La gestion du serveur de la CENI
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Ilunga
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Re: La gestion du serveur de la CENI
JMPR MISO GAAAAAAAAAAAHH !!
Bureaux de vote et agents électoraux La CENI appelée à la « vérité » des chiffres
Vendredi, 23 Septembre 2011 14:20
Quel est le nombre exact des bureaux de vote et de dépouillement pour le 28 novembre prochain ? D'aucuns avancent le chiffre de 50.000, d'autres 62.000 sans aucune autre précision, notamment un texte légal ou réglementaire rendu public ou délivré par un organe officiel. A ce jour, l'organe habilité à éclairer la religion de l'opinion à ce sujet n'est autre que la Commission Electorale Nationale Indépendante qui malheureusement garde un mutisme inquiétant et louche,comme s'il s'agissait d'un secret d'Etat, a ironisé un acteur politique.
Conformément à la loi N° 11/003 du 25 juillet 2011, la CENI doit rendre publiques les listes électorales, par province et par circonscription électorale au plus tard 30 jours avant la date proprement dite du scrutin, c'est-à-dire le 28 octobre prochain. Cela, pour permettre aux électeurs, formations politiques et candidats à ces élections du 28 novembre de se préparer en conséquence. En outre, la publication de ces listes offrira l'occasion rêvée aux témoins des candidats, aux observateurs et pourquoi pas aux électeurs ainsi qu'aux éléments des forces de l'ordre de dénoncer les doublons tout comme les militaires et enfants mineurs ayant été enrôlés frauduleusement.
Cartographie de l'implantation des bureaux de vote
Pourquoi rendre public le nombre exact des bureaux de vote qui, comme on le sait, vont se transformer en chambres de dépouillement des bulletins déposés dans les urnes ? Face à l'opacité et aux disfonctionnements qui ont caractérisé tout le processus électoral tant au niveau de l'opération de la révision du fichier électoral que des opérations d'enrôlement des électeurs, les esprits avertis persistent et signent que pour éviter des fraudes massives lors du scrutin du 28 novembre prochain, il est du devoir de la CENI « de déterminer et publier le nombre et les adresses des bureaux de vote ainsi que ceux des locaux de compilation résultats par circonscription électorale ». Une disposition réglementaire conforme à la loi organique N° 10/013 du 28 juillet 2010 portant organisation et fonctionnement de la CENI.
Dans le cadre du Programme d'Appui au Cycle Electoral (PACE), c'est le PNUD qui va procéder au paiement des primes des agents électoraux qui seront affectés dans les bureaux de vote et de dépouillement des résultats. Cette mission ne peut aboutir que si cet organisme du système des Nations Unies dispose de la liste nominative de ces agents ainsi que du nombre exact des bureaux de vote et surtout des codes de leur localisation, par province et par circonscription électorale. Il est entendu que ces agents seront identifiés et porteront des macarons infalsifiables. Toutes ces précautions visent à éviter la présence des bureaux et agents fictifs pouvant faciliter les fraudes et les détournements des fonds.
Le PNUD et la MCNUSCO doivent veiller à ces précautions, sommé toute, sécuritaires pour garantir la crédibilité de ce scrutin du 28 novembre prochain pour ne pas tomber dans la tragédie ivoirienne ayant coûté Un bilan lourd en termes des victimes humaines et matérielles. On sait qu'en exécution de l dernière résolution du Conseil de sécurité de l'ONU, la mission Onusienne a reçu mandat de sécuriser ce scrutin par le transport de tous les matériels destinés aux opérations de vote. Elle ne peut valablement remplir cette tâche que si elle dispose de la cartographie des bureaux de vote ainsi que le nombre exacte des agents électoraux.
F.M.
Source : Le Phare
Bureaux de vote et agents électoraux La CENI appelée à la « vérité » des chiffres
Vendredi, 23 Septembre 2011 14:20
Quel est le nombre exact des bureaux de vote et de dépouillement pour le 28 novembre prochain ? D'aucuns avancent le chiffre de 50.000, d'autres 62.000 sans aucune autre précision, notamment un texte légal ou réglementaire rendu public ou délivré par un organe officiel. A ce jour, l'organe habilité à éclairer la religion de l'opinion à ce sujet n'est autre que la Commission Electorale Nationale Indépendante qui malheureusement garde un mutisme inquiétant et louche,comme s'il s'agissait d'un secret d'Etat, a ironisé un acteur politique.
Conformément à la loi N° 11/003 du 25 juillet 2011, la CENI doit rendre publiques les listes électorales, par province et par circonscription électorale au plus tard 30 jours avant la date proprement dite du scrutin, c'est-à-dire le 28 octobre prochain. Cela, pour permettre aux électeurs, formations politiques et candidats à ces élections du 28 novembre de se préparer en conséquence. En outre, la publication de ces listes offrira l'occasion rêvée aux témoins des candidats, aux observateurs et pourquoi pas aux électeurs ainsi qu'aux éléments des forces de l'ordre de dénoncer les doublons tout comme les militaires et enfants mineurs ayant été enrôlés frauduleusement.
Cartographie de l'implantation des bureaux de vote
Pourquoi rendre public le nombre exact des bureaux de vote qui, comme on le sait, vont se transformer en chambres de dépouillement des bulletins déposés dans les urnes ? Face à l'opacité et aux disfonctionnements qui ont caractérisé tout le processus électoral tant au niveau de l'opération de la révision du fichier électoral que des opérations d'enrôlement des électeurs, les esprits avertis persistent et signent que pour éviter des fraudes massives lors du scrutin du 28 novembre prochain, il est du devoir de la CENI « de déterminer et publier le nombre et les adresses des bureaux de vote ainsi que ceux des locaux de compilation résultats par circonscription électorale ». Une disposition réglementaire conforme à la loi organique N° 10/013 du 28 juillet 2010 portant organisation et fonctionnement de la CENI.
Dans le cadre du Programme d'Appui au Cycle Electoral (PACE), c'est le PNUD qui va procéder au paiement des primes des agents électoraux qui seront affectés dans les bureaux de vote et de dépouillement des résultats. Cette mission ne peut aboutir que si cet organisme du système des Nations Unies dispose de la liste nominative de ces agents ainsi que du nombre exact des bureaux de vote et surtout des codes de leur localisation, par province et par circonscription électorale. Il est entendu que ces agents seront identifiés et porteront des macarons infalsifiables. Toutes ces précautions visent à éviter la présence des bureaux et agents fictifs pouvant faciliter les fraudes et les détournements des fonds.
Le PNUD et la MCNUSCO doivent veiller à ces précautions, sommé toute, sécuritaires pour garantir la crédibilité de ce scrutin du 28 novembre prochain pour ne pas tomber dans la tragédie ivoirienne ayant coûté Un bilan lourd en termes des victimes humaines et matérielles. On sait qu'en exécution de l dernière résolution du Conseil de sécurité de l'ONU, la mission Onusienne a reçu mandat de sécuriser ce scrutin par le transport de tous les matériels destinés aux opérations de vote. Elle ne peut valablement remplir cette tâche que si elle dispose de la cartographie des bureaux de vote ainsi que le nombre exacte des agents électoraux.
F.M.
Source : Le Phare
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Vendredi 23 septembre 2011 5 23 /09 /Sep /2011 19:59
BRUXELLES. NGOY MULUNDA FACE A LA PRESSE, AUX COMBATTANTS ET A LA COMMUNAUTE CONGOLAISE
cheikfitanews-NGOIE-MULUNDA-P1016219.JPG
photo. cheikfitanews
Ngoy Mulunda, Président de la CENI, Commission électorale nationale indépendante de la RD Congo a eu une journée marathon ce vendredi 23 septembre 2011 à Bruxelles où il séjourne:
- Un dîner de presse avec la presse internationale et congolaise, dans un grand hôtel de la place,
- Un face à face musclé avec deux représentants des combattants.
- Une conférence à l’intention de toute la communauté congolaise en soirée, à l’ambassade de la RD Congo.
