Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
KUM 10/12/2011 05:09:22
Nous allons montrer au monde entier que notre pays la RDC n’est pas et ne sera nullement un répère des imposteurs. L’imposteur national kanambe, dit "Joseph Kabila", devra passer sur les cadavres de plus de 50 millions de Congolais s’il veut continuer à régner sur nous.
Congolais,
Mobilisons-nous et soyons prêts à suivre le mot d’ordre du Président élu, Ya Tshitshi. Nous prouverions au monde que le Congolais n’est pas ce qu’ils s’imaginent: juste un BMW jouisseur.
Ngoyi Mulunda, tu seras obligé de te calfeutrer dans ta tanière tout le reste de ta vie; ou alors tu devras te déplacer entouré de 10 mille chars de combat.
Nous allons montrer au monde entier que notre pays la RDC n’est pas et ne sera nullement un répère des imposteurs. L’imposteur national kanambe, dit "Joseph Kabila", devra passer sur les cadavres de plus de 50 millions de Congolais s’il veut continuer à régner sur nous.
Congolais,
Mobilisons-nous et soyons prêts à suivre le mot d’ordre du Président élu, Ya Tshitshi. Nous prouverions au monde que le Congolais n’est pas ce qu’ils s’imaginent: juste un BMW jouisseur.
Ngoyi Mulunda, tu seras obligé de te calfeutrer dans ta tanière tout le reste de ta vie; ou alors tu devras te déplacer entouré de 10 mille chars de combat.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
La Lutta continua...La victoria certa !!
http://www.benilubero.com/index.php?opt ... &Itemid=48
SAMEDI, 10 DÉCEMBRE 2011 05:54
Etienne Tshisekedi unit les congolais contre Joseph Kabila et l’Occident
La proclamation des résultats partiels des présidentielles du 28 novembre 2011 en faveur de Joseph Kabila devient une victoire pour l’unité de la majorité du peuple congolais à l’intérieur du pays comme dans la diaspora. Jamais on n’a vu le peuple congolais aussi uni contre un ennemi commun depuis l’assassinat de Mzee LDK.
La mascarade électorale du 28 novembre 2011 a été révélatrice pour l’ensemble du peuple congolais. Si les intellectuels étaient seuls à connaître c’est que l’occident qui n’a jamais cessé d'être colonialiste en dépit des indépendances nominales et des apparences des démocrates ou humanitaires, ce 9 décembre 2011, tous les congolais l’ont appris à leurs dépens. Avec l’occident, il n’y a que des relations d’intérêt. Ce que l'Occident appelle aide humanitaire n’est qu’une nouvelle forme douce de colonialisme. On se posait la question de savoir pourquoi l’occident déversait des milliers d’humanitaires dans les zones insécurisées du pays sans se soucier d’éradiquer d’abord le problème des tueurs, génocidaires, et violeurs des congolais. Pourquoi l’occident voulait-il résoudre un problème militaire par des bandes d’humanitaires ? Aujourd’hui, les congolais découvrent que l’occident n’a que faire des vies des congolais (8 millions de mort sans justice). Ce qui l’intéresse c’est le sol et sous-sol congolais. La force militaire déployée aujourd’hui dans les villes et cités congolaises n’a jamais été déployée contre les tueurs et génocidaires du peuple congolais. Du même coup, la chasse aux congolais a remplacé la chasse aux FDLR, LRA, ADF-NALU, etc. qui ne sont ques des cache-sexe du plan macabre de l'Occident sur la RDC.
Aussi, l’Occident qui déverse depuis des années des milliers d’humanitaires en RDC n’avait envoyé qu’une poignée d’observateurs pour un exercice qui visait la fin de la crise politique qu’il prétendait aider à résoudre. L'occident ne voulait pas être témoin. La Monusco n'avait pas reçu mandat de certifier les résultats des urnes parce qu'elle savait ce qui se tramait contre le peuple congolais qui a bien appris la leçon. Politiquement et moralement, l’occident n’a plus de leçon à donner au peuple congolais. Appeler la fraude électorale notoire une transparence, c’est prendre le peuple congolais pour moins que rien.
Comme dit un proverbe africain, l’ennemi de l’extérieur ne réussit son coup qu’avec des traîtres de l’intérieur. Le processus électoral de 2011 a révélé une liste trop longue des collabos, d’ennemis, des traîtres, etc. qui étaient tenus avec estime dans la société. La victoire de Joseph Kabila vient ainsi de signer une nouvelle ère dans les rapports entre le peuple congolais et plusieurs institutions de la société congolaise. Les masques étant tombés, le peuple congolais sait désormais sur qui compter pour son avenir.
