contrairement à nos supposés stars

[Erick Ross]

Le recrutement au sénégal, en cote d'ivoire... se fait au moment où les jeunes joueurs n'ont même pas encore atteint la maturité sportive. La confiance, l'épanouissement, la prise de responsabilité, l'expérience (pour savoir de quoi on est capable)... C'est le talent des jeunes, le style de jeu, l'intelligence... qui poussent les recruteurs à prendre les meilleurs. Donc ceux qui restent au pays sont forcément les "rejets" de la société, les oubliés, ou à quelques exceptions près, les irréductibles qui veulent rester pour des raisons particulières (famille par exemple...). Déjà que la plupart des clubs d'Afrique de l'ouest ont de partenariats avec des clubs d'Europe ou avec des centres de la place, destinés à exporter les talents vers l'europe. Si le foot africain se résume désormais à équipes du mahgreb, TP Mazembe, Clubs nigérians et les autres, c'est parce que ces clubs citées ne misent pas sur l'exportation des talents. Ils veulent des joueurs qui ont atteint la maturité, ils veulent des résultats, ils veulent se faire de l'argent par le sport, parce qu'ils sont conscients qu'ils gagneront plus en devenant plus fort (les tranferts seront onéreux, les tournois lucratifs seront nombreux, les sponsors s'amasseront parce qu'avec des clubs à faible budget par rapport à l'Europe ils feront de bonnes affaires), et ceci est le début du progrès du foot africain. en 10 ans le TP Mazembe compte 10 fois plus de supporters (le club le plus populaire de lubum fut le FC St Eloi Lupopo), Donc le stade se remplira plus, l'argent entrera plus, l'audience augmentera plus, le foot africain interessera plus de personnes, et c'est le début de la révolution. Donc c'est dans ce sens là qu'il faut comprendre ce que veut dire TUPAC. Chaque club s'est fait un objectif: Les uns preferent gagner en exportant; les autres en conservant. Ceux qui conservent ont donc les meilleurs locaux parce qu'ils gardent encore des joueurs qui ont franchi un pallier psychologique que les autres ne franchissent pas avant de partir.

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[wantanshi]

Le recrutement au sénégal, en cote d'ivoire... se fait au moment où les jeunes joueurs n'ont même pas encore atteint la maturité sportive. La confiance, l'épanouissement, la prise de responsabilité, l'expérience (pour savoir de quoi on est capable)... C'est le talent des jeunes, le style de jeu, l'intelligence... qui poussent les recruteurs à prendre les meilleurs. Donc ceux qui restent au pays sont forcément les "rejets" de la société, les oubliés, ou à quelques exceptions près, les irréductibles qui veulent rester pour des raisons particulières (famille par exemple...). Déjà que la plupart des clubs d'Afrique de l'ouest ont de partenariats avec des clubs d'Europe ou avec des centres de la place, destinés à exporter les talents vers l'europe. Si le foot africain se résume désormais à équipes du mahgreb, TP Mazembe, Clubs nigérians et les autres, c'est parce que ces clubs citées ne misent pas sur l'exportation des talents. Ils veulent des joueurs qui ont atteint la maturité, ils veulent des résultats, ils veulent se faire de l'argent par le sport, parce qu'ils sont conscients qu'ils gagneront plus en devenant plus fort (les tranferts seront onéreux, les tournois lucratifs seront nombreux, les sponsors s'amasseront parce qu'avec des clubs à faible budget par rapport à l'Europe ils feront de bonnes affaires), et ceci est le début du progrès du foot africain. en 10 ans le TP Mazembe compte 10 fois plus de supporters (le club le plus populaire de lubum fut le FC St Eloi Lupopo), Donc le stade se remplira plus, l'argent entrera plus, l'audience augmentera plus, le foot africain interessera plus de personnes, et c'est le début de la révolution. Donc c'est dans ce sens là qu'il faut comprendre ce que veut dire TUPAC. Chaque club s'est fait un objectif: Les uns preferent gagner en exportant; les autres en conservant. Ceux qui conservent ont donc les meilleurs locaux parce qu'ils gardent encore des joueurs qui ont franchi un pallier psychologique que les autres ne franchissent pas avant de partir.

Amen, en tous cas !

[Mozilla]

Le recrutement au sénégal, en cote d'ivoire... se fait au moment où les jeunes joueurs n'ont même pas encore atteint la maturité sportive. La confiance, l'épanouissement, la prise de responsabilité, l'expérience (pour savoir de quoi on est capable)... C'est le talent des jeunes, le style de jeu, l'intelligence... qui poussent les recruteurs à prendre les meilleurs. Donc ceux qui restent au pays sont forcément les "rejets" de la société, les oubliés, ou à quelques exceptions près, les irréductibles qui veulent rester pour des raisons particulières (famille par exemple...). Déjà que la plupart des clubs d'Afrique de l'ouest ont de partenariats avec des clubs d'Europe ou avec des centres de la place, destinés à exporter les talents vers l'europe. Si le foot africain se résume désormais à équipes du mahgreb, TP Mazembe, Clubs nigérians et les autres, c'est parce que ces clubs citées ne misent pas sur l'exportation des talents. Ils veulent des joueurs qui ont atteint la maturité, ils veulent des résultats, ils veulent se faire de l'argent par le sport, parce qu'ils sont conscients qu'ils gagneront plus en devenant plus fort (les tranferts seront onéreux, les tournois lucratifs seront nombreux, les sponsors s'amasseront parce qu'avec des clubs à faible budget par rapport à l'Europe ils feront de bonnes affaires), et ceci est le début du progrès du foot africain. en 10 ans le TP Mazembe compte 10 fois plus de supporters (le club le plus populaire de lubum fut le FC St Eloi Lupopo), Donc le stade se remplira plus, l'argent entrera plus, l'audience augmentera plus, le foot africain interessera plus de personnes, et c'est le début de la révolution. Donc c'est dans ce sens là qu'il faut comprendre ce que veut dire TUPAC. Chaque club s'est fait un objectif: Les uns preferent gagner en exportant; les autres en conservant. Ceux qui conservent ont donc les meilleurs locaux parce qu'ils gardent encore des joueurs qui ont franchi un pallier psychologique que les autres ne franchissent pas avant de partir.

Voilà une reflexion de génie. La patience est un fruit qui se mange mûr. dans le cas contraire vous mangez des fruits non mûrs.