Durant le dîner de presse, le pasteur Ngoy Mulunda, assisté par le vice-Président Jacques Ndjoli ont fait le point du processus:
- Niveau d’avancement
- Difficultés
- Coût
- Contacts avec les partis politiques, surtout ceux de l’opposition.
Durant la série des questions-réponses, certains griefs reprochés à tort ou à raison, ont été abordés:
- L’enrôlement des enfants
- Les relations du Président de la CENI avec le Président Kabila… Si celui-ci ne l’avait pas désigné en espérant un retour de l’ascenseur c’est-à-dire: le proclamer comme élu, même contre vents et marées.
Le pasteur Ngoy Mulunda ainsi que le professeur Ndjoli ont peint le tableau financier et politique de leur institution.
Politiquement, la CENI est tenue par les délais constitutionnels. Les partis politiques de l’opposition n’ont cessé de faire pression sur l’institution.
Afin d’organiser des élections apaisées et consensuelles, le pasteur Ngoy Mulunda a informé la presse qu’il prenait soin de contacter tous les leaders politiques, surtout ceux de l’opposition car étant les plus sceptiques.
La CENI peut-elle trafiquer les résultats?
Non affirme le président de l’institution. « La loi congolaise est telle que c’est le bureau de vote qui est la structure la plus importante: on vote, on dépouille, on signe les PV, on proclame, on affiche. »
Mais… Ajoutera-t-il, les partis politiques ont aussi un grand rôle: mettre leurs témoins et observateurs à tous les niveaux.
Après le dîner, le pasteur Ngoy Mulunda et son vice-président accorderont des interviews à certains médias à part selon leurs spécificités.
Viendra ensuite une entrevue avec la presse congolaise en lingala.
LES COMBATTANTS S’EN MELENT
En Europe, dans la communauté congolaise, toute information concernant le Congo arrive rapidement à la connaissance des combattants. C’est ainsi que dehors, les combattants avaient réussi à trouver le lieu de la rencontre et tenter d’atteindre la délégation de la CENI.
Se voulant homme de dialogue, le pasteur Mulunda demandera que des délégués des combattants viennent dialoguer avec lui. Ce qui sera fait. Henry Muke et Aubain Kikonka des Bana Congo entreront et discuteront ferme avec les deux responsables de la CENI. Ni tabou, ni gants.
Les combattants donneront leurs griefs, le pasteur Ngoy Mulunda répondra, les yeux dans les yeux.
En passant, il tracera son long parcours de négociateur pour la paix tant au pays qu’à l’étranger. Pourquoi ne pas mettre cette expertise au service de mon pays,
La question qui fâche:
« Et si ce n’est pas Kabila qui gagne? »
Durant le dîner de presse, nous lui avions posé une question similaire, monsieur Ngoy Mulunda nous avait demandé de la retirer, ce que nous avions fait par courtoisie.
Réponse du Président de la CENI:
« Nous proclamerons le Président élu. » sous-entendu, même si ce n’est pas monsieur Kabila.
Par souci de transparence, le président de la CENI acceptera de recevoir au Congo une délégation de la presse congolaise d’Europe ainsi que des observateurs dans le sens de l’observatoire des élections, initié par le Congrès Mondial des Congolais Vivant à l’Étranger.
Leçon du jour.
Le président de la CENI se dit ouvert au dialogue avec tous les congolais. Le Congo est leur pays. C’est leur droit légitime de s’en soucier et de faire pression afin que les choses aillent dans le sens de la volonté de la population.
Pour de plus amples informations, consulter le site de la commission..
Cheik FITA
Bruxelles, le 23 septembre 2011
Vendredi 23 septembre 2011 5 23 /09 /Sep /2011 19:59
BRUXELLES. NGOY MULUNDA FACE A LA PRESSE, AUX COMBATTANTS ET A LA COMMUNAUTE CONGOLAISE
cheikfitanews-NGOIE-MULUNDA-P1016219.JPG
photo. cheikfitanews
Ngoy Mulunda, Président de la CENI, Commission électorale nationale indépendante de la RD Congo a eu une journée marathon ce vendredi 23 septembre 2011 à Bruxelles où il séjourne:
- Un dîner de presse avec la presse internationale et congolaise, dans un grand hôtel de la place,
- Un face à face musclé avec deux représentants des combattants.
- Une conférence à l’intention de toute la communauté congolaise en soirée, à l’ambassade de la RD Congo.
Durant le dîner de presse, le pasteur Ngoy Mulunda, assisté par le vice-Président Jacques Ndjoli ont fait le point du processus:
- Niveau d’avancement
- Difficultés
- Coût
- Contacts avec les partis politiques, surtout ceux de l’opposition.
Durant la série des questions-réponses, certains griefs reprochés à tort ou à raison, ont été abordés:
- L’enrôlement des enfants
- Les relations du Président de la CENI avec le Président Kabila… Si celui-ci ne l’avait pas désigné en espérant un retour de l’ascenseur c’est-à-dire: le proclamer comme élu, même contre vents et marées.
Le pasteur Ngoy Mulunda ainsi que le professeur Ndjoli ont peint le tableau financier et politique de leur institution.
Politiquement, la CENI est tenue par les délais constitutionnels. Les partis politiques de l’opposition n’ont cessé de faire pression sur l’institution.
Afin d’organiser des élections apaisées et consensuelles, le pasteur Ngoy Mulunda a informé la presse qu’il prenait soin de contacter tous les leaders politiques, surtout ceux de l’opposition car étant les plus sceptiques.
La CENI peut-elle trafiquer les résultats?
Non affirme le président de l’institution. « La loi congolaise est telle que c’est le bureau de vote qui est la structure la plus importante: on vote, on dépouille, on signe les PV, on proclame, on affiche. »
Mais… Ajoutera-t-il, les partis politiques ont aussi un grand rôle: mettre leurs témoins et observateurs à tous les niveaux.
Après le dîner, le pasteur Ngoy Mulunda et son vice-président accorderont des interviews à certains médias à part selon leurs spécificités.
Viendra ensuite une entrevue avec la presse congolaise en lingala.
LES COMBATTANTS S’EN MELENT
En Europe, dans la communauté congolaise, toute information concernant le Congo arrive rapidement à la connaissance des combattants. C’est ainsi que dehors, les combattants avaient réussi à trouver le lieu de la rencontre et tenter d’atteindre la délégation de la CENI.
Se voulant homme de dialogue, le pasteur Mulunda demandera que des délégués des combattants viennent dialoguer avec lui. Ce qui sera fait. Henry Muke et Aubain Kikonka des Bana Congo entreront et discuteront ferme avec les deux responsables de la CENI. Ni tabou, ni gants.
Les combattants donneront leurs griefs, le pasteur Ngoy Mulunda répondra, les yeux dans les yeux.
En passant, il tracera son long parcours de négociateur pour la paix tant au pays qu’à l’étranger. Pourquoi ne pas mettre cette expertise au service de mon pays,
La question qui fâche:
« Et si ce n’est pas Kabila qui gagne? »
Durant le dîner de presse, nous lui avions posé une question similaire, monsieur Ngoy Mulunda nous avait demandé de la retirer, ce que nous avions fait par courtoisie.
Réponse du Président de la CENI:
« Nous proclamerons le Président élu. » sous-entendu, même si ce n’est pas monsieur Kabila.
Par souci de transparence, le président de la CENI acceptera de recevoir au Congo une délégation de la presse congolaise d’Europe ainsi que des observateurs dans le sens de l’observatoire des élections, initié par le Congrès Mondial des Congolais Vivant à l’Étranger.
Leçon du jour.
Le président de la CENI se dit ouvert au dialogue avec tous les congolais. Le Congo est leur pays. C’est leur droit légitime de s’en soucier et de faire pression afin que les choses aillent dans le sens de la volonté de la population.
Pour de plus amples informations, consulter le site de la commission..