La diaspora congolaise n’a jamais été aussi unie comme aujourd’hui. Les manifestations des congolais de la diaspora dans tous les quatre coins du monde sont là pour le prouver. C’est un nouveau chapitre qui vient de commencer dans la lutte vers la liberté et l’auto-détermination du peuple congolais. Plusieurs peuples ont été asservis pendant des siècles mais un jour ils ont trouvé le clef de leur libération. Le peuple congolais sait plus que jamais qu’il ne sera jamais libéré par l’occident, les élections, les étrangers, etc. mais par lui-même et par une manière qui lui est propre. Chaque révolution est toujours unique en son genre. La leçon de la victoire volée au peuple congolais ce 9 décembre 2011 est que la solution aux 8 millions de morts depuis l’invasion rwando-ougandaise ne viendra pas par les urnes mais par d’autres moyens beaucoup plus efficaces. On l’a vu, la fraude électorale était facilitée par l’armée, la police, et l’argent. C’est cela le secret de la victoire concoctée par la CENI du Pasteur Ngoy Mulunda. Pour préparer le coup contre le peuple congolais, le pasteur Ngoy Mulunda avait d'abord fait le tour de la RDC pour ramasser les armes des civils. Le même pasteur ne dit plus rien quand les policiers et les militaires tirent à bout portant sur les civils qu’il avait désarmés.
L’autre révélation de la mascarade électorale saluée comme réussite par l’Occident est la fameuse CPI. Quand Etienne Tshisekedi avait demandé aux congolais de se libérer de la peur pour leur auto-défense, le monde entier avait tremblé. Des menaces d’arrestations avaient fusé de partout. Quand les militaires du pouvoir ont tiré sur les manifestants en pleine campagne électorale le samedi 26 novembre 2011, c’est-à-dire au moment où les congolais étaient supposés être libres pour exprimer leur opinion politique, aucune condamnation n’a été faite par les grands du monde. Comme d’habitude, quand les grands du monde ne veulent pas agir, ils noient le dossier en le confiant aux organismes internationaux qu’ils financent eux-mêmes et qui n’ont pas de pouvoir de décision propre. C’est le cas des organismes onusiens, Human Rights Watch, Les Commissions des Droits Humains, etc. La CPI s’est confirmée dans ce qu’on savait déjà d’elle, c’est-à-dire une caisse de résonnance des néocolonialistes et racistes.
La liste des révélations que la mascarade électorale du 28 novembre 2011 a fait connaitre aux congolais est longue. On aura l’occasion d’y revenir comme matière didactique dans la formation politique du peuple congolais. Comme on dit, à quelque chose, malheur est bon. Demain matin, tout congolais se reveillera muri par la mascarade électorale du 28 novembre 2011 pour se mettre au travail.
La victoire du 9 décembre 2011 est l’unité du peuple congolais, à l’intérieur du pays comme partout dans la diaspora, contre un ennemi commun. En attendant, le mot d’ordre du leader du peuple congolais Etienne Tshisekedi pour la suite des événements, voici une série d’images qui témoigne de cette unité du peuple congolais et de l’hypocrisie de l’occident dans la souffrance du peuple congolais.
http://www.benilubero.com/index.php?opt ... &Itemid=48
SAMEDI, 10 DÉCEMBRE 2011 05:54
Etienne Tshisekedi unit les congolais contre Joseph Kabila et l’Occident
La proclamation des résultats partiels des présidentielles du 28 novembre 2011 en faveur de Joseph Kabila devient une victoire pour l’unité de la majorité du peuple congolais à l’intérieur du pays comme dans la diaspora. Jamais on n’a vu le peuple congolais aussi uni contre un ennemi commun depuis l’assassinat de Mzee LDK.
La mascarade électorale du 28 novembre 2011 a été révélatrice pour l’ensemble du peuple congolais. Si les intellectuels étaient seuls à connaître c’est que l’occident qui n’a jamais cessé d'être colonialiste en dépit des indépendances nominales et des apparences des démocrates ou humanitaires, ce 9 décembre 2011, tous les congolais l’ont appris à leurs dépens. Avec l’occident, il n’y a que des relations d’intérêt. Ce que l'Occident appelle aide humanitaire n’est qu’une nouvelle forme douce de colonialisme. On se posait la question de savoir pourquoi l’occident déversait des milliers d’humanitaires dans les zones insécurisées du pays sans se soucier d’éradiquer d’abord le problème des tueurs, génocidaires, et violeurs des congolais. Pourquoi l’occident voulait-il résoudre un problème militaire par des bandes d’humanitaires ? Aujourd’hui, les congolais découvrent que l’occident n’a que faire des vies des congolais (8 millions de mort sans justice). Ce qui l’intéresse c’est le sol et sous-sol congolais. La force militaire déployée aujourd’hui dans les villes et cités congolaises n’a jamais été déployée contre les tueurs et génocidaires du peuple congolais. Du même coup, la chasse aux congolais a remplacé la chasse aux FDLR, LRA, ADF-NALU, etc. qui ne sont ques des cache-sexe du plan macabre de l'Occident sur la RDC.
