts » de la Résistance contre les pouvoirs tyranniques, dictatoriaux et les autres forces de la mort, ce que nous mettons en œuvre est encore insuffisant pour atteindre nos objectifs. N’en déplaise à certains d’entre nous !
En principe, nous devrions conjuguer l’étude de ces méthodes, de ces moyens, de ces tactiques et de ces stratégies avec leur mise en pratique. Instituer un va-et-vient permanent entre la théorie et la pratique. Tournés davantage vers les actions concrètes à impact immédiat, nous avons, pour la plupart d’entre nous, perdu le contact avec les lieux d’apprentissage et d’approfondissement de ce que nous devrions mettre en œuvre.
Le risque serait de répéter les mêmes méthodes classiques ou de recourir aux mêmes tactiques et stratégies et de tomber finalement dans l’essoufflement quand les résultats palpables traînent à se manifester.
Le cas Congo devrait pousser les minorités organisées et/ou agissantes à planifier la lutte de la Résistance sur le long terme. Cela d’autant plus que nous ne luttons pas seulement contre les forces visibles. Nous luttons aussi contre les forces invisibles et les principautés de la nuit.
Revenons au piège du 17 février 2012. Comment pourrons-nous soutenir les forces du changement qui refuseraient d’obéir à cet ordre inique d’une Assemblée nationale « cooptée » en vue de recréer un ordre politique et juridique « juste » ? Comment la diaspora Congolaise acquise au changement pourrait-elle devenir un partenaire sûr de notre peuple (au pays) et des autres forces du changement en paroles et en actes ? Quels sont les moyens qu’elle pourrait mettre à leur disposition pour qu’elles évitent de se laisser corrompre et qu’elles aident notre peuple à rester debout ? Ces questions et beaucoup d’autres que certains d’entre nous posent déjà invitent à un travail permanent abattu en synergie. Et sur le temps. (à suivre)
J.-P. Mbelu
VOICI LES AVANTAGES QUE LES "DEPUTES" NOMMES (OPPOSITION ET POUVOIR) PAR NGOY MULUNDA PRIVILÉGIENT AU DÉTRIMENT DU BIEN ETRE DU PEUPLE CONGOLAIS: 1: UN SALAIRE DE 6.000 DOLLARS AMERICAINS; 2. UNE JEEP TOYOTA PRADO IMPORTÉE DU JAPON d’une valeur de 54.000$; 3. DES PRIMES PARLEMENTAIRES OFFICIELLES COMME APPLAUDISSEURS; 4. DES PRIMES DE PARTICIPATION EN COMMISSION; 5. DES PRIMES DE VOYAGE; 6. PRIMES D’ENCOURAGEMENT (CORRUPTION) POUR LES VOTES EN FAVEUR DE KANAMBE, VERSEES PAR LE PPRD. QUANT A NOUS LA LUTTE CONTINUE ET VIVE LE CONGOZAIRE REELLEMENT LIBRE ET DEMOCRATIQUE. 500 Jeeps à 54 000$ la pièce pendant que le Congo manque de transport public... Ils n’ont pas honte avec ce pays.
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7099
Le piège du 17 février 2012
Jean-Pierre Mbelu. Photo CIC
Les gouvernants sortants tiennent à tout prix, avec l’aide de leurs parrains, à poursuivre leur petit bonhomme de chemin dans notre pays, comme si de rien n’était. Ayant instrumentalisé la CENI, ils veulent, avec «leur future majorité à l’Assemblée nationale», défier la majorité de nos populations ayant opté pour la rupture avec la culture de la tricherie, du mensonge, de la fraude et de la terreur. Ils tiennent à convoquer plusieurs «députés cooptés» ou «mal élus» en une Assemblée plénière le 17 février 2012.
Le choix de cette date ne semble pas être opéré au hasard. Il contient tout un message ; il est en lui-même un message. Le 17 février 2012 pourrait être une réponse donnée aux chrétiens, aux chrétiennes, aux hommes et aux femmes de bonne volonté qui auront marché le 16 pour « réclamer la légitimité et la légalité du pouvoir», selon le mot d’ordre de l’Eglise de Kinshasa. Cette réponse serait :
«Le chien aboie et la caravane passe» ; la caravane peut même écraser le chien sans que cela émeuve outre-mesure «les défenseurs mondiaux de la démocratie et des droits de l’homme» !