Cheik FITA
Bruxelles, le 23 septembre 2011
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Re: La gestion du serveur de la CENI
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Samedi 24 septembre 2011 6 24 /09 /Sep /2011 11:19
Bruxelles. LE PRESIDENT ET LE VICE-PRESIDENT DE LA CENI FACE AUX COMBATTANTS
CHEIKFITANEWS--PDT-ET-V-P-CENI-FACE-AUBAIN-MUKE-P1016246.JPG
photos Cheikfitanews.net
Vendredi 23 septembre 2011, alors que le pasteur Ngoy Mulunda animait un dîner de presse dans un hôtel de Bruxelles à la place du petit sablon, dehors, une dizaine de combattants,contenus par la police cherchaient à rencontrer le président de la Ceni afin de lui dire ce qu’ils pensaient du processus électoral en RD Congo.
À l’issue de l’interview accordée en lingala aux journalistes congolais, le Président de la Ceni exprimera le désir de rencontrer des délégués des combattants. Henry Muke et Aubin Kikonka seront désignés. Petit flottement dans les services de sécurité de la police et de l’ambassade… « On ne sait jamais avec ces gens, ce sont des… »
Malgré ces atermoiements, la rencontre aura bel et bien lieu… Sous haute surveillance.
Dehors malheureusement, ceux des combattants qui étaient restés se feront embarqués par la police et mis aux frais jusqu’à quelques minutes de minuit.
Voici un extrait de sms nous transmis par un des détenus peu après leur relaxation:
« Ils nous ont très sérieusement ligotés les mains derrière le dos, moi particulièrement, me blessant aux poignets… Ils nous ont emmené à l’écart et ils nous ont fait asseoir imbriqués les uns derrière les autres, puis nous ont embarqués. »
Dans un processus électoral, l’attitude du pasteur Ngoy Mulunda peut être considérée comme une avancée.
Ci dessous trois vidéos:
vidéo 1
Un résumé de la journée: arrivée du Président de la Ceni. Communications et ambiance dehors.combattants...
vidéo 2
1ère partie Ceni face aux combattants
Vidéo 3
2ème partie Ceni face aux combattants
Cheik FITA
Bruxelles, le 24 septembre 2011
Samedi 24 septembre 2011 6 24 /09 /Sep /2011 11:19
Bruxelles. LE PRESIDENT ET LE VICE-PRESIDENT DE LA CENI FACE AUX COMBATTANTS
CHEIKFITANEWS--PDT-ET-V-P-CENI-FACE-AUBAIN-MUKE-P1016246.JPG
photos Cheikfitanews.net
Vendredi 23 septembre 2011, alors que le pasteur Ngoy Mulunda animait un dîner de presse dans un hôtel de Bruxelles à la place du petit sablon, dehors, une dizaine de combattants,contenus par la police cherchaient à rencontrer le président de la Ceni afin de lui dire ce qu’ils pensaient du processus électoral en RD Congo.
À l’issue de l’interview accordée en lingala aux journalistes congolais, le Président de la Ceni exprimera le désir de rencontrer des délégués des combattants. Henry Muke et Aubin Kikonka seront désignés. Petit flottement dans les services de sécurité de la police et de l’ambassade… « On ne sait jamais avec ces gens, ce sont des… »
Malgré ces atermoiements, la rencontre aura bel et bien lieu… Sous haute surveillance.
Dehors malheureusement, ceux des combattants qui étaient restés se feront embarqués par la police et mis aux frais jusqu’à quelques minutes de minuit.
Voici un extrait de sms nous transmis par un des détenus peu après leur relaxation:
« Ils nous ont très sérieusement ligotés les mains derrière le dos, moi particulièrement, me blessant aux poignets… Ils nous ont emmené à l’écart et ils nous ont fait asseoir imbriqués les uns derrière les autres, puis nous ont embarqués. »
Dans un processus électoral, l’attitude du pasteur Ngoy Mulunda peut être considérée comme une avancée.
Ci dessous trois vidéos:
vidéo 1
Un résumé de la journée: arrivée du Président de la Ceni. Communications et ambiance dehors.combattants...
vidéo 2
1ère partie Ceni face aux combattants
Vidéo 3
2ème partie Ceni face aux combattants
Cheik FITA
Bruxelles, le 24 septembre 2011
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Re: La gestion du serveur de la CENI
Ngoy Mulunda continue à nous faire monter la moutarde au nez !!
SERVEUR DE LA CENI : Ngoy Mulunda rallume le feu
Lundi, 26 Septembre 2011 12:11
Bien qu'ayant finalement accepté le principe de l'audit du serveur de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) par les experts de l'Opposition et de la Majorité Présidentielle, le président de cette institution d'appui à la démocratie continue de souffler le chaud et le froid. Aux dernières nouvelles, Daniel Ngoy Mulunda pose comme préalable à l'accès de ses « partenaires » au serveur central, la présence des délégués de la famille politique du Chef de l'Etat. Pourtant, “tout le monde sait que dans ce camp politique, on ne manifeste aucun empressement à «auditer » ce centre névralgique de traitement des données préélectorales et électorales. L'attitude de la MP est compréhensible. Elle n'est pas demanderesse dans l'exigence de la transparence du serveur central et partant du fichier électoral. C'est l'opposition, comme on l'a constaté, qui insiste sur l'impératif de faire l'état des lieux du serveur central, de manière à s'assurer, avant les scrutins du 28 novembre 2011, qu'il n'héberge pas des données de nature à fausser les résultats des urnes.
Le bon, sens devrait commander à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) de fixer un délai butoir aux délégués de toutes les parties en vue de l'organisation de la première séance d'audit du serveur central.
S'il y a des absents à cette première séance de contrôle, il leur appartiendrait d'assumer les conséquences de leur option pour la chaise, vide.
Le temps qui reste à courir avant l'organisation effective des élections présidentielle et législatives étant fort court et précieux, il serait anormal que Daniel Ngoy Mulunda et ses collaborateurs se soumettent aux caprices d'une seule famille politique.
La CENI, qui a estimé « fondée et recevable » la requête de l'opposition relative à la nécessité d'auditer son serveur central, devrait aller jusqu'au bout de sa logique, c'est-à-dire permettre à l'Opposition d'y accéder effectivement. Et, le plus tôt serait le mieux. A voir comment les choses se passent, le sentiment qui gagne les milieux de l'Opposition est que le « pouvoir organisateur des élections » aurait réellement des choses cacher.
La tension est ainsi en train de remonter au sein de la classe politique congolaise, alors qu'elle était à la baisse dès que la CENI avait fait part à l'opposition d'une possibilité de contrôle du serveur central par des experts de deux grandes familles politiques congolaises.
Des cartes d'électeurs récupérées à la pelle
La méfiance revient au triple galop entre l'Opposition et la Commission Electorale Nationale Indépendante. Depuis un certain temps en effet, des individus au service de certains partis et regroupements politiques mènent, contre espèces sonnantes et , trébuchantes, des opérateurs de récupération des cartes d'électeurs auprès des milliers, sinon des millions d'enrôlés, à Kinshasa comme en provinces. La situation socioéconomique du Congolais moyen étant ce qu'il est, l'argent fait vaciller facilement certains scrupules.
A quelle fin déleste-t-on proprement des milliers ou millions de compatriotes de leurs cartes d'électeurs ? L'on en est pour l'instant à réfléchir autour de deux hypothèses. La première est qu'il y aurait, quelque part, une volonté de diminuer délibérément la taille du corps électoral dans certaines circonscriptions, afin d'empêcher le souverain primaire d'émettre le vote-sanction que redoutent tant certains candidats.
La seconde hypothèse, et peut-être la plus proche de la réalité, est qu'une fraude électorale serait certainement planifiée. Ainsi, des urnes incontrôlables et incontrôlées pourraient, le moment venu, être bourrées de bulletins de vote en provenance d'individus ayant acheté des cartes d'électeurs pour les besoins de la cause.