Aussi, l’Occident qui déverse depuis des années des milliers d’humanitaires en RDC n’avait envoyé qu’une poignée d’observateurs pour un exercice qui visait la fin de la crise politique qu’il prétendait aider à résoudre. L'occident ne voulait pas être témoin. La Monusco n'avait pas reçu mandat de certifier les résultats des urnes parce qu'elle savait ce qui se tramait contre le peuple congolais qui a bien appris la leçon. Politiquement et moralement, l’occident n’a plus de leçon à donner au peuple congolais. Appeler la fraude électorale notoire une transparence, c’est prendre le peuple congolais pour moins que rien.
Comme dit un proverbe africain, l’ennemi de l’extérieur ne réussit son coup qu’avec des traîtres de l’intérieur. Le processus électoral de 2011 a révélé une liste trop longue des collabos, d’ennemis, des traîtres, etc. qui étaient tenus avec estime dans la société. La victoire de Joseph Kabila vient ainsi de signer une nouvelle ère dans les rapports entre le peuple congolais et plusieurs institutions de la société congolaise. Les masques étant tombés, le peuple congolais sait désormais sur qui compter pour son avenir.
La diaspora congolaise n’a jamais été aussi unie comme aujourd’hui. Les manifestations des congolais de la diaspora dans tous les quatre coins du monde sont là pour le prouver. C’est un nouveau chapitre qui vient de commencer dans la lutte vers la liberté et l’auto-détermination du peuple congolais. Plusieurs peuples ont été asservis pendant des siècles mais un jour ils ont trouvé le clef de leur libération. Le peuple congolais sait plus que jamais qu’il ne sera jamais libéré par l’occident, les élections, les étrangers, etc. mais par lui-même et par une manière qui lui est propre. Chaque révolution est toujours unique en son genre. La leçon de la victoire volée au peuple congolais ce 9 décembre 2011 est que la solution aux 8 millions de morts depuis l’invasion rwando-ougandaise ne viendra pas par les urnes mais par d’autres moyens beaucoup plus efficaces. On l’a vu, la fraude électorale était facilitée par l’armée, la police, et l’argent. C’est cela le secret de la victoire concoctée par la CENI du Pasteur Ngoy Mulunda. Pour préparer le coup contre le peuple congolais, le pasteur Ngoy Mulunda avait d'abord fait le tour de la RDC pour ramasser les armes des civils. Le même pasteur ne dit plus rien quand les policiers et les militaires tirent à bout portant sur les civils qu’il avait désarmés.
L’autre révélation de la mascarade électorale saluée comme réussite par l’Occident est la fameuse CPI. Quand Etienne Tshisekedi avait demandé aux congolais de se libérer de la peur pour leur auto-défense, le monde entier avait tremblé. Des menaces d’arrestations avaient fusé de partout. Quand les militaires du pouvoir ont tiré sur les manifestants en pleine campagne électorale le samedi 26 novembre 2011, c’est-à-dire au moment où les congolais étaient supposés être libres pour exprimer leur opinion politique, aucune condamnation n’a été faite par les grands du monde. Comme d’habitude, quand les grands du monde ne veulent pas agir, ils noient le dossier en le confiant aux organismes internationaux qu’ils financent eux-mêmes et qui n’ont pas de pouvoir de décision propre. C’est le cas des organismes onusiens, Human Rights Watch, Les Commissions des Droits Humains, etc. La CPI s’est confirmée dans ce qu’on savait déjà d’elle, c’est-à-dire une caisse de résonnance des néocolonialistes et racistes.
La liste des révélations que la mascarade électorale du 28 novembre 2011 a fait connaitre aux congolais est longue. On aura l’occasion d’y revenir comme matière didactique dans la formation politique du peuple congolais. Comme on dit, à quelque chose, malheur est bon. Demain matin, tout congolais se reveillera muri par la mascarade électorale du 28 novembre 2011 pour se mettre au travail.
La victoire du 9 décembre 2011 est l’unité du peuple congolais, à l’intérieur du pays comme partout dans la diaspora, contre un ennemi commun. En attendant, le mot d’ordre du leader du peuple congolais Etienne Tshisekedi pour la suite des événements, voici une série d’images qui témoigne de cette unité du peuple congolais et de l’hypocrisie de l’occident dans la souffrance du peuple congolais.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.jeuneafrique.com/Article/DEP ... rique.html
Présidentielle en RDC : tension au lendemain de la victoire contestée de Kabila
10/12/2011 à 12h:41 Par AFP
Des partisans d'Etienne Tshisekedi, le 9 décembre 2011 à Kinshasa. © Gwenn Dubourthoumieu/AFP
Dans quelques quartiers de Kinshasa, sous haute surveillance policière et militaire depuis mardi, quelques incidents ont éclaté et des tirs ont été entendus vendredi peu après l'annonce de la victoire de Kabila.