Où se trouve le piège ? La paie de ces «députés cooptés» ou «mal élus», le goût du pouvoir et des honneurs pourraient constituer des appâts pour «les députés» des forces du changement élus et/ou «cooptés» dans les mêmes conditions que les autres. Cette «cooptation» aurait pour finalité l’application du principe de
«diviser pour régner» ; un principe cher aux « maîtres du monde et à ceux qui leur obéissent ». Atomiser les forces du changement en brandissant les avantages matériels dont elles pourraient bénéficier participe de la politique de la marchandisation de notre «vivre-ensemble», chère au «conglomérat d’aventuriers» initiateur et héritier de la guerre de l’AFDL.
Participer de cette politique est synonyme de reconduire le système mortifère sur lequel elle est fondée. Aller à une Assemblée nationale «cooptée» après une mascarade électorale chaotique, c’est signer l’arrêt de mort pour notre beau et grand pays.
A ce point nommé, les forces du changement devraient penser aux stratégies pouvant les aider à minorer l’ordre inique issu de cette mascarade électorale et à mettre sur pied des institutions et des organisations proches de nos populations. Elles devraient inventer des lieux où travailler avec nos populations les conduirait à participer réellement à l’édification d’un autre Congo. Au sein de ces forces du changement, les minorités organisées et agissantes doivent s’investir davantage pour que ce que notre peuple a considéré comme « sa victoire » au cours de ces dernières « consultations populaires » ne lui soit pas volé. Elles doivent créer et/ou actionner leurs plans B, C, D, etc. sur le court, moyen et long terme.
Un petit regard rétrospectif sur notre passé récent nous apprend qu’à force de marcher ensemble, nous avons créé des liens patriotiques à même de résister à l’usure du temps. La rue a constitué pour plusieurs d’entre nous un lieu d’apprentissage de l’histoire récente de notre pays marquée par une prédation transnationale orchestrée par les oligarchies d’argent, les pays satellites et les élites africaines et congolaises compradores. La rue nous a permis de crier notre indignation en brandissant les photos des massacres des nôtres, victimes du cynisme, de la rapacité et de la cupidité des « cosmocrates ». L’implication de nos enfants dans la rue a constitué une garantie pour la relève : la rue est devenue pour nous, le lieu du passage de relais. Nos sit-in ont aussi été des lieux où notre indignation a été dite. Nos messes et nos autres assemblées de prière ont soutenu tous ces efforts de notre peuple voulant à tout pris rester debout.
Mais en examinant les moyens, les méthodes et les stratégies prônés par « les experts » de la Résistance contre les pouvoirs tyranniques, dictatoriaux et les autres forces de la mort, ce que nous mettons en œuvre est encore insuffisant pour atteindre nos objectifs. N’en déplaise à certains d’entre nous !
En principe, nous devrions conjuguer l’étude de ces méthodes, de ces moyens, de ces tactiques et de ces stratégies avec leur mise en pratique. Instituer un va-et-vient permanent entre la théorie et la pratique. Tournés davantage vers les actions concrètes à impact immédiat, nous avons, pour la plupart d’entre nous, perdu le contact avec les lieux d’apprentissage et d’approfondissement de ce que nous devrions mettre en œuvre.
Le risque serait de répéter les mêmes méthodes classiques ou de recourir aux mêmes tactiques et stratégies et de tomber finalement dans l’essoufflement quand les résultats palpables traînent à se manifester.
Le cas Congo devrait pousser les minorités organisées et/ou agissantes à planifier la lutte de la Résistance sur le long terme. Cela d’autant plus que nous ne luttons pas seulement contre les forces visibles. Nous luttons aussi contre les forces invisibles et les principautés de la nuit.