Voilà le pourquoi de cette bagarre autour du serveur central pour voir clair dans le fichier électoral. Car, en dépit dès assurances de la CENI d'organiser des élections transparentes, démocratiques et apaisées malgré l'engagement du Chef de l'Etat, du haut de la tribune des Nations Unies, d'offrir au peuple Congolais des scrutins libres et crédibles, certains actes que l'on enregistre sur le terrain tendent à démentir les bonnes intentions des décideurs politiques.
Suivre le modèle euro-américain
S'il est établi, comme l'a laissé' entendre vendredi le Rapporteur de la CENI, que le serveur central ne constituerait plus' un enjeu majeur, site à l'adoption du comptage manuel, qu'il soit alors permis aux Congolais d'adopter le modèle euro-américain. Il s'agirait, concrètement, de laisser le responsable de chaque circonscription électorale le soin d'annoncer, via les médias, les résultats partiels puis définitifs, au fur et à mesure de la clôture des opérations de dépouillement dans les bureaux de vote.
Dans ces conditions, la CENI ne pourrait plus être suspecter de vouloir tripatouiller les résultats et, partant, le serveur central aujourd'hui objet de controverses, deviendrait sans objet parce que ne représentant plus aucun risque. L'expérience a toujours réussi aux Européens et aux Américains. En Afrique, elle a déjà été tentée avec succès au Sénégal. Pourquoi pas en RDC où la compilation des résultats a sérieusement compliqué les scrutins en 2006.
Kimp
Source : Le Phare
SERVEUR DE LA CENI : Ngoy Mulunda rallume le feu
Lundi, 26 Septembre 2011 12:11
Bien qu'ayant finalement accepté le principe de l'audit du serveur de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) par les experts de l'Opposition et de la Majorité Présidentielle, le président de cette institution d'appui à la démocratie continue de souffler le chaud et le froid. Aux dernières nouvelles, Daniel Ngoy Mulunda pose comme préalable à l'accès de ses « partenaires » au serveur central, la présence des délégués de la famille politique du Chef de l'Etat. Pourtant, “tout le monde sait que dans ce camp politique, on ne manifeste aucun empressement à «auditer » ce centre névralgique de traitement des données préélectorales et électorales. L'attitude de la MP est compréhensible. Elle n'est pas demanderesse dans l'exigence de la transparence du serveur central et partant du fichier électoral. C'est l'opposition, comme on l'a constaté, qui insiste sur l'impératif de faire l'état des lieux du serveur central, de manière à s'assurer, avant les scrutins du 28 novembre 2011, qu'il n'héberge pas des données de nature à fausser les résultats des urnes.
Le bon, sens devrait commander à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) de fixer un délai butoir aux délégués de toutes les parties en vue de l'organisation de la première séance d'audit du serveur central.
S'il y a des absents à cette première séance de contrôle, il leur appartiendrait d'assumer les conséquences de leur option pour la chaise, vide.
Le temps qui reste à courir avant l'organisation effective des élections présidentielle et législatives étant fort court et précieux, il serait anormal que Daniel Ngoy Mulunda et ses collaborateurs se soumettent aux caprices d'une seule famille politique.
La CENI, qui a estimé « fondée et recevable » la requête de l'opposition relative à la nécessité d'auditer son serveur central, devrait aller jusqu'au bout de sa logique, c'est-à-dire permettre à l'Opposition d'y accéder effectivement. Et, le plus tôt serait le mieux. A voir comment les choses se passent, le sentiment qui gagne les milieux de l'Opposition est que le « pouvoir organisateur des élections » aurait réellement des choses cacher.
La tension est ainsi en train de remonter au sein de la classe politique congolaise, alors qu'elle était à la baisse dès que la CENI avait fait part à l'opposition d'une possibilité de contrôle du serveur central par des experts de deux grandes familles politiques congolaises.
Des cartes d'électeurs récupérées à la pelle
La méfiance revient au triple galop entre l'Opposition et la Commission Electorale Nationale Indépendante. Depuis un certain temps en effet, des individus au service de certains partis et regroupements politiques mènent, contre espèces sonnantes et , trébuchantes, des opérateurs de récupération des cartes d'électeurs auprès des milliers, sinon des millions d'enrôlés, à Kinshasa comme en provinces. La situation socioéconomique du Congolais moyen étant ce qu'il est, l'argent fait vaciller facilement certains scrupules.
A quelle fin déleste-t-on proprement des milliers ou millions de compatriotes de leurs cartes d'électeurs ? L'on en est pour l'instant à réfléchir autour de deux hypothèses. La première est qu'il y aurait, quelque part, une volonté de diminuer délibérément la taille du corps électoral dans certaines circonscriptions, afin d'empêcher le souverain primaire d'émettre le vote-sanction que redoutent tant certains candidats.
La seconde hypothèse, et peut-être la plus proche de la réalité, est qu'une fraude électorale serait certainement planifiée. Ainsi, des urnes incontrôlables et incontrôlées pourraient, le moment venu, être bourrées de bulletins de vote en provenance d'individus ayant acheté des cartes d'électeurs pour les besoins de la cause.
Voilà le pourquoi de cette bagarre autour du serveur central pour voir clair dans le fichier électoral. Car, en dépit dès assurances de la CENI d'organiser des élections transparentes, démocratiques et apaisées malgré l'engagement du Chef de l'Etat, du haut de la tribune des Nations Unies, d'offrir au peuple Congolais des scrutins libres et crédibles, certains actes que l'on enregistre sur le terrain tendent à démentir les bonnes intentions des décideurs politiques.
Suivre le modèle euro-américain
S'il est établi, comme l'a laissé' entendre vendredi le Rapporteur de la CENI, que le serveur central ne constituerait plus' un enjeu majeur, site à l'adoption du comptage manuel, qu'il soit alors permis aux Congolais d'adopter le modèle euro-américain. Il s'agirait, concrètement, de laisser le responsable de chaque circonscription électorale le soin d'annoncer, via les médias, les résultats partiels puis définitifs, au fur et à mesure de la clôture des opérations de dépouillement dans les bureaux de vote.
Dans ces conditions, la CENI ne pourrait plus être suspecter de vouloir tripatouiller les résultats et, partant, le serveur central aujourd'hui objet de controverses, deviendrait sans objet parce que ne représentant plus aucun risque. L'expérience a toujours réussi aux Européens et aux Américains. En Afrique, elle a déjà été tentée avec succès au Sénégal. Pourquoi pas en RDC où la compilation des résultats a sérieusement compliqué les scrutins en 2006.
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Re: La gestion du serveur de la CENI
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L'opposition pro-Tshisekedi menace de descendre dans la rue ce jeudi
La CENI n’ayant pas tenu compte de ses désidératas, l’Opposition pro-Tshisekedi menace de descendre pour la énième fois dans la rue ce jeudi 29 Septembre 2011.
Les violons ne semblent toujours pas s’accorder entre la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et l’opposition pro-Tshisekedi regroupée dans la Dynamique pour le soutien à Etienne Tshisekedi. Pour cause ? Leur demande d’accéder au fichier électoral. Selon Eugène Diomi Ndongala Nzomambu, président de la Démocratie Chrétienne (DC) et modérateur de cette plate forme électorale qui recevait la presse hier lundi 26 septembre dans son bureau de travail, les élections ne peuvent jamais être apaisées tant que la CENI ne donnera pas à l’opposition l’accès au serveur central. A l’en croire, bien que le président de la CENI, pasteur Daniel Ngoy Mulunda avait accepté que les cinq représentants de l’opposition puissent avoir accès à ce serveur, il est curieux de constater qu’à ce jour, un obstacle a été créé pour le besoin de la cause, soi-disant que les membres de la MP devait y accéder au même moment que ceux de l’opposition ; alors qu’au sein de la plate forme présidentielle, ce point ne pas à l’ordre du jour.
Pour l’opposition pro-Tshisekedi, cette attitude de la CENI est voulue à dessein, afin de faire passer le temps inutilement, en faveur de la classe politique au pouvoir. « L’opposition a pourtant besoin de la transparence ; c’est-à-dire, savoir notamment comment le fichier électoral a sorti le nombre des candidats aux élections législatives », a fait savoir Eugène Diomi Ndongala, annonçant la marche pacifique de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) soutenue par toutes les formations politiques de l’opposition, pour ce jeudi 29 septembre 2011, contre les manœuvres de la CENI, qui cherche à cautionner la tricherie.