Les forces de sécurité étaient déployées en force samedi à Kinshasa au lendemain d'incidents qui ont accompagné l'annonce de la réélection du président Joseph Kabila, contestée par son rival Etienne Tshisekedi. Selon des journalistes de l'AFP, la capitale de la République démocratique du Congo --"Kin", pour ses habitants-- ressemblait à une ville morte, tôt dans la matinée, et restait sous haute surveillance policière et militaire.
Certains quartiers portent encore les stigmates des violences qui ont suivi l'annonce par la Commission électorale (Céni) de la victoire du président sortant Kabila (48,95%) sur l'opposant Tshisekedi (32,33%). M. Tshisekedi qui s'est proclamé "président élu", a écarté toute contestation par la voie légale.
Dans le centre de la ville, à Bumbu, des civils armés de battes de base-ball ont été vus prêter main forte à des policiers qui procèdent à des interpellations musclées. Et, parfois, la police tire en l'air pour disperser des regroupements. Selon des sources hospitalières, une personne a été tuée par balle vendredi soir dans un quartier de la capitale, sans que l'on ne sache rien des circonstances de ce décés, qu'une source policière a toutefois démenti. Aucun taxi ou véhicule ne circulait samedi et les rares habitants qui se sont aventurés hors de chez eux ont été contraints de marcher. Les stations d'essence sont resteées fermées comme de nombreux magasins, dont quelques-uns ont été pillés vendredi soir.
Sur la Radio télévision nationale congolaise (RTNC), un bandeau déroulant donne quatre "numéros vert", qui permettent d'appeler la police en cas d'incidents. Des habitants ont cependant accusé les policiers de les voler, comme ce vendeur de pain qui assure que sa recette lui a été dérobée: "Le gouvernement nous a dit de travailler calmement. Mais comment ils peuvent nous piller comme ça?", dit-il excédé.
Tshisekedi a exclu tout recours devant la Cour suprême
A Limete (est), où l'opposant Tshisekedi a son QG, un témoin a affirmé à l'AFP que des militants de son parti, l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), étaient armés de kalashnikov. C'est depuis ce quartier populaire que M. Tshisekedi s'est auto-proclamé vendredi "président élu", rejetant "en bloc" les résultats de la Céni et donnant son propre score: "54% des voix qui me sont attribuées contre 26% pour Monsieur Kabila". Il a exhorté les Congolais "à rester soudés" derrière lui "pour faire face aux évènements qui vont suivre", tout en demandant à la population de "rester calme et sereine".
Samedi matin, aucun incident grave n'était signalé dans le reste du pays, notamment à Lubumbashi (sud-est), la capitale de la province du Katanga toujours sous haute surveillance. Depuis vendredi, la Cour suprême de justice a pris le relais de la Céni et devra proclamer officiellement le vainqueur de la présidentielle le 17 décembre. Les 11 candidats ont ensuite 48h pour déposer des contestations. M. Tshisekedi a exclu tout recours devant la CSJ. "Je ne le ferai jamais", a-t-il dit en qualifiant la cour d'"institution privée de M. Kabila". Depuis vendredi en fin de journée, la Céni a affiché sur son site internet les résultats de la présidentielle, souvent incomplets. Ainsi, le détail par bureaux de vote ne mentionne jamais le nombre d'inscrits.
Inquiète des violences, la communauté internationale a appelé les responsables politiques au dialogue et à l'apaisement, et à utiliser "les moyens légaux" en cas de contestation des résultats. Le Royaume-Uni s'est dit "préoccupé" par des soupçons d'"irrégularités" et a appelé la CSJ à examiner tous les recours "rapidement et de façon transparente".
La CSJ a déjà l'objet de critiques. Fin novembre les missions de l'Union Européenne (UE) et du Centre Carter ont dénoncé son "manque de transparence" en matière de contentieux électoraux. Jusqu'au 28 octobre, la Cour suprême comptait sept magistrats, mais le président Kabila en a nommé de nouveaux pour arriver à un total de 27.
Présidentielle en RDC : tension au lendemain de la victoire contestée de Kabila
10/12/2011 à 12h:41 Par AFP
Des partisans d'Etienne Tshisekedi, le 9 décembre 2011 à Kinshasa. © Gwenn Dubourthoumieu/AFP
Dans quelques quartiers de Kinshasa, sous haute surveillance policière et militaire depuis mardi, quelques incidents ont éclaté et des tirs ont été entendus vendredi peu après l'annonce de la victoire de Kabila.