Revenons au piège du 17 février 2012. Comment pourrons-nous soutenir les forces du changement qui refuseraient d’obéir à cet ordre inique d’une Assemblée nationale «cooptée» en vue de recréer un ordre politique et juridique «juste» ? Comment la diaspora congolaise acquise au changement pourrait-elle devenir un partenaire sûr de notre peuple (au pays) et des autres forces du changement en paroles et en actes ? Quels sont les moyens qu’elle pourrait mettre à leur disposition pour qu’elles évitent de se laisser corrompre et qu’elles aident notre peuple à rester debout ? Ces questions et beaucoup d’autres que certains d’entre nous posent déjà invitent à un travail permanent abattu en synergie. Et sur le temps. (à suivre)
J.-P. Mbelu
© Congoindépendant 2003-2012
Le piège du 17 février 2012
Jean-Pierre Mbelu. Photo CIC
Les gouvernants sortants tiennent à tout prix, avec l’aide de leurs parrains, à poursuivre leur petit bonhomme de chemin dans notre pays, comme si de rien n’était. Ayant instrumentalisé la CENI, ils veulent, avec «leur future majorité à l’Assemblée nationale», défier la majorité de nos populations ayant opté pour la rupture avec la culture de la tricherie, du mensonge, de la fraude et de la terreur. Ils tiennent à convoquer plusieurs «députés cooptés» ou «mal élus» en une Assemblée plénière le 17 février 2012.
Le choix de cette date ne semble pas être opéré au hasard. Il contient tout un message ; il est en lui-même un message. Le 17 février 2012 pourrait être une réponse donnée aux chrétiens, aux chrétiennes, aux hommes et aux femmes de bonne volonté qui auront marché le 16 pour « réclamer la légitimité et la légalité du pouvoir», selon le mot d’ordre de l’Eglise de Kinshasa. Cette réponse serait :
«Le chien aboie et la caravane passe» ; la caravane peut même écraser le chien sans que cela émeuve outre-mesure «les défenseurs mondiaux de la démocratie et des droits de l’homme» !
Où se trouve le piège ? La paie de ces «députés cooptés» ou «mal élus», le goût du pouvoir et des honneurs pourraient constituer des appâts pour «les députés» des forces du changement élus et/ou «cooptés» dans les mêmes conditions que les autres. Cette «cooptation» aurait pour finalité l’application du principe de
«diviser pour régner» ; un principe cher aux « maîtres du monde et à ceux qui leur obéissent ». Atomiser les forces du changement en brandissant les avantages matériels dont elles pourraient bénéficier participe de la politique de la marchandisation de notre «vivre-ensemble», chère au «conglomérat d’aventuriers» initiateur et héritier de la guerre de l’AFDL.
Participer de cette politique est synonyme de reconduire le système mortifère sur lequel elle est fondée. Aller à une Assemblée nationale «cooptée» après une mascarade électorale chaotique, c’est signer l’arrêt de mort pour notre beau et grand pays.
A ce point nommé, les forces du changement devraient penser aux stratégies pouvant les aider à minorer l’ordre inique issu de cette mascarade électorale et à mettre sur pied des institutions et des organisations proches de nos populations. Elles devraient inventer des lieux où travailler avec nos populations les conduirait à participer réellement à l’édification d’un autre Congo. Au sein de ces forces du changement, les minorités organisées et agissantes doivent s’investir davantage pour que ce que notre peuple a considéré comme « sa victoire » au cours de ces dernières « consultations populaires » ne lui soit pas volé. Elles doivent créer et/ou actionner leurs plans B, C, D, etc. sur le court, moyen et long terme.
Un petit regard rétrospectif sur notre passé récent nous apprend qu’à force de marcher ensemble, nous avons créé des liens patriotiques à même de résister à l’usure du temps. La rue a constitué pour plusieurs d’entre nous un lieu d’apprentissage de l’histoire récente de notre pays marquée par une prédation transnationale orchestrée par les oligarchies d’argent, les pays satellites et les élites africaines et congolaises compradores. La rue nous a permis de crier notre indignation en brandissant les photos des massacres des nôtres, victimes du cynisme, de la rapacité et de la cupidité des « cosmocrates ». L’implication de nos enfants dans la rue a constitué une garantie pour la relève : la rue est devenue pour nous, le lieu du passage de relais. Nos sit-in ont aussi été des lieux où notre indignation a été dite. Nos messes et nos autres assemblées de prière ont soutenu tous ces efforts de notre peuple voulant à tout pris rester debout.