Diomi Ndongala estime en effet que la CENI doit donner le quitus à l’opposition, de pouvoir auditer le serveur central, afin de connaître également la raison de la suppression d’un nombre important des sièges pour la ville-province de Kinshasa. Plusieurs promesses faites à l’opposition sont restées lettres mortes, mais à vrai dire, le temps passe en faveur de l’autre camp. Or dit-il, si les élections ne sont pas apaisées, l’opposition se refusera d’accepter les résultats.
Diomi Ndongala n’a pas oublié de dénoncer le cas des députés de la Majorité présidentielle qui se sont faits enrôlés pour le compte d’autres formations politiques ; alors qu’ils n’ont pas eu le soin de démissionner des partis politiques qui les géraient bien avant, ce qui constitue également un cas de tricherie que la CENI a laissé passer. Même chose pour les mandataires de l’Etat qui sont encore en fonction pour le compte de la même Majorité présidentielle (MP), mais qui utilisent l’argent de l’Etat pour battre campagne, alors que non seulement que leurs agents accusent des arriérés des salaires, mais la loi les obligent à démissionner de leurs postes.
Il a en outre dénoncé le fait que les effigies de l’actuel Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange, pullulent à travers non seulement la ville-province de Kinshasa, mais aussi dans plusieurs autres parties du pays, ce qui dénote la duplicité de la CENI à favoriser un seul candidat.
JOSÉ WAKADILA
L'opposition pro-Tshisekedi menace de descendre dans la rue ce jeudi
La CENI n’ayant pas tenu compte de ses désidératas, l’Opposition pro-Tshisekedi menace de descendre pour la énième fois dans la rue ce jeudi 29 Septembre 2011.
Les violons ne semblent toujours pas s’accorder entre la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et l’opposition pro-Tshisekedi regroupée dans la Dynamique pour le soutien à Etienne Tshisekedi. Pour cause ? Leur demande d’accéder au fichier électoral. Selon Eugène Diomi Ndongala Nzomambu, président de la Démocratie Chrétienne (DC) et modérateur de cette plate forme électorale qui recevait la presse hier lundi 26 septembre dans son bureau de travail, les élections ne peuvent jamais être apaisées tant que la CENI ne donnera pas à l’opposition l’accès au serveur central. A l’en croire, bien que le président de la CENI, pasteur Daniel Ngoy Mulunda avait accepté que les cinq représentants de l’opposition puissent avoir accès à ce serveur, il est curieux de constater qu’à ce jour, un obstacle a été créé pour le besoin de la cause, soi-disant que les membres de la MP devait y accéder au même moment que ceux de l’opposition ; alors qu’au sein de la plate forme présidentielle, ce point ne pas à l’ordre du jour.
Pour l’opposition pro-Tshisekedi, cette attitude de la CENI est voulue à dessein, afin de faire passer le temps inutilement, en faveur de la classe politique au pouvoir. « L’opposition a pourtant besoin de la transparence ; c’est-à-dire, savoir notamment comment le fichier électoral a sorti le nombre des candidats aux élections législatives », a fait savoir Eugène Diomi Ndongala, annonçant la marche pacifique de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) soutenue par toutes les formations politiques de l’opposition, pour ce jeudi 29 septembre 2011, contre les manœuvres de la CENI, qui cherche à cautionner la tricherie.
Diomi Ndongala estime en effet que la CENI doit donner le quitus à l’opposition, de pouvoir auditer le serveur central, afin de connaître également la raison de la suppression d’un nombre important des sièges pour la ville-province de Kinshasa. Plusieurs promesses faites à l’opposition sont restées lettres mortes, mais à vrai dire, le temps passe en faveur de l’autre camp. Or dit-il, si les élections ne sont pas apaisées, l’opposition se refusera d’accepter les résultats.
Diomi Ndongala n’a pas oublié de dénoncer le cas des députés de la Majorité présidentielle qui se sont faits enrôlés pour le compte d’autres formations politiques ; alors qu’ils n’ont pas eu le soin de démissionner des partis politiques qui les géraient bien avant, ce qui constitue également un cas de tricherie que la CENI a laissé passer. Même chose pour les mandataires de l’Etat qui sont encore en fonction pour le compte de la même Majorité présidentielle (MP), mais qui utilisent l’argent de l’Etat pour battre campagne, alors que non seulement que leurs agents accusent des arriérés des salaires, mais la loi les obligent à démissionner de leurs postes.
Il a en outre dénoncé le fait que les effigies de l’actuel Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange, pullulent à travers non seulement la ville-province de Kinshasa, mais aussi dans plusieurs autres parties du pays, ce qui dénote la duplicité de la CENI à favoriser un seul candidat.
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Re: La gestion du serveur de la CENI
#1 Bardot B. 27-09-2011 17:11
Ngoyi mulunda,se croit malin.ce n´est pas un secret il roule pour joseph pcq il fut le membre fondateur du pprd voila pourquoi,il est en train de faire de manoeuvrer pour favoriser un seul camp.il se trompe pcq la revolution á la tunisien sera au rendez vous, si les élections ne seront crédible,democr atique et transparente.la revolution d´un peuple est plus qu´une bombe atomique.il voyagera avec joseph dans son avion pour l´exil.allez y la vraie opposition.il faut continue á mannifester pour prouver á la communaute national et internationl de la mauvaise foie du pouvoir en place qu´il jure que par la tricherie en complicité avec le fameux pasteur petit ngoyi.vive la democratie et vive Ya tshitshi.
Fichier électoral non transparent, mandataires candidats, campagne anticipée L'Opposition dans la rue ce jeudi
Mardi, 27 Septembre 2011 14:08
Après avoir constaté le refus de la CENI de lui ouvrir son fichier, électoral, de disqualifier les mandataires candidats (députés, sénateurs, ministres, membres des comités de gestion des entreprises publiques, fonctionnaires) et, d'arrêter la campagne électorale anticipée, l'Opposition a décidé d'exprimer son ras le bol ce jeudi 29 septembre 2011, par une marche pacifique à travers les rues de Kinshasa Afin d'imprimer un cachet spécial à la manifestation, les leaders des partis et regroupements de l'opposition vont se présenter en premières lignes, aux côtés de leurs combattants et militants.
D'amples précisions seront fournies à l'opinion avant jeudi. La décision a été annoncée à la presse hier lundi 26 septembre 2011 par Eugène Diomi Ndongala, qui s'est présenté à l'occasion comme le porte-parole de l'Opposition acquise à la candidature du président national de l'UDPS, Etienne Tshisekedi wa Mulumba, qui s'est réunie pour la circonstance au Green Garden, dans la commune de la Gombe.
Le précité a dénoncé, au nom de ses pairs, l'attitude complaisante du président Daniel Ngoy Mulunda de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante), qui pose comme préalable à l'accès des délégués de l'Opposition au serveur central de son institution, la présence des délégués de la Majorité Présidentielle. Il a souligné la déception et l'indignation de sa famille politique à l'égard de ce ministre de Dieu, qui a jugé recevable et fondée la requête de l'Opposition, mais qui ne se montre plus chaud pour l'audit du fichier électoral.
Selon lui, les forces acquises au changement vont maintenir la pression sur la CENI jusqu'à ce que leurs délégués auditent, le fichier électoral, seul gage d'élections transparentes en République Démocratique du Congo. L'autre constat amer fait par Diomi est que des députés nationaux, des sénateurs, des ministres, des vice-ministres, des membrés des comités de gestion des entreprises publiques, des” conseillers des cabinets politiques, des fonctionnaires se sont portés candidats aux différents scrutins sans avoir démissionné de leurs fonctions. Par conséquent, ils utilisent déjà les moyens de l'Etat pour leur pré-campagne électorale.