Les forces de sécurité étaient déployées en force samedi à Kinshasa au lendemain d'incidents qui ont accompagné l'annonce de la réélection du président Joseph Kabila, contestée par son rival Etienne Tshisekedi. Selon des journalistes de l'AFP, la capitale de la République démocratique du Congo --"Kin", pour ses habitants-- ressemblait à une ville morte, tôt dans la matinée, et restait sous haute surveillance policière et militaire.
Certains quartiers portent encore les stigmates des violences qui ont suivi l'annonce par la Commission électorale (Céni) de la victoire du président sortant Kabila (48,95%) sur l'opposant Tshisekedi (32,33%). M. Tshisekedi qui s'est proclamé "président élu", a écarté toute contestation par la voie légale.
Dans le centre de la ville, à Bumbu, des civils armés de battes de base-ball ont été vus prêter main forte à des policiers qui procèdent à des interpellations musclées. Et, parfois, la police tire en l'air pour disperser des regroupements. Selon des sources hospitalières, une personne a été tuée par balle vendredi soir dans un quartier de la capitale, sans que l'on ne sache rien des circonstances de ce décés, qu'une source policière a toutefois démenti. Aucun taxi ou véhicule ne circulait samedi et les rares habitants qui se sont aventurés hors de chez eux ont été contraints de marcher. Les stations d'essence sont resteées fermées comme de nombreux magasins, dont quelques-uns ont été pillés vendredi soir.
Sur la Radio télévision nationale congolaise (RTNC), un bandeau déroulant donne quatre "numéros vert", qui permettent d'appeler la police en cas d'incidents. Des habitants ont cependant accusé les policiers de les voler, comme ce vendeur de pain qui assure que sa recette lui a été dérobée: "Le gouvernement nous a dit de travailler calmement. Mais comment ils peuvent nous piller comme ça?", dit-il excédé.
Tshisekedi a exclu tout recours devant la Cour suprême
A Limete (est), où l'opposant Tshisekedi a son QG, un témoin a affirmé à l'AFP que des militants de son parti, l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), étaient armés de kalashnikov. C'est depuis ce quartier populaire que M. Tshisekedi s'est auto-proclamé vendredi "président élu", rejetant "en bloc" les résultats de la Céni et donnant son propre score: "54% des voix qui me sont attribuées contre 26% pour Monsieur Kabila". Il a exhorté les Congolais "à rester soudés" derrière lui "pour faire face aux évènements qui vont suivre", tout en demandant à la population de "rester calme et sereine".
Samedi matin, aucun incident grave n'était signalé dans le reste du pays, notamment à Lubumbashi (sud-est), la capitale de la province du Katanga toujours sous haute surveillance. Depuis vendredi, la Cour suprême de justice a pris le relais de la Céni et devra proclamer officiellement le vainqueur de la présidentielle le 17 décembre. Les 11 candidats ont ensuite 48h pour déposer des contestations. M. Tshisekedi a exclu tout recours devant la CSJ. "Je ne le ferai jamais", a-t-il dit en qualifiant la cour d'"institution privée de M. Kabila". Depuis vendredi en fin de journée, la Céni a affiché sur son site internet les résultats de la présidentielle, souvent incomplets. Ainsi, le détail par bureaux de vote ne mentionne jamais le nombre d'inscrits.
Inquiète des violences, la communauté internationale a appelé les responsables politiques au dialogue et à l'apaisement, et à utiliser "les moyens légaux" en cas de contestation des résultats. Le Royaume-Uni s'est dit "préoccupé" par des soupçons d'"irrégularités" et a appelé la CSJ à examiner tous les recours "rapidement et de façon transparente".
La CSJ a déjà l'objet de critiques. Fin novembre les missions de l'Union Européenne (UE) et du Centre Carter ont dénoncé son "manque de transparence" en matière de contentieux électoraux. Jusqu'au 28 octobre, la Cour suprême comptait sept magistrats, mais le président Kabila en a nommé de nouveaux pour arriver à un total de 27.
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RDC : une manifestation de partisans de Tshisekedi dégénère à Bruxelles
10/12/2011 à 10h:27 Par AFP
Voitures incendiées, jets de projectiles sur la police, un élu local molesté: une manifestation de partisans d'Etienne Tshisekedi a dégénéré vendredi soir à Bruxelles après l'annonce de la réélection de Joseph Kabila en République démocratique du Congo (RDC).
Voitures incendiées, jets de projectiles sur la police, un élu local molesté: une manifestation de partisans d'Etienne Tshisekedi a dégénéré vendredi soir à Bruxelles après l'annonce de la réélection de Joseph Kabila en République démocratique du Congo (RDC).