Mais en examinant les moyens, les méthodes et les stratégies prônés par « les experts » de la Résistance contre les pouvoirs tyranniques, dictatoriaux et les autres forces de la mort, ce que nous mettons en œuvre est encore insuffisant pour atteindre nos objectifs. N’en déplaise à certains d’entre nous !
En principe, nous devrions conjuguer l’étude de ces méthodes, de ces moyens, de ces tactiques et de ces stratégies avec leur mise en pratique. Instituer un va-et-vient permanent entre la théorie et la pratique. Tournés davantage vers les actions concrètes à impact immédiat, nous avons, pour la plupart d’entre nous, perdu le contact avec les lieux d’apprentissage et d’approfondissement de ce que nous devrions mettre en œuvre.
Le risque serait de répéter les mêmes méthodes classiques ou de recourir aux mêmes tactiques et stratégies et de tomber finalement dans l’essoufflement quand les résultats palpables traînent à se manifester.
Le cas Congo devrait pousser les minorités organisées et/ou agissantes à planifier la lutte de la Résistance sur le long terme. Cela d’autant plus que nous ne luttons pas seulement contre les forces visibles. Nous luttons aussi contre les forces invisibles et les principautés de la nuit.
Revenons au piège du 17 février 2012. Comment pourrons-nous soutenir les forces du changement qui refuseraient d’obéir à cet ordre inique d’une Assemblée nationale «cooptée» en vue de recréer un ordre politique et juridique «juste» ? Comment la diaspora congolaise acquise au changement pourrait-elle devenir un partenaire sûr de notre peuple (au pays) et des autres forces du changement en paroles et en actes ? Quels sont les moyens qu’elle pourrait mettre à leur disposition pour qu’elles évitent de se laisser corrompre et qu’elles aident notre peuple à rester debout ? Ces questions et beaucoup d’autres que certains d’entre nous posent déjà invitent à un travail permanent abattu en synergie. Et sur le temps. (à suivre)
J.-P. Mbelu
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
THEKINSHASA
February 7, 2012 at 3:23 am
Canada
Un témoin occulaire – en fait – qui a entendu Etumba au téléphone -
rapporte ce qui suit.
Sans préjudice de jour plus précis,mais en tout cas au cours de la
semaine dernière,Zoé “Kabila” a téléphoné au général Etumba – toujours
chef d’Etat-major général des FARDC sur papier – pour lui demander de
réunir le généraux pour une réunion.Interloqué,le général Etumba a
demandé à Zoé de quelle réunion il s’agissait, qui allait présider
cette réunion,et quel en était l’ordre du jour.
Zoé “Kabila” s’est tout simplement contenté de rappeler qu’il faut
aller à cette réunion.Et c’est alors que le général Etumba a vu
rouge.Il a rappelé à Zoé qu’il n’était qu’un civil et que par
conséquent,il n’avait pas qualité pour réunir les généraux.Par
ailleurs,Etumba a interdit à Zoé de se balader dans la ville de
Kinshasa en utilisant le cortège présidentiel.Toutefois,ne voulant pas
s’arrêter en si bon chemin,Etumba a annoncé à Zoé qu’il allait lui
retirer ses gardes présidentiels,avant de l’achever en ces termes :
“Je donne tout de suite des ordres pour que tu n’accèdes plus à
l’état-major général.”
Si les faits sont avérés,il faut alors croire que :
- Kanambe est devenu constitutionnellement incapable d’assumer les
hautes charges de l’Etat qu’il a usurpées à la suite de la mascarade
électorale signée Ngoy Mulunda et Jak
ckie Ndjoli;
- c’est Zoé qui se balade effectivement à travers la ville, pour faire
croire que c’est le kadogo;
- les enfants de Christopher ont privatisé la RDC jusqu’au point de
croire que Zoé pourrait succéder à son drogué de frère;
- la couardise et la trahison des congolais membres de la MP sont
telles qu’il faudrait envisager pour eux un procès retentissant avec
des pinnes allant de 30 ans à la perpétuité,avec des peines
incompressibles pour certains d’entre eux;
- Etumba pourrait,s’il met sa menace à exécution, bénéficier de la
clémence du tribunal qui sera mis sur pied après la libération du
pays,à condition qu’il fasse arrêter Zoé maintenant;
- les membres du clan katangais devraient être condamnés à mort pour
haute trahison et association des malfaiteurs,eux qui continuent à
soutenir les aventures de Zoé comme successeur du kadogo.