Quant à la campagne électorale anticipée, elle poursuit allègrement, au nez et à la barbe de la CENI qui a pourtant promis de sévir, sans jamais passer à l'action.
Eric Wembakungu
Source : Le Phare
Ngoyi mulunda,se croit malin.ce n´est pas un secret il roule pour joseph pcq il fut le membre fondateur du pprd voila pourquoi,il est en train de faire de manoeuvrer pour favoriser un seul camp.il se trompe pcq la revolution á la tunisien sera au rendez vous, si les élections ne seront crédible,democr atique et transparente.la revolution d´un peuple est plus qu´une bombe atomique.il voyagera avec joseph dans son avion pour l´exil.allez y la vraie opposition.il faut continue á mannifester pour prouver á la communaute national et internationl de la mauvaise foie du pouvoir en place qu´il jure que par la tricherie en complicité avec le fameux pasteur petit ngoyi.vive la democratie et vive Ya tshitshi.
Fichier électoral non transparent, mandataires candidats, campagne anticipée L'Opposition dans la rue ce jeudi
Mardi, 27 Septembre 2011 14:08
Après avoir constaté le refus de la CENI de lui ouvrir son fichier, électoral, de disqualifier les mandataires candidats (députés, sénateurs, ministres, membres des comités de gestion des entreprises publiques, fonctionnaires) et, d'arrêter la campagne électorale anticipée, l'Opposition a décidé d'exprimer son ras le bol ce jeudi 29 septembre 2011, par une marche pacifique à travers les rues de Kinshasa Afin d'imprimer un cachet spécial à la manifestation, les leaders des partis et regroupements de l'opposition vont se présenter en premières lignes, aux côtés de leurs combattants et militants.
D'amples précisions seront fournies à l'opinion avant jeudi. La décision a été annoncée à la presse hier lundi 26 septembre 2011 par Eugène Diomi Ndongala, qui s'est présenté à l'occasion comme le porte-parole de l'Opposition acquise à la candidature du président national de l'UDPS, Etienne Tshisekedi wa Mulumba, qui s'est réunie pour la circonstance au Green Garden, dans la commune de la Gombe.
Le précité a dénoncé, au nom de ses pairs, l'attitude complaisante du président Daniel Ngoy Mulunda de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante), qui pose comme préalable à l'accès des délégués de l'Opposition au serveur central de son institution, la présence des délégués de la Majorité Présidentielle. Il a souligné la déception et l'indignation de sa famille politique à l'égard de ce ministre de Dieu, qui a jugé recevable et fondée la requête de l'Opposition, mais qui ne se montre plus chaud pour l'audit du fichier électoral.
Selon lui, les forces acquises au changement vont maintenir la pression sur la CENI jusqu'à ce que leurs délégués auditent, le fichier électoral, seul gage d'élections transparentes en République Démocratique du Congo. L'autre constat amer fait par Diomi est que des députés nationaux, des sénateurs, des ministres, des vice-ministres, des membrés des comités de gestion des entreprises publiques, des” conseillers des cabinets politiques, des fonctionnaires se sont portés candidats aux différents scrutins sans avoir démissionné de leurs fonctions. Par conséquent, ils utilisent déjà les moyens de l'Etat pour leur pré-campagne électorale.
Quant à la campagne électorale anticipée, elle poursuit allègrement, au nez et à la barbe de la CENI qui a pourtant promis de sévir, sans jamais passer à l'action.
Eric Wembakungu
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Re: La gestion du serveur de la CENI
0 #1 kapapamujedo 28-09-2011 17:19
OU sont les fameux POIDS LOURDS DE L'OPPOSITION ??????? MLC ????? UNC???? KASHALA ???? MWAMBA ???? KENGO ?????? Tous des fantoches !!!! Des bon a rien occupé a s'acheter des palaces a 10 millions d'Euro en Europe !!!! Ils ne sont la que pour nous distraire !!!!!!
Peuple congolais nous savons tous le parti qui a réellement le souci de faire changer les choses !!!!! MWAMBA, KAMERHE,KASHALA , KENGO, LUHAKA courent derrière leur ciompte bancaire !!! Il faut payer toutes les taxes des palaces qu'ils ont acquis en europe, RSA et aux ETATS UNIS !!!!! VOTONS UTILES !!! Exopliquons a toutes nos mamans du marché, des village en leur montrant des video, des photos des biens de cette bandes de voleur !!!!
IN TSHITSHI WE TRUST!!!!
VIVE LA REVOLUTUION CONGOLAISE !!
Jeudi 29 septembre 2011 : L'UDPS marche contre l'opacité du processus électoral
Mercredi, 28 Septembre 2011 14:40
Demain jeudi 29 septembre 2011, l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), un parti politique de l'opposition non parlementaire, appelle de nouveau ses combattants à descendre dans la rue pour protester contre l'opacité des élections du 28 novembre 2011, que la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) se prépare à offrir au peuple congolais. Selon Me Jacquemain Shabani Lukoo, secrétaire général de cette formation politique, à ce jour la Ceni - cette institution chargée de l'organisation des élections sensées êtres démocratiques, libres, transparentes et crédibles - bien qu'elle ait fini par reconnaître le bien-fondé des revendications de l'Udps, n'a cependant pas bougé d'un iota de sa position initiale. En dehors de l'annonce de l'acceptation de l'audit du Serveur central et de l'accès des Experts mandatés par l'Opposition au Centre National de Traitement, rien de concret n'a encore été ni fixé, ni entrepris.
Il a affirmé que son parti revient et .reviendra à la charge autant de fois que nécessaire; avec les mêmes revendications, car» il en va de l'avenir de notre pays. Ces précisions ont été fournies à l'opinion publique au cours d'un point de presse qu'il a tenu hier mardi 27 septembre 2011 au siège de l'Udps dans la commune de limeté. Sa communication s'articulait autour de deux axes principaux à savoir, la grande marche de protestation qu'il organise demain jeudi 29 septembre 2011 pour les mémés motifs que ceux de la marche de jeudi 1er septembre dernier ; et la dénonciation de l'insécurité que le pouvoir en place tente de semer partout à travers le pays pour piéger les élections.
Et comme le temps ne s'arrête pas et de peur que celui-ci s'écoule sans un résultat palpable, l'Udps et ses alliés ont décidé d'organiser cette grande marche de protestation dans la même fore que celle du jeudi 01 septembre dernier, c'est-à-dire, à travers toutes les grandes agglomérations du pays et dans les capitales des pays amis où leurs militants sont présents. Me Jacquemain Shabani Lukoo est convaincu que cette manifestation devra prouver à suffisance la bonne foi, non seulement de l'Udps et des partis de l'opposition, mais également de toute la population congolaise face à un pouvoir qu'il a jugé être déjà aux abois et cherchant à piéger le processus en vue de se servir comme à l'accoutumée des armes à feu et de semer la peur et la désolation dans les coeurs des Congolais.
Les sept préalables de l'Udps et Alliés à la CENI contre l'opacité du processus électoral
Le Secrétaire général de l'Udps pense que là seule manière d'éviter à notre pays le chaos qui survient à la suite des conflits postélectoraux dus à des élections mal organisées est de clarifier le processus pour aboutir à des résultats incontestables, gage dé la paix. Prenant l'opinion nationale et internationale à témoin, l'UDPS et ses Alliés ont rappelé les sept points constituant le mécanisme pour une clarification du processus électoral en cours. Il s'agit de l'audit du fichier électoral en vue de son nettoyage adéquat; de l'accès au serveur central des experts mandatés par l'opposition en vue de la transparence aussi bien des données que des logiciels de traitement; de la publication de la liste et de la cartographie des bureaux de vote en vue' de supprimer les bureaux fictifs et d'assurer une répartition équitables sur l'ensemble du pays de la publication des listes des électeurs par bureau de vote, en vue d'une part, de renseigner à temps les électeurs et d'autre part, d'assurer une répartition équitable des électeurs par bureau de vote de la publication et du monitoring des opérations liées à l'impression' des bulletins de vote et à leur dispatching adéquat et équitable de la vérification et de la gestion correcte des stocks excédentaires des cartes d'électeurs vierges et des bulletins de vote ; et, enfin, de la libération sans condition de tous les combattants de l'Udps arbitrairement arrêtés et encore en détention.