Présents depuis le milieu de l'après-midi aux portes de Matonge, le quartier africain de la capitale belge, les manifestants se sont heurtés dans la soirée avec la police déployée en force, après l'annonce à Kinshasa de la défaite du vieux leader de l'UDPS aux élections du 28 novembre, selon plusieurs médias belges. Plusieurs véhicules ont été incendiés, a indiqué la police locale, sans plus de précisions. Deux personnes suspectées d'avoir jeté des cocktails Molotov ont été interpellées, tandis que près de 200 autres manifestants ont été emmenés pour des contrôles d'identité, selon l'agence de presse Belga. Les cars de la police qui emmenaient les premières personnes interpellées ont été pris pour cibles par des projectiles divers, a précisé le journal Le Soir sur son site internet.
Des manifestations depuis plusieurs jours
Des manifestants en colère, qui dénoncent des résultats truqués, s'en sont également pris à un échevin (adjoint au maire) d'Ixelles, la commune où est situé Matonge, venu expliquer les raisons pour lesquelles les rassemblements de plus de 10 personnes avaient été interdits dans le quartier ces derniers jours. A son arrivée sur place, Béa Diallo, un ancien champion de Belgique de boxe originaire du Liberia élu sur les listes du Parti socialiste, a été immédiatement encerclé par une vingtaine de manifestants en colère, qui l'ont invectivé, bousculé et frappé jusqu'à ce qu'il soit évacué par la police, selon Belga.
Le quartier, proche de salles de cinéma et de restaurants, très fréquenté le vendredi soir, a été entièrement bouclé et la station de métro le desservant fermée.
Depuis plusieurs jours, des partisans d'Etienne Tshisekedi, bravant l'interdiction des autorités, manifestent à Bruxelles, à Matonge mais aussi à proximité du siège des institutions européennes. Rien que mardi, la police a procédé à 262 interpellations suite à des échauffourées avec les forces de l'ordre et à des actes de vandalisme visant des véhicules particuliers et des commerces.
Le président sortant de la RDC Joseph Kabila a été désigné vendredi vainqueur de la présidentielle mais son rival Etienne Tshisekedi s'est immédiatement proclamé président élu dans une déclaration à l'AFP. Il a exhorté les Congolais à rester soudés derrière lui pour faire face aux évènements qui vont suivre. Etienne Tshisekedi a toutefois appelé vendredi soir la population à rester calme et sereine depuis son domicile de Kinshasa.
RDC : une manifestation de partisans de Tshisekedi dégénère à Bruxelles
10/12/2011 à 10h:27 Par AFP
Voitures incendiées, jets de projectiles sur la police, un élu local molesté: une manifestation de partisans d'Etienne Tshisekedi a dégénéré vendredi soir à Bruxelles après l'annonce de la réélection de Joseph Kabila en République démocratique du Congo (RDC).
Voitures incendiées, jets de projectiles sur la police, un élu local molesté: une manifestation de partisans d'Etienne Tshisekedi a dégénéré vendredi soir à Bruxelles après l'annonce de la réélection de Joseph Kabila en République démocratique du Congo (RDC).
Présents depuis le milieu de l'après-midi aux portes de Matonge, le quartier africain de la capitale belge, les manifestants se sont heurtés dans la soirée avec la police déployée en force, après l'annonce à Kinshasa de la défaite du vieux leader de l'UDPS aux élections du 28 novembre, selon plusieurs médias belges. Plusieurs véhicules ont été incendiés, a indiqué la police locale, sans plus de précisions. Deux personnes suspectées d'avoir jeté des cocktails Molotov ont été interpellées, tandis que près de 200 autres manifestants ont été emmenés pour des contrôles d'identité, selon l'agence de presse Belga. Les cars de la police qui emmenaient les premières personnes interpellées ont été pris pour cibles par des projectiles divers, a précisé le journal Le Soir sur son site internet.
Des manifestations depuis plusieurs jours
Des manifestants en colère, qui dénoncent des résultats truqués, s'en sont également pris à un échevin (adjoint au maire) d'Ixelles, la commune où est situé Matonge, venu expliquer les raisons pour lesquelles les rassemblements de plus de 10 personnes avaient été interdits dans le quartier ces derniers jours. A son arrivée sur place, Béa Diallo, un ancien champion de Belgique de boxe originaire du Liberia élu sur les listes du Parti socialiste, a été immédiatement encerclé par une vingtaine de manifestants en colère, qui l'ont invectivé, bousculé et frappé jusqu'à ce qu'il soit évacué par la police, selon Belga.
Le quartier, proche de salles de cinéma et de restaurants, très fréquenté le vendredi soir, a été entièrement bouclé et la station de métro le desservant fermée.