A suivre…..
February 7, 2012 at 3:23 am
Canada
Un témoin occulaire – en fait – qui a entendu Etumba au téléphone -
rapporte ce qui suit.
Sans préjudice de jour plus précis,mais en tout cas au cours de la
semaine dernière,Zoé “Kabila” a téléphoné au général Etumba – toujours
chef d’Etat-major général des FARDC sur papier – pour lui demander de
réunir le généraux pour une réunion.Interloqué,le général Etumba a
demandé à Zoé de quelle réunion il s’agissait, qui allait présider
cette réunion,et quel en était l’ordre du jour.
Zoé “Kabila” s’est tout simplement contenté de rappeler qu’il faut
aller à cette réunion.Et c’est alors que le général Etumba a vu
rouge.Il a rappelé à Zoé qu’il n’était qu’un civil et que par
conséquent,il n’avait pas qualité pour réunir les généraux.Par
ailleurs,Etumba a interdit à Zoé de se balader dans la ville de
Kinshasa en utilisant le cortège présidentiel.Toutefois,ne voulant pas
s’arrêter en si bon chemin,Etumba a annoncé à Zoé qu’il allait lui
retirer ses gardes présidentiels,avant de l’achever en ces termes :
“Je donne tout de suite des ordres pour que tu n’accèdes plus à
l’état-major général.”
Si les faits sont avérés,il faut alors croire que :
- Kanambe est devenu constitutionnellement incapable d’assumer les
hautes charges de l’Etat qu’il a usurpées à la suite de la mascarade
électorale signée Ngoy Mulunda et Jak
ckie Ndjoli;
- c’est Zoé qui se balade effectivement à travers la ville, pour faire
croire que c’est le kadogo;
- les enfants de Christopher ont privatisé la RDC jusqu’au point de
croire que Zoé pourrait succéder à son drogué de frère;
- la couardise et la trahison des congolais membres de la MP sont
telles qu’il faudrait envisager pour eux un procès retentissant avec
des pinnes allant de 30 ans à la perpétuité,avec des peines
incompressibles pour certains d’entre eux;
- Etumba pourrait,s’il met sa menace à exécution, bénéficier de la
clémence du tribunal qui sera mis sur pied après la libération du
pays,à condition qu’il fasse arrêter Zoé maintenant;
- les membres du clan katangais devraient être condamnés à mort pour
haute trahison et association des malfaiteurs,eux qui continuent à
soutenir les aventures de Zoé comme successeur du kadogo.
A suivre…..
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Joseph KABILA est réellement plongé dans la folie hallucinatoire...
Les proches d'Antoine Ghonda et Katumba MWAKE viennent de confirmer la démence aiguë de Joseph KABILA. C'est confirmé, Joseph KABILA est touché par la folie hallucinatoire ! Il n'est plus en mesure de gérer des institutions, même sa hélas petite famille. Dieu ne dort pas !!!
Il est sous des fortes anxiolytiques, passant les 3/4 de son temps à roupiller. On dit le sommeil répare. Mais dans son sommeil agité, il hallucine gravement ! Il ne sait plus à quel sain se vouer. Faute d'exorciseurs professionnels de l’église catholique (Vatican) par rapport à ce que vous savez, trois grands marabouts ont été dépêchés par le président tanzanien Jakaya Kikwete à son chevet, pour des grandes séances d’incantation et désenvoûtement, mais rien à faire, son sort est scellé!
Pour comprendre la gravité de sa folie, on doit déjà savoir qu'est ce que, la folie hallucinatoire ? Cette folie se traduit par des voix qui envahissent votre esprit et vos oreilles, comme si des personnes vous parlent à l'oreille. Vous entendez également des gens qui murmurent dans votre tête. Une sensation désagréable !
