Les Daringmen Veulent Tshibasu

[TUPAC MOUDJAHIDINE]

Bozui IBENGE nous on veut ERIC TSHIBASU à la tête du DCMP.

[Pinto]

Bozui IBENGE nous on veut ERIC TSHIBASU à la tête du DCMP.

Tupac,

Daring n'est plus uni et donc il est vulnérable. Amenez Tshibasu dans un tel contexte ne résoudra pas le problème.

Evacuez le conflit, remettez un bon climat de travail et envisagez ensuite de recruter un bon entraîneur.

[TUPAC MOUDJAHIDINE]

Le Coach Tshibasu se trouve à Kin, il se confiera au micro de Tupacongo Sport très prochainement. Nous allons dégager Lusadisu et installer Tshibasu.

[Patshoosket]

Eloko na longolaka ba immaniens, ils ne se cachent pas quand leur case brille!

Et la solution pointe toujours à l'horizon...

http://www.direct.cd/2013/08/22/opinion ... pembe.html

Opinion – Voici les noms et les profils des « assassins » du Daring Club Motema Pembe
Je ne suis pas Daringman. Je ne suis que journaliste professionnel gradué en journalisme et bientôt licencié en journalisme option Relations publiques. Je suis un ancien de l’ISTI. Et depuis 1979-1980 alors étudiant journaliste stagiaire puis journaliste reporter au quotidien du soir Elima de feu Thy René Essolomwa Nkoy Ea Linganga (que son âme repose en paix), je n’ai que le journalisme comme métier. Depuis 1980, je côtoie Daring et tous les dirigeants qui se sont succédé à la tête du Dcmp m’ont adopté comme leur petit. J’ai ainsi eu la chance et le bonheur de connaître feu Mitwana Andoing On’kok. J’ai mangé sur la table de Mayifuila Mitterand, Papa Tamba Zapo à Limete, son fils à Ma Campagne. J’étais l’ami de Aaron Muyenga. Je fus adopté par Miltoni, Denis Tabiana, je fréquente Olivier Bierlaire, feu Félix Sangwa fut presque un parent, Charles Okoto me connaît, Tatu Hilaire fut plus qu’un frère, j’ai dormi dans un même lit que lui, il m’invitait chez lui, chez ses proches et ses parents. Il venait manger chez moi à Mokali et y préparer les matches que Daring jouait contre toutes les grandes formations du continent et du pays … Cela m’a coûté beaucoup d’inimitiés mais j’ai arraché beaucoup de sympathie en retour. Daring, c’est mon équipe et Charles Tambwe Lombe, le magistrat militaire Donat Lihoke (promu récemment général), Bovic Basakila ou encore Aimé Kalonj, Bonina Justin ou Ntumba Zézé à qui je dédie cet article ne pourront nier les liens qui nous unissent et les bons rapports que nous entretenons. De Matadi, Edo Mbuta l’un des piliers de Jeunami garde de bons souvenirs à Matadi de Lalabi. Je n’ai pas oublié Tatu Kalonji 1er , l’unique comme il aimait qu’on l’appelle, l’un des hommes qui auront marqué le Daring des « temps modernes », celui qui nous a donné la Coupe d’Afrique des vainqueurs de Coupe en 1994 à Naïrobi contre la formation kenyane de Breweries. C’est lui l’initiateur et l’amplificateur du slogan « Daring uni est imbattable ». C’est lui également qui m’amena chez Mukamba Kadiata Nzemba. A Naïrobi, nous étions ensemble avec le ministre Bofasa Djema – daringman émérite, Mukamba, Kalonji Tshilobo. Nous avions voyagé dans le même avion avec feus Serge Sopic « Mukamba », Nzumbu Sonnerie. Tshikem, Martin Kavuala et j’en passe. Daring, c’est bien ma famille. Et chaque fois que le mal de Daring refaisant surface, chaque fois que Daring prenait feu de toutes parts, il y avait des sapeurs-pompiers comme Félix Sangwa qui se hâtait à éteindre l’incendie. Des loups dans la bergerie Papa Tamba est mort. Papa Munkonkole aussi. Mais Maître Ngombe alias Taureau est en vie. Mais ses cornes et sa splendeur n’ont pas pu résister à l’usure du temps. Ses compagnons sont en train de perdre la tête face à l’ampleur des dégâts qui sévissent dans la famille immaculée en proie à d’interminables querelles intestines qui annoncent une vraie