Depuis plusieurs jours, des partisans d'Etienne Tshisekedi, bravant l'interdiction des autorités, manifestent à Bruxelles, à Matonge mais aussi à proximité du siège des institutions européennes. Rien que mardi, la police a procédé à 262 interpellations suite à des échauffourées avec les forces de l'ordre et à des actes de vandalisme visant des véhicules particuliers et des commerces.
Le président sortant de la RDC Joseph Kabila a été désigné vendredi vainqueur de la présidentielle mais son rival Etienne Tshisekedi s'est immédiatement proclamé président élu dans une déclaration à l'AFP. Il a exhorté les Congolais à rester soudés derrière lui pour faire face aux évènements qui vont suivre. Etienne Tshisekedi a toutefois appelé vendredi soir la population à rester calme et sereine depuis son domicile de Kinshasa.
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http://www.cheikfitanews.net/article-br ... 65295.html
Samedi 10 décembre 2011
BRIBES D’INFO, KINSHASA-BRUXELLES, JOUR 1 DE TSHISEKEDI 1-KABILA 3
KINSHASA
Ce samedi 10 décembre 2011, au lendemain de la proclamation des résultats de la présidentielle par la CENI, Kinshasa se réveille avec deux Présidents de la République : l’un sorti des compilations du pasteur Ngoy Mulunda, l’autre jouissant d’une grande adhésion populaire, surtout dans la capitale Kinshasa, miroir du pays et où le bourrage d’urnes a été combattu avec beaucoup de succès.
Selon nos correspondants à travers la ville de Kinshasa, la circulation est très timide. Un ou deux taxis ici ou là.
Seuls sont visibles, les véhicules de la police.
Toute la nuit, à Lemba et Matete, il y a eu des coups de feu.
Et au matin, il y a eu des affrontements entre la population et les forces de l’ordre, à Kiimbi, près du pont Matete (quartier vitamine)
Devant la maison communale de Barumbu, une vingtaine de jeunes gens ont brûlé des pneus.
Dans la commune de Selembao, les affrontements population-police auraient déjà fait trois victimes : grièvement blessées ou décédées.
A 10h00, les boutiques étaient encore fermées, idem pour les agences Western Union.
Signalons que la veille, lors de la publication des résultats, dans les quartiers populaires, il n’y a pas eu d’explosion de joie.
A la commune de Lingwala sur l’avenue Mushie, monsieur Émile Ngoy, candidat député du parti présidentiel et ancien ministre a offert à boire à ses supporters pour la « victoire » du raïs des tropiques.
BRUXELLES
Le quartier de Matonge à Bruxelles a été fortement quadrillé le vendredi 8 décembre dès l’annonce de la CENI.
Pour décourager les manifestants, près de deux cents d’entre eux se sont retrouvés dans les cachots de la caserne d’Etterbeek.
Et la suite ?
Ce samedi 10 décembre 2011, une marche de colère est prévue. Des congolais de tous les âges ont décidés de manifester ainsi pour dénoncer ce hold-up électoral, jusqu'au jour où Kabila partira du pouvoir.
Cheik FITA
Bruxelles, le 10 décembre 2011
Samedi 10 décembre 2011
BRIBES D’INFO, KINSHASA-BRUXELLES, JOUR 1 DE TSHISEKEDI 1-KABILA 3
KINSHASA
Ce samedi 10 décembre 2011, au lendemain de la proclamation des résultats de la présidentielle par la CENI, Kinshasa se réveille avec deux Présidents de la République : l’un sorti des compilations du pasteur Ngoy Mulunda, l’autre jouissant d’une grande adhésion populaire, surtout dans la capitale Kinshasa, miroir du pays et où le bourrage d’urnes a été combattu avec beaucoup de succès.
Selon nos correspondants à travers la ville de Kinshasa, la circulation est très timide. Un ou deux taxis ici ou là.
Seuls sont visibles, les véhicules de la police.
Toute la nuit, à Lemba et Matete, il y a eu des coups de feu.
Et au matin, il y a eu des affrontements entre la population et les forces de l’ordre, à Kiimbi, près du pont Matete (quartier vitamine)
Devant la maison communale de Barumbu, une vingtaine de jeunes gens ont brûlé des pneus.
Dans la commune de Selembao, les affrontements population-police auraient déjà fait trois victimes : grièvement blessées ou décédées.
A 10h00, les boutiques étaient encore fermées, idem pour les agences Western Union.
Signalons que la veille, lors de la publication des résultats, dans les quartiers populaires, il n’y a pas eu d’explosion de joie.
A la commune de Lingwala sur l’avenue Mushie, monsieur Émile Ngoy, candidat député du parti présidentiel et ancien ministre a offert à boire à ses supporters pour la « victoire » du raïs des tropiques.