Peut être ces morts qu'il traîne comme des casseroles ! Il entendrait des portes qui grincent et claquent dans sa tête. La perception des ombres autours de lui qui se déplaceraient dans la pénombre. La seule fuite, c'est de boire, de se droguer ou la prise prise des médicaments.
L'option choisie par le maudit Joseph KABILA a été la drogue forte et whisky, comme il avait l'habitude de les prendre. Ce mélange explosif a été une hécatombe pour sa santé mentale déjà proche d'un débile profond, a été un vecteur terrible de la violence contre ses enfants et proches, il a même failli tuer Olive LEMBE avec sa gâchette facile. Une péripatéticienne de moins n'est pas une perte pour la république me dit-on !
Il s'avère que son système nerveux a été fortement endommagé par l'excès de ces produits stupéfiants et le cocktail psychotrope d'après son entourage. L'altération de son cerveau est irréversible d'après le premier bulletin médical adressé à son épouse qui a passé deux jours à ses côtés. Plus grave, Joseph KABILA n'a même pas reconnu sa femme encore moins le Mze Junior son fils qui porterait le nom énigmatique.
Joseph KABILA n'est pas à Kinshasa, ni dans le KATANGA encore moins à GOMA , il serait dans le secret chez son mentor dans le centre psychiatrique au Rwanda avec les mêmes spécialistes qui l'on suivi en Allemagne...
Je défis la famille de cet imposteur d'apporter un démenti sur cette information qui n'est plus une rumeur, mais une réalité absolue. Nous avons, pour la première fois en Afrique, un président sortant fou!
Quant à Lambert MENDE, et famille politique de l’assassin Joseph KABILA, ils ont tous, la pétoche de finir mal avec cette histoire de malédiction, à la lumière de ce que Lambert MENDE vient de vivre. Ça calmera un peu le clapet de ce MENDE le terrible, le plus haï de la Nation. Faute de quoi, la paralyse faciale le frappera. Il croit être envoûté par les Congolais, d'après les siens...
Celui que les Congolais voient dans des rues de la capitale ce n'est que son jeune et crapule frère Zoé.
J'en appelle par la grande tradition mystique bantoue, que nos mamans enlèvent leurs pagnes en maudissant cet assassin de 8 millions de nos frères et sœurs, dans la nuit du 15 au 16 février 2012 à minuit pour accélérer et précipiter son déclin à la mémoire de ceux qui sont tombés sous la répression aveugle de cette hégémonie tutsisante. Ce n'est que justice de voir ce petit monde aux abois !!!
Roger BONGOS
Dim 5 fév 2012
LE GRAND COLLABO ALIAS LE GRAND MUSWAHILI ET TONY VICHY, ON DIT QUOI
Les proches d'Antoine Ghonda et Katumba MWAKE viennent de confirmer la démence aiguë de Joseph KABILA. C'est confirmé, Joseph KABILA est touché par la folie hallucinatoire ! Il n'est plus en mesure de gérer des institutions, même sa hélas petite famille. Dieu ne dort pas !!!
Il est sous des fortes anxiolytiques, passant les 3/4 de son temps à roupiller. On dit le sommeil répare. Mais dans son sommeil agité, il hallucine gravement ! Il ne sait plus à quel sain se vouer. Faute d'exorciseurs professionnels de l’église catholique (Vatican) par rapport à ce que vous savez, trois grands marabouts ont été dépêchés par le président tanzanien Jakaya Kikwete à son chevet, pour des grandes séances d’incantation et désenvoûtement, mais rien à faire, son sort est scellé!
Pour comprendre la gravité de sa folie, on doit déjà savoir qu'est ce que, la folie hallucinatoire ? Cette folie se traduit par des voix qui envahissent votre esprit et vos oreilles, comme si des personnes vous parlent à l'oreille. Vous entendez également des gens qui murmurent dans votre tête. Une sensation désagréable !
Peut être ces morts qu'il traîne comme des casseroles ! Il entendrait des portes qui grincent et claquent dans sa tête. La perception des ombres autours de lui qui se déplaceraient dans la pénombre. La seule fuite, c'est de boire, de se droguer ou la prise prise des médicaments.