Pour l'opposition, l'insécurité est organisée par le pouvoir pour piéger les élections
L'Udps et ses alliés ont confirmé pour les combattants, une fois de plus, le caractère non violent de la marche de ce jeudi ; manifestation destinée uniquement à manifester leur volonté de participer à des élections libres, transparentes, démocratiques, crédibles et apaisées que la CENI a l'obligation' de leur offrir. Toutefois, Me Jacquemain s'est montré inquiet face au constat de l'insécurité qui se propage actuellement sur une- grande partie du territoire nationale. Il a, sans détours, accusé le pouvoir en place d'en être l'instigateur qui cherche à rejeter sa responsabilité sur d'autres personnes ; alors que nul mieux que lui, n'a les atouts pour ce faire» En outre, il a accusé le pouvoir d'avoir transformé la violence” en mode de gouvernement. En exemple, il a cité l'attaque du cortège d'Etienne. Tshisekedi lors de son retour après le dépôt de sa candidature à la Ceni ; le saccage de la permanence de l'Udps et incendie de la Radio et Télévision « RLTV », sans oublier l'assassinat de plusieurs Combattants de l'Udps qui ont eu sans doute tort à ses yeux d'avoir revendiqué leurs droits.
Il a aussi cité le vol à la morgue de deux cadavres des combattants de l'Udps, abattus par la Police pour les enterrer nuitamment. Enfin, dans le même contexte de l'insécurité, il a dénoncé la dernière mode, qui consiste à organiser l'évasion des criminels de toutes les prisons pour les envoyer dans la nature en vue de troubler les campagnes électorales et les élections. C'est le cas à Kassapa, au Katanga ; au Kasaï ainsi qu'au Nord-Kivu où les détenus se sont évadés miraculeusement. Pour Me J. Shabani, le décor ainsi planté n'est innocent.
RSK
Source : Le Phare
OU sont les fameux POIDS LOURDS DE L'OPPOSITION ??????? MLC ????? UNC???? KASHALA ???? MWAMBA ???? KENGO ?????? Tous des fantoches !!!! Des bon a rien occupé a s'acheter des palaces a 10 millions d'Euro en Europe !!!! Ils ne sont la que pour nous distraire !!!!!!
Peuple congolais nous savons tous le parti qui a réellement le souci de faire changer les choses !!!!! MWAMBA, KAMERHE,KASHALA , KENGO, LUHAKA courent derrière leur ciompte bancaire !!! Il faut payer toutes les taxes des palaces qu'ils ont acquis en europe, RSA et aux ETATS UNIS !!!!! VOTONS UTILES !!! Exopliquons a toutes nos mamans du marché, des village en leur montrant des video, des photos des biens de cette bandes de voleur !!!!
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Jeudi 29 septembre 2011 : L'UDPS marche contre l'opacité du processus électoral
Mercredi, 28 Septembre 2011 14:40
Demain jeudi 29 septembre 2011, l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), un parti politique de l'opposition non parlementaire, appelle de nouveau ses combattants à descendre dans la rue pour protester contre l'opacité des élections du 28 novembre 2011, que la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) se prépare à offrir au peuple congolais. Selon Me Jacquemain Shabani Lukoo, secrétaire général de cette formation politique, à ce jour la Ceni - cette institution chargée de l'organisation des élections sensées êtres démocratiques, libres, transparentes et crédibles - bien qu'elle ait fini par reconnaître le bien-fondé des revendications de l'Udps, n'a cependant pas bougé d'un iota de sa position initiale. En dehors de l'annonce de l'acceptation de l'audit du Serveur central et de l'accès des Experts mandatés par l'Opposition au Centre National de Traitement, rien de concret n'a encore été ni fixé, ni entrepris.
Il a affirmé que son parti revient et .reviendra à la charge autant de fois que nécessaire; avec les mêmes revendications, car» il en va de l'avenir de notre pays. Ces précisions ont été fournies à l'opinion publique au cours d'un point de presse qu'il a tenu hier mardi 27 septembre 2011 au siège de l'Udps dans la commune de limeté. Sa communication s'articulait autour de deux axes principaux à savoir, la grande marche de protestation qu'il organise demain jeudi 29 septembre 2011 pour les mémés motifs que ceux de la marche de jeudi 1er septembre dernier ; et la dénonciation de l'insécurité que le pouvoir en place tente de semer partout à travers le pays pour piéger les élections.
Et comme le temps ne s'arrête pas et de peur que celui-ci s'écoule sans un résultat palpable, l'Udps et ses alliés ont décidé d'organiser cette grande marche de protestation dans la même fore que celle du jeudi 01 septembre dernier, c'est-à-dire, à travers toutes les grandes agglomérations du pays et dans les capitales des pays amis où leurs militants sont présents. Me Jacquemain Shabani Lukoo est convaincu que cette manifestation devra prouver à suffisance la bonne foi, non seulement de l'Udps et des partis de l'opposition, mais également de toute la population congolaise face à un pouvoir qu'il a jugé être déjà aux abois et cherchant à piéger le processus en vue de se servir comme à l'accoutumée des armes à feu et de semer la peur et la désolation dans les coeurs des Congolais.
Les sept préalables de l'Udps et Alliés à la CENI contre l'opacité du processus électoral
Le Secrétaire général de l'Udps pense que là seule manière d'éviter à notre pays le chaos qui survient à la suite des conflits postélectoraux dus à des élections mal organisées est de clarifier le processus pour aboutir à des résultats incontestables, gage dé la paix. Prenant l'opinion nationale et internationale à témoin, l'UDPS et ses Alliés ont rappelé les sept points constituant le mécanisme pour une clarification du processus électoral en cours. Il s'agit de l'audit du fichier électoral en vue de son nettoyage adéquat; de l'accès au serveur central des experts mandatés par l'opposition en vue de la transparence aussi bien des données que des logiciels de traitement; de la publication de la liste et de la cartographie des bureaux de vote en vue' de supprimer les bureaux fictifs et d'assurer une répartition équitables sur l'ensemble du pays de la publication des listes des électeurs par bureau de vote, en vue d'une part, de renseigner à temps les électeurs et d'autre part, d'assurer une répartition équitable des électeurs par bureau de vote de la publication et du monitoring des opérations liées à l'impression' des bulletins de vote et à leur dispatching adéquat et équitable de la vérification et de la gestion correcte des stocks excédentaires des cartes d'électeurs vierges et des bulletins de vote ; et, enfin, de la libération sans condition de tous les combattants de l'Udps arbitrairement arrêtés et encore en détention.
Pour l'opposition, l'insécurité est organisée par le pouvoir pour piéger les élections
L'Udps et ses alliés ont confirmé pour les combattants, une fois de plus, le caractère non violent de la marche de ce jeudi ; manifestation destinée uniquement à manifester leur volonté de participer à des élections libres, transparentes, démocratiques, crédibles et apaisées que la CENI a l'obligation' de leur offrir. Toutefois, Me Jacquemain s'est montré inquiet face au constat de l'insécurité qui se propage actuellement sur une- grande partie du territoire nationale. Il a, sans détours, accusé le pouvoir en place d'en être l'instigateur qui cherche à rejeter sa responsabilité sur d'autres personnes ; alors que nul mieux que lui, n'a les atouts pour ce faire» En outre, il a accusé le pouvoir d'avoir transformé la violence” en mode de gouvernement. En exemple, il a cité l'attaque du cortège d'Etienne. Tshisekedi lors de son retour après le dépôt de sa candidature à la Ceni ; le saccage de la permanence de l'Udps et incendie de la Radio et Télévision « RLTV », sans oublier l'assassinat de plusieurs Combattants de l'Udps qui ont eu sans doute tort à ses yeux d'avoir revendiqué leurs droits.