bataille rangée aux conséquences néfastes et meurtrières pour Daring. Autant ces anciens laissent crever Daring, autant les nouveaux acquéreurs veulent l’achever par leur manque de maîtrise er d’équilibre psychologique. Moralité : ils doivent tous partir, eux et tous leurs acolytes de mauvais aloi. Et puisque Daring survivra (il n’est pas né avec eux ou grâce à eux), ses plaies finiront par se cicatriser et de nouvelles figures immaculées apparaîtront … Car, Dieu n’aime pas que ses brebis s’égarent ou soient abandonnés à la merci des prédateurs. Ces chiens sauvages de savane, ces loups pullulent dans Daring. Il faut absolument s’en débarrasser. Ne tuez pas Daring, c’est un patrimoine national De grâce, ne tuez pas Daring, vous qui aviez servi cette formation immaculée jadis appelée l’équipe des intellectuels, vous qui aviez, à une certaine époque, dépensé de votre argent et de votre temps pour que Daring émerge et brille au firmament de grands clubs du pays et du continent, Daring vous doit respect et reconnaissance. Mais à un certain moment, il faut savoir partir laisser les autres prendre le flambeau pour autant que la prise de pouvoir se fasse dans le respect de la règle, selon l’esprit des textes qui sont tenus à appliquer ceux qui détiennent l’imperium en la matière, nous avons cité la Fecofa, l’instance faitière de notre football qui est l’organe technique du ministère de la Jeunesse, des Sports et Culture et Arts, le pouvoir d’Etat et par ricochet le gouvernement provincial avec le chef de division urbain des Sports et Loisirs. Quand on parle de la Fecofa, on voit la Linafoot, la Ligue de football de Kinshasa, l’Entente Provinciale de football, etc. Vous qui venez d’arriver et qui avez été acceptés par le peuple (Assemblée générale élective qui vous a légué ce pouvoir parce que votre réputation d’hommes d’affaires prospères vous avait précédé), ayez le courage de partir quand une frange d’immaculés vous conteste. N’êtes-vous pas venu de votre propre gré pour aider cette équipe – surtout financièrement- ? . Et quand on vous donne l’occasion de ne plus jeter votre argent par la fenêtre, pourquoi faites-vous de la résistance ? A moins que vous n’ayez un agenda caché, des ambitions aux contours flous mal définis voire déstabilisateurs. Ne dirigez surtout pas par défi, ne rompez pas brusquement une tradition presque séculaire, ne soyez pas le plus grand commun diviseur de Daring. Mieux vaut partir maintenant en douceur que d’être chassé et persécuté demain. Daring ne vous appartient pas. Il est un patrimoine national que nul n’a le droit de spolier. Le changement des textes, de mode de vie et de gestion des groupes et des entreprises de groupe se font lentement, progressivement et avec méthodologie parce que de nature l’homme est conservateur, donc réfractaire au changement et aux mutations surtout dans le domaine culturel. Ce n’est donc pas par hasard que j’ai cité des noms devenus icones de Daring, je n’ai pas voulu m’attarder sur ces « jeunes turcs » qui viennent tambours battant mais qui, en fin de compte, ne sont d’aucune efficacité … sans résultats probants. Ceux-ci n’auront jamais goûté au succès à la joie de voir Daring terrasser V.Club, Mazembe, Lupopo, Sanga Balende et j’en passe. Ils préfèrent passer l’essentiel de leur temps à fomenter des divisions, des querelles, à régner en profitant du club. Tous, indistinctement, sont des fossoyeurs du Daring. De la co-fondation aux sages en passant par les arrivistes et les jeunes turcs sans distinction n’œuvrent pas pour le bonheur du club. Chacun d’eux a fait son temps, qu’ils laissent le temps au temps de choisir les nouveaux chefs. Un commentaire de Fernand Mukaku Lalabi-Muke

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