L'option choisie par le maudit Joseph KABILA a été la drogue forte et whisky, comme il avait l'habitude de les prendre. Ce mélange explosif a été une hécatombe pour sa santé mentale déjà proche d'un débile profond, a été un vecteur terrible de la violence contre ses enfants et proches, il a même failli tuer Olive LEMBE avec sa gâchette facile. Une péripatéticienne de moins n'est pas une perte pour la république me dit-on !
Il s'avère que son système nerveux a été fortement endommagé par l'excès de ces produits stupéfiants et le cocktail psychotrope d'après son entourage. L'altération de son cerveau est irréversible d'après le premier bulletin médical adressé à son épouse qui a passé deux jours à ses côtés. Plus grave, Joseph KABILA n'a même pas reconnu sa femme encore moins le Mze Junior son fils qui porterait le nom énigmatique.
Joseph KABILA n'est pas à Kinshasa, ni dans le KATANGA encore moins à GOMA , il serait dans le secret chez son mentor dans le centre psychiatrique au Rwanda avec les mêmes spécialistes qui l'on suivi en Allemagne...
Je défis la famille de cet imposteur d'apporter un démenti sur cette information qui n'est plus une rumeur, mais une réalité absolue. Nous avons, pour la première fois en Afrique, un président sortant fou!
Quant à Lambert MENDE, et famille politique de l’assassin Joseph KABILA, ils ont tous, la pétoche de finir mal avec cette histoire de malédiction, à la lumière de ce que Lambert MENDE vient de vivre. Ça calmera un peu le clapet de ce MENDE le terrible, le plus haï de la Nation. Faute de quoi, la paralyse faciale le frappera. Il croit être envoûté par les Congolais, d'après les siens...
Celui que les Congolais voient dans des rues de la capitale ce n'est que son jeune et crapule frère Zoé.
J'en appelle par la grande tradition mystique bantoue, que nos mamans enlèvent leurs pagnes en maudissant cet assassin de 8 millions de nos frères et sœurs, dans la nuit du 15 au 16 février 2012 à minuit pour accélérer et précipiter son déclin à la mémoire de ceux qui sont tombés sous la répression aveugle de cette hégémonie tutsisante. Ce n'est que justice de voir ce petit monde aux abois !!!
Roger BONGOS
Dim 5 fév 2012
LE GRAND COLLABO ALIAS LE GRAND MUSWAHILI ET TONY VICHY, ON DIT QUOI
Nazala en forme Nazala en forme te nakoki kozanga leopardsfoot te!!!
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
« Quiconque en août s'endormira, en janvier s'en repentira ».
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Pouvoir aux abois...
FLASH: LE SECRETAIRE GENERAL DE L UDPS, SHABANI, ARRETE A NDJILI
Publié le 8 février 2012
LE SECRETAIRE GENERAL DE L’ UDPS, JACQUEMAIN SHABANI, VIENT D’ ETRE ARRETE A L’ AEROPORT INTERNATIONAL DE NDJILI LE 07/02/2012 A 22 H00, ALORS QU'IL S' APPRETAIT A EFFECTUER UN DEPLACEMENT EN EUROPE. L’ ARRESTATION N'A PAS D AUTRES RAISONS QUE CELLE DE L’ EMPECHER DE VOYAGER. L’ INFO EST CONFIRMEE.
DC
FLASH: LE SECRETAIRE GENERAL DE L UDPS, SHABANI, ARRETE A NDJILI
Publié le 8 février 2012
LE SECRETAIRE GENERAL DE L’ UDPS, JACQUEMAIN SHABANI, VIENT D’ ETRE ARRETE A L’ AEROPORT INTERNATIONAL DE NDJILI LE 07/02/2012 A 22 H00, ALORS QU'IL S' APPRETAIT A EFFECTUER UN DEPLACEMENT EN EUROPE. L’ ARRESTATION N'A PAS D AUTRES RAISONS QUE CELLE DE L’ EMPECHER DE VOYAGER. L’ INFO EST CONFIRMEE.
DC
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