Il a aussi cité le vol à la morgue de deux cadavres des combattants de l'Udps, abattus par la Police pour les enterrer nuitamment. Enfin, dans le même contexte de l'insécurité, il a dénoncé la dernière mode, qui consiste à organiser l'évasion des criminels de toutes les prisons pour les envoyer dans la nature en vue de troubler les campagnes électorales et les élections. C'est le cas à Kassapa, au Katanga ; au Kasaï ainsi qu'au Nord-Kivu où les détenus se sont évadés miraculeusement. Pour Me J. Shabani, le décor ainsi planté n'est innocent.
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Re: La gestion du serveur de la CENI
Le PPRD accusé de fraude
Mercredi, 28 Septembre 2011 14:40
La famille politique du Chef de l'Etat et le parti d'Etienne Tshisekedi se marquent à la culotte en cette période pré-électorale. Depuis la révision très contestée de la Constitution jusqu'aux cas d'incendie de leurs permanences respectives à Kinshasa, en passant par l'opacité du fichier électoral, les deux principales forces politiques de la scène politique congolaise ne se ménagent nullement.
Le nouveau casus belli entre les deux formations politiques concerne la présence, sur certaines listes des candidats du PPRD à la députation nationale, d'un quota de concurrents supérieur au nombre de sièges à pourvoir. L'UDPS a, à ce sujet, déposé en bonne et due forme une requête à la Cour Suprême de Justice, pour exiger l'invalidation pure et simple des listes déposées par ce parti à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Selon, les partisans d'Etienne Tshisekedi, il s'agit là d'une violation flagrante de la Loi Electorale, qui dispose que pour ce qui est des listes électorales,, les partis alignent autant de candidats qu'il y a de sièges à pourvoir.
Placer plus de candidats qu'il n'y a de sièges de députés à convoiter parait, aux yeux de ce parti, comme une intention délibérée de vouloir frauder.
Source : Le Phare
Mercredi, 28 Septembre 2011 14:40
La famille politique du Chef de l'Etat et le parti d'Etienne Tshisekedi se marquent à la culotte en cette période pré-électorale. Depuis la révision très contestée de la Constitution jusqu'aux cas d'incendie de leurs permanences respectives à Kinshasa, en passant par l'opacité du fichier électoral, les deux principales forces politiques de la scène politique congolaise ne se ménagent nullement.
Le nouveau casus belli entre les deux formations politiques concerne la présence, sur certaines listes des candidats du PPRD à la députation nationale, d'un quota de concurrents supérieur au nombre de sièges à pourvoir. L'UDPS a, à ce sujet, déposé en bonne et due forme une requête à la Cour Suprême de Justice, pour exiger l'invalidation pure et simple des listes déposées par ce parti à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Selon, les partisans d'Etienne Tshisekedi, il s'agit là d'une violation flagrante de la Loi Electorale, qui dispose que pour ce qui est des listes électorales,, les partis alignent autant de candidats qu'il y a de sièges à pourvoir.
Placer plus de candidats qu'il n'y a de sièges de députés à convoiter parait, aux yeux de ce parti, comme une intention délibérée de vouloir frauder.
Source : Le Phare
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Re: La gestion du serveur de la CENI
Pour obtenir l'audit du fichier électoral de la CENI L'Opposition politique saisit la MONUSCO
Mercredi, 28 Septembre 2011 15:33
Pour sa part, la mission onusienne a promis d'examiner les revendications de la plate-forme chère à Etienne Tshisekedi, avant d'y apporter une réponse adéquate.
L'Opposition politique congolaise dite “ groupe de Fatima “ a remis officiellement aux délégués de la Mission de l'ONU pour la stabilisation au Congo (MONUSCO), la liste des préalables à la signature du Code de bonne conduite des élections déposée à la commission électorale nationale indépendante (CENI).
La remise a eu lieu à l'hôtel Faden House à Gombe, une commune de la capitale congolaise, au cours d'une réunion entre, d'une part, les représentants de cette famille politique qui a choisi le président national de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi wa Mulumba comme candidat commun à l'élection présidentielle du 28 novembre prochain, et les délégués de la Division de la MCNUSCO chargée des Elections, d'autre part.
En ce qui les concerne, les agents de la mission onusienne ont promis de soumettre cette liste à qui de droit, pour un examen approfondi et une réaction appropriée.
Hormis l'audit du fichier électoral, ces préalables font également mention de la monopolisation par le président de la République sortant et sa famille politique de l'administration publique et des médias publics notamment la Radio télévision nationale congolaise (RTNC), de l'arrêt immédiat de l'à la campagne électorale qui viole la loi électorale et les textes légaux règlementaires, etc.
Les opposants ont expliqué qu'il y a plusieurs jour, la CENI leur avait autorisé à procéder à l'audit du fichier électoral, avant de conditionner cet audit par un avis favorable du regroupement politique du président de la République sortant. Cette condition n'est pas de nature à aider les deux parties à trouver un terrain d'entente, dès lors que le regroupement du président Kabila a déjà ouvertement déclaré que l'audit du fichier électoral tant évoqua ne l'intéresse en rien.
L'intérêt de l'audit est de permettre de vérifier si le serveur de la CENI contient effectivement 32 millions d'enrôlés comme annoncé par le président de la CENI Daniel Ngoy Mulunda, et si toutes les identités de tous les détenteurs des cartes d'électeur sont réellement enregistrée dans ce fichier. Les membres de l'Opposition politique congolaise ont enfin confirmé qu'ils vont organiser demain jeudi 29 septembre une marche pacifique, pour obliger la CENI à leur permettre d'effectuer l'audit du fichier électoral.
Marcel TSHISHIKU
Source : La Tempête des tropiques
Mercredi, 28 Septembre 2011 15:33
Pour sa part, la mission onusienne a promis d'examiner les revendications de la plate-forme chère à Etienne Tshisekedi, avant d'y apporter une réponse adéquate.
L'Opposition politique congolaise dite “ groupe de Fatima “ a remis officiellement aux délégués de la Mission de l'ONU pour la stabilisation au Congo (MONUSCO), la liste des préalables à la signature du Code de bonne conduite des élections déposée à la commission électorale nationale indépendante (CENI).
La remise a eu lieu à l'hôtel Faden House à Gombe, une commune de la capitale congolaise, au cours d'une réunion entre, d'une part, les représentants de cette famille politique qui a choisi le président national de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi wa Mulumba comme candidat commun à l'élection présidentielle du 28 novembre prochain, et les délégués de la Division de la MCNUSCO chargée des Elections, d'autre part.
En ce qui les concerne, les agents de la mission onusienne ont promis de soumettre cette liste à qui de droit, pour un examen approfondi et une réaction appropriée.
Hormis l'audit du fichier électoral, ces préalables font également mention de la monopolisation par le président de la République sortant et sa famille politique de l'administration publique et des médias publics notamment la Radio télévision nationale congolaise (RTNC), de l'arrêt immédiat de l'à la campagne électorale qui viole la loi électorale et les textes légaux règlementaires, etc.
Les opposants ont expliqué qu'il y a plusieurs jour, la CENI leur avait autorisé à procéder à l'audit du fichier électoral, avant de conditionner cet audit par un avis favorable du regroupement politique du président de la République sortant. Cette condition n'est pas de nature à aider les deux parties à trouver un terrain d'entente, dès lors que le regroupement du président Kabila a déjà ouvertement déclaré que l'audit du fichier électoral tant évoqua ne l'intéresse en rien.
L'intérêt de l'audit est de permettre de vérifier si le serveur de la CENI contient effectivement 32 millions d'enrôlés comme annoncé par le président de la CENI Daniel Ngoy Mulunda, et si toutes les identités de tous les détenteurs des cartes d'électeur sont réellement enregistrée dans ce fichier. Les membres de l'Opposition politique congolaise ont enfin confirmé qu'ils vont organiser demain jeudi 29 septembre une marche pacifique, pour obliger la CENI à leur permettre d'effectuer l'audit du fichier électoral.
Marcel TSHISHIKU
Source : La Tempête des tropiques
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