BRUXELLES
Le quartier de Matonge à Bruxelles a été fortement quadrillé le vendredi 8 décembre dès l’annonce de la CENI.
Pour décourager les manifestants, près de deux cents d’entre eux se sont retrouvés dans les cachots de la caserne d’Etterbeek.
Et la suite ?
Ce samedi 10 décembre 2011, une marche de colère est prévue. Des congolais de tous les âges ont décidés de manifester ainsi pour dénoncer ce hold-up électoral, jusqu'au jour où Kabila partira du pouvoir.
Cheik FITA
Bruxelles, le 10 décembre 2011
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
#23 Lucien M. Naki 10-12-2011 12:53
La fraude, ce n'est pas un problème. Elle est inhérente à la nature humaine; mais la manière.... C'est ce qui dérange. L'homme congolais est tellement minable qu'il ne peut le faire dans les stricts limites du tolérable. En Russie, on ne voie pas un cargo de plus de 5 millions de bulletins frauduleux. Mêmes des enfants de 5 ans en ont saisi.... Ce que même pour tricher, le congolais est le plus idiot du monde. J'ai vraiment honte de mes origines. Ce peuple devient rien du tout. J'ai des frères qui sont à l'Est qui me disent: "nous sommes la risée; moins que des chiens". Pire, dans tout ça, ce n'est pas les rwandais ou les occidentaux qui sont à l'oeuvre. Ce sont nos minables intellos diplômés ès papier toilette qui entourent un analphabète qui n'a aucune vision de gouvernance du pays si ce n'est ses crimes économiques et de sang pour lesquels il est le plus doué au monde. Il tue à sa guise, enferme à vie des innocents, égorge sablant du champagne des hommes de Dieu,...
La fraude, ce n'est pas un problème. Elle est inhérente à la nature humaine; mais la manière.... C'est ce qui dérange. L'homme congolais est tellement minable qu'il ne peut le faire dans les stricts limites du tolérable. En Russie, on ne voie pas un cargo de plus de 5 millions de bulletins frauduleux. Mêmes des enfants de 5 ans en ont saisi.... Ce que même pour tricher, le congolais est le plus idiot du monde. J'ai vraiment honte de mes origines. Ce peuple devient rien du tout. J'ai des frères qui sont à l'Est qui me disent: "nous sommes la risée; moins que des chiens". Pire, dans tout ça, ce n'est pas les rwandais ou les occidentaux qui sont à l'oeuvre. Ce sont nos minables intellos diplômés ès papier toilette qui entourent un analphabète qui n'a aucune vision de gouvernance du pays si ce n'est ses crimes économiques et de sang pour lesquels il est le plus doué au monde. Il tue à sa guise, enferme à vie des innocents, égorge sablant du champagne des hommes de Dieu,...
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
#4 christian 10-12-2011 05:42
Ngoy Mulunda a tout fait pour que son filleul remporte les élections. Tout était prévisible: de la préparation bâclée au déroulement du scrutin dont il est le seul à déclarer qu'il a été transparent et honnête. Tout ce qui s'est passé reflète l'image du pays: pays mal aimé et un opposant au zénith et admiré par son peuple. Ngoy Mulunda a fait la honte de Dieu qu'il déclare servir et je pense que ce Dieu, s'Il existe, ne va pas le laisser se ragaillardir avec une croix à sa poitrine. Non, ce n'est pas le vrai Dieu qui l'acceptera.
Pour moi, Tshisekedi est le président du Congo avec légitimité mais sans légalité. La lutte doit continuer et à tous les niveaux. Aller à l'encontre de Kabila, ça jamais. Le sang des congolais a trop coulé et on en a assez. Le processus de désobéissance doit commencer jusqu'à sa fuite. Oui, il a une milice mais on l'anéantira.
Ngoy Mulunda a tout fait pour que son filleul remporte les élections. Tout était prévisible: de la préparation bâclée au déroulement du scrutin dont il est le seul à déclarer qu'il a été transparent et honnête. Tout ce qui s'est passé reflète l'image du pays: pays mal aimé et un opposant au zénith et admiré par son peuple. Ngoy Mulunda a fait la honte de Dieu qu'il déclare servir et je pense que ce Dieu, s'Il existe, ne va pas le laisser se ragaillardir avec une croix à sa poitrine. Non, ce n'est pas le vrai Dieu qui l'acceptera.
Pour moi, Tshisekedi est le président du Congo avec légitimité mais sans légalité. La lutte doit continuer et à tous les niveaux. Aller à l'encontre de Kabila, ça jamais. Le sang des congolais a trop coulé et on en a assez. Le processus de désobéissance doit commencer jusqu'à sa fuite. Oui, il a une milice mais on l'anéantira.
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