ENCORE UN CRASH D'AVION EN RDC

[Willy]

Quelqu'un sait il ci l'avion est immatriculé S9-TOP comme fait référence dans cet article du soir d'octobre 2009?


Citation:
Aérien Le Boeing 767 congolais immatriculé à Sao Tomé n’est plus certifié
Les relations entre les deux compagnies qui se partagent les vols entre Bruxelles et Kinshasa n’ont jamais été très bonnes. Depuis lundi, elles se sont de nouveau envenimées suite à la suspension des vols opérés par Hewa Bora.

En cause, la certification du Boeing 767-266ER utilisé par la compagnie congolaise pour voler sur Bruxelles et la fameuse liste noire de l’Union européenne. A l’instar de toutes les compagnies congolaises, Hewa Bora se retrouve en effet sur cette liste du « Safety Committee » de la Commission européenne en tant que compagnie, mais aussi pour tous ses appareils.

Hewa Bora avait toutefois réussi à contourner cet obstacle en créant une nouvelle compagnie aérienne à Sao Tomé et en y faisant immatriculer son avion. Le B767 anciennement immatriculé 9Q-CJD était alors réapparu avec son nouveau matricule S9-TOP. Constituée de petites îles au large du Gabon, la République de Sao Tomé n’est, en effet, pas reprise sur la liste noire européenne.

Alors qu’elle avait repris ses vols entre Kinshasa et Bruxelles le 9 septembre dernier avec son B767 immatriculé à Sao Tomé-et-Principe, la compagnie congolaise a été contrainte de suspendre les deux liaisons hebdomadaires qu’elle opérait entre les deux capitales samedi dernier. Et ce à la suite d’un courrier de l’autorité de l’aviation civile de la petite république africaine (Inac) lui signifiant la suspension des opérations en Belgique.

Au cours d’une conférence de presse organisée lundi à Kinshasa, l’administrateur délégué d’Hewa Bora, Stavros Papaioannou, a clairement accusé la Belgique en parlant de « pressions inimaginables exercées » par la Direction générale du transport aérien (DGTA). D’après les déclarations de M. Papaionnou, c’est Brussels Airlines qui serait derrière ces manœuvres afin de préserver ces parts de marché sur sa route la plus rentable. Avec des billets à 940 dollars et davantage de kilos de bagages, Hewa Bora, malgré des taux de remplissage assez bas, avait réussi à capter une partie de la clientèle.

Si Brussels Airlines n’a pas réagi aux accusations de son ancien partenaire, la DGTA, par contre, a réagi mardi soir par communiqué ; ce qui est extrêmement rare. « Les allégations de la compagnie Hewa Bora sont injustifiées. En aucune manière et à aucun moment, la DGTA n’a exercé la moindre pression sur les autorités du Sao Tomé-et-Principe… Nous n’avons introduit aucun dossier à la Commission européenne. La Belgique choisit de maintenir une position positive et souhaite la normalisation des rapports aériens entre le Congo et notre pays », conclut la DGTA.

Car ce dossier semble aussi avoir pris une tournure plus politique qu’économique… Lors de sa conférence de presse à Kinshasa, le patron d’Hewa Bora a d’ailleurs clairement demandé au président congolais, Joseph Kabila, d’intercéder en sa faveur. « Aujourd’hui, nous connaissons tous les architectes de ce qui apparaît comme un complot. C’est devenu l’affaire de notre gouvernement qui doit prendre ses responsabilités », a déclaré M. Papaioannou.

Pour comprendre de quoi il retourne exactement, il faut remonter au début de l’année… Après avoir œuvré en commun durant plusieurs mois, Brussels Airlines et Hewa Bora ont mis un terme définitif à leur projet de compagnie congolaise commune.

Faute d’avion pouvant pénétrer l’espace aérien européen, Hewa Bora a d’abord conclu un accord avec une petite compagnie des Emirats arabes unis, Rak Airways. Cette dernière a fourni un Boeing 757-200ER qui a effectué plusieurs vols entre Kinshasa et Bruxelles. Mais le contrat entre Hewa Bora et Rak a brutalement été interrompu peu de temps après pour des raisons non expliquées.

Et début septembre, Hewa Bora reprenait ses vols vers Bruxelles avec son Boeing 767 ré-immatriculé à Sao Tomé-et-Principe. Cet appareil avait longuement été immobilisé à Bruxelles en 2006 et 2007 pour des problèmes techniques, avant de regagner Kinshasa. Et il ne pouvait plus voler sur l’Europe.

Hewa Bora avait ensuite trouvé la parade en créant une nouvelle société (Executive Jet Services) pour contourner l’interdiction. L’appareil était pris en lease back et l’équipage loué par Hewa Bora à Executive Jets, une compagnie autorisée à voler en Europe.

[Ilunga]

Quel mic-mac ! C'est la jungle congolaise avec la démission de l'Etat-kabiliste...Aucun contrôle, aucune réglementation...des morts qui auraient pu être évitées mais dans le pays des kabilistes, la vie humaine ne vaut rien, seuls les profits sauvages comptent...Des crashs à répétition jusqu'à qd?

[temk20]

uN AVION INTERDIT EN EUROPE MAIS VOL LIBREMENT AU CONGO.

TOUTES PERSONNES A BORD A PAYE LES FRAIS DE L’AÉROPORT AFIN DE FINIR SA VIE A BORD D'UN CERCUEIL VOLANT.

SI LES INFRASTRUCTURE ROUTIÈRES ÉTAIENT CONSTRUITES CES MORTS PRÉCOCES SERAIENT ÉVITÉ.

[TUPAC MOUDJAHIDINE]

temk20, as tu déjà fait un vol Kinshasa Mbandaka d'1h30 à bord d'un Fokker ? crois moi, tu ne penseras même pas à manger la petite collation qu'on donne à bord. A gauche et à Droite une forêt vierge qui te pousse à réfléchir et les trous d'air Tu auras l'impression que ton Coeur veut sortir de ta poitrine et les vibrations, les bourdonnements na voyagea bongo une première et dernière fois, les autres fois c'était ngobila yamba bisoeee masuwa ekonana bolingo pe e nani 4 jours mais 4 jours d'ambiance, des Ngolo Ngolo, bonga ludia à la belle étoile en plus natation ekuba quelle